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2520 commentaires

Le 09/04/2019 à 15h 40

Alors vous allez m’expliquer ce que je n’ai pas compris (je pense qu’il y a méprise sur ce que j’ai voulu dire, me serais-je peut-être mal exprimé?)

Le 09/04/2019 à 15h 38

Axione est une filiale de Bouygues construction (c’est écrit dans la brève de Next inpact). 



NB: je ne vois pas de quel droit j’aurais à reprocher quoi que ce soit à Iliad, je répondais seulement à votre incantation “plus qu’à - y’a qu’à -  faut qu’on”.

Le 09/04/2019 à 13h 02

Axione, Covage, Orange et SFR sont exploitants de RIP. Iliad non ?

Le 09/04/2019 à 12h 44

Pour ça, il y a Iliad.

Le 09/04/2019 à 10h 13

Si j’ai bien compris, il ne manquait que Orange sur les RIP exploités par Axione.

 http://www.axione.fr/pour-la-premiere-fois-en-france-un-reseau-de-fibre-jusqua%3…

Le 09/04/2019 à 10h 08

Il y a même une touche pour les trois points, j’adore. :D

Le 08/04/2019 à 21h 14

= dièse
# = croisillon

Le 07/04/2019 à 18h 57

Moi aussi, je peux nommer des émissions TV de qualité : Tout Compte fait, La grande Librairie, Questions pour un Champion… (chacun ses goûts). Pourtant, pour ma part, je boycotte FranceTélévisions. Ça ne dédouane pas la responsabilité des autres émissions qui représentent la majeure partie du temps d’antenne (Les informés de FranceInfo, CàVous sur France5, ONPC sur France2, etc), et qui font de l’incantation conservatrice et consumériste en pourrissant tout débat avec leurs “invités” (je mets des guillements car c’est plutôt un bal des faux-culs qui ne servent que de faire-valoir pour assurer le spectacle et assurer la publicité de ce qu’ils ont à vendre). L’infotainment (entre autres) a tué le débat d’idées dans l’audiovisuel français.

Le 07/04/2019 à 12h 46

À titre personnel, je regarde des émissions TV en replay uniquement pour avoir le contexte d’un extrait partagé sur un média social. Et à chaque fois, je suis consterné de constater à quel point une émission TV dans le PAF actuel peut se répéter. J’ai l’impression d’écouter un mantra (une prière qui se répète dans les religions orientales) comme si on voulait faire accepter une doxa conservatrice et consumériste : les émissions TV (toutes chaînes financées par la publicité) sont de réelles publicités (répétition, injonction de ce qu’il faut penser ou faire) entre les publicités commerciales et autres sponsors d’émissionsTV, placements de produites et autres. Le débat d’idées n’y existe pas.

Le 07/04/2019 à 12h 38

Il faut dire que dans les grands médias généralistes, il n’y a pratiquement que le discours de CSP+ qui s’y exprime (on donne rarement la liberté éditoriale au pigiste ou à l’assistant de production) et quand on donne la parole aux classes moyennes inférieures, c’est toujours très encadré (micro-trottoir pour illustrer une statistique issue d’un sondage partenaire de la chaîne - prise de parole en studio avec l’animateur TV qui sort de son rôle d’arbitre des débats pour faire la morale sur ce qu’on a droit ou pas de dire).



Alors oui, les médias sociaux ont sûrement cette qualité de laisser passer la parole divergente, voire dissidente et surtout la qualité de laisser un dialogue s’installer. Dans le PAF (paysage audiovisuel français), le débat d’idées n’existe pas en 2019 et c’est une erreur (et je dirais même plus une faute à l’heure de la crise sociale que la France connaît aujourd’hui). 

Le 06/04/2019 à 15h 26

alors FreeboxTV aurait dû coupé le signal puisque le replay n’était plus disponible (que ce soit à l’initiative de Free ou de Altice). De toute manière,le contrat avec Altice France prenait fin le 20 mars et Free avait signifiéson accord pour un lot “diffusion du direct+services annexes”.



Autrement-dit, on peut toujours spéculer sur qui coupe le signal et qui est victime de l’autre, c’est une négociation qui s’enlise et ces 2 lascars ne sont pas prêt à se mettre d’accord dans les jours à venir.

Le 06/04/2019 à 10h 10

FreeboxTV a coupé le signal >> le lendemain matin, Altice France a pris l’initiative de couper son flux >> FreeboxTV réagit en rétablissant le flux (avec une alternative technique) >> Altice France se plaint de piratage.



En fait, chacun s’accuse de tous les maux, la négociation est au point mort. C’est ce qu’il faut comprendre.

Le 05/04/2019 à 14h 11

 




  • TDF est un prestataire des chaînes TV (un fournisseur des chaînesTV), TDF ne vend pas de bouquet TV aux téléspectateurs.



  • FreeboxTV est un diffuseur TV payant et se rémunère auprès des téléspectateurs, les chaînes TV sont des fournisseurs de contenus (FreeboxTV est un client des chaînesTV).



    Et de toute manière la Freebox permet de recevoir les chaînes TV par la TNT hertzienne, donc il n’y a même pas besoin de payer pour diffuser ces chaînes là (et si on croit, comme le président de l’Arcep, que la TV par IP doit remplacer la TNT pour économiser des investissements, il faut changer la loi).

Le 05/04/2019 à 13h 03

La tournure médiatique que prennent ces négociations, avec des accusations de part et d’autre, ne présage pas d’un accord commercial (en tout cas pas dans l’immédiat) AMHA.

Le 05/04/2019 à 08h 17

Trop drôle, cette tempête entre industriels/diffuseurs/producteurs de contenus où on se rend compte qu’il est facile pour un diffuseur de s’échapper de la contrainte d’un accord commercial avec les chaînes de la TNT qui souhaitent monétiser leurs contenus annexes “premium”.



Pour autant, c’est inquiétant pour le journalisme audiovisuel qui est déjà pas mal dévoyé sans cela.

Le 05/04/2019 à 09h 00







tpeg5stan a écrit :



Au contraire, les dépenses sociales de la France sont les plus élevées de l’OCDE et continuent de monter :https://www.lesechos.fr/economie-france/social/la-france-championne-deurope-des-…



Sur quels chiffres te bases-tu ?



         ...







Désolé, j’arrête là. Il faut ce que j’écris : «  l’Etat-providence recule depuis 35 ans. »



En d’autres termes, ça veut dire que l’Etat-providence disparaît progressivement. Quand on démantelle un système existant, on fait du libéralisme, on libéralise l’économie. Comment je peux dire autrement pour me faire comprendre ?



 Alors oui, je peux comprendre qu’un anglo-saxon prenne la France pour un pays social-démocrate, mais la France n’a pas la même organisation administrative, la même histoire, la même culture que les USA ou le Royaume-uni. Si c’est ça, votre raisonnement, on fait avec la réalité des choses.



D’ailleurs, même si je renonce à me faire comprendre, les britanniques viennent de décider de nationaliser leur système ferriviaire, ça ce n’est pas du libéralisme !! Et je pense que depuis le Brexit et l’élection de D. Trump, la pensée économique dans le monde anglo-saxon ne sera plus le néolibéralisme, et sera une politique économique qui acceptera des nationalisations d’infrastructures, du protectionnisme d’Etat. Ce qui, actuellement, n’existe pas en France. On met bien la SNCF, La Poste en concurrence avec des privatisations à la clé. La France continue de libéraliser son économie !



Maintenant, j’arrête là, j’ai l’impression qu’on ne se comprend pas, pourtant ça me paraît clair. Je n’ai pas lu le reste de votre commentaire, c’est trop long. Les journées ne font que 24 heures. Bonne fin de semaine à vous.


Le 04/04/2019 à 21h 39

à propos du social-libéralisme, peut-être est-ce un mot-valise entre social-démocratie et libéralisme. Dans ce cas, le social-libéralisme désignerait une évolution des actions des gouvernements sociaux-démocrates après la fin du communisme vers une tendance réformiste du libéralisme qui développerait potentiellement une nouvelle doctrine économique… mais je n’en sais rien, alors je m’arrêterais là.

Le 04/04/2019 à 20h 23

« La France applique les principes du néolibéralisme depuis 1984, car l’Etat-providence est progressivement délaissé au profit de cette théorie néo-libérale depuis cette date jusqu’à aujourd’hui. »




  Je vais me paraphraser, ça n'a pas l'air d'être clair : l'Etat-providence recule depuis 35 ans. Et sauf erreur de ma part, E.Macron met plutôt le turbo dans cette évolution et n'a jamais prévu de retour à l'Etat-providence. Donc, la France et E.Macron correspondent à cette définition.     






           



« (Sarkozy a lancé 4 LGV en même temps de mémoire) » 




  Sarkozy a peut-être permis le financement partiel d'infrastructures ferroviaires via subventions et partenariats public-privé (notamment avec le groupe Eiffage comme dit précédemment), mais le néolibéralisme ne l'interdit pas (je suis désolé de me répéter). N.Sarkozy et la France n'ont pas investit dans l'infrastructure car c'est une infrastructure en partenariat public-privé : de la propriété privée (et du droit privé).        





« et la régulation tous azimuths est extrêmement complexe. »



Là, je suis totalement d’accord. Je dirais même que, parfois, c’est le système se mélange tellement les pinceaux que ça devient n’importe quoi. Mais quelle système économique n’a pas ses petites contrariétés ?

 



« Pour moi, un qualificatif qui conviendrait mieux, est social-libéralisme. »




  Pour le coup, je suis incapable de définir ce qu'est le social-libéralisme. Ca veut tout dire et rien dire, ou alors ça correspond à un ersatz de keynesianisme qui essaie de noyer le poisson pour tromper l'opposant médiatique ou l'opinion publique (ou alors il faut m'expliquer). AMHA c'est comme dire chaud-froid. Soit c'est chaud, soit c'est froid. Soit c'est du socialisme (production de biens/services par l'Etat ou la collectivité publique), soit c'est du libéralisme (de la propriété privée naît une réponse aux besoins de la Société). 

Le 04/04/2019 à 11h 59

Le néolibéralisme (néo- nouveau) est la pratique libérale qui a court depuis la fin des années 1970 sous l’impulsion de R.Reagan et de M.Thatcher et qui a conduit à la fin du keynésianisme (apparu dans les années 1930 suite à la crise de 1929) et qui a perduré après la chute de l’économie socialiste soviétique et l’abandon de l’économie socialiste chinoise jusqu’à nos jours. Le néolibéralisme s’entend en opposition au keynesianisme. Cette pensée est aussi inspirée par une défiance totale à l’Etat-providence (notion keynésienne) et s’articule de ce fait autour de la création d’autorités indépendantes du pouvoir politique qui régissent une réglementation des marchés la plus légère possible. Dans une économie néolibérale, la croyance dans la possibilité d’une concurrence pure et parfaite des marchés n’existe pas contrairement à la notion de A.Smith. Parfois, d’après le néolibéralisme, le marché ne peut pas s’équilibrer tout seul et a besoin de “coups de pouce”. Le néolibéralisme ne reconnait pas non plus le principe selon lequel la somme des intérêts individuels forment l’intérêt général.

   nextinpact.com Next INpact




 Dans une économie néolibérale, comme dans une économie libérale d'avant 1929, la monnaie doit rester forte, l'inflation doit être fondamentalement maîtrisée, et toute dévaluation est proscrite. Différentes réglementations ont donc été mises en place dans les années 1980-1990, afin d'interdire ou de limiter drastiquement l'intervention de l'Etat sur la monnaie. L'Etat n'a pas le droit de faire de déficit (en UE, le traité de Maastricht autorise tout de même un déficit limité à 3% du PIB de chaque Etat). En parlant de l'UE, des économistes utilisent effectivement la notion de ordolibéralisme, considérant l'aversion germanique pour l'inflation et les mesures mises en place dans l'Eurogroup comme asphyxiant pour les Etats d'Europe du Sud utilisant l'Euro. Dans une économie néolibérale ou libérale, l'Etat ne produit rien et ne répond pas à la demande de biens/services, l'Etat n'investit pas dans les infrastructures (seul le néolibéralisme autorise l'Etat à subventionner des infrastructures lorsque le marché est incapable d'y répondre, le libéralisme croyant que le marché répond par nature aux besoins de la Société pour peu qu'il ne soit pas entravé par l'intervention d'acteurs trop puissants).      

   https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...

  https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...

  https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...






La France applique les principes du néolibéralisme depuis 1984, car l'Etat-providence est progressivement délaissé au profit de cette théorie néo-libérale depuis cette date jusqu'à aujourd'hui. Le néolibéralisme est sûrement beaucoup plus inspiré du libéralisme de la fin du XIXe Siècle que du keynésianisme et s'oppose fondamentalement au marxisme qui est une remise en cause absolue des principes du capitalisme (synonyme de libéralisme) : le marxisme a défini la notion de lutte des classes et est convaincu que la rémunération du capital provoquera sa chute (ce qui a été plutôt démenti notamment par la réponse keynésienne à la crise de 1929) raison pour laquelle le marxisme dénonce les effets délétères de la propriété privée.      

  https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...






Voilà ma définition imparfaite mais fortement demandée du néolibéralisme en reprenant ce que j'avais déjà écrit précédemment et en complétant sans prétention d'être ni exhaustif, ni parfaitement exact, la notion de néolibéralisme n'étant pas une loi physique mais une théorie économique légèrement différente du libéralisme de Smith et de Ricardo. Et donc je répète que LREM est un parti néolibéral et néoconservateur, en tout cas c'est un parti qui assume à la fois les principes néolibéraux et les principes d'un Etat de plus en plus sécuritaire (un peu comme l'UMP sous le mandat de N.Sarkozy et contrairement aux gouvernements PS qui se sont succédé depuis 1984).      

  https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...

  https://www.nextinpact.com/news/107747-interview-laetitia-avia-contre-cyberhaine...

Le 04/04/2019 à 09h 31

J’ai fait un effort, je te tutoie maintenant. Tu vas peut-être baisser d’un ton, sinon on peut encore continuer longtemps à se prendre le bec en jouant à savoir qui a la plus grosse. C’est comme tu veux.

Le 04/04/2019 à 09h 29

En plus tu sembles croire que je démens ce que tu écris, alors que pas du tout : si tu me parlais comme quelqu’un de normal, sans faire d’injonction et sans mépris, ce serait avec plaisir que je continuerais à discuter avec toi comme au début de notre échange. C’est vraiment piteux comme comportement (encore un terme trop élevé ? c’est bizarre de reprocher à quelqu’un d’avoir du vocabulaire).

Le 04/04/2019 à 09h 17

Vas lire des livres : https://www.amazon.fr/s?k=néolibéralisme&__mk_fr_FR=ÅM…




Il y a le choix : 300  titres sur amazon.fr      





Je t’ai donné des éléments de compréhension, tu refuses de relire mes commentaires précédents et maintenant tu me traites comme une merde. Tu veux aussi que je te réponde point par point pour te dénigrer gratuitement ? Je ne comprends même pas tes accusations. 

 



Et laisse moi vivre en paix, je n'ai rien à prouver, surtout avec le ton que tu emploies maintenant, ça devient ridicule. Tu me prends pour un charlatan ? Tu crois que je ne comprends pas les termes que j'utilise ? Rigolo.

Le 04/04/2019 à 07h 39

Et je sais, j’ai laissé des fautes d’orthographes, si jamais quelqu’un souhaitait me les reprocher comme souvent.

Le 04/04/2019 à 07h 36

Le web 2.0 est fascinant quand même : il faut toujours se coltiner ce genre de réaction accusatrice et avoir des propos tranchés ou binaires : “c’est comme ça. C’est pas comme ça. Toi, t’as tord. Moi, j’ai raison. Toi, t’es un complotiste. Moi, je sais”. C’est profondément débile et usant pour moi, surtout avec des inconnus comme ici. Vous n’en avez certainement rien à foutre (et je le regrette), mais je vais définitivement cesser de discuter avec des inconnus sur le web, je me rends compte que ça me pourrit la vie.

Le 04/04/2019 à 07h 32

Charlatan ?!? Je n’ai aucune prétention à être omniscient. Il y a une incompréhension sur mes intentions. J’ai seulement suivi des cours d’économie jusqu’à bac+2 et il est évident que vous-même n’avez pas suivi de cours d’économie (pourtant il me semble que l’économie est au programme de la classe de 2de et on en fait un peu en cours d’histoire). Et je vais encore répéter que je n’ai rien à faire de vos opinions politiques en matière économique, je ne parle pas de ça. J’ai l’impression que vous croyez que le libéralisme et le néolibéralisme sont opposables. Il ne s’agit que de nuances dans les rapports de l’Etat avec l’économie de marché.

Le 04/04/2019 à 07h 24

Voilà, vous commencez à réfléchir. Vous avez déjà trouvé qu’il s’agissait d’une école de pensée qui est actuellement contestée. Je salue vos effort pour comprendre la chose économique.



NB: rien ne m’oblige à me justifier et je n’aime pas du tout le ton que vous employez. D’ailleurs, je ne comprends pas, vous vous excusiez dans un message précédent.

Le 04/04/2019 à 07h 09

L’Eurogroup a quand même renoncé à sa politique néolibérale d’une monnaie qu’on ne dévalue pas et a autorisé la BCE à agir en contradiction avec le traité de Maastricht. L’Euro subit bien depuis 2008 une dévaluation.

Le 02/04/2019 à 20h 55







Patch a écrit :






  Depuis quand une société nationalisée a-t-elle forcément des fonctionnaires?         

Même la SNCF n'en contient aucun... 

...








  Merci de cette précision. En effet, le groupe SNCF comporte des salariés même si son statut d'établissement public (EPIC) pourrait laisser imaginer le contraire. De plus, la SNCF fournit des services marchands, comme une société commerciale de droit privé, et rassemble entre autres des filiales à statut commercial de droit privé (des sociétés anonymes).        






  Et je répète qu'actuellement, l'Etat français ne fournit plus du tout de services non-marchands, comme le demande la théorie néolibérale (et comme l'exigeait la théorie libérale jusqu'aux années 1930).         

 









Patch a écrit :






  1300 km de LGV, environ 150.000 km de routes, 700km de tramways...         

...








  Il y a bien longtemps que les LGV sont construites par des entreprises privées dans le cadre de partenariats public-privé (par Eiffage si j'en crois le site de SNCF Réseau). Le financement est certainement en grande partie issu de subventions publiques, donc on est très loin d'un Etat français qui planifierait un investissement public.         

 









Patch a écrit :






  11 janvier 1994. Depuis l'Euro, on n'a plus le droit, l'UE l'interdit.








  Dernière dévaluation du franc françaisen 1987.  Cela-dit, depuis la crise de 2008, l'euro subit une dévaluation qui ne dit pas son nom, de la part de la BCE jusqu'à aujourd'hui, avec des taux de la BCE négatifs (la France emprunte aux banques et gagne des intérêts). Cela est effectivement contraire aux principes néolibéraux inscrits dans le traité de Maastricht.

Le 02/04/2019 à 13h 36

Merci de ce commentaire infecte. J’étais de bonne humeur et j’aime discuter ici, mais parfois je ne comprends pas pourquoi il faut que des gens viennent chercher les embrouilles pour rien. Putain, voilà plusieurs heures que je réponds et c’est pour avoir finalement un commentaire qui me reproche de ne pas avoir envie de répondre !! 

Le 02/04/2019 à 13h 32







tpeg5stan a écrit :





Parce que les deux paragraphes que j’ai cités sont antinomiques. Si tu n’as pas de concurrence et que c’est géré par du parapublic, il n’y a rien de libéral là-dedans. 







Le libéralisme au sens généraliste de capitalisme est compatible avec plusieurs théories économiques : à la base il y a eu la théorie de Adam Smith, puis le keynésianisme, et aujourd’hui le néolibéralisme. Tout ceci fonctionne dans une économie capitaliste. Il n’y a que l’économie socialistee (le marxisme) qui refuse la propriété privée entre autres choses.



Voilà, c’est tout pour moi aujourd’hui, j’ai d’autres préoccupations toute suite. Bonne fin de journée.


Le 02/04/2019 à 13h 27







tpeg5stan a écrit :





Ça tombe bien, le choix libéralisme vs étatisme est un choix politique.





Tout à fait d’accord. Jusque là, mes commentaires n’avaient qu’un but d’explication, je n’ai aucune intention de dire ce qui est mal ou bien, du simple fait que l’action politique ne m’intéresse pas du tout.


Le 02/04/2019 à 13h 24

il faut lire mes commentaires précédents sur ce fil de commentaires. Me répéter me semble inutile, d’autant qu’une théorie économique ne se résume pas en quelques lignes. Si vous voulez vous informer achetez des livres d’histoire et des livres d’économie. Je n’ai pas la prétention d’être professeur d’économie, j’ai déjà bien du mal à me définir comme comptable.

Le 02/04/2019 à 13h 06







anagrys a écrit :





Quant à la personne qui disait que l’Etat français est “ultra-libéral” et répondait à la remarque sur les 55% de PIB, c’est vraiment simple, il suffit de regarder les charges prélevées sur les salaires. L’intégralité des charges (soit patronales + salariales). Au total, si on additionne les charges et l’impôt sur le revenu on atteint 50% (ce qui veut dire que l’Etat s’accapare, au titre des missions qu’ils s’est alloué, 50% de tout revenu payé en France). Si on y ajoute les différentes taxes et redevances (TVA et autres) on est largement dans un contrôle de plus de 50% des revenus versés. 

… 





S’il s’agit de mon commentaire, je n’ai jamais dit que l’Etat français était “ultra-libéral”, mais que la France applique la théorie néolibérale depuis 1984. Et quitte à parler de charges sociales, autant parler de cotisations : ce sont des assurances dont les comptes ne sont pas intégrés au budget de l’Etat, mais sont gérés par des organismes paritaires (syndicats patronaux+syndicats salariaux) : un reste de l’après-guerre avec un secteur de l’assurance santé et retraites qui est confié progressivement d’années en années aux assurances et mutuelles concurrentielles et avec l’assurance chômage que E.Macron envisage de financer plutôt par l’Etat (donc l’impôt). 



Et je ne conteste pas qu’en France, plus de 50% du PIB (on peut encore discuter de la pertinence de cet agrégat statistique qui ne veut absolument rien dire tout seul) soient “confisqués” à la concurrence de grands groupes d’assurances/mutuelles mis en concurrence. Là, on touche aux opinions politiques et c’est une limite que je ne franchirais pas ici (chacun est libre de penser ce qu’il pense).


Le 02/04/2019 à 09h 45

Dans votre précédent commentaire, vous utilisiez l’UE pour dédouaner Emmanuel Macron de sa responsabilité. L’UE est dirigée, entre autres, par le Président de la République française et je suis content que vous ayez changé d’avis sur ce point.

Le 04/04/2019 à 12h 45

« Et c’est là où, actuellement, les communautés sont pas au niveau de simplification presque abrutissant de ces plateformes. »




 L'atout des plateformes comme Facebook ou Twitter face aux alternatives libres n'est pas tant la simplicité (les changements fréquents du fonctionnement de Facebook, le temps d'adaptation au fonctionnement de twitter sont relativement complexes pour le néophyte), que les techniques de captivité de l'utilisateur enfermé dans un système de services (économie de l'attention, mise en avant d'interopérabilité entre plusieurs moyens de communication au sein de la même plateforme, proposition de nouveaux "abonnements"/"amis", etc).

Le 03/04/2019 à 16h 07

les médias sociaux ne sont pas bien différents des commentaires de Next inpact : on y trouve de l’indignation et des jugements moraux tout pareils.



 La différence notable : la modération est un peu plus efficace sur Next inpact (plus rapide avec parfois l’intervention d’un véritable modérateur, et non des “community manager” + des “digital labour” chargés de supprimer les contenus indisirables).

Le 04/04/2019 à 12h 29

1- Payer un média pour diffuser un message, ce n’est pas une publicité. C’est un message à caractère informatif payé par une autorité publique afin d’influencer le comportement civique des électeurs.



2- Next inpact partial… parce que Next inpact semble se réjouir de l’inefficacité d’une loi et de l’agacement de plusieurs membres du gouverment français. 



3- Next inpact coupable… parce que avoir des opinions et les exprimer est interdit aux journalistes. Un journaliste n’a le droit qu’aux faits tangibles et aux actions de fact checking. 



[commentaire ironique]

Le 04/04/2019 à 10h 28

Oui, c’est bien ce que dit Crocodudule.

Le 03/04/2019 à 08h 59







anagrys a écrit :








Comment tu peux dans la même intervention dire que le gouvernement    



est “ouvertement libéral” et “veut imposer le contrôle des contenus en

amont, y compris des propos haineux”…?





Si je peux me permettre de répondre, dans un cas, il s’agit d’un abus vis-à-vis de la liberté de twitter de choisir ses annonceurs publicitaires, dans l’autre il s’agit d’une loi pénal que le gouvernement libéral se doit de faire appliquer (quoiqu’on pense de la pertinence ou de l’efficacité de cette loi).


Le 03/04/2019 à 08h 55

Je ne suis pas d’accord. Un message publicitaire destiné à faire voter n’est pas forcément neutre politiquement ou sociologiquement : un message publicitaire s’adresse toujours à une catégorie de personnes (un segment), et peut envoyer d’autres messages annexes, verbaux ou non-verbaux, que la simple proposition basique qui constitue le centre du message publicitaire. En d’autres termes plus binaires, un même message peut être incitatif pour des prospects précis et répulsif pour d’autres.



En l’occurrence, 1- la France subit actuellement une crise social (opposition farouche au gouvernement, notamment le ministère de l’intérieur), 2- les élus LREM (notamment à l’Assemblée nationale) sont issus, dans leur ensemble, des classes sociales supérieurs de la société française (les classes moyennes inférieures et pauvres se sentent mal considérées), 3- last but not least, le Grand Débat nationalqui s’est terminé récemment avait lui aussi vocation à apaiser les tensions sociales, or il s’est agit de tout évidence d’une pré-campagne électorale destinée à faire patienter les revendicateurs et à en amadouer quelques-uns en préparation des prochaines élections européennes 2019 et municipales 2020.



Donc, dire que « la campagne refusée par Twitter n’a strictement rien de “politique” », que « c’est totalement neutre » est largement contestable.

Le 03/04/2019 à 08h 18

Une pensée pour les britanniques qui ne participeront pas cette fois aux élections européennes. Brexit, No deal, Brexit light ou fake No deal, vous êtes toujours là.

Le 02/04/2019 à 22h 42

L’Etat dépense trop en com’. “Merci” Twitter de freiner les dépenses somptuaires de l’Etat français dans la propagande qui ne sert que les intérêts de l’exécutif sans aucune attention à l’égard des intérêt du citoyen.

Le 02/04/2019 à 19h 54

Il est temps que le CSA agisse. ;-)

Le 03/04/2019 à 20h 37

Et puis, avec les manifestations de Gilets jaunes, j’ai ma dose de forces de l’ordre qui suent dans leur costume de RoboCop.

Le 03/04/2019 à 20h 30

Personnellement, je m’en fiche de la saison 3. La Casa de Papel a déjà une fin à la fois dramatique et pleine d’espoir, et elle est très réussi.Ce n’est pas la peine d’en rajouter.

Le 03/04/2019 à 20h 19

C’est parce que, comme dans un film d’Hitchcock, l’intérêt de la Casa de Papel n’est pas dans l’action qu’il s’y passe. L’intérêt de la série est dans la suggestion de ce qu’il se passe à côté de l’action visible à l’écran.




   Et si on n'adhère pas au symbolisme de la situation où des parias impriment eux-mêmes des billets de banque pour obtenir le respect que leur refuse les décideurs de la société (chefs d'Etat, banquiers, etc), plutôt que de les voler bêtement comme de simples délinquants, il est préférable de regarder un film policier ou un film d'espionnage qui raconte l'histoire d'une bande de voleurs (Heat), ou d'une bande d'espions (Mission impossible), par exemples.

Le 02/04/2019 à 21h 22

Je parlais bien sûr des nouvelles offres Freebox. Pour ce qui est des abonnements en cours, on en parle d’ici un an ?

Le 02/04/2019 à 21h 19

93 000 abonnements Freebox de moins sur un an :



« Free a perdu des abonnés tant sur le fixe et le mobile, avec un chiffre d’affaires en baisse en France. Iliad est à nouveau « sauvé » par le lancement de son offre de téléphonie mobile en Italie »

 nextinpact.com Next INpact

Le 02/04/2019 à 11h 34

En fait, Freebox a d’abord augmenté le débit en envoi à 400 Mb/s (et en augmentant les prix). Suivi par Bbox Ultym qui l’augmente à 500 Mb/s.Livebox up l’avait déjà légèrement augmenté à 300 Mb/s à l’automne 2018. Maintenant Freebox annonce un débit théorique en envoi à 600 Mb/s. On est quand même dans une surenchère généralisée à quelques semaines entre chaque annonce.

Le 02/04/2019 à 11h 16

La guerre des prix fait bien place à la guerre des services et des débits fictifs. Fictifs parce que, comme dit par OB précédemment, quasi-personne ne peut atteindre ces débits-là avec son matériel informatique actuel, et le réseau ne pourrait de toute manière pas les supporter.




Moi-même, j'ai déjà du mal à atteindre les 200 Mb/s avec ma ligne 1Gb/s-250Mb/s et mon ordinateur poussiéreux, alors s'il faut tout se racheter à neuf et veiller à acheter du matériel informatique performant, autant rester avec une bonne ligne aux débits de crête confortables à 100 ou 200 Mb/s (personnellement, je me contenterais de 50Mb/s symétriques à moins de 30€ par mois).