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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 10/12/2020 à 11h 23

En dehors du fait que ton message obtient un très bon score au bullshit bingo, je remarque que tu dis en creux que la notion même de monopole n’existe pas.



En effet, tu dis que si la société a des milliards de clients, alors c’est bénéfique, ce n’est pas un trust (ou plutôt : pas grave si ça étouffe la concurrence, ils peuvent crever, on s’en fout). Moi j’ajoute que si la société n’avait pas beaucoup de clients, alors évidemment, ce n’est pas un monopole. Résultat : une société n’est jamais en position de monopole, et on peut abolir la loi anti-trust.



J’en déduis que, à partir du moment où tu ne reconnais pas la nocivité d’une situation de monopole et où tu ne reconnais pas le bien-fondé d’une loi anti-trust, ce sera effectivement compliqué pour toi de comprendre cet article. :D

Je ne dis rien de tel, et aucune de ces firmes n’est en situation de monopole de facto ou de jure. Tout ton baratin s’effondre…



Mon point est simplement qu’il n’y a aucune justification objectivée par l’analyse – car aucune évaluation économique qualitative et/ou quantitative possible – à vouloir démanteler ces firmes au vu des immenses bénéfices qu’elles apportent à leurs nombreux clients.



Imaginer un idéal fictif rempli de licornes magiques est toujours possible, mais est en dehors du paradigme économique.

Le 10/12/2020 à 10h 40


(quote:1842571:Johnny B Root)


L’éclatante réussite de ces firmes toutes plébiscitées par le public (des milliards de clients satisfaits cumulés) démontre leur impact positif sur l’économie (leur profit en est aussi une mesure) : l’idée de les découper à la machette « pour donner une bouffée d’air à l’économie » est une contradiction de la réalité doublée de la fiction pour la technostructure toujours opportuniste qu’un management top-down serait plus bénéfique que ce qui a naturellement émergé du marché, c-à-d des interactions des agents économiques entre eux-mêmes. :roll:



L’Histoire économique est témoin que cette vue planiste et obsolète défie l’entendement.

Le 10/12/2020 à 09h 32

Diversité, Inclusion, Equité = DIE, le mot-valise qui devrait déclencher le bullshitomètre et la révulsion instinctive de tout individu avec des notions sur cette nouvelle peste fatale et décérébrante du postmodernisme marxiste qui ruine les humanités dans les universités.

Le 10/12/2020 à 09h 04

Une société qui fait du lobbying pour avancer ses pions sur le marché, comme ce n’est pas étrange.

Le 10/12/2020 à 09h 01

Le cloud souverain étatique est mort, vive le cloud souverain privé !

Le 10/12/2020 à 08h 57

Nul doute que la solution palliative de taxer la marine à vapeur le sera quand même suffisamment dans l’attente des régulations et subventions publiques pour sauver la marine à voile.



Attendons-nous donc à une giboulée de nouvelles taxations punissant la réussite de ces entreprises qui apportent à leurs clients de la valeur ajoutée à très faible coût, taxes qui seront évidemment immédiatement répercutées aux consommateurs comme d’habitude, et maintenues ad infinitum ex post regulatio, là aussi comme d’habitude. :roll:



On mesure ainsi tout ce qui fait le charme de l’incompétence caractéristique de l’élite énarchique composant la technostructure bureaucratique française vivant hors sol, à savoir sa totale et pathologique incompréhension des mécanismes fondamentaux de l’économie de marché – faire plus avec moins, la création destructrice (Schumpeter), etc.



Pas étonnant que ce pays est à vau l’eau.

Le 10/12/2020 à 08h 37

Cet article est erroné : le communiqué de presse indique que ce n’est pas un déménagement mais de nouveaux bureaux qui s(er)ont ouverts en Allemagne (après l’Italie) pour favoriser la collaboration interUE. Seul le transfert des personnels/activités financés par Copernicus est prévu.

Le 09/12/2020 à 17h 40

Vous devriez sortir un peu de votre carcan franco-français : A. Fauci est sur tous les médias US quasi tous les jours depuis plus de 10 mois comme porte parole de l’administration Trump sur le sujet…

Le 08/12/2020 à 15h 48

Le 19 novembre était la journée mondiale des toilettes, bizarre qu’on n’ait pas eu de rappel sur ce sujet. Peut-être n’est-il pas en odeur de sainteté…

Le 08/12/2020 à 09h 29

Ah, encore une couche contreproductive de régulation, de réglementation et de législation débiles (en attendant la taxation) sous couvert de toute la gamme des poncifs sociétaux à la mode le tout assorti des non moins habituelles rétorsions punitives et antiéconomiques favorisant les délocalisations, le chômage et les dettes que seuls les idiots incultes collectiviste (pardon pour la redondance) de l’UE et leurs moutons suiveurs savent en pondre, c-à-d la routine socialiste sur la voie de la misère pour tous dans les Eurosoviets. :roll:

Le 08/12/2020 à 08h 05


(reply:1841804:mouton_enragé)


Ils prévoient peut-être de passer à des tests fiables, de diminuer le nombre de cycles des PCR et d’utiliser des indicateurs non trompeur pour dégonfler les résultats bidon actuels.



Non je plaisante, la compétence ne se décide pas…

Le 07/12/2020 à 15h 12

Ce n’est pas une « fraude » et la situation est parfaitement légale puisque le groupuscule marxiste admet l’absence de réglementation.



Sur le fond, la TVA, comme son nom l’indique, n’est qu’une ponction régressive qui est à l’économie ce qu’une sangsue est à son hôte : seuls les profiteurs de la mafia étatique, ses serviles marionnettes ou des ignares incultes peuvent se plaindre de ne pas être assez taxés…

Le 04/12/2020 à 08h 19


(reply:1841007:ProFesseur Onizuka)


On dirait la Marine qui commente avec ses habituelles œillères de collectiviste protectionniste, alors que tu seras le premier à râler que ton abonnement Internet augmente… sans compter qu’un employé du tiers-monde a autant d’humanité qu’un autre, mais plus de valeur économique (moins cher) : selon quelle logique devrait-on gaspiller ses ressources alors que le tiers-monde a ici un avantage ?



La logique du marché libre surpasse, et de loin, toutes les idéologies de division – à toutes les échelles et sur tous les plans que l’on peut considérer.

Le 04/12/2020 à 07h 53

20 ans d’annonce de « pénurie » pour une adoption aussi lente amène 2 réflexions :



1/ ce narratif est une fiction malthusienne,
2/ le marché l’a compris/intégré en fonctionnant normalement.

Le 03/12/2020 à 20h 43

Je vais m’arrêter là. Ce n’est pas toi que je cherche à convaincre, je sais bien qu’on ne tombera jamais d’accord. Et je pense que les lecteurs de ces commentaires (s’il en reste encore) auront suffisamment d’éléments pour se faire un avis sur le sujet.

Personne (en tout cas pas moi) n’est là pour convaincre quiconque : l’objet de toute discussion est d’analyser si nos schémas de pensées résistent à la contradiction en creusant les détails. Je suis d’accord avec ta dernière phrase.

Le 03/12/2020 à 19h 46

Après cet entracte sous forme d’un cheveu sur la soupe, concluons par une citation right on topic :




“There is nothing that can be agreed in 2015 that would be consistent with the 2 degrees. The only way that a 2015 (Paris) agreement can achieve a 2-degree goal is to shut down the whole global economy.”


▬ Yvo de Boer, ex-secrétaire exécutif de l’UNFCCC (United Nations Framework Convention on Climate Change) en 2013.

Le 03/12/2020 à 19h 03


(reply:1841224:Idiogène)


C’est toi qui a parlé d’impôts…



Pour le reste un pâté de mots incohérent ne remplacera jamais une discours logique, intelligible et bien construit dérivant d’une idée clairement pensée. Fais un effort pour te faire comprendre.

Le 03/12/2020 à 16h 32


(reply:1841178:Idiogène)


Les émissions de CO2 sont (selon le GIEC donc à prendre avec des pincettes) à ~98 % d’origine naturelle. Tu as encore abusé de la bouteille.



Un résumé encore plus succinct aurait pu être : climatoscientologie = escroquerie.
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(reply:1841180:Idiogène)


On sait depuis longtemps (sauf chez les barbares collectivistes pour qui l’addiction à la fausse compassion trompe la réalité) que le niveau de revenus détermine celui de la santé. Être imposé n’a jamais rendu plus riche. Ergo plus d’impôts n’améliore pas la santé.



Si tu veux vraiment améliorer la santé, rends son nom à la médecine libérale et mets en concurrence la SS. Tu feras en plus des économies qui sont autant de revenus conservés par les individus, améliorant d’autant leur niveau de vie donc leur santé, etc. dans un cercle naturellement vertueux qui fait l’horreur des collectivistes.

Le 03/12/2020 à 15h 21

1/ Rien dans ta réponse n’est en rapport avec mon point qui est que les projections vers l’horizon 2100 utilisant les mêmes données/modèles que le GIEC-COP21contredisent les objectifs affichés et rendent caduques les supposées minuscules baisses clamées par la Commission dans l’article. Le reste est HS comme souvent.
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2/ Distinction sans différence que tu approuves d’ailleurs à ton second bullet point ! La comparaison +7 % s’entend en + des investissement BAU, ce qui augmente d’autant les 90 000 Md $ comme l’indique clairement le résumé :




The report finds that investments totalling about US$90 trillion will be needed in infrastructure over the next 15 years, more than is in place in our entire current stock, even if we continue under business-as-usual development. The good news is that it does not need to cost much more (note : c-à-d les +7 %) to ensure that this infrastructure delivers a low-carbon economy consistent with the climate goals agreed in Paris, and fuel and other operational savings can fully offset any additional up-front investments.


Est-ce que je dois pointer ceci en erreur de lecture/compréhension ou en malhonnêteté intellectuelle ?
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Je suis d’accord que ces chiffres sont discutables selon les hypothèses/méthodes retenues. Un autre rapport (page 8) estime cependant que le remplacement des seules infra énergétiques coûtera 58 000 Md $, ce qui est du même ordre de grandeur que l’autre rapport.



Le PIB mondial est donc bien en jeu. Les plus débrouillards se serviront en 1er tandis les autres payeront et sombreront un peu plus dans la misère en respirant le même air.

Le 03/12/2020 à 12h 37

Ton article n’évalue les effets de l’Accord de Paris, mais ceux des engagements qui prédatent l’accord, en supposant que les pays reprennent leurs émissions pour rejoindre celles d’un scénario très émissif type RCP 8.5 dès l’atteinte de ces engagements. C’est une hypothèse totalement fantaisiste et contraire aux engagements pris depuis. Par exemple ici pour l’UE :





L’article ne vise pas à démontrer que la réduction des émissions ne sert à rien, mais au contraire à montrer qu’il nous faut des engagements bien plus ambitieux, comme il le dit dans sa conclusion :




emissions reductions promised until 2030 will do little to stabilize the climate and their impact will be undetectable for many decades. This clearly indicates that if we want to reduce climate impacts significantly, we will have to find better ways than the ones currently proposed.


Tu n’as aucune source qui soutient le coût que tu donnes. Soit tu fais sciemment de la désinformation, soit tu ne comprends pas les articles que tu relais. Dans les deux cas, tes conclusions sont erronées.

1/ Ton argument est spécieux et sans intérêt : les analyse du papier indique que la choix d’un RCP n’a pas d’importance pour l’évaluation des effets, et que le RCP8.5 soit fantaisiste, je suis certaine de l’avoir dajà écrit plusieurs fois avant toi. Les projections d’émissions actualisées indiquent la même impossibilité d’atteindre la cible visée.



2/ Cf 1/ : les réductions de l’UE sont du bruit de fond perdu dans le total des augmentations, ce qui faisait l’objet de mon commentaire initial.



3/ Mon point était de montrer que les microscopiques réductions d’émissions (dont se vante l’UE) sont futiles – ce que montre précisément le papier en se faisant l’avocat du diable – car ruineuses, cf 4/. Après on peut changer de sujet, discuter des perspectives, ou si continuer la logique sophistique actuelle est convainquant ou pas, etc.



4/ Il existe aussi la forte probabilité que tu fais semblant de ne pas suivre ou de ne pas lire vu que la source (PDF) des 90 000 Md $ a déjà été donnée plus haut.
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Illogique : une absence de source n’implique aucunement une conclusion erronée, seulement un argument non étayé.

Le 03/12/2020 à 10h 35

Tu peux continuer ton mille-feuille argumentatif, je pense que tu as déjà bien illustré ta rigueur intellectuelle lors de nos échanges sur les biocarburants, où tes affirmations étaient soit fausses, soit hors sujet. Je pense que tu ne convaincras pas beaucoup de lecteurs de ces commentaires.



Pour ceux que ça intéresse, voilà une vidéo assez pédagogique qui fait une bonne synthèse de l’état actuel des connaissances sur le sujet des trajectoires d’émissions de GES et de leur influence sur la température moyenne mondiale : youtu.be YouTube

Il m’arrive de me tromper, comme tout le monde dont toi en particulier (cf nos échanges précédents). Je te remercie de m’avoir permis de rectifier le rangement de certains de mes marques-pages mais je ne te remercie pas pour la généralisation abusive de ton 1er § qui relève de la piètre tentative pour éviter de répondre à mon « mille-feuille argumentatif » compact et étayé qui rend pathétiquement ridicule l’annonce de la Commission.



Pour ceux qui préfère se faire leur idée d’après la Science plutôt que de perdre leur temps à écouter le rabâchage de la position alarmiste de la vidéo de propagande ci-dessus, voici résumé en 2 graphiques les effets projetés jusqu’en 2100 de la réduction des émissions de CO2 sur la température globale selon les modèles du GIEC :





Pour rappel le coût estimé pour parvenir à cet « exploit » se situe à 90 000 milliards de $, l’équivalent du PIB mondial…

Le 02/12/2020 à 16h 03

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1/ Tu n’as rien montré de tel puisque je l’ai réfuté. Le lien du papier explique d’ailleurs que le choix d’un RCP n’a pas d’importance pour déterminer l’efficacité théorique des accords de Paris :




Since we are interested in the difference between a BAU scenario and the similar BAU scenario with a policy emission reduction, the global BAU scenario decision matters little. Here I use the RCP8.5, which is regarded as a worst‐case scenario. Sensitivity analysis shows that the results change little when using other scenarios


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2/ Quand on pinaille inutilement sur un mot c’est qu’on n’a rien à discuter. Un scénario simule une réalité projetée et le RCP8.5 dit BAU ou de référence ou baseline par le GIEC n’a rien de cohérent parce qu’il projette une trajectoire de développement du charbon qui n’est pas consistante avec celle observée – voir les discussions sur ce sujet par le spécialiste de la question ou ou ou le papier mis en lien plus haut –, mais l’est assurément pour supporter le narratif catatrophiste de rigueur pour « sauver la planète ».
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3/ Que j’ai raison ou pas n’a aucun intérêt. Les évidences constatées jusqu’à présent (passées sous silence, même avant les derniers rapports du GIEC, mais passons) montrent que les scénarios supposément catastrophiques invoqués pour financer les gadgets (EnR et autres stupidités) et politiques de transition (énergie, transport) sont futiles et d’un coût exhortant tout en oubliant les conséquences sur la pauvreté (comme l’a bien montré la pandémie rien qu’avec un faible ralentissement économique de 5-10 %). Il est tout à fait clair que les bénéfices du CO2 dépassent largement ses supposés bénins inconvénients, qui, en admettant même qu’ils existent, n’ont vraiment rien d’insurmontables en terme d’adaptation. Ce n’est pas comme si on ne savait pas s’adapter depuis 100 000 ans.
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La modeste (une fois corrigée des ajustements exagérés) augmentation des températures globales (un concept non physique, mais soit) n’est pas une preuve de quoi que ce soit (les reports d’aliens sont aussi corrélés avec la température). La tendance au réchauffement débute à la fin du petit âge glaciaire, mais on ne sait pas pourquoi tout comme on ne sait pas pourquoi il a débuté. Il n’est donc pas surprenant que les mesures soient en général positives quand la tendance est elle-même positive (que certains utilisent cette trivialité statistique pour inférer tout le reste du château de carte réchauffiste est juste antiscientifique et bizarre). Mais d’une part les mers contiennent plus de ~95 % de la chaleur totale (ce qui fait que la Tatm. n’est pas un proxy correct pour déterminer si de la chaleur s’accumule ou non dans le système – ce qui le cas échéant ne dit rien, là non plus, du/des éventuels mécanisme(s) à l’œuvre – et d’autre part les carottes de glace (Vostok) indiquent que la variation de T précède celle de la [CO2]atm. Il existe d’autres explications purement physiques (et non radiatives) tout aussi plausibles.

Le 02/12/2020 à 13h 37

1/ L’homme de paille est de ton fait : j’ai seulement écrit que les accords de Paris sont basé sur le scénario RCP8.5 qui est (encore) présenté comme le BAU. Tout le reste est de ton invention ou interprétation erronée. Le papier cité plus haut montre que ces accords basé sur le RCP8.5 produisent une baisse théorique et non mesurable de 0,17 °C qui va coûter équivalent au PIB mondial actuel (le second lien).



2/ Il y a une s en trop dans mon texte (sont -> ont). C’est la « base » c-à-d RCP8.5 qui est d’origine politique/non scientifique (sans s). Le GIEC est bien évidemment aussi un groupement politique : c’est inscrit dans son nom. Il produit donc ce que le politique lui demande : grande découverte. :roll:



3/ La foi est de suivre aveuglément sans vérifier. Il est clair que le RCP8.5 n’a rien à voir avec la réalité que le RCP2.6 simule bien mieux. Voir le lien Youtube déjà donné qui explique pourquoi et comment. Mais tu préfères croire les projections fantaisistes du GIEC plutôt que de regarder la trajectoire actuelle… Note qu’une projection n’est pas différente d’une prévision à part son caractère non falsifiable, mais là on ne parle plus de Science depuis longtemps. D’autant plus 1200 scénarios de mitigation ont été proposés dans AR5 auxquels il faut ajouter les 400 autres du rapport 2018 du GIEC : à ce stade cela ne veut plus rien dire.



4/ À près de 530 000 milliards de dollars pour 1 °C de température théoriquement gagné en 2100 (en admettant la linéarité forçage->température – très probablement erronée – du GIEC et la linéarité coût->[CO2]atm), je n’appelle pas cela une méthode efficace. J’appelle cela une faillite attendue, une ruine volontaire, un désastre en devenir, un fiasco tel que les générations futures se moqueront à bon droit des climastologues et de leurs marionnettes ignares et serviles.

Pour être complet, voilà le papier duquel est tiré le graphique mis en lien plus haut et qui montre que les scénarios RCP8.5 de l’AR5 et les futurs SP3-7.0 et SSP5-8.5 d’AR6 sont incompatibles avec les chiffres actuels de la trajectoire des émissions.

Le 02/12/2020 à 13h 11

1/ L’homme de paille est de ton fait : j’ai seulement écrit que les accords de Paris sont basé sur le scénario RCP8.5 qui est (encore) présenté comme le BAU. Tout le reste est de ton invention ou interprétation erronée. Le papier cité plus haut montre que ces accords basé sur le RCP8.5 produisent une baisse théorique et non mesurable de 0,17 °C qui va coûter équivalent au PIB mondial actuel (le second lien).



2/ Il y a une s en trop dans mon texte (sont -> ont). C’est la « base » c-à-d RCP8.5 qui est d’origine politique/non scientifique (sans s). Le GIEC est bien évidemment aussi un groupement politique : c’est inscrit dans son nom. Il produit donc ce que le politique lui demande : grande découverte. :roll:



3/ La foi est de suivre aveuglément sans vérifier. Il est clair que le RCP8.5 n’a rien à voir avec la réalité que le RCP2.6 simule bien mieux. Voir le lien Youtube déjà donné qui explique pourquoi et comment. Mais tu préfères croire les projections fantaisistes du GIEC plutôt que de regarder la trajectoire actuelle… Note qu’une projection n’est pas différente d’une prévision à part son caractère non falsifiable, mais là on ne parle plus de Science depuis longtemps. D’autant plus 1200 scénarios de mitigation ont été proposés dans AR5 auxquels il faut ajouter les 400 autres du rapport 2018 du GIEC : à ce stade cela ne veut plus rien dire.



4/ À près de 530 000 milliards de dollars pour 1 °C de température théoriquement gagné en 2100 (en admettant la linéarité forçage->température – très probablement erronée – du GIEC et la linéarité coût->[CO2]atm), je n’appelle pas cela une méthode efficace. J’appelle cela une faillite attendue, une ruine volontaire, un désastre en devenir, un fiasco tel que les générations futures se moqueront à bon droit des climastologues et de leurs marionnettes ignares et serviles.

Le 02/12/2020 à 12h 24


Ha bon, ce ne sont pas des avaries.
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Relis ton lien qui est sans rapport (concerne des éléments redondants de sécurité ultime). J’ai pris mes infos sur le site de suivi d’EDF : Flamanville et Bugey sont bien en maintenance (plusieurs tranches) et des tests sont en cours pour valider les travaux. Des problèmes sont effectivement apparus ce qui est tout à fait normal et attendu en maintenance (c’est pour cela qu’on fait des tests). Ce ne sont pas des « avaries » qui supposent des centrales en fonctionnement.
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C’est fou cette capacité à nier les problèmes avec le nucléaire.
Ce qui est navrant est cette capacité à nier les bénéfices des choses pour n’en voir que les inconvénients. :roll:


Le 02/12/2020 à 08h 17


js2082 a dit:


Et pour te faire rager encore, savais-tu que, si la France a du redémarrer des centrales à charbon, ce n’est pas à cause des énergies renouvelables, mais principalement à cause des avaries de ces centrales nucléaires.


Si on regarde les chiffres, les centrales charbon fournissent 824 MW soit moins qu’une seule tranche de Fessenheim (880 MW) qui en comportait 2. Ton article est trompeur : Flamanville et Bugey ne sont pas en « avarie » mais en maintenance. Flamanville est à l’arrêt depuis 2019 et Bugey depuis le début de l’année alors que Fessenheim n’a été fermée que mi-2020, soit juste avant la remise en route du charbon.



Il est donc parfaitement logique et convenable d’imputer cette remise en route à la fermeture de Fessenheim, ce qui n’a pas échappé aux plus clairvoyants.

Le 02/12/2020 à 07h 31


(reply:1840665:Rozgann).


1/ Oui, et ? Ce scénario improbable est la base des accords de Paris dont le chercheur cherche à évaluer la pertinence. Se faire l’avocat du diable pour démontrer leur totale inefficacité est très raisonnable au contraire…



2/ C’est bien mon point : ces accords sont une base improbable (lire impossible) et non scientifique, et le GIEC le sait puisque ce sont les politiciens eux-mêmes qui l’ont imposée.
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Le vrai scénario BAU, celui qui suit la réalité, est en fait plus bas que le plus bas du GIEC, le RCP2.6, qui prévoit des émissions nulles en 2100 et donc un réchauffement si faible qu’il ne sera pas mesurable.
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Mais c’est pas un scoop ! On savait déjà ça au moment de la signature !


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Manifestement « on » ne le sait pas, ou plutôt « on » fait semblant de ne pas savoir, que le scénario RCP2.6 du GIEC est le scénario BAU au pire qui nécessite de ne rien faire puisque rien ne va se passer.



Pourquoi « on » se focalise sur la tricherie non scientifique, coûteuse avec une efficacité nulle du RCP8.5 ?



« On » n’a pas encore répondu à cette question. Le GIEC étant un organisme politique, ceci explique cela… mais les moutons suivent bien docilement.

Le 01/12/2020 à 19h 16


(reply:1840644:Rozgann) Relis-les toi-même :


Raisonnement circulaire : on ne peut pas (du moins sérieusement) utiliser le même argument que je critique à tour de bras pour répliquer. Le scénario RCP8.5 (dit BAU) n’est pas crédible. La supposée adaptation à un problème imaginaire à l’horizon 2100 devrait avoir un coût exactement nul : le courage de ne rien faire. Surtout quand les effets sur notre trajectoire économique sont largement bénéfiques. Mais il est difficile de résister à la tentation de dépenser le PIB mondial face à noble cause corrompue (« sauver la planète »). :roll:



Le second papier (2015) est toujours valable puisque les objectifs de Paris le sont aussi globalement. Ce que les blaireaux de l’UE ont décidé ou pas est sans rapport.

Le 01/12/2020 à 17h 08

« [T]enir les objectifs climatiques » est une dispendieuse chimère : 90 000 milliards de $ pour -0,17 °C théorique en 2100.



L’argent des autres ne vaut plus rien et les sprinklers à pognon des banques centrales tournent à plein régime pour alimenter l’escroquerie, Venezuela-style. :roll:

Le 01/12/2020 à 13h 31

1/ Globiom: the basis for biofuel policy post-2020.
2/ Will The Real Carbon Footprint Please Stand Up?.
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Mais ce serait pas la première fois qu’il y a des problèmes de choix d’allocation différents entre producteurs et utilisateurs d’un “résidu”


On peut aussi ajouter aussi ceux « entre producteurs et utilisateurs des produits agricoles », mais on en a déjà discuté par ailleurs.

Le 01/12/2020 à 11h 59

Il faut aussi noter les tours de passe-passe de l’UE quant à la comptabilisation des émissions, qui, il faut le rappeler, ne sont pas le résultat de véritables mesures in situ mais d’estimations potentiellement sujettes à tous les artifices comptables. Et l’UE ne s’en prive pas.



Les émissions rapportées par le système d’échange de quotas sont partielles et ne tiennent pas compte de tous les secteurs d’activité.



En particulier, selon la RED de l’UE (Renewable Energy Directive) les biocarburants sont comptabilisés négativement dans les émissions, et même 2 fois dans certaines circonstances, alors qu’ils produisent 80 % de CO2 en plus que les carburants traditionnels.



Les déplacements d’usage des sols en résultant ne sont pas non plus comptabilisés. Cette simple addition fait passer la baisse fictive de 3,7 % en 2019 à une hausse de 3,7 % en 2020, ruinant l’intox de la Commission.



Idem pour la biomasse.



Pareil pour les biogaz. Selon la même directive le biopropane est un « résidu » ( par opposition à un « produit » ) qui se voit donc réglementairement affecter une empreinte carbone intrinsèque ~nulle par rapport au propane naturel. De plus, étant un sous-produit, ne sont comptabilisées ni l’empreinte carbone du produit principal de réaction (un biocarburant), ni le CO2 émis, et ni (là aussi) celles des changements d’usage en amont de la chaîne de production.



Ces subterfuges permettent de réduire l’empreinte carbone globale du biopropane d’environ 90 %, et à l’UE de tricher sur ses émissions de CO2. Facile de clamer « bio » ou « renouvelable ».



En résumé la politique bioénergie de l’UE est un gigantesque désastre environnemental, un fiasco coûteux et contre-productif bien camouflé dans des artifices chiffrés sélectifs.

Le 01/12/2020 à 11h 06

La dernière pandémie du virus chinois qui a réduit l’activité économique mondiale d’environ 5-10 % selon les sources, et donc a priori pareillement les émissions, a été sans conséquence sur la [CO2]atm. L’UE peut donc bien se féliciter d’avoir grappillé quelques points d’intensité énergétique au prix d’une énergie toujours plus chère et donc d’une économie moribonde et de chômage de masse structurel résultant de la délocalisation de ses industries, sa répercussion au niveau global est ~nulle, largement dépassée par les seules émissions de la Chine et de l’Inde. D’ailleurs, le découplage entre la croissance et les émissions a débuté dans les années 1970 en Occident/Japon et prédate donc l’escroquerie climatique moderne.



D’autre part l’absence de fiabilité des EnR (intermittence, déstabilisation des réseaux, pas de capacité, pas de pilotabilité, etc.) a obligé de compenser 1:1 leur production réelle (13 de leur capacité) par celle de nouvelles centrales au gaz, ruinant de facto leur justification première, le tout sans bénéfice visible puisque le cycle de vie production->décommission de ces machins ruineux et moyenâgeux n’est jamais pris en compte dans les calculs. Sans compter les répercussions délétères sur la Nature, les habitats et la biodiversité… Au coût de 1 000 milliards d’euros, ça fait cher l’inutilité mais assure une bonne rente de situation pour certains. La résistance de la population aux nuisances des EnR a aussi atteint un point culminant, obérant leur futur développement.



Bref la stratégie bas carbone de l’UE qui repose sur une croyance toute théorique met en œuvre des pseudo solutions coûteuses et sans effet. La fuite en avant pour limiter le désastre face à la récrimination des populations va s’opérer sous la forme de nouvelles taxations aux frontières de tous les biens qui dépasseront un seuil arbitraire d’émission de CO2, justifiant par là la mise en place d’une nouvelle bureaucratie de contrôle. Le résultat attendu sera la baisse accélérée du niveau de vie et du pouvoir d’achat par le renchérissement des prix (on imprimera de la monnaie de singe pour compenser) et une nouvelle guerre protectionniste contre le reste du monde par les eurosoviets qui auront perdu toute prétention de libéralisme économique.



Bienvenue en Absurdistan.

Le 03/12/2020 à 10h 52


(reply:1841021:prog-amateur)


Si tu n’apprécies pas l’explication de texte qui crucifie en l’exposant en détail ta manière de procéder, range ton égo dans ta poche et discute des propos et arguments de chacun proprement plutôt que de fabriquer des épouvantails pour passer ton temps à les attaquer avec des analogies spécieuses. Surtout pour conclure dans le même sens de ce que tu croies critiquer…

Le 03/12/2020 à 10h 00


(reply:1840932:prog-amateur)


Le but de ta démarche n’est explicité nulle part. Par contre si on analyse ton propos, tu t’es contenté de déformer en l’inversant le sien pour l’attaquer, car « certains » n’est pas du tout équivalent à un « stéréotype » qui se réfère à une croyance, un comportement, une image etc. plutôt largement distribué(e) : c’est même son opposé. De plus tu n’as aucunement démontré en quoi son propos n’était pas « constructif ou balancé gratuitement », au contraire (voir pourquoi plus bas). Tu as surtout profité de ton abus pour l’accuser de ce dont tu te rends toi-même coupable en parlant de « mettre dans le même sac qu’une communauté entière » dont tu t’ériges en représentant, ce que tu n’es pas. Tu admets finalement ton erreur en présentant une analogie mexicaine grotesque puisque infiniment improbable, alors que sa prose dérive d’observation directe ou rapportée. Enfin il est assez ironique d’utiliser une méthode fallacieuse pour le critiquer alors que tu écris au final que « certains politiciens redoubl[e]nt d’inventivité avec des termes encourant les amalgames [tel que] cyber-islamisme » alors que c’est précisément tout l’objet de son commentaire que de s’en moquer en contrastant le réel du terrain avec l’univers virtuel et médiatique des polytocards… Bref tu aurais mieux fait soit de t’abstenir soit de l’applaudir. Le but de ta démarche apparaît alors pour ce qu’elle est : une tentative ratée.



Je laisse le reste qui ne fait que découper des cheveux en 4, exceptée l’analogie du feu rouge dont la superficialité t’échappe : la probabilité que certains conducteurs (musulmans ou non) le franchissent et en meurent en causant la mort d’autres avec eux est élevée, alors que la probabilité que des mangeurs de porc (musulmans ou non) en causant la mort d’autres avec eux est nulle. J’ai observé que cette dernière règle est de moins en moins respectée au fur et à mesure que le niveau de vie et d’instruction progresse, ce qui est dans l’ordre des choses.

Le 02/12/2020 à 14h 56


(reply:1840762:prog-amateur)


Comme il a bien spécifié « certains gamins » c-à-d de « cas isolés », l’accuser de stéréotype n’est pas convenable.



D’ailleurs il est plus exact d’écrire que des musulmans (sans majuscule, ce n’est pas une nationalité) ne mangent pas de porc (« le cochon » étant l’animal vivant que personne ne mange tel quel) parce qu’il existe des musulmans qui en mangent et qui n’en sont pas morts.

Le 01/12/2020 à 15h 31


ErGo_404 a dit:


Intéressant. Mais par pitié, ne parlez pas d’économie pour la planète que ça soit sur le court, moyen ou long terme.


Un petit rituel pour apaiser sa conscience, comme d’autres jettent une pièce pour faire un vœu : les croyants se raccrochent à ce qu’ils peuvent pour accepter les difficultés à être. Ou suivent la meute, ce qui moins fatigant que de chercher à comprendre. On a même eu aussi droit au couplet « climastroréchaufiste », c’est dire la profondeur et le signifiant de leur existence. :roll:

Le 01/12/2020 à 14h 26


rendre sa maison intelligente est raisonnable par rapport aux économies à long terme et au gain de confort.


Pour le confort, cela dépend des individus. Ce qui apparaît simple à première vue peut se révéler complexe puis ennuyeux par la suite, justifiant l’abandon d’un confort minuscule ou vite lassant (l’effet Reine rouge).



Quant aux supposées économies, affirmer est facile mais le démontrer est une autre paire de manche : il faut les chiffrer. En se restreignant à la seule valeur du temps perdu à régler les soucis techniques pour installer, interopérer, dépanner tous ces gadgets dont, par émulation et ignorance volontaire du temps dépensé, le nombre finit par augmenter inlassablement, l’économie prévue se révéler une complète illusion au final (paradoxe de Jevons).



Un bon principe en matière technique est KISS.

Le 01/12/2020 à 13h 14


(reply:1840577:33A20158-2813-4F0D-9D4A-FD05E2C42E48)


Le prix est la manifestation intégrée à un temps t de l’optimum. Il permet aux agents de production de déterminer si leurs activités génèrent un profit, le critère qui est la mesure de la durabilité de leur mod(èl)e de spécialisation.



Cette « vision » s’appelle l’économie de marché qui est une réalité. Le nombre de variables pour former un prix étant élevé, il n’est généralement pas nécessaire de toutes les contrôler avec une précision scientifique (la marge est variable). Les contraintes et donc les charges pour produire dérivent en partie du niveau de vie demandé par la population locale. On voit bien par ex. la migration des industries délocalisées en Chine dans les décennies précédentes se déplacer maintenant vers le Vietnam ou autres pays moins développés à mesure que le niveau de vie chinois augmente, et donc aussi les coûts comme proxy des contraintes de production.



Les motivations et attentes en tant qu’occidental biberonné à l’argent des autres ne sont pas celles des paysans tentant de sortir de la pauvreté de l’autre côté du monde.

Le 01/12/2020 à 12h 56

Ça c’est ton interprétation de ce que j’ai écrit. Je me suis contenté de mettre en perspective 2 chiffres en commentant sur les choix visibles de l’État mais sans aucune prescription.



Ma position est bien connue de toute manière : ce que l’État fait mal, cher et lentement (à peu près tout) peut être réalisé mieux et rapidement pour moins cher. Donc les serviteurs publiques (les fonctionnaires) ne servent à rien d’autre que comme pool d’électeurs captifs dorlotés par le pouvoir pour les prochaines élections.

Le 01/12/2020 à 09h 41


(reply:1840458:33A20158-2813-4F0D-9D4A-FD05E2C42E48)


Il n’y a pas besoin que toi ou moi le proposions : le calcul économique permet de déterminer en temps réel si telle ou telle solution est appropriée à une situation donnée. L’unique moyen de décider est de comparer les coûts et donc les prix.



En système de marché libre (l’économie) c’est relativement facile puisque par définition tout possède une valeur approchée par un prix/coût. Il suffit d’être rigoureux et de savoir additionner.



Dans un système collectiviste (à l’intérieur de l’État par ex.) c’est impossible puisqu’il n’y a pas de marché et donc pas de prix/coût. On navigue donc sans visibilité, avec inévitablement des excédents ici, des pénuries là, et donc des coût finaux élevés mais payés par ceux qui produisent, c’est-à-dire du gaspillage. Pour occuper la bureaucratie et la rendre indispensable à elle-même, elle s’emploie donc à rectifier a posteriori réformes après réformes, à grands frais et sans analyse possible des conséquences, des adaptations qui sont ~automatiques en situation de marché.



Il est facile de voir quel système est plus efficient.

Le 01/12/2020 à 09h 01

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Ce n’est pas mon « calcul » mais celui de l’État et ma comparaison vise juste à nuancer ton propos sur ses priorités, pas de batailler sur tel ou tel détail.

Le 30/11/2020 à 18h 44

T’inquiètes le régime universel arrive. Une réforme qui n’est là que pour faire supporter à tous les retraites de la fonction publique car les gouvernants (tout comme le législateur) n’ont jamais trouvé utile de faire cotiser l’État employeur.

C’est déjà le cas, ou plutôt le CAS (Compte d’Affectation Spéciale) Pensions qui est financé par l’impôt. Comme légalement l’État a l’obligation d’équilibrer ce compte, l’ajustement est fait en prélevant directement sur les finances publiques (et donc par le privé) plutôt que de faire payer les bénéficiaires (= fonctionnaires).



Ces mêmes privilégiés qui font tout un plat de la fraude fiscale font payer leurs pensions et leur cotisations SS par le privé !

Le 30/11/2020 à 15h 04

L’État dépense plus pour les seules retraites de ses fonctionnaires (59 milliards d’€) que pour l’éducation de nos enfants (55 milliards d’€) : ceci en dit long sur les priorités du service public dans ce pays.

Le 01/12/2020 à 08h 54


(reply:1840414:Idiogène)


1/ Mes commentaires ne sont pas là pour apporter une solution (qui est évidente ici puisqu’elle fonctionne déjà) mais rectifier les imprécisions et/ou biais apparents d’un article trompeur. S’ils apportent quelque chose au problème est du ressort de chacun. Ta position sans intérêt en la matière m’est indifférente.
2/ Attribution erronée et fantaisiste : les Lois économiques s’appellent des « Lois » parce qu’elles sont valables en tt temps et lieu. Et je reste sur le sujet « coût élevé du recyclage => pollution marine » quand tu cherches à l’évader avec tes grossiers artifices habituels HS, faussement général ou dichotomique ou sans rapport (DEEE, métaux rares, bois, etc.).
3/ Tu contredis maintenant ta position 3. en #30. La rationalisation post hoc est caractéristique de ceux qui n’ont pas de vision globale et cherchent juste à contenter leur égo au fil de l’eau. Le reste du charabia n’a pas de sens.



PS : la substitution sac plastique -> sac papier est là encore un bel exemple de l’infinie connerie escrolo : personne ne l’a fait. On a juste assisté au remplacement des sacs fins par autant de sacs à 50 µm, ou par ceux dit « à vie », qui ne se dégrade pas ou alors très lentement et qui ont exacerbé le problème initial.



Voilà les résultats désastreux de l’approche simpliste de l’idéologie débile verte rouge, l’idiocratie en opération : à tout faux problème existe une solution pire et coûteuse. Les ignares en économie spécialistes des conséquences inattendues et désastreuses sont légions, et tu en es un bon représentant. Toi et ta tribu de bouffons incultes et aliénés possédés par l’idéologie collectiviste êtes une plaie purulente sur le corps de la société qu’il est grand temps de cautériser.



J’en resterai là pour ma part.

Le 30/11/2020 à 19h 26


(reply:1840391:Idiogène)


1/ On peut aussi faire semblant de ne pas savoir, biaiser, dissimuler, être sélectif, etc. comme les escrolos et autres incultes malhonnêtes qui traînent ici, d’où mes rectifications.
2/ L’économie circulaire est à l’économie ce que ta « réponse » est à mon raisonnement : inepte. Si tu n’es pas capable de connecter 2 points (recyclage trop coûteux => pollution marine), fais-toi aider ou prends des médocs.
3/ Ton argumentaire vaut autant que le plastique : ~rien. Si le plastique avait de la valeur, on ne le retrouverait pas dans l’océan… Et si c’était moins coûteux, 100 % du plastique serait recyclé plutôt qu’incinéré/enfoui/perdu. Or il ne l’est pas parce que le neuf est moins cher à produire. Logic/Economics 101.



Il est toujours utile et amusant d’écouter la sagesse du grand G. Carlin sur ce sujet plutôt que tes âneries.

Le 30/11/2020 à 11h 20


(reply:1840229:Idiogène).


1/ Tu admets donc que ce n’est qu’un problème de coût, ce qui était mon point (« Comme [le recyclage] est extrêmement coûteux »). :bravo:
2/ 0 rapport avec le stupide concept d’économie circulaire (ÉC) responsable direct du désastre du recyclage.
3/ Encore HS en plus d’être pure invention : où ai-je écrit que je « refuse la collecte » ? Nulle part. D’ailleurs 50 % est déjà incinéré (avec des normes d’émissions drastiques) justement parce que la valeur du plastique est très faible et que donc vouloir le recycler est une aberration économique (et donc écologique). L’export est une solution peu coûteuse à ce problème conséquence d’une décision idiote (recyclage) basée sur une idéologie débile (ÉC).
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(reply:1840230:Idiogène)
Seulement parce que tu es un sophiste : l’export n’a pour but que de minimiser les coûts très élevés imposés par le recyclage… coûts qui sont bien moindres en incinérant !
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La malhonnêteté intellectuelle consiste à vouloir garder les œillères et sous le tapis le problème de l’impossibilité technique et financière du recyclage.


Le 29/11/2020 à 14h 30


(reply:1840194:Idiogène)


1/ HS.
2/ Je m’informe, pas comme les ignares.
3/ Les escrolos pour écocides et crimes contre l’humanité répétés.

Le 30/11/2020 à 14h 50

Je me fais la même réflexion, mais vu que c’est une première, il faut accepter que ça soit ne soit pas optimal. Cela permettra probablement d’affiner le processus pour d’autres missions.
Ca aurait été cool d’avoir un module qui soit capable de se déplacer vers un déchêt, d’y attacher de quoi le désorbiter facilement, puis d’aller passer au suivant.

On peut l’espérer d’autant qu’il y a une erreur dans l’article, le financement par l’ESA est en fait de 102 millions de dollars (86 M €). Le coût total de cette mission n’est pas encore déterminé…

Le 30/11/2020 à 10h 46


(reply:1840238:j34n-r0x0r)
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Se focaliser sur les moyens oublie que le cœur du sujet est le corpus de règles imposées à cause de l’absence passée (ou de leur limitations) de ces mêmes moyens.
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Une fois que ces moyens émergent en réponse à ces limites et/ou à ces règles, ils tendent à les rendre obsolètes, un phénomène qu’on observe bien actuellement avec la débauche de législation liée à Internet, le sauvetage subventionné des merdias traditionnels au nom d’une illusoire pluralité, les divers rackets issus du copinage avec le pouvoir pour sauver les anciennes rentes de situation, etc.
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Le système doit donc évoluer, ce qu’il fera de gré ou de force. La politique se limite à la pratique du pouvoir actuellement, alors qu’elle se définit aussi voire surtout par l’autogestion des (groupes d’) individus.
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Le coût inévitable d’une démocratie est qu’elle est l’antichambre de l’autoritarisme qui conduit au totalitarisme. Les conditions technologiques pour éviter de retomber dans ces travers existent, mais pas encore les règles pour y parvenir du fait de l’ « inertie » du système.


Le 29/11/2020 à 14h 16


(reply:1840188:j34n-r0x0r)


L’imprimerie, par le transport des informations, a permis de faire tomber le régime de droit divin pour celui de la représentativité par le vote censés centraliser les choix des individus.



Les déviances passées de ce système sont maintenant connues et ses limites aussi.



Il perdurera le temps de la prochaine révolution si les élites autoproclamées ne veulent pas lâcher le morceau…