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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 21/10/2012 à 10h 07







olivier4 a écrit :



l’histoire est une succession de faits qui respectent la causalité.

il ne pourrait y avoir de processus historiques sans déterminisme. cad sans rapport de force

par ailleurs vous confondez détermisnieme et fatalisme ou nécessitarisme ou predestination.dans l’histoire il y a toujours une part de hasard, apresen tant que sicence, on admet qu’il yait des volontés mais on considere que la liberté est hautement subjective.sinon ce ne serait plus une science et on parlerait de l’histoire plutot en tant que culture desp euples. cest plutot un attachement aux racines.



2 cest de la dualité, la basede toute philosophie et meme la basede tout modele de pensée. (un individu est un element dans un ensemble. il appartient forcément a un g roupe)

cest comme quand on oppose letat au marché ou la liberté et letatou le collectivisme et l’individualisme. etc on raisonne toujours par réaction ou opposition. cest comme cela que sont défini les mots.







Charabia. Une écriture compréhensible devrait refléter une pensée cohérente. On en est loin.


Le 21/10/2012 à 10h 03







olivier4 a écrit :



c’est juste la démonstration qu ilexiste des fanatiques des deux bords: des libéraux persuadés que leur idéologie est la meilleure et des coco qui revent du paradis sovietiques.





Les libéraux n’ont jamais supporté la négation et le non respect des libertés humaines fondamentales, au contraire de toutes les autres idéologies, sans exception.


Le 21/10/2012 à 10h 00







olivier4 a écrit :



parce que ce que ce qui est une evolution technique peut avoir des consequences desastreuses sur le plan écologique et humain. par exemple les armes bacteriologiques les ogm etc





Quelques uns des faux problèmes constamment érigés en épouvantails (surtout en France) pendant que le restant du monde avance.


Le 21/10/2012 à 09h 58







olivier4 a écrit :



vous voulez changer et transformer le monde en revant d’un monde qui n’existe pas. ou qui releve du fantasme. il existe des rapprots de force entre les dominants et les dominés . entre les riches et les pauvres. difficile de le nier meme si on est pas communiste. et puis la division c’est surtout pour le bonheur des plus aisés et des plus riches. arretons l’hypocrisie.





Les hypocrites sont ceux qui ne veulent pas admettre leur cuisante défaite historique sur l’aspect économique seul, et usent de travers aussi illogiques que mesquins pour soutenir leurs dogmes pervers et inhumains.





“We human beings always seek happiness. Now there are two ways. You make yourself happy by making other people unhappy — I call that the logic of robbery. The other way, you make yourself happy by making other people happy — that’s the logic of the market. Which way do you prefer?”





  • Zhang Weiying, teacher of Economics at Peking University


Le 21/10/2012 à 09h 55







olivier4 a écrit :



2 raisonnement tautologique. mais j’e me contente pas seuelemtn de sortir des pseudo verité philosophique. jessaie au moins de faire attention a l’usage que nous avons des mots. Or il n’existe pas d’individu isolé. ‘individu vit dans un milieu toujour au sein du groupe. et cest comme cela qu’on distingue singulier et universalité. bref tout ca pour dire que faut sortir un peu de la morale de temps en temps



1 le determinisme economique . tiens on sort ca de son chapeau quand ca nous arrange et apres on en appelle a l’histoire, au progres: bref au déterminisme hisstorique!







1/ Déterminisme historique = oxymore = refus de reconnaitre la liberté, que rien n’est écrit = croyance à la destinée = croyance en l’inexistence de la causalité = impossibilité physique et logique. QED.



2/ Toujours aussi illogique et superficiel. Pas d’individu = pas de groupe. L’individu choisit ou non la vie en groupe. Si un groupe force un individu à se grouper, il ruine alors les fondements moraux même de son groupe. QED.


Le 21/10/2012 à 09h 47







olivier4 a écrit :



“ 2/ “ceux qui ont les moyens , s’enrichissent, ceux qui n’en ont pas et s’appauvrissent” : cela est aisément réfuté en ayant une perspective historique. “



cest une réalité: aujourdhui les pauvres travaillent ou sont exploités pour servir les plus riches. cest ll’équation premire du libéralisme. rester dans sa condition. c’est une forme d’ordre etabli, une servitude volontaire puisque le libérlaisme ne rompt pas les liens et les chaines et n’est pas une lutte de classe entre le riche et le pauvre., entre le patron et l’ouvrier

la seconde equation c’est : le riche décide et consomme , le pauvre obeit et travaille





C’est l’interprétation volontairement erronée, réductrice, bien connue (et dénoncée depuis fort longtemps) des collectivistes sanguinaires à vision déformée de la réalité dont l’idéologie anti-humaine et mortelle a fini tragiquement dans les poubelles de l’Histoire.



Le monde a payé chèrement et par le sang leur refus obtus de reconnaitre la liberté comme droit humain inaliénable et d’avoir essayé d’imposer par en haut leur totalitarisme irresponsable pour leur propre avantage : tout le contraire des amoureux de la liberté et du respect de celle des autres.



C’est étonnant de trouver encore de nos jours des supporters du meurtre organisé à grande l’échelle.


Le 21/10/2012 à 09h 37







olivier4 a écrit :



une idéologie selon la définition marxiste c’est contraire a toute science, c’est une sorte dillusion qui ne repose pas sur les observations. et quand elleest politique ca devient de la propagande d’état. ou alors elle défend les intérets par exemple du patronnat…la bourgeoisie: la classe dirigeante





La lutte des classes, c’est un peu désuet non ? Elle a été remplacée avantageusement par la division du travail pour le bonheur de tous.







olivier4 a écrit :



je vous invite a relire simone veil d’en finir avec cet anthropomorphisme et arreter un peu avec cet humanisme imbécile qui considere que l’homme vivrait en dehors de la nature et ne subirait pas les contraintes et les lois de la nature.

et puis votre vision est libérale mais aussi nie l’homme dans son intégralité. c’est un pseudo humanisme puisque vous revez d’un nouveau genre humain. une sorte d’individu libre sans racines sans attache culturel sans histoire sans mémoire.





Problème de lecture/compréhension ? J’ai écris tout le contraire.


Le 21/10/2012 à 09h 32







olivier4 a écrit :



vous confondez progres scientifique et progres économique. ce sont deux choses différentes. le progres etait technique et ca explique les avancées scientifiques. masi d’une ce n’est pas un progres en tan que telle et ca ne donne pas une légitimité au libéralisme puisqu’il n’est pas capable de trouver une solution aux problemes contemporains et faire face a ses propres contradictions.





Je ne vois pas comment on pourrait nier que le progrès scientifique et technique n’est pas une des bases du progrès économique, social et donc humain (révolution industrielle).

La liberté n’a pas besoin de légitimité conférée par qui que ce soit : elle tient par elle-même parce qu’elle est cohérente avec les aspirations humaines.



Les problèmes contemporains ne sont que la résultante des interventions d’une clique corrompue et biaisée, et qui les laissent perdurer afin de justifier toujours plus son existence parasite et privatrice de liberté.


Le 21/10/2012 à 09h 21







olivier4 a écrit :



mais vous netes pas a un contradiction pres quand il faut en appeler au déterminisme des qu’il s’agit d’économie ou d’état….en disan je lavais prévu

a part ca les individus c’est tres bien mais que faites vous du collectif et des groupes?l’individus n’existe pas en dehors du groupe de toute facon





1/ Ce genre de prévision est aisé à faire : ce n’est rien de moins que de la comptabilité. La comptabilité est discipline exacte qui utilise des opérations mathématiques et est donc tout à fait déterministe, ce que n’est ni l’Histoire et encore moins la sociologie.



2/ Illogique : il ne peut exister de groupe s’il n’y a pas d’individus ayant librement décidés d’en composer un.


Le 21/10/2012 à 09h 12







olivier4 a écrit :



le fond du probleme. c’est que vous confondez morale . ce que le monde devrait etre ou ne pas etre ce qui vous pousse a nier la réalité a savoir. ce que le monde est réellement





Ce n’est pas moi qui réclame “l’homme nouveau” pour imposer la vision d’une société qui ne pourra jamais exister car niant ses droits naturels.

L’homme est ce qu’il est, une entité libre et consciente de l’être, et déterminé à en profiter dans le respect de celle des autres.

C’est la seule morale acceptable et vers laquelle l’Histoire tend (et c’est tant mieux). C’est à dire, économiquement, du modèle collectiviste contraignant car restreignant la liberté (captation coercitive des richesses et sociabilisation forcée des coûts) au modèle libéral non contraignant car prônant la liberté (privatisation naturelle des coûts et sociabilisation progressive des bénéfices par la compétition).



(Une idéologie, quelle qu’elle soit, n’a rien de spécialement choquante, ie est moralement acceptable, si son cadre de pensée est raisonnablement logique et empiriquement démontrable. L’Histoire est en ce sens un bon guide.)


Le 21/10/2012 à 08h 53







olivier4 a écrit :



j’ajoute aussi que ce grand marché produit des besoins et des services sans doute mais aussi du gaspillage, de la pollution, du désordre, du chomage de la pauvreté et des inégalités. qu’on soit pour ou contre cest comme ca.c’est la réalité sociale entre ceux qui ont les moyens , s’enrichissent, ceux qui n’en ont pas et s’appauvrissent





1/ Jamais plus que quand l’économie est planifiée centralement (voir pourquoi plus haut). Les gens oublient facilement comment était l’environnement (au sens large) au début du siècle précédent.



De plus, il n’y a que quand les droits de propriété ne sont pas définis clairement ou pas du tout (ie sont publics) que les gens se fichent éperdument de leur environnement (déresponsabilisation horizontale et verticale, perte de motivation par effet groupe, absence de définition et de visibilité de l’intérêt commun, peu ou pas d’intérêts personnels en jeu, etc).



Au contraire, la perte de valeur potentielle de leurs biens poussent les propriétaires à les préserver, à les entretenir et à maximiser les profits (réduire le gaspillage) potentiels.



2/ “ceux qui ont les moyens , s’enrichissent, ceux qui n’en ont pas et s’appauvrissent” : cela est aisément réfuté en ayant une perspective historique.



On voit surtout depuis une ou 2 générations les individus qui préfère profiter de l’État providence plutôt que de se mettre au travail, et de se plaindre que leurs ‘moyens’ (issus de la coercition et de l’appropriation graduelle des richesses de l’économie par la redistribution sociale étatique) ne suivent pas ceux des travailleurs, producteurs, inventeurs, innovateurs, etc. Je ne vais pas plaindre ces parasites.


Le 21/10/2012 à 08h 35







olivier4 a écrit :



“ Il n’y en a qu’un seul d’humaniste : c’est celui où l’individu est libre de choisir ce qui est le mieux pour lui dans le respect des droits des autres. Tous les autres systèmes impliquent nécessairement des contraintes dont on voit aujourd’hui les limites. ”



d’un poitn de vue morale ca se défend. mais vous niez une réalité :le déterminisme historique et sociale ou alors l’idéologie vous aveugle. les individus ne sont pas si libres que ce que vous pensez;





Les individus ne sont pas libres parce que d’autres les privent de liberté, c’est la seule possibilité (à moins de soutenir qu’ils se privent eux-mêmes de liberté, auquel cas ils ont librement choisi cet état de fait).

Tout autre possibilité de morale humaniste est donc logiquement exclue car elle comporterait nécessairement des aliénations subies par la contrainte.



(En passant : il ne peut pas exister de déterminisme historique ou social car cela signifierait que les individus n’ont aucun choix, que tout est écrit (ou devrait l’être), ce qui n’a manifestement jamais été le cas. Même les contraintes imposées à l’individu contre son gré ne sont pas éternelles et sont combattues quotidiennement par ceux qui ne sont pas encore mentalement lessivés.


Le 21/10/2012 à 08h 20







olivier4 a écrit :



des réalités physique culturelles qui sont concretes et réelles.





Elles sont artificielles dans le sens où elles n’ont aucune autre justification que la privation de liberté des individus qui la subissent. Rien ne peut justifier une privation des droits de liberté quand cela ne profite qu’à une petite clique.







olivier4 a écrit :



de toute faocn un état peut aussi produire des biens de consommation.et des serives pour l’interet général et non seulement pour l’interet particuliers ‘de certains individus”





C’est de plus en plus rare pour 2 raisons :



1/ il existe un problème de méconnaissance des agents économiques et de leurs besoins. La découverte de ces informations a priori inconnues par tous mais qui permettra de déterminer la poursuite ou non de l’échange, fait partie intégrante du processus de mise en marché.

Il est évident que seuls les individus (ou groupes d’individus) qui sont à l’origine de l’échange ont la réactivité nécessaire pour déterminer si le marché leur convient ou non.

Une bureaucratie ne pourra obtenir ces informations, si elle en obtient, que bien plus tard (le temps de remonter la pyramide bureaucratique), et le processus de correction et d’adaptation sera bataillé ferme pour maintenir le status quo et l’existence et les intérêts des bureaucrates en place pour la raison n°2 suivante :



2/ il existe le problème de motivation de ceux qui dirigent l’économie par en haut. Comme tout autre humain, ils recherchent naturellement leur intérêt avant tout. Du fait qu’ils utilisent l’argent des autres, ils sont moins prudent, n’ont aucune motivation à mieux faire et n’ont de toute manière aucun compte à rendre à personne. Ils recherchent seulement la stabilité et la pérennité de leur situation.



Ces 2 problèmes sont solutionnés en laissant les acteurs économiques gérer leurs affaires à leur profit ou perte.


Le 20/10/2012 à 20h 56







olivier4 a écrit :



mais ceux que j’appelle les boursicoteurs, les spéculateurs en somme,





Tu écoutes trop les mass-médias et politocards désinformateurs. N’importe quel marché librement consenti entre 2 agents économiques est une spéculation (que le produit soit physique, virtuel, financier, etc). Le spéculateur c’est un investisseur comme un autre (il investit son capital dans des produits financiers existants du simple fait de l’existence des frontières et des monnaies), mais c’est le bouc émissaire parfait pour les pouvoirs en place : il n’a pas de nom, il est partout et nulle part, il permet de cacher les manipulations à grandes échelles faites en pleine lumière (le meilleur moyen de ne pas les voir).







olivier4 a écrit :



les gouvernements manioulent toujours tant que cest dans l’intéret du peuple





Bien sûr, bien sûr. Quelle est la chose la plus chère que tu payeras dans ta vie ?







olivier4 a écrit :



le regne du marché qui fait sa loi





Un épouvantail un peu éculé. Le marché, c’est la brique de base de l’échange entre individus qui seuls connaissent leurs besoins. Tu confierais la gestion de ta maison, famille ou économies à un inconnu ? Pourquoi confier la gestion de l’économie à des inconnus ?







olivier4 a écrit :



cela n’a rien a voir. avec les états directement.





Une belle naïveté. Les banques centrales impriment de billets (‘quantitative easing’ par la Fed aux USA, LTRO/OMT par la BCE en UE) suivant la politique économique des États qui n’ont qu’à écrire un chiffre sur un bout de papier (obligation) pour les obtenir. Rajoute les banques qui créent de la monnaie tous les jours de par le système de réserve fractionnaire, avec des taux d’intérêts dictés là encore par la politique des États.







olivier4 a écrit :



par contre c’est en imprimant des billets (des dollars par exmeple) et en créant des bulles économiques a la chaine , qu’on a ruiné avec la spéculation des pays en jouant sur la valeur de leur monnaie





L’impression des billets est du ressort et sous la responsabilité des États (sinon cela s’appelle de la contrefaçon). <img data-src=" />







olivier4 a écrit :



pas compris le raisonnement. en jouantsur le taux d’interet, on peut attirer des investisseurs lancer la croissance et relancer l’économie et le pouvoir d’achat.





Si tu n’a pas compris, relis encore mon §. L’économie, c’est la somme des échanges que passent les individus entre eux pour couvrir leurs besoins. La monnaie n’est qu’un moyen commun de faciliter ces échanges. Elle représente une valeur qui est diluée (baisse du pouvoir d’achat ou inflation des prix, ce qui est fondamentalement la même chose) quand elle est créée de toute pièce/papier par les États : elle ne représente alors pas de produits/services réels (voir mes 2 § au-dessus).

Tes ‘bulles économiques’ sont créées quand les allocations de ressources en capital (ou autres) sont faites artificiellement pour soutenir des marchés ou des prix (immobilier par ex.) en subventionnant ou favorisant les emprunts avec de l’argent pas cher (taux d’intérêts très faibles), ou en changeant les règles du jeu économique pour des motifs politiques (subprimes aux USA) ou idéologiques (énergies renouvelables par ex.). Ces marchés artificiellement soutenus ou créés ne sont pas pérennes parce qu’ils n’ont pas de fondements économiques réels (produits services trop chers et /ou pas de demandes pour couvrir des besoins).

Il est donc impossible de créer de la demande qui dure avec des besoins qui n’existent pas ou de créer des industries rentables qui perdurent sans un flux constant d’argent (subvention).

Chaque afflux de nouvelle monnaie ne fait qu’augmenter la mauvaise répartition des ressources en capital nécessaires au fonctionnement de l’économie réelle et reculer l’échéance de l’effondrement.







olivier4 a écrit :



les banques et les états n’ont plus les moyens





Les États et les banques ont les moyens (ils se les ont réservés) de créer toujours plus de monnaie qui vaut de moins en moins : il suffit de confisquer les richesses réelles produites par l’économie de marché (celle des individus). Évidemment, il arrive un moment (maintenant) où la redistribution sociale dépasse la capacité à produire des richesses réelle (= dettes), et où la confiance des individus dans la monnaie décline à la mesure de leur pouvoir d’achat.







olivier4 a écrit :



il faut proposer un vrai systeme plus juste capable d’émerger et de s’imposer





Il n’y en a qu’un seul d’humaniste : c’est celui où l’individu est libre de choisir ce qui est le mieux pour lui dans le respect des droits des autres. Tous les autres systèmes impliquent nécessairement des contraintes dont on voit aujourd’hui les limites.







olivier4 a écrit :



je ne sais pas de quelle monnaie tu parles alors je te demande des précisions pas des prévisions.





Ce ne sont pas vraiment des prévisions. Il suffit simplement de regarder dans le passé : tous les systèmes de monnaie papier ont fini dans le sang, les larmes et le chaos. La seule monnaie qui est reconnue par tous en tout temps est l’or.







olivier4 a écrit :



je vois une grosse contardition, tu défends leconomie réelle et a coté tu es contre les frontières dites physiques en disant qu’ellessont virtuelles et qu’elle n’existe pas.oui elle nexiste pas si on considere que l’argent doit etre virtuelle et nest indexé sur rien.



Elles sont virtuelles en ce sens que les individus n’ont pas la liberté de circuler (frontières) ou d’échanger (monnaies) selon leur bon vouloir : elle est restreinte de force par d’autres pour protéger leurs intérêts plutôt que de protéger les intérêts des individus. L’économie est la résultante de combinaison libre d’échanges réels réciproquement consentis et mutuellement intéressants pour les individus : c’est la forme de coopération sociale la plus ancienne et la plus optimale pour bâtir des sociétés stables à tous les points de vue.


Le 20/10/2012 à 16h 01







olivier4 a écrit :



et tant que cest pas par les boursicoteurs, ca ira.





Quand tu ‘boursicotes’, tu as au moins une chance de gagner. Quand ce sont les États qui manipulent, tu perds toujours. Que crois-tu qu’il se passe quand ils utilisent 1/ la planche à billets ad infinitum et 2/ manipulent les taux d’intérêts ?



(Si tu ne vois/sais pas :



1/ les prix augmentent (inflation) càd ton pouvoir d’achat (celui de la monnaie en fait) diminue ; ce qui revient à te voler légalement (mais à petit feu pour que tu ne t’en rendes pas compte) ; les prix augmentant, les États accentuent leur main-mise sur l’économie par le contrôle des prix et le saupoudrage financier, ruinant les secteurs rentables et soutenant les obsolètes, respectivement ;



2/ les businesses marginalement non rentables le deviennent, alors que les préférences des consommateurs, càd le seul vecteur d’information qui peut orienter objectivement les producteurs à produire, n’ont pas changé ni en temps ni qualitativement : les ressources (en capital) ainsi allouées ne sont plus disponibles pour la production normale (càd régulée par la consommation normale), obligeant les États à créer davantage de monnaie, et ainsi de suite dans un cercle vicieux dont l’Histoire a démontré qu’il n’y a qu’une seule issue possible : l’effondrement monétaire et le retour à la seule monnaie qui ait la confiance des gens.)


Le 20/10/2012 à 15h 36







olivier4 a écrit :



euh tas entendu parler du dollar?







Tu as entendu parler d’une monnaie qui n’est pas manipulée par les gouvernements ?


Le 20/10/2012 à 11h 51







Chrisrc01 a écrit :



Mr Hollande devrait ainsi que ses ministre s’occuper de leur ennemi “invisible qui n’a pas de visage et qui gouverne (cf François Hollande himself) ” c’est à dire la finance mondiale qui elle est vraiment entrait de détruire les nations à petit feu …







La “finance mondiale” ne s’est développée et perdure que parce qu’il existe des structures artificielles entre les individus (physique = frontières, mais surtout d’échange = monnaies) qui ont été bâties et sont entretenues par les mêmes qui veulent lutter contre ladite “finance mondiale”.



Supprime les entités qui maintiennent ces barrières pour leur propre intérêt (et pas celui des gens), réinstaure une monnaie digne de confiance et gérée par les agents économiques eux-mêmes (càd ceux qui font fonctionner l’économie réelle), et ta “finance mondiale” disparaîtra en même temps que les soit-disant crises qui justifient toujours plus d’interventionnisme de la part de ceux qui les créent et entretiennent.


Le 19/10/2012 à 18h 48







brazomyna a écrit :



La voiture électrique n’est qu’un exemple pour parler d’innovation ; que la voiture électrique ne soit finalement pas une solution pérenne mais qu’à la place ce soit la voiture à voile ou à algues vertes ne change pas le raisonnement de base:



Dans un pays dit développé où les coûts sociaux sont relativement importants comparé aux pays en voie de développement (et c’est une bonne chose, loin de moi l’idée de vouloir niveler par le bas, au contraire), l’accent doit être mis sur l’innovation et la production de biens et services à forte valeur ajoutée.



Vouloir faire une espèce de ‘nostalgie’ économique en pensant que les solutions du siècle dernier continueront à être applicable ad vitam eternam est la voie la plus sûre vers le déclin.







1/ Sans aucun doute (ie “ce sera au consommateur de choisir si l’électrique lui convient ou non”).



2/ On est à un point où “l’innovation et la production de biens et services à forte valeur ajoutée” ne suffit plus à financer “les coûts sociaux … relativement importants” parce que les innovateurs et producteurs de tels biens sont vampirisés par des États toujours plus socialement dépensiers, monétairement et financièrement plus irresponsables et économiquement et fiscalement plus ignares (le cas de l’article) que jamais.



3/ Il n’est pas question de “nostalgie économique”. Les principes de base pour obtenir un fonctionnement économique correct à long terme ont été décrits dans la littérature depuis longtemps, mais sont sacrifiés sur l’autel de l’amélioration permanente de critères statistiques n’ayant que peu de rapport avec l’économie réelle mais supportés par les économistes ‘mainstream’ financés publiquement, et, plus inquiétant, par la clique politique pour justifier sa main-mise toujours plus grande sur l’économie (et les problèmes de plus en plus préoccupants qui vont avec).



Le cas de la voiture électrique est caractéristique, mainte fois réintroduite pour finalement disparaitre un peu plus tard. Ce n’est pas en subventionnant des industries qui n’ont pas été choisies librement et honnêtement par les consommateurs qu’une économie peut prospérer : un marché ne peut pas fonctionner ainsi. Le libre-choix du consommateur, non perverti par de l’idéologie déguisée en interventionnisme, devrait être le maître-étalon.



La voiture électrique est clairement l’avenir, mais l’avenir n’est pas maintenant.


Le 19/10/2012 à 15h 53







brazomyna a écrit :



Encore une logique franco française où un métier qui se meurt à cause de la simple évolution des choses devrait être artificiellement financé à bout de bras par des tiers qui n’ont strictement rien à voir là dedans.



Le cinéma et les FAI, c’est la même chose ; la taxe pour copie privée est une vaste blague dès sa définition, etc…



Je ne parle même pas des aides publiques aux entreprises, dont on ne parle jamais et qui constitue (après le remboursement de notre chère dette), le premier budget français, alors même que personne n’a été capable de démontrer que cela apporte la moindre valeur ajoutée ou la moindre action ‘vertueuse’ à l’économie nationale.



Par contre on pourrait même parler des effets néfastes, par exemple d’un subventionnement contraire à toute logique économique pour soutenir la demande dans le secteur automobile. Secteur que cette perfusion a incité à ne surtout pas chercher à se renouveler ou innover pour préparer les marchés de demain (l’électrique notamment). Le résultat, on le voit aujourd’hui, avec des perspectives extrêmement sombres pour le secteur tout entier, où on se retrouve à ne rien pouvoir proposer de plus que ce que sont déjà capable de faire des pays où les coûts de production sont au bas mot trois fois moins élevés.



Bref, l’Etat français ne comprend rien à l’économie de marché mondialisée dans laquelle il vit, et au final fait tout pour se tirer des bastos dans les pieds: au lieu de voir son rôle comme un régulateur occasionnel pour palier à certaines distortions sur certains marchés précis, ils voudraient commander à l’économie ce qu’elle doit être et ce qui doit s’imposer à tous.



On marche totalement sur la tête, et le retour de bâton sera d’autant plus violent qu’on continuera à perdre notre temps et notre énergie à se battre contre des moulins à vent, où l’instauration d’un “ministère du redressement productif” en représente sans doute une forme d’aboutissement de la réflexion menée jusqu’à l’absurde.



Mais tant que ça donne l’impression à la ménagère de moins de 40 ans qu’on fait quelque chose…







Je n’aurais pas dit mieux moi-même à l’exception d’un point mineur : ce sera au consommateur de choisir si l’électrique lui convient ou non. L’électrique a été abandonné au début du siècle précédent parce que le moteur thermique présentait des avantages comparatifs bien supérieurs (qu’il possède toujours, l’électrique ayant en fait très peu évolué).


Le 18/10/2012 à 13h 59







NiCr a écrit :



Je me suis farci l’article et… je ne vois pas l’intérêt de la chose.



Ils critiquent les idées présentées dans le documentaire mais ne proposent rien en échange. C’est un peu trop facile.







C’est pour cela que j’ai écrit “un peu de contexte sur la militante activiste Marie-Monique Robin” : l’article lié présente le personnage et son absence d’objectivité de sa propagande (sans parler de son historique).


Le 17/10/2012 à 20h 24

Un peu de contexte sur la militante activiste Marie-Monique Robin par un vrai journaliste d’investigation.

Le 17/10/2012 à 18h 19







fitfat a écrit :



J’ai cru comprendre que la conservation buccale était un mythe <img data-src=" />

Mais il est avéré que des vierges ont pu avoir plusieurs rapport sexuel (j’ignore par contre s’il s’en est suivit une grossesse).







Je préfère la conversation buccale. Maintenant que le primate dévolué est parti (il quitte tous les jours à 19h00 quand sa maman l’appelle sans doute), on va pouvoir continuer entre adultes <img data-src=" />


Le 17/10/2012 à 17h 56







tass_ a écrit :



tmtisfree : tu n’arrives pas à sortir de ton contexte. Bien sûr que dans le contexte humain l’existence de Dieu ne peut pas être prouvée ! C’est ce qui fait la force des religions.



Mais vu que le concept de Dieu est arrivé par la religion, c’est un concept inventé par les humains, donc faux jusqu’à preuve du contraire.



Et désolé une licorne rose qui chie des cheeseburgers je trouve ça moins invraisemblable biologiquement qu’une vierge enceinte :p







1/ Mon contexte, c’est la logique et l’empirisme. Je ne vois aucune raison valable d’en changer.



2/ Tous les concepts ont été inventé par les humains. Donc avec ta logique, tous les concepts sont faux.<img data-src=" />



3/ Il y a plusieurs façons de tomber enceinte en étant vierge.



4/ Je vois que tu n’as pas complétement rejeté le concept d’une “licorne rose qui chie des cheeseburgers”. Encore une heure de discussion, et tu t’agenouilles <img data-src=" />


Le 17/10/2012 à 17h 40







tass_ a écrit :



Si, par la logique :

Dieu est un concept humain.

Le fait qu’on ne puisse pas le prouver ou le réfuter est donc une conséquence de la création de ce concept par des humains.

S’il n’y avait pas eu d’humain jamais le concept de Dieu n’aurait été inventé.

Dieu n’existe donc pas sans les humains : Dieu n’est qu’une abstraction humaine, donc sans réalité.







C’est vrai dans un certain sens. Mais remplace ‘Dieu’ par ‘fleur’. ‘Fleur’ est raisonnablement un concept humain (une araignée n’a pas de concept ‘fleur’). Quand je pense au concept nommé ‘fleur’, je produis une abstraction dans mon cerveau. Note que je n’ai pas forcément besoin de fleur à regarder, et même si j’en avais une, le concept ‘fleur’ représenté et existant dans mon cerveau comme peut le montrer une tomographie par émission de positons ne peut pas être exactement identique à la réalité physique regardée du fait des différents filtres des yeux, du cortex visuel et des centres de traitement cérébraux.



Est-ce pour autant que le concept nommé ‘fleur’ n’existe pas dans la réalité ? Manifestement non. Donc il existe des abstractions humaines qui existe dans la réalité (et c’est même le cas général). On peut concevoir aussi des abstractions qui n’existe pas dans la réalité (on peut le prouver logiquement ou empiriquement). Enfin il existe une catégorie d’abstraction qui ne sont pas décidables (Dieu).


Le 17/10/2012 à 16h 43







tass_ a écrit :



Non pourquoi croit savoir ? Le concept de Dieu existait il avant qu’un humain en parle ?

Non, donc c’est une invention humaine, rien de plus simple.

C’est pas parce que que je dis qu’il existe une licorne rose chiant des cheeseburgers dans le ciel qu’on doit démontrer le contraire pour que ce soit faux non ? C’est faux tout court.

Ben Dieu c’est pareil. Ya que les théistes pour croire que Dieu existerait sans l’Homme.







Personne n’a jamais vu de “licorne rose chiant des cheeseburgers dans le ciel”. Cela ne prouve pas définitivement qu’il n’en existe pas, seulement que cela est très peu vraisemblable biologiquement et physiquement.



Cela ne dit rien cependant sur le concept de Dieu. Beaucoup de gens affirment l’avoir entendu, vu, ressenti, etc. Cela ne prouve pas que Dieu existe. Peut-être que tous ces gens sont des menteurs ou ont halluciné. Peut-être que non. Cela ne prouve cependant pas que Dieu n’existe pas non plus



Le concept de Dieu est un indécidable comme il en existe beaucoup en mathématiques.


Le 17/10/2012 à 16h 24







tass_ a écrit :



Si si en prenant le concept de Dieu en dehors du prisme humain tu prends le point de vue d’un agnostique.







Et c’est mon point de vue. Le concept de Dieu ne peut pas être prouvé ou réfuté avec les outils généralement utilisé pour falsifier des propositions (logique, empirisme). Le but d’une discussion étant (de tenter) d’établir une ou des vérités, il n’y a donc aucun intérêt à discuter d’une proposition infalsifiable.


Le 17/10/2012 à 16h 00







fitfat a écrit :



tmtisfree&gt;Tu confonds avec l’agnosticisme.







Je ne confond pas, c’était le point que j’ai essayé d’expliciter.


Le 17/10/2012 à 15h 54







Schopenahouaih a écrit :



Comme si ce que pense un planteur d’OGM, un empoisonneur public, qui croit être LOGIQUE en plantant des OGM, pouvait avoir la moindre valeur ! On pourrait aussi inviter des tueurs en série en prison à participer à cette discussion, pendant qu’on y est !

Tu as un QI supérieur à la moyenne, tu as accumulé bien plus de lectures que le français moyen, mais tout ce que tu essaies de penser est vidé de tout sens humain, vivant, par ta personnalité inconsciente profondément pathologique.







Le tueur en série de la logique participe déjà, avec un record d’arguments aussi fallacieux que primitifs, et ce que renvoie le miroir n’est pas joli.



Sa stratégie d’évitement et de calomnie systématique ne reflète qu’une absence de personnalité, qu’un égo incapable d’exprimer de manière cohérente et consistante la moindre idée complexe compense par l’insulte et le camouflage surfait d’un vernis de psycho-rhétorique aussi creux qu’amusant pour le connaisseur.



Amuse-moi encore !


Le 17/10/2012 à 15h 33







tass_ a écrit :



Toutes les religions se valent oui, elles sont toutes de la merde en boîte, un moyen de contrôler les masses et de surtout éviter qu’elles soient évitées.



Mais en tant qu’athée tu devrais savoir cela… A moins que tu sois autant athée que moi le Pape comme je l’ai déjà énoncé.



Ton masque tombe.







La position des athées est aussi intenable que celle des croyants. La question de l’existence de Dieu (ou des Dieux) est inconnaissable, càd qu’on ne peut y répondre avec les arguments de la logique et/ou de l’empirisme.



Il est tout à fait futile de discuter de ce genre de sujet, surtout avec un psychomaniac aussi raisonnable qu’un âne en rut (je laisse au lecteur le soin de décider qui est qui).


Le 17/10/2012 à 15h 21







Schopenahouaih a écrit :



Pauvre inculte pour lequel, du fond de son inculture, toutes les religions se valent. Avis aux spectateurs de cette discussion : Nietzsche et tant d’autres penseurs fins et complexes peuvent aider ceux qui souhaitent se hisser au-dessus de la fange des internautes moyens.

Le tout se vaut tient lieu de pensée aux veaux.







Nietzsche doit rire en ce moment :





The most perfidious way of harming a cause consists of defending it deliberately with faulty arguments.




  • Nietzsche


Le 17/10/2012 à 15h 01







Schopenahouaih a écrit :



La machine à planter des OGM est de retour !

Un vrai robot. Un mode de raisonnement totalement automatique. Aucune empathie pour ces femmes, qui ne sont pour lui aussi qu’un détail. Tout ce que voit la machine, ce sont ses schémas appris par coeur, prêts à être appliqués à tort et à travers, sans la moindre finesse.







Ta rhétorique est aussi illogique que transparente. Je me fais un plaisir de la souligner aux aimables commentateurs auxquels elle aurait échappé.





Logical errors are, I think, of greater practical importance than many people believe; they enable their perpetrators to hold the comfortable opinion on every subject in turn.




  • Bertrand Russell in “A History of Western Philosophy”


Le 17/10/2012 à 14h 50







Schopenahouaih a écrit :



Tu n’as répondu ni à propos des 90% de femmes égyptiennes mutilées sexuellement, ni à propos des droits des femmes dans les pays musulmans.

Je te répondrai le jour où vous aurez arrêté de tout faire pour éviter de parler des réalités qui vous dérangent. Car moi ça ne me dérange pas de critiquer des ultra-orthodoxes de quelque religion que ce soit.







Un sophisme des plus commun auquel Wukerz a raison de ne pas répondre.



Fallacy number 7: staw man.



Ou comment choisir un problème (mutilation sexuelle) où il y a de très bonne chance que tous les intervenants soit d’accord, l’ériger en objet de discussion et proclamer sa victoire sans batailler.



La stratégie de l’homme de paille est tellement transparente et connue qu’on se demande pourquoi un certain ignare l’utilise encore.



Lamentablement fallacieux et prévisible, comme le personnage.


Le 16/10/2012 à 17h 51

Petite anthologie de l’incohérence, ou comment l’artefact Schopenahouaih affirme tout et son contraire pour justifier ses contradictions internes et enfler son égo en inflation exponentiel (probablement métastasique) :









Schopenahouaih a écrit :



Comment débattre sérieusement avec des gens qui aux faits que j’aligne depuis des pages sont incapables d’offrir la moindre contradiction factuelle, seulement d’y opposer des sarcasmes ?

Vous avouez en permanence votre incapacité à débattre de la réalité, car la réalité contredit vos opinions formées sur des préjugés et des “connaissances” superficielles tirées de la télé et d’internet.











Schopenahouaih a écrit :



C’est sûr qu’un athée cultivé comme moi, c’est plus complexe qu’un athée conspirationniste à deux balles dont la culture se borne à des sites internet médiocres. Les grecs avaient bien reconnu son génie. Mais eux ne passaient pas leur temps devant une télé ou des sites débiles.











Schopenahouaih a écrit :



Je comprends qu’en tant que musulman tu tiennes à tout prix à idéaliser ce brave homme, mais selon Wikipedia c’est un copieur, c’est tout. Il faudra trouver mieux pour impressionner le Monde, désolé.











Schopenahouaih a écrit :



Tu connais la différence entre la Torah et ce que tu cites là ?

Visiblement non. C’est vraiment pathétique un inculte qui croit qu’il va pouvoir faire illusion face à quelqu’un de cultivé rien qu’en allant sur internet cinq minutes. Toi qui tout à l’heure ne te rendait même pas compte que tu citais de faux passages du Talmud inventés par un curé antisémite :fr.wikipedia.org WikipediaAucun discernement. Aucune finesse d’esprit. Rien.











Schopenahouaih a écrit :



Je suis pour le renforcement des limites à la liberté d’expression qui sont dans la loi. Trop de gens parlent alors qu’ils n’ont rien de sain ni d’intelligent à dire, internet en est la preuve. Enfin, c’est une question de réalisme. Tu préfères peut-être idéaliser le fait que des millions d’abrutis s’expriment au lieu de lire des livres, de se cultiver. Savoir se taire, savoir reconnaître que l’on a rien de valable à dire à un sujet est une preuve de sagesse. Mais c’est évidemment impossible à admettre pour des personnes pathologiquement narcissiques, qui ont un besoin maladif d’attention.











Schopenahouaih a écrit :



Moi en tout cas, c’est clair, avant de taper sur mon clavier, j’ai lu de nombreux livres.







Quand on sait que Wikipédia est à la connaissance ce que la Traban est à l’automobile, on s’amuse des positions diamétralement opposées de Son Insuffisance à quelques commentaires d’intervalle quand elles sont exposées côte à côte, ce qui illustre sa mémoire digne d’un poisson rouge et/ou une ambivalence propre à intéresser un clinicien.



Pour le reste, s’il suffisait de lire et comprendre pour être cultivé (ce que Son Impuissance n’a pas démontré ni généralement ni pour lui-même, loin s”en faut), Son Incompétence n’en resterait pas moins un barbare moderne oublieux des règles de civilité de base (éducation) et pour qui l’obstacle majeur dans l’appréciation des autres (empathie) et de la découverte de la réalité physique (science) serait non sa propre inconsistance (logique) qu’il a admirablement étalée en public, mais l’illusion pitoyable et trivialement obsolète de son savoir (son herméneutique psycho-ésotérique).


Le 17/10/2012 à 14h 53

L’application (Android) telle qu’elle aurait dû être dès le départ.

Le 17/10/2012 à 14h 31







2show7 a écrit :



Free ne peut pas se permettre de couper des lignes en France comme il veut, Google, lui peut se permettre si l’envie lui vient de désindexer de son moteur les sites français d’info. (il l’a bien fait chez nous en Belgique, à la demande)



C’est la grande différence.







Ce ne sont ni Free ni Google qui m’intéresse, mais les réactions (ici même sur Free et sur un article récent à propos de Google) opposées par les même personnes sur le même problème, càd l’évitement de taxation pour proposer des services moins cher pour le consommateur (càd eux-mêmes).



Voir post précédent.


Le 17/10/2012 à 14h 14







Mihashi a écrit :



Je pense que l’origine de cette dichotomie, est la considération que l’on peut porter au bien fondé de ces taxes et à la manière de les éviter.

Google évite de payer une taxe à priori légitime en se délocalisant, alors que Free évite de payer une taxe pour la télévision sur la partie Internet de son abonnement en appliquant bêtement la loi française. Ça fait quand même une très très grosse différence.







La différence n’est pas si grande. Free utilise la loi française, certes, mais Google ne fait qu’utiliser les lois des autres pays. C’est un point mineur pour moi.



Les 2 montages sont donc légaux, mais l’appréciation qu’en ont les gens diffère complétement selon le cas : il y a là quelque chose de fondamentalement incohérent.



La seule explication ‘rationnelle’, c’est que les gens ne parviennent pas à valoriser correctement ce qu’ils pensent être gratuit (les services Google), et que c’est plus facile pour eux de mesurer l’accroissement d’une taxe même très faible (comme celle de Free) parce que cela les touche directement au porte-monnaie.



Il faudrait que les gens s’interroge sur les prix auxquels reviendraient tous les services Google ‘gratuits’ s’il était taxé comme l’est une entreprise ‘normale’. Je doute que Google aurait autant de clients payants qu’ils ont de clients ‘gratuits’ maintenant. Et pourtant les gens qui apprécient ces services les utilisent parce qu’ils ont ont besoin.



Tout cela pour dire que la différence de traitement de l’évitement de taxation selon les cas fait se questionner sur l’appréciation de la valeur qu’ont les gens sur les services qu’ils utilisent, voire si ces services sont réellement aussi utiles pour eux qu’ils le prétendent.


Le 16/10/2012 à 20h 42







2show7 a écrit :



Free est uniquement en France et avec la législation° dont il peut se servir et il n’est pas localisé au Luxembourg, je ne vois pas le rapport (si tu comprends la différence, sinon, tu es de mauvaise foi)



° si la législation lui donnait tort, il serait coupable, non ?







Les réactions opposées sur l’évitement légal de la taxation sont intéressantes : elles montrent qu’un esprit peut défendre quelque chose (cas de Free) et son contraire (cas de Google) en même temps. C’est fascinant et je cherche à savoir pourquoi.



Que Free ou Google soit localisé ici ou là est complément sans rapport. Comme l’est l’emploi du conditionnel.


Le 16/10/2012 à 18h 22



Quand Free utilise une ‘astuce légale’ pour réduire sa taxation, on trouve cela normal et on souligne (correctement) l’attitude parasite des récipiendaires qui feraient mieux de gérer leur business en bon entrepreneur plutôt que de vivre comme des rentiers à nos crochets.



Par contre, quand Google utilise exactement de la même manière une ‘astuce légale’ pour réduire sa taxation, on trouve cela tout à fait immoral et on oublie de souligner (étrangement) l’attitude parasite du récipiendaire qui ferait mieux de gérer ses comptes publics en bon père de famille plutôt que saupoudrer ses futurs électeurs sur notre dos.

Le 16/10/2012 à 14h 53







Patch a écrit :



apprendre la définition du dictionnaire, c’est bien. la comprendre, c’est mieux <img data-src=" />







Et fumer est, paraît-il, nocif pour la santé. Ton point étant ?


Le 16/10/2012 à 13h 53







Patch a écrit :



c’est bien. mais ce n’est pas pour autant que tu as compris ce mot.







Ce que j’en sais suffit amplement à la compréhension des phrases dans lesquelles il est employé (communauté = groupe de n entités partageant certaines caractères, avec n&gt;1).


Le 16/10/2012 à 13h 20







Patch a écrit :



non, c’est “régime de la communauté”, ce qui est fondamentalement différent.

et en France s’il y a contrat, c’est que tu es sur le régime de la séparation de biens…







Tu pinailles pour rien : la communauté représente quand même le couple marié. Le régime, ce sont les règles qui s’appliquent avec ou sans contrat dans la communauté pour la répartition des biens.


Le 16/10/2012 à 10h 32







Patch a écrit :



j’ai dit communauté. mais il semblerait que tu ne connaisses pas ce mot…







Communauté est le terme employé dans les contrats de mariage.



Le 15/10/2012 à 17h 51

Correction : c’est Goebbels en fait. Mais les rats se reconnaissent tous entre eux en se reniflant l’arrière train.

Le 15/10/2012 à 17h 23







Schopenahouaih a écrit :



Tu es décidément un parfait automate. Refus total de toute réelle introspection. Refus total de te soumettre à un test psychologique. Quel aveu de faiblesse ! Derrière tes défenses psychorigides grossière, une grande fragilité qui pour rien au monde ne s’exposerait à l’épreuve de la réalité que constituerait un test psychologique. Ta personnalité est une prison.







L’art de la répétition pour convaincre date de Goering. L’innovation n’est pas ton fort, à radoter comme un vieux 45 tours rayé. Mais il serait fier de toi.


Le 15/10/2012 à 16h 09







Schopenahouaih a écrit :



C’est toi qui te fuis toi-même. Tu as érigé une défense rigide contre la connaissance de toi-même en idéalisant certaines sciences contre d’autres, totalement subjectivement, car ton inconscient malade a perçu la menace que représentaient certaines sciences humaines pour ton équilibre psychique si pathologique. Commence déjà par trouver quelque part au fond de toi-même le courage de passer un test psychologique !







Ah ! Le jeu du ‘C’est pas moi, c’est toi’ … une névrose phobique de l’autre et/ou une réminiscence d’un trauma de bac à sable.



Le reste est un copier-coller de quel manuel psy. déjà ?


Le 15/10/2012 à 15h 40







Schopenahouaih a écrit :



Connais-toi toi-même ! Mieux, ose parler de ton enfance à un psychanalyste !

Je rigole bien sûr. Tu es beaucoup trop rigide pour ça.







Tu divertis en biaisant constamment. Mais qu’a donc découvert ton psy pour exhiber une anti-congruence pareille entre la réalité physique et son interprétation par toi ici ? Fascinant !


Le 15/10/2012 à 15h 16







Lafisk a écrit :



Un choix de ta part, mais bien sur dédé …



Ouai, ben tu vas te sentir bien seul dans ta nouvelle élite … tu vas l’appelé l’élite singleton ??







Ou simpleton.


Le 15/10/2012 à 15h 13







Schopenahouaih a écrit :



Il se contente de dire que ça ne va pas aussi vite que lui l’avait prévu. Mais comment prendre au sérieux un écologiste pro-nucléaire, position qui relève du charlatanisme ?







Éclaire ma lanterne de scientifique perdu dans le méandre de tes contradictions internes et de ta suffisance aussi arrogante qu’un verrat pataugeant gaiement dans la mare avant l’abattoir : à part toi, qui peut-on, qui doit-on écouter ?


Le 16/10/2012 à 13h 46



Des brevets sur des technologies sans fil ont de plus été déposés par Amazon afin de se prémunir d’éventuelles attaques





Les brevets existants sur ces technologies ne vont pas disparaitre d’un coup de baguette magique.

Le 16/10/2012 à 10h 19







_fefe_ a écrit :



Tu n’as pas répondu à ma question : le lobbiyng de tes fournisseurs en semences et clients industriels de l’alimentation pour empêcher l’information du consommateur final ne te gêne pas ?

Ça fout pourtant en l’air la théorie du marché supérieure à toute autre théorie mais supposant des demandeurs éclairés.



De là à dire que tu as perçu des subventions de la PAC à l’insue de ton plein gré…







1/ Mes fournisseurs répondent à mes demandes quand j’en ai, cela s’appelle du conseil. Si le conseil n’est pas bon, je change de fournisseur. Mes fournisseurs peuvent aussi me proposer des nouveautés comme dans n’importe quel autre secteur.



Le lobbying n’existe que parce le marché n’est pas ouvert, càd que certains préfèrent tout réguler à la mode collectiviste au mépris de la liberté des autres agents économiques.



L’exemple des OGM est caractéristique. Les instances scientifiques ont dit OK, les enviros ont dit NIET, les bureaucrates UE ont dit OK, les politocards français ont fait les bénis-oui-oui devant les éco-ignares contre la propagande mensongère desquels les firmes privées ont voulu défendre leur business.





2/ Je préférerais vivre de mon travail plutôt que de dépendre de l’empilement de la bureaucratie départementale/régionale/française et européenne.



Pour être précis, ce ne sont pas des subventions mais des primes compensatoires qui compensent partiellement le différentiel entre prix mondial et prix local. Mais c’est vrai que l’on peut maintenant les considérer comme des subventions à l’alimentation des populations : si elles n’existaient pas, les prix de l’agro-alimentaire grimperaient d’autant, et dans la foulée les prix de l’alimentaire pour le consommateur. Les raisons pour lesquelles la bureaucratie continue de nous arroser sont les suivantes :



a/ la commission européenne (avec l’accord tacite des gouvernements) préfère distribuer de l’argent tout frais sorti des presses à billet de l’ECB en pensant erronément que cela ne coute rien à personne (cela augmente bien sûr les prix = inflation, ou de manière équivalente cela diminue le pouvoir d’achat de la monnaie) ;

b/ cela lui permet aussi de garder une main au collier dans les campagnes et de tester grandeur nature l’échec de la planification centralisée modèle soviétique suivie par Bruxelles (15% de gel obligatoire en 2007-2008 quand les prix flambaient).



Nous, on en rigole encore dans les campagnes des 15% de gel : on s’est adapté en retirant de la SAU toutes les surfaces non rentables (bords de bois, etc) pour lesquelles on nous donne des primes dont le montant est supérieur à ce que nous aurait rapporté de les travailler. De leur côté, les consommateurs voient leur pouvoir d’achat baisser pour financer des surfaces qui ne produisent pas : le monde à l’envers typique de la planification centralisée où la ‘tête’ ne sait pas ce que font les pieds.