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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 13/12/2012 à 13h 00







pmanglade a écrit :



Il n’y a qu’à comparer : d’un côté les classes préparatoires aux grandes écoles : système complètement centralisé où les enseignants appliquent des programmes prédéfinis. Et de l’autre les premières années universitaires où l’on oblige les shadocks enseignants à réecrire de nouveaux programmes différents tous les quatres ans pour enseigner la même chose.



Il est des domaine où la centralisation peut avoir quelques aspects positifs. Ne le négligeons pas.





1/ Les grandes écoles sont libres de définir les programmes qui leur permettront d’attirer les meilleurs étudiants : je doute que ces programmes ne soient jamais révisés pour tenir compte des évolutions du monde dans lequel travaillerons les futurs diplômés.

2/ Même constat : les programmes sont révisés pour suivre les évolutions de la société/monde/sciences/lois/etc.

3/ Je ne rejette pas la centralisation en bloc : je rejette le non-choix quand il est imposé pour des raisons idéologiques et quand la pratique démontre qu’être libre de choisir répond mieux aux demandes et besoins divers des consommateurs qui sont les seuls à les connaître.


Le 13/12/2012 à 12h 17



Nous sommes l’Éducation nationale



C’est là d’où viennent les problèmes du système exactement :

1/ cela devrait s’appeler Enseignement (l’éducation est de la responsabilité des parents) ;

2/ cela devrait être dé-nationalisé (ou au moins décentralisé le plus bas possible dans la hiérarchie administrative) : le monopole (ou quasi-monopole dans ce cas) est toujours à la défaveur de celui qui le subit.

Le 13/12/2012 à 10h 25



Pour l’évaluation de la sanction, l’ADLC a tenu compte du fait que Bouygues Télécom a pu se maintenir sur ce marché, ce qui a raboté un peu la sanctione (sic) finale.



On voit à quoi mène l’absence de concurrence réelle et ouverte sur un marché.



HS : quand pourra-t-on mettre des crochets dans les citations : cette impossibilité est vraiment limitante.

Le 13/12/2012 à 08h 22



Dans la réalité, les décisions sont réparties entre Firefox, Google, Microsoft, le gouvernement des États-Unis, les lobbys d’ayants droit et des tas d’autres organisations.



C’est ce qui fait que le système est résilient : le pouvoir et les décisions sont décentralisés. Et les quelques problèmes qui surgissent ici où là ne remettent pas en cause ce mode de fonctionnement, mais le renforce.





C’est ça le vrai problème, ce ne sont pas les conférences de l’ONU…

On a bien compris que les conférences de l’ONU ne sont généralement que mises en scène pour satisfaire les jet-setters publics (Doha est aussi un bon exemple). Les occasions de parader au chaud sur le dos de ceux qui travaillent ne se refuse pas mais la corruption de la noble cause ne nous échappe pas.

Le 11/12/2012 à 17h 42







NiCr a écrit :



Politique n’est qu’un métier comme un autre. <img data-src=" />





C’est l’une des rares ‘activités’ (je n’appelle pas cela un métier) non encore réglementées (haha !) où :

1/ la vente du ‘produit’ est assuré même quand on sait qu’il est mauvais ;

2/ l’absence de toute formation (ou de diplôme) n’empêche pas de pontifier ;

3/ être désigné dépend plus des promesses (dont on sait pertinemment qu’elles ne seront pas tenues) que des résultats passés ;

4/ la réussite est mesurée à l’aune de l’électorat dépendant des subsides versés avec l’argent des autres plutôt que par les richesses créées.


Le 11/12/2012 à 16h 04







MrOut a écrit :



Je vois pas ou tu veux en venir là. Je voudrais bien un éclaircissement <img data-src=" />





Un rapport avec l’actualité politi(co-économi)que récente peut-être ?


Le 11/12/2012 à 14h 30







MrOut a écrit :



Si seulement la “non mise en concurrence” dans notre pays s’arrêtait aux achats informatique.. <img data-src=" />





Il s’en trouvera bien un pour suggérer la nationalisation de toutes ces boîtes informatiques étrangères qui ruinent l’économie du pays et notre balance commerciale en particulier …


Le 10/12/2012 à 10h 13

Les bouffons qui pensent nous gouverner n’ont pas froid aux yeux quand il s’agit de jouer avec la liberté d’autrui. Ils viendront bientôt nous enseigner la moral à coup de bottes, mais ce sera pour notre bien.





“Liberty is the essential basis, the sine qua non, of morality. Morality can exist only in a free society; it can exist to the extent that freedom exists. Only to the extent that men have the power of choice can they be said to choose the good.”




  • Henry Hazlitt, 1964. The Foundations of Morality, p. 268.

Le 07/12/2012 à 16h 10







Anonymous0112358 a écrit :



Oui ou tu es chez Free et il faut 3h pour calculer un itinéraire sur GoogleNav…. Vécu il y a 4h de ca <img data-src=" />





Oui je confirme, le couple Free/Google Navigation est vraiment lamentable. La dernière fois, il a finit le calcul à l’arrivée pendant que l’iPhone de ma femme nous guidait sans aucune faute sur un trajet très compliqué.


Le 26/11/2012 à 09h 34

Du 16/9ième non IPS pour les pros ? Pas de clavier rétroéclairé ?

Le 14/11/2012 à 10h 53







carbier a écrit :



Ah d’accord <img data-src=" />

Donc Google peut collecter tes données personnelles tant qu’il veut à condition qu’ils ne les utilisent qu’en interne…

Tu fais donc plus confiance aux dirigeants de Google (donc à ses actionnaires) qu’à un gouvernement… <img data-src=" />





On a jamais vu Google (ou n’importe quelle autre entreprise capitalistique) tuer ses clients, c’est mauvais pour le business.

Par contre les États et leurs bureaucraties parasites associées n’ont pas ce genre d’états d’âmes et pratiquent la violence au quotidien pour continuer le pillage à leur profit.



Mais les profiteurs du système et les seconds couteaux ne vont pas mordre la main qui les nourrit.


Le 12/11/2012 à 07h 43







jinge a écrit :



Ou alors… Séparer FT en deux, là le service commercial d’orange se devra enfin d’être efficace s’ils veulent garder leur place de leader en France!







La structure de l’entreprise ne semble pas en cause. C’est plutôt sa culture d’entreprise qui fait défaut. Il faudra du temps pour qu’elle se défasse de sa ‘mentalité’ d’ex-opération de l’État.


Le 10/11/2012 à 07h 31



Une domination historique du marché qui devrait imposer à l’opérateur d’être la locomotive du marché.



Pas vraiment. Les situations de monopole protégé n’ont jamais favorisé l’innovation, et l’absence de culture concurrentielle, bien ancrée dans un ex-mammouth public, ne disparaîtra pas de sitôt à moins de décimer le management et remplacer l’ensemble du personnel technique (qui sont moins à blâmer que les autres).

Pour paraphraser, l’ouverture culturelle d’entreprise chez Orange se fera un enterrement à la fois.

Le 08/11/2012 à 22h 31







_fefe_ a écrit :



MEA CULPA, je ne suis qu’un révisionisste,

Mais ma question était : “tout le monde est soigné ?”





Tout le monde est libre de l’être : le choix est personnel.


Le 08/11/2012 à 22h 02







Oli_s a écrit :



Et le terrorisme d’état ? <img data-src=" />





Il a été légalisé par lui-même pour se protéger (c’est la raison officielle) : l’avantage de l’argumentation circulaire est qu’elle fonctionne tout le temps


Le 08/11/2012 à 21h 56







_fefe_ a écrit :



Je ne vois pas de $ dans l’équation !

Tout le monde est soigné ?





C’est parce que tu fais l’amalgame entre méthode économique et pensée politique. Subsumer cette dernière à la première te rend coupable de révisionnisme historique. Tout est bon pour divertir de nos jours.


Le 08/11/2012 à 09h 31



A liberal or a conservative is someone who identifies a social ill and then asks what laws can be passed to cure it. A libertarian is someone who identifies a social ill and then asks what would be the most effective way to cure it.




  • John Hasnas

Le 08/11/2012 à 14h 57

C’est compatible avec le Galaxy Note tout court ?

Le 08/11/2012 à 08h 53

Ce n’est pas seulement le prix : leur interface utilisateur a 2 générations de retard sur le DSM de Synology.

Pour le SAV de QNAP, je ne connais pas (pas eu encore de soucis particulier). Chez Synology c’est au top, samedi et dimanche inclus.

Le 08/11/2012 à 08h 48







gavroche69 a écrit :



Tu perds ton temps… + verbiage insipide





Les avantages de raisonner de manière consistante et de baser son argumentation sur l’empirisme sont que l’on peut observer ceux n’y sont pas encore parvenu (ou refuse d’y parvenir à dessein) d’un œil circonspect et amusé : le moment où ils n’ont plus rien à dire que des banalités mensongères et affligeantes de contre-sens (historiques entre autres) coïncide avec celui où il recherche désespérément l’aide extérieure à même de remplacer leur déficience de pensée logique et de connaissances factuelles.



“Men, it has been well said, think in herds; it will be seen that they go mad in herds, while they only recover their senses slowly, and one by one.”




  • Charles Mackay, 1843. Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds.


Le 07/11/2012 à 16h 24







fred131 a écrit :



Dans le cas des denrées agricoles, ils peuvent faire monter tant qu’il veulent puisqu’après il n’y a plus de marché, en effet la production pour l’année est écoulée une fois la récolte ou les moissons réalisées.



Hors denrées agricoles, quand on a des milliards à placer, ce n’est pas un problème de jouer sur les deux tableaux surtout quand on maîtrise les cours. Et puis tout dépend à quel prix on revend et à quel prix on a acheté.



Je note toutefois que tu ne reprends pas mon argumentation sur la légalité, je suppose donc que tu es d’accord avec moi ? aucune morale là dedans…



Ma haîne ? non juste de la colère de voir justifier par des concepts éthérés la mort pour du fric de son “voisin”. De plus je ne répondais pas à notre conversation mais à celle que tu avais avec Poulpor78.



Mais vas y met le doute à tout le monde, c’est bon signe,..





1/ Eh bien non justement. Le fait de spéculer va remettre sur le marché des denrées qui ne l’étaient plus, et donc empêcher les prix de grimper encore. Une erreur commune et entretenue de penser le contraire.



2/ Pas besoin de milliards. Je spécule tous les ans sur le MAT pour protéger une partie de mon revenu des fluctuations économiques, climatiques et politiques. Les marchés à terme ont été justement inventés pour limiter les fluctuations.



3/ Spéculer est légal puisque tout le monde le fait à chaque achat/vente.



4/ Tu as parlé de morts, pas moi. L’émotion est mauvaise conseillère quand il s’agit de comprendre des mécanismes pas forcément intuitifs. Les politiques sont d’ailleurs passés maître pour agiter cet épouvantail à la populace : une manière d’éviter d’aborder les sujets plus sensibles.



5/ C’est en doutant qu’on progresse. Celui qui se complait dans ses habitudes de pensées végète.


Le 07/11/2012 à 16h 09







fred131 a écrit :



Définition de crime contre l’humanité, quand on fait exprès de faire mourir des gens pour du fric, en définition légale c’est un meurtre crapuleux avec préméditation.





1/ On reste en attente du procès des méchants spéculateurs depuis combien de millénaires déjà ?

2/ Va alors te constituer prisonnier maintenant : n’importe laquelle de tes transactions avec un autre agent économique revient obligatoirement à spéculer (raréfier le marché et modifier marginalement son prix).



C’est comme l’automobiliste complétant son demi-plein de carburant en prévision d’une augmentation et qui, interviewé à la station-service, crie au scandale des spéculateurs criminels qui font monter les prix, sans se rendre compte qu’en complétant son réservoir maintenant (et donc en mettant de la pression sur les prix sur le moment au lieu d’attendre demain) se rend volontairement mais inconsciemment coupable des mêmes agissements ‘criminels’.


Le 07/11/2012 à 15h 25







fred131 a écrit :



Et surtout pas eux puisqu’ils ont créé la chute en vendant massivement, tout en ayant pris la précaution de spéculer à la baisse pour faire encore du fric, non seulement sur la montée des cours mais aussi sur la baisse.



Personne ne doute que les banquiers ont truqué le LIBOR (qui est un indicateur pour 350 000 milliards d’€) et s’en sont mis pleins les poches, mais faut laisser faire le marché hein? il est honnête lui il peut pas tricher <img data-src=" />





1/ Et bien, s’ils vendent massivement, cela fait donc baisser massivement les prix : il me semblait que les méchants spéculateurs ne faisaient qu’augmenter les prix pour voler leurs prochains. Bonne nouvelle pour tout le monde alors !



Maintenant s’ils spéculent à la hausse et à la baisse en même temps, le mot ‘gain’ ne doit pas faire partie de leur vocabulaire. Permets moi d’en douter.



2/ Le rapport avec la spéculation ? Aucun. On saute juste d’un sujet à l’autre pour éructer sa haine incohérente.


Le 07/11/2012 à 14h 52







Poulpor78 a écrit :



Mais quand je vois qu’il existe des manipulations des USA qui permettent :





Personne ne doute de la corruption des politiciens en général et US en particulier.


Le 07/11/2012 à 14h 49







fred131 a écrit :



Ben voyons, dans le cas des denrées agricoles périssables, faire augmenter artificiellement les prix est tout à fait possible et sans conséquence puisque les produits sont saisonniers.



Il suffit de faire ce que certains ont fait juste avant les émeutes de la faim, stocker des tonnes de nourriture jusqu’à ce que les prix augmentent à la bourse de Chicago et enfin revendre quand le prix à atteint un seuil raisonnable de rentabilité. Que d’ici là des gens soient morts de faim peu leur chaut.<img data-src=" />





1/ C’est le cas si le marché est dominé par très peu d’acteurs (producteurs). Par exemple, l’interdiction de spéculer sur l’oignon aux USA a conduit à une volatilité bien supérieure à celle du pétrole (qui ne spécule pas sur le pétrole de nos jours). Ce qui montre que plus il y a de spéculateurs, plus la volatilité des prix est faible.



2/ En quoi cela contredit-il le fait que les prix auraient quand même bien plus fluctués ? Ce qui te dérange en fait, c’est la juxtaposition moralement douteuse de quelqu’un qui gagne de l’argent sur le dos d’un autre. Si on te démontre que ce n’est nécessairement et logiquement pas le cas, alors le pseudo argument moral disparait. Bizarrement d’ailleurs, personne ne se plaint des spéculateurs quand les marchés plongent.


Le 07/11/2012 à 14h 11







Poulpor78 a écrit :



Schématiquement, on a (recettes - dépenses) qui font un budget. Si on est en déficit, on s’endette.



Si on ampute les recettes, on compense par de l’endettement à dépenses égales. Je ne vois pas ce que le mode de gestion du pays vient faire là ?





1/ Il faudrait réexpliquer ce b-a-ba comptable à nos politiciens dépensiers. Quand les dépenses sont supérieures aux recettes depuis si longtemps, cela s’appelle techniquement la faillite.



2/ Compenser un manque de recettes epsilon par de l’endettement en dizaine de milliards d’€ et qui n’est pas de l’investissement pour générer un profit ultérieur, n’est pas une bonne gestion. C’est la ruine assurée.



La gestion actuelle (si on peut appeler le fait de dépenser sans compter de la gestion) de l’État consiste dépenser selon les besoins (saupoudrage généralement) et à créer, pour ce faire, des obligations (d’État donc) contre de l’argent créé à partir de rien par les banques centrales. Ces obligations ne sont rien d’autres que des bouts de papier avec des chiffres dessus, càd des promesses de rembourser (ou pas) dans le futur par les générations futures (20 à 30 ans).



En plus de créer ses papiers obligataires selon son bon vouloir, l’État spolie les citoyens d’une partie de leur richesse par l’inflation du pool monétaire qui résulte de la création de novo de l’argent du paragraphe ci-dessus (baisse du pouvoir d’achat).



Donc oui, le mode de gestion de l’État ne devrait pas être différent de celui de tout un chacun.


Le 07/11/2012 à 13h 51







gavroche69 a écrit :



1/ je ne me défile pas, simplement je n’ai pas de temps à perdre pour simplement constater des évidences, même si cette évidence est plus liée à l’état gaspilleur qu’à l’état providence qui n’est qu’un mythe.



2/ Et ce n’est que la tienne, encore un truc qui fonctionne parfaitement dans les 2 sens sauf bien sûr si tu es persuadée d’avoir un esprit supérieur…



3/ J’espère bien, à ton âge supposé… Reste à savoir si tu le fais bien… <img data-src=" />



4/ on peut devenir raisonnablement riche en restant honnête, on ne peut pas devenir immensément riche en restant honnête et je ne parle que des très riches, même si je ne le précise pas à chaque fois.



5/ Pour combien de temps ? Tant va la cruche…



T’as vu je m’adapte, je numérote… <img data-src=" />





1/ Ce qui confirme mon point initial de ta propre main.



2/ Les gamineries t’intéressent. Pas moi.



3/ Une diversion de plus.



4/ Définit “raisonnablement riche” et “très riche”.



5/ Les prédictions sont difficiles, surtout à propos du futur.



6/ C’est bien de prendre exemple sur les méthodes qui fonctionnent. <img data-src=" />


Le 07/11/2012 à 13h 39







gavroche69 a écrit :



Les spéculateurs ne mangent pas les enfants mais ils les empêchent souvent de manger… <img data-src=" />





J’observe que tu as succombé au mythe populiste colporté par le système que tu abhorres.



Si c’était le cas (que les spéculateurs font augmenter les prix), cela reviendrait à dire que les spéculateurs investissent dans le seul but de perdre de l’argent.





People who argue that speculation is destabilizing seldom realize that this is largely equivalent to saying that speculators lose money, since speculation can be destabilizing in general only if speculators sell when the currency (or commodity) is low in price and buy when it is high.





  • Milton Friedman. Essays in Positive Economics, p. 175.


Le 07/11/2012 à 12h 56







gavroche69 a écrit :



Je ne prends pas en exemple l’état et surtout pas les politiciens qui le représentent…

Les spéculateurs ne mangent pas les enfants mais ils les empêchent souvent de manger… <img data-src=" />



J’ai un gros avantage sur toi, je ne crois à aucun système car je n’ai plus guère d’illusion sur la nature humaine alors que toi tu es convaincue que l’ultra libéralisme sauvage est la seule solution, en tous cas pour qu’une minorité auto proclamée “élite” puisse se gaver au détriment de tous les autres qui sont incapables de faire autre chose que se plaindre…



La seule question que tu devrais te poser c’est : Combien de temps une petite minorité peut se gaver au détriment d’une grande majorité avant que ça pète ?

Et l’humain étant ce qu’il est, le jour où ça pétera ça sera pas joli joli mais il sera trop tard pour crier à la barbarie…



Je l’ai déjà dit et je le répète, les très riches sont tellement imbus d’eux-mêmes qu’ils sont convaincus que ce qui s’est passé il y a un peu plus de 2 siècles en France ne pourra jamais se reproduire, les cons… <img data-src=" />



Ils s’imaginent que facebook, un nouvel iPad tous les 6 mois et une coupe du monde de foot tous les 4 ans plus une bonne dose de “bondieuserie” ça va suffire à calmer cette brave populasse tout en oubliant que la majorité de la population mondiale n’a même pas accès à tout ça (à part les bondieuseries hélas)…





1/ Tu te défiles donc. Il n’y avait pourtant que des additions à réaliser.



2/ “J’ai un gros avantage sur toi, je ne crois à aucun système” : on est à égalité alors. Ce qui fait que ton jugement subséquent sur moi dénote soit une interprétation incorrecte (ce qui fait s’interroger sur tes capacités en la matière), soit, pire, une interprétation volontairement caricaturale (mais toujours aussi erronée) : dans les 2 cas, ce n’est que ton opinion.



3/ Le temps d’y mettre fin ? Moi aussi je sais biaiser.



4/ Des préjugés. Si les riches le sont devenus honnêtement, c’est du vol que de leur reprendre et de la jalousie que de le suggérer. Sinon, à qui est-ce la faute sinon à la parodie d’État qui les protège ?



5/ Pour l’instant ça marche.


Le 07/11/2012 à 12h 15







gavroche69 a écrit :



L’épouvantail faisant croire que les dettes souveraines sont dues au caractère dispendieux et pervers de l’état providence est grossier et trompeur parce qu’il masque avec commodité le fait que des sociétés éludent légalement l’impôt et en éprouvent une réelle jouissance…



Tu vois, ça marche dans les deux sens… <img data-src=" />





Il faudrait pouvoir le prouver, alors que de mon côté, c’est un fait. Bonne chance.



PS : note aussi à la fin du lien comment l’administration française spécule en bourse et ailleurs comme le premier trader venu <img data-src=" />



Autant pour les méchants spéculateurs mangeurs d’enfants <img data-src=" />


Le 07/11/2012 à 12h 04







Deep_INpact a écrit :



Intéressant.



Il n’apporte pas de solution, puisqu’il préconise du libéralisme mais avec un Etat qui doit veiller à ce que chacun ait un minimum de “confort”.





1/ Tu as réussi à le lire en 4 heures ? Il m’a fallu 4 jours pour en venir à bout.



2/ Ce n’est pas tant les solutions d’Hayek (qui étaient déjà ‘révolutionnaires’ de son temps) qui sont intéressantes, mais sa description clinique de l’acceptation volontaire du gradualisme politique moderne qui conduit à la soumission totale forcée.



D’autres ont depuis repris le flambeau et montré que le peu de gouvernement proposé par Hayek est toujours de trop si les valeurs défendues doivent l’être réellement.


Le 07/11/2012 à 11h 52







Poulpor78 a écrit :



Et si cela est vrai, il ne faut pas s’étonner de notre endettement.





“Notre endettement” serait le même (à quelques décimales près) parce qu’il n’existe aucune limite à la possibilité de dépenser d’un État vu que c’est lui qui détermine cette limite en dernier ressort.



L’épouvantail faisant croire que les dettes souveraines sont dues à des sociétés éludant légalement l’impôt est grossier et trompeur parce qu’il masque avec commodité le caractère dispendieux et pervers du concept d’État-providence.


Le 07/11/2012 à 07h 46







Deep_INpact a écrit :



Bienvenue dans un monde optimisé pour une minorité (riches, finance, multinationales) grâce au lobbying incessant.

Un monde où les politiciens sont des traîtres à la nation au profit des USA.

Il ne faut pas s’étonner que l’Europe ait été instiguée par eux pour leur profit.

Tout cet argent dont nous ne profiterons pas sous forme d’investissements public (la recherche, l’éducation, la santé,…) qu’auraient dû payer ces évasions fiscales, aboutiront à payer les impôts aux USA, qui eux mêmes ne serviront pas au bien être de sa population, mais à assoir leur domination mondiale.



C’est légale, alors il faut qu’un maximum de personne fasse de même, jusqu’à ce que ce soit intenable pour le peu qui resteront à payer comme des pigeons. On se dirige vers le chaos, l’anarchie grâce à ça. Mais comme l’humain est grégaire et qu’il préfère un peu plus d’ordre que du chaos complet, alors il faut s’attendre au retour des années les plus sombres…





1/ Conspiration !



(PS : les nations ne sont qu’un puzzle de frontières artificiellement maintenues par la force pour des motifs véreux afin de pouvoir plumer les pigeons sans difficulté. Si les paradis fiscaux existent, c’est certainement que les enfers fiscaux aussi.)



2/ Style “The Road to Serfdom” ou style “Atlas Shrugged” ?


Le 06/11/2012 à 20h 04







lutherkingmartin a écrit :



J’aimerai bien le nom de leur comptable avec un peu de chance en optimisant mon cas il me fera toucher le RMI, et des allocation chômage en plus de mon salaire tous ça sans payer d’IR bien entendu <img data-src=" />



Plus sérieusement, si le système leur permet de faire ça en toute légalité pourquoi se priver ? Je trouve ça honteux, mais c’est le système qui doit être modifié pour obliger les entreprises qui font des bénéfices en France à payer des impôts en France.





Si tu es salarié, c’est quasiment impossible. Si tu as une TPE ou tu es à ton compte en société, tu peux (légalement) diminer la pression fiscale et sociale de manière drastique. Par ex. ma déclaration cette année mentionne des revenus négatifs après avoir mis en place une telle stratégie. Bien sûr cela nécessite un peu d’investissement (audit, montage, ingénieur juriste, etc), mais éluder l’impôt (sans parler de la confiscation sociale) est réellement jouissif.


Le 07/11/2012 à 19h 52







HarmattanBlow a écrit :



Simplement mieux géré et trois fois moins cher? Au vu de la part substantielle (disons 80%, 95% quand le foncier a été donné) des dépenses de personnel dans l’éducation, pas moyen de d’atteindre ce résultat sans diviser les effectifs par deux à trois. Ton chiffre était simplement ridicule.



Et en quoi est-ce fallacieux ? Tu estimais que le fait qu’une économie soit atteinte en précarisant des personnels n’est pas significatif et ne doit pas être pris en compte, c’est donc que ton optimum implique de précariser chaque fois que c’est possible, ce qui doit pouvoir concerner au moins 50% de la population. D’ailleurs, aux Pays-Bas, règne de de la déréglementation du marché du travail, ils en sont déjà à 40% de temps partiel, vive la précarité ! Un résultat enviable puisque générateur d’économies ? Oui, pour les 60% restants, qui étaient déjà les plus aisés.



* Parce les pauvres … Oh ! Et ne m’accuse pas de caricature. C’est de ce milieu-là que je suis rescapé, grâce à l’école publique.



Bien entendu, grâce au libéralisme les écarts de pauvreté se réduiraient et les pauvres pourraient donc aisément financer des salaires de profs. Cela va de soi.



Curieusement on trouve nombre de contre-exemples. Bizarre, non ? Tu as raison il suffit de regarder autour de soi.



C’est vrai, grâce à toi ils seraient libres de choisir. Évidemment ils n’en n’auraient pas les moyens mais c’est un détail.



Bien sûr ! “L’UMPS” (les guillemets sont là pour signifier mon mépris pour cette expression) a comploté ça en douce, c’est un complot socialio-marxo-populo-anticapitaliste destiné à rendre les français dépendants de la classe politique, on enseigne le truc à tous les élèves de Sciences Po.



Non. Il est normalisé par rapport aux niveaux scolaires, pas par rapport à la motivation de l’élève ou son côté perturbateur. La grande majorité des élèves du privé ont un point en commun : leurs parents se sont bougés pour que leurs têtes blondes réussissent.





1/ Mes chiffres sont plus réels que n’importe quelles statistiques puisque ce sont les coûts pour l’inscription de mes gamins dans le privé (sous contrat et hors contrat).



2/ Ce qui est fallacieux est de faire croire que la précarité n’est que le fait du privé alors de ta propre main les précaires existent aussi dans le public. Le reste est HS.



3/ Tant mieux pour toi, mais cela n’explique en rien ton assertion que “les enfants coûtent trois fois plus cher qu’ailleurs”.



4/ “Bien entendu, grâce au libéralisme les écarts de pauvreté” : c’est le seul système qui produise de la richesse pour tous et la redistribue suivant les mérites. Toutes les autres manières sont agressives. De plus, personne ne peut nier que le développement de l’occident n’est pas dû à ce système : les autres systèmes ont tous fini dans les poubelles de l’Histoire.

C’est à la mode d’oublier les énormes avancées économiques et sociales apportées par le capitalisme et la globalisation (libéralisation des marchés). A moins de souhaiter du totalitarisme, l’égalité n’est qu’une utopie, ce qui veut dire que, statistiquement, des écarts existeront toujours. La critique est donc facile et déplacée.



5/ “on trouve nombre de contre-exemples” : bien sûr. On peut toujours en trouver, mais cela n’enlève rien à la réalité de mon assertion.



6/ Le fait d’être libre permet plus que de choisir. Cela permet à d’autres d’innover pour proposer des services adaptés à tous selon les besoins. Tous les enfants sont différents et croire qu’appliquer la même éducation figée partout et à tous est simplement aberrant.



7/ Je voyais plus loin que les clowns qui croient nous gouverner.



8/ C’est que tu as mal lu. C’est clairement expliqué dans le rapport de l’IFRAP et on utilise justement la valeur ajoutée pour éviter le biais de sélection.


Le 06/11/2012 à 09h 56







HarmattanBlow a écrit :



Deux à trois fois moins chers ? Bigre ! Ils ont supprimé les professeurs ? Je pense que tu peux mieux faire, avance un coût 92% inférieur la prochaine fois.



Bien entendu. Un système économique idéal c’est un système où tous les salariés seraient au tarif chinois et payés au lance-pierres. Une économie réalisée via la précarisation des personnels, c’est une saine économie et un optimum que nous devons rechercher partout et pour tous.



Parce qu’il est évident qu’un service purement privé se ruerait sur des quartiers dont les enfants coûtent trois fois plus cher qu’ailleurs et dont les parents sont trois fois plus pauvres qu’ailleurs bien sûr. Vilain monopole d’Etat (qui n’en n’est pas un d’ailleurs, puisque n’importe qui peut ouvrir une école privée et, en contrepartie de certains engagements, obtenir la rémunération de ses personnels par l’Etat).



Oui, c’est ce que j’avais dit dès le départ, en notant que l’écart est cependant faible et peut s’expliquer par la sélection réalisée sur les élèves perturbateurs.





1/ Non, mieux géré tout simplement. Personne ne voudrait confier la gestion de ses affaires à des inconnus parce que tout le monde sait que la seule personne à même de gérer convenablement et au plus près ses affaires, c’est soi-même.



2/ Argumenter fallacieusement par généralisation abusive et autre stratagème transparent ne mène nulle part (en plus de faire apparaître son auteur comme pas de bonne foi). Concernant mes chiffres, ils sont basés sur mon expérience personnelle dans le privé et les chiffres du lien donné précédemment. Comme l’administration refuse d’établir des statistiques sur le privé, adresse-lui une réclamation pour obtenir les moyennes (si elles existent).



3/ “Parce qu’il est évident qu’un service purement privé se ruerait sur des quartiers dont les enfants coûtent trois fois plus cher qu’ailleurs et dont les parents sont trois fois plus pauvres qu’ailleurs bien sûr” : les bonnes questions à se poser devraient être de savoir si “les enfants coûtent trois fois plus cher qu’ailleurs” et pourquoi “les parents sont trois fois plus pauvres qu’ailleurs”.



a) Je ne vois pas pourquoi un enfant de quartier devrait couter 3 fois plus cher qu’un autre. De plus, c’est avoir une vue particulièrement courte (vision étatiste pure) que d’imaginer que parce que quelque chose n’a pas pu être expérimenté, elle ne peut donc pas réussir. Le privé est pourtant capable d’offrir, au mieux, des services ou produits bien meilleurs dans tous les domaines, et au pire, bien moins cher à qualité égale (pour des raisons évidentes qu’il est inutile de détailler : il suffit de regarder autour de soi).



b) Les ghettos, les quartiers difficiles et la concentration de la pauvreté ne sont que la résultante de la politique publique de l’époque (pas si éloignée). La politique publique actuelle, c’est rétro-pédalage en confiant aux collectivités locales le bon soin de la patate chaude, ce qui ne démontre que la gabegie et l’absurdité de la précédente politique d’État. Que dire de plus, à part répéter une fois encore, que tenter de déterminer par en haut les besoins de gens c’est créer de manière certaine des problèmes qui n’auraient pas existés s’ils avaient été libres de satisfaire leurs besoins eux-mêmes.



Un esprit cynique pourrait même penser que cette politique de la pauvreté concentrée a été expressément établie pour maintenir et justifier la présence de l’État au milieu des populations ‘à risques’.



Donc, venir supputer que le privé ne pourrait pas proposer des services éducatifs à n’importe quelle population si l’État décidait de ne plus y subvenir, revient à posséder des dons divinatoires doublés d’une hypocrisie assumée, un mélange peu raisonnable et pas crédible.



4/ L’écart n’est pas si faible que cela. De plus, l’indicateur ‘valeur ajoutée’ tel que tu l’as mentionné plus haut, permet de prendre spécifiquement en compte le biais de la sélection. Une étude de l’IPRAP en 2011 mentionne d’ailleurs :

“En 2010, d’après les indicateurs de résultats des lycées, publiés par le ministère de l’Éducation nationale, l’enseignement privé présente également de très bons résultats au baccalauréat. En effet, l’indicateur de la « valeur ajoutée » des établissements scolaires : c’est-à-dire « ce qu’un lycée a “ajouté” au niveau initial de ses élèves » est clair : sur les 100 lycées français les plus performants en matière de valeur ajoutée, 62 étaient des établissements privés sous contrat. Il est donc faux de dire que les bons résultats de l’enseignement privé en général sont dus seulement à la sélection à l’entrée.”


Le 05/11/2012 à 20h 20







HarmattanBlow a écrit :



Le diocèse n’est pas tout à fait l’entrepreneur moyen.



Le public utilise trois types de remplacements : TZR (fonctionnaires dédiés aux remplacements), collègues in situ (fonctionnaires, pour courtes absences) et précaires. Le privé n’utilise que les deux derniers, donc plus de précarité, CQFD. Le diocèse fait sans doute régulièrement appel aux mêmes, ce serait logique, mais leur statut n’en n’est pas moins précaire. Ce qui se comprend mais aboutit tout de même à davantage de précarité.



Les remplaçants précaires n’ont pas le statut d’enseignant et n’ont pas passé ou réussi les concours, dans le public comme dans le privé. Les TZR, eux, sont enseignants mais n’existent que dans le public.



Bien sûr, si les écoles catholiques ne se concentrent pas sur les quartiers difficiles, c’est l’Etat qui est à blâmer. <img data-src=" />



La valeur ajoutée éducative fait l’objet d’études qui la mesurent et me permettent de dresser ce constat.





1/ Et ? De la bonne gestion reste la seule méthode connue pour durer. De plus, il existe aussi des écoles privées (et donc seulement financées par les parents) qui n’ont rien à voir avec le diocèse et où les coûts sont 2 à 3 fois inférieurs à ceux du public.



2/ Tentative de biaiser. Le but d’un système éducatif est de former des élèves, pas de s’occuper de la prétendue précarité des enseignants qui existent quelque soit le système.



3/ Idem.



4/ Je ne blâme pas l’État. Je constate seulement qu’il est impossible de lutter à armes égales contre un monopole éducatif.



5/ “valeur ajoutée éducative” : elle est en faveur du privé. Mais comme l’a souligné la Cour des comptes en 2010, l’administration n’est pas pressée d’établir des statistiques sur le privé.



6/ Pour le reste, et bien que tout ce que tu a écris soit discutable, il y a assez à dire sur l’éducation pour éviter de venir y mélanger la gestion de la santé (dans des pays tiers en plus).


Le 07/11/2012 à 17h 03

On peut supposer que ces serviteurs publics (autrement appelés fonctionnaires) ne vont pas être crucifiés sur place par leur hiérarchie pour un tel manque de transparence ou une obstruction au droit à l’information qui est régie par l’État lui-même.



Auraient-ils donc tous quelque chose à cacher au public ?

Le 07/11/2012 à 11h 03



la création de logiciels pédagogiques français



Communément, ces “logiciels” sont appelés ‘enseignants’.



Encore de l’argent gaspillé pour faire croire qu’on s’occupe du navire éducation : autant astiquer le bastingage alors que les cales sont déjà pleines d’eau.

Le 07/11/2012 à 10h 29







ragoutoutou a écrit :



La démocratie, c’est parfois trois mecs sur une île dont deux qui se mettent d’accord pour tuer le troisième.





Je préfère la version “Vous avez deux vaches”, au moins on peut comparer.


Le 06/11/2012 à 11h 11







graphseb a écrit :



Et toujours rien concernant les grands délinquants financiers ?

/monCoupDeGueuleDuJour





Ils sont protégés par leur hiérarchie gouvernementale.


Le 07/11/2012 à 08h 25

Ce tableau est incomplet. Par ex. Pharmagest Interactive avec 97 millions de CA 2011 n’est pas présent.

Le 07/11/2012 à 07h 50

Pas vraiment de différentiation et de visibilité dans les produits, un suivi calamiteux : ce n’est pas le chemin vers la réussite.

Le 06/11/2012 à 12h 34







linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> aucun monopole naturel… Je crois que tu ne connais pas les spécificités des activité de réseau, qui par essence vont vers une concentration, quoi qu’il advienne.

Le réseau doit être commun, mais le service rendu doit lui dépendre d’opérateurs privé. Et le prix de l’utilisation dudit réseau ne doit pas être fixé par les opérateur pour garantir un déploiement et un entretien homogène.





1/ Tu sur-estimes ton appréciation des “spécificités des activités de réseau”. Tant que ces activités (et leurs soit-disant spécificités, mais lesquelles n’en n’ont pas ?) sont soumises à la concurrence, rien n’oblige à une concentration (rien ne l’exclue non plus) : n’importe qui ou presque peut investir pour développer ses tuyaux (Google le fait et bien d’autres).



2/ “Commun” dans l’utilisation ne signifie pas et implique encore moins “commun” dans l’exploitation. A moins de vivre dans un univers parallèle et contrairement à tes dires, c’est le cas actuellement puisque les standards sont là pour le garantir (à moins de vouloir créer un sous-réseau indépendant et incompatible). Les prix sont ceux fixés par les multiples opérateurs à qui appartiennent ces lignes.


Le 06/11/2012 à 10h 21







lildadou a écrit :



La mutualisation serait une bonne chose si l’on ne vivait pas dans un monde capitaliste. Pourquoi avoir 4 réseaux mobiles distinct? On a pas 4 réseaux électrique, d’eau, de gaz, ferré ou même 4 paires de cuivres téléphone à la maison. Après il peu y avoir autant d’acteurs privés que l’on veut et qui utilise le réseau. On le fait déjà pour l’électricité, le chemin de fer et en partie pour l’ADSL.



Pourquoi ne pas séparer les activités de “distribution” et de “service”? Pour cela il faudrait admettre que le privé partout n’est pas là solution et que l’état détienne les monopoles de la distribution. Je préfère un monopole d’état qu’un monopole privé… surtout sur des structures d’aussi grande importance





1/ La mutualisation, c’est de l’entrave à la concurrence déguisée sous couvert de baisse potentielle (mais pas certaine) des coûts mais le début assuré de la constitution d’un monopole adverse pour le consommateur.



2/ Un monopole privé protégé par la puissance publique est aussi dangereux qu’un monopole public. Aucun n’est naturel. Séparer les activités ne fonctionne pas (voir le rail). Et une fois fait, qui criera au scandale que l’État doit assumer la charge financière du réseau au profit des opérateurs privés ?



De plus la fragilité de n’avoir qu’un seul réseau ne milite certainement pas en sa faveur.


Le 06/11/2012 à 07h 43



Free ne bénéficierait pas d’un modèle de déploiement durablement plus avantageux que ses concurrents



Quand le durable est finalement trop durable, où comment préparer le sabotage de la concurrence (et donc des prix bas pour le consommateur) pour sauvegarder les intérêts du quasi-monopole précédent.



Comme quoi la sauvegarde du pouvoir d’achat n’est qu’un vain mot utilisé par les marionnettes politiques pour berner les nigauds.

Le 06/11/2012 à 11h 46

J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau, et d’avoir la capacité de mieux le maîtriser, les Chinois l’ont fait.

Un député de droite qui réclame la nationalisation d’un outil : vite, nationalisons tout de suite toutes les coutelleries.









Tim-timmy a écrit :



j’aime bien le principe de laisser les propos polémiques d’il y a 3 ans, hs sur la news, dès le début, en mettant juste un lien vers le texte les expliquant (où on se rend compte qu’il y connait (un peu) plus que prévu..), que les gens n’iront pas lire, afin de mettre directement le lecteur en situation hostile vis à vis de lui …





Son ‘explication’ n’est pas plus rationnelle que sa ‘nationalisation’ initiale. Donc le droit de se moquer est justifié.


Le 05/11/2012 à 11h 37







knos a écrit :



Ils peuvent avoir un accord sur le fait de payer mais dans ce cas la news est dispo sur google news en entier et l’argent de la pub revient à google.



Pas sur que la presse soit gagnante.



En tous cas toujours sympa ce petit feuilleton d’automne. Vivement le prochain épisode.







Je le voyais comme cela aussi.



Maintenant que Google possède son écosystème matériel (Nexus), c’est une bonne occasion de capter des contenus en les rémunérant et de créer de la valeur ajoutée en y insérant de la publicité ciblée.


Le 05/11/2012 à 11h 25

L’État français et sa gestion administrative et si pathétiquement gallinacéenne de l’économie. <img data-src=" />

Le 05/11/2012 à 11h 16



En juillet 2010, Éric Woerth, ministre du Budget, fait appel.



Ce qui démontre que quand on a le pouvoir (à gauche comme à droite), on tient toujours à en profiter de la manière la plus parasite qui soit









Eagle1 a écrit :



fallait y penser en faisant la loi…



Peut-être les décrets relatifs ont-ils été ‘oubliés’ ?