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tmtisfree

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Le 22/01/2013 à 10h 04







Jean_Peuplus a écrit :



Le jour où les ordinateurs commenceront à calculer si chaque input est de l’ironie ou non, on sera dans la merde.





Pas plus que maintenant où ils sont capables de reconnaître l’écriture, la parole, parler, chanter, etc.

Ce n’est qu’une question d’algorithme (mathématiques, probabilité, etc).



Et puis, avoir une machine qui reconnait l’ironie, c’est pourrait être amusant quand on est mal entouré.



La technologie n’est qu’un outil : elle est ce qu’on en fait.


Le 22/01/2013 à 09h 18



Les ordinateurs ne pourront jamais capter l’ironie



Encore un qui a une boule de cristal. Je me demande où ils se fournissent.

Le 21/01/2013 à 16h 52







L’Aveugle a écrit :



Y’a pas mal de généralité non argumentées dans tout ça (voir clichées).



D’un point de vue général, il y a un problème de système ;



En bref l’homme cherche en général à maximiser sa satisfaction et ça passe par bien des choses (l’argent, se sentir utile, être connu, être aimé, être puissant, être libre…).





Des généralités, des clichés …



Pour être sérieux une minute, ce n’est pas le système stricto sensu qui est en cause. Le système n’existe que par les individus qui le composent le font fonctionner comme cela les arrange et surtout dans leur propre intérêt (cf J. Buchanan) : l’intérêt commun, général ou public n’est qu’une vue de l’esprit, une utopie politique pour caresser les idéalistes, les romantiques, les nostalgiques d’un âge qui n’a jamais existé (le paradis perdu, Gaïa, la maison commune, appelle cela comme tu veux), dans le sens du poil (électoraliste).



En partant de cette base, on comprend que plus on essaie d’intégrer l’individu dans le système, plus c’est le système qui intègre l’individu. Donc une solution pour ‘humaniser’ le système, c’est de rendre à l’individu ce que le système essaie de lui prendre (de plus en plus par la violence) ou de faire à sa place : c’est à dire lui rendre son autonomie et sa liberté pour qu’il puisse développer ses facultés à s’adapter à son environnement dynamique et changeant.



Bien sûr, le système va tenter par tous les moyens de résister à sa perte d’influence (puisque les individus qui le composent agissent dans leur propre intérêt). On va donc assister à une partie de yoyo entre les 2 parties de la société : celle qui profite du, et est le système lui-même, va tout faire pour continuer à agrandir sa sphère d’influence, tandis que celle qui subit essaiera de limiter voire de reprendre ce qu’il peut au système.



Ce n’est pas être inhumain et sans cœur que de laisser l’individu se débrouiller pour apprendre à s’occuper de lui : c’est au contraire l’inciter à développer ses possibilités, comme l’entrainement permet à un sportif de développer ses capacités, pour devenir autonome, avancer et réussir.



Pour terminer, rendre sa liberté et son autonomie à l’individu n’est pas vouloir en finir avec la société. C’est au contraire en bâtir une solide (où ce n’est pas une minorité ou même une majorité qui dicte sa loi) qui respecte les droits fondamentaux de chacun (liberté et propriété).


Le 20/01/2013 à 14h 41



On ne peut plus permettre que l’Europe soit un paradis fiscal pour certains acteurs



Il vaut en effet mieux que l’Europe soit en enfer fiscal pour tous.<img data-src=" />



Ils n’ont plus peur d’éructer leur réquisitoire néo-fascisant national socialiste collectiviste en public de nos jours. Quand est-ce que les M1 Abrams débarquent pour nous libérer ? Ah j’oubliais : ils sont en phase 2 d’endoctrinement là-bas aussi.

Le 19/01/2013 à 14h 40







Chrisrc01 a écrit :



De toute manière l’état Français entre autres fera défaut de paiement et quand les épargnants verrons leurs économies partir en fumée le problème deviendra collectif <img data-src=" />





Oui, un État n’est qu’un intermédiaire financier comme un autre (un entremetteur dans son cas). Les seuls qui feront défaut, ce seront les citoyens de cet État. On n’en est pas encore là, parce qu’avant de faire défaut, il faudra la mise à zéro de TOUTES les dépenses budgétaires.



Autant dire que quand ce jour béni arrivera, le déparasitage sera total.


Le 19/01/2013 à 13h 59







brazomyna a écrit :



Ou peut tout autant être une exception qui va à l’encontre du cas général ; ça n’a donc strictement aucune valeur si on veut s’en servir pour une argumentation à vocation généraliste, ce qui était le sujet du débat ici (l’intervention initiale portait sur “les assistés”, “le chômage”, pas “tel assisté” ou “tel chômeur”)





C’est bien mon point et le sien. Son (contre-)exemple est aussi valable que n’importe quel autre parce qu’il n’y a pas de solution globale satisfaisante à des problèmes qui sont purement individuels, comme il le dit lui-même.

Cela n’empêche en rien qu’il existe des facteurs globaux (entretenus volontairement) qui contribuent et continuent à miner la société pour justifier l’existence de toute la machinerie politico-bureaucratique qui nous parasite.







brazomyna a écrit :



Rien à voir. Le dumping fiscal consiste à jouer sur une localisation géographique pour minimiser ses charges, je ne vois pas en quoi l’état des finances des Etats entre en ligne de compte.





Simplement que si les-dites finances étatiques avaient été conduites de manière responsables (comme dans ‘responsables politiques’), il n’y aurait aucun intérêt maintenant à désigner des boucs émissaires fiscaux étrangers.







brazomyna a écrit :



Il faudrait une volonté politique ; donc un électorat capable de penser d’abord à l’intérêt commun sur le long terme, plutôt que dans les privilèges catégoriels.





Autant demander aux religieux du prosélytisme zoophilique (nb : je n’ai rien contre les animaux).


Le 19/01/2013 à 13h 03







brazomyna a écrit :



Un cas particulier ne fait pas une généralité.





… mais peut être révélateur d’une vérité sous-jacente. Merci à dekfighter pour son témoignage responsable.







brazomyna a écrit :



au lieu de prendre le problème à bras le corps (qui consiste à s’attaquer au dumping fiscal intra, voir extra européen)





Il n’y a pas de problème de “dumping fiscal” quand les finances des États sont saines. Quand on dépense plus que l’on gagne, la première chose à faire est de réduire la voilure avant de heurter les récifs, pas d’essayer de pirater à l’ancre les navires marchands qui passent à proximité en espérant que la barcasse étatique coulera moins vite.



Tant que les États financeront sans compter leur électorat avec de l’argent issu des presses à billets et de la taxation spoliatrice, la spirale régressive ne pourra pas être stoppée.



C’est aussi simple que cela. Ceux qui voudraient faire croire que les problèmes de dettes souveraines résultent de la non-taxation fiscale d’une poignée de sociétés plus intelligentes que les autres se fourrent (métaphoriquement) les 10 doigts dans l’œil ou cherchent à duper pour les mêmes motifs que ceux nous ont mis dans la panade.


Le 19/01/2013 à 12h 47



urgent de réagir et d’interrompre une spirale mortifère pour les économies des États industrialisés



Ils évoquent les dettes abyssales des États là, non ?



Bien sûr que non. Ils ne vont pas mordre la main qui les nourrit.



On aurait voulu faire dire au rapport ce qu’on voulait qu’on n’aurait pas engagé d’autres “experts économiques” que sont un “conseiller d’État” et un “inspecteur des finances”.



Quand le nombre de cadavres économiques sera trop grand pour encore blâmer ceux qui font tourner l’économie réelle, il sera trop tard.

Le 20/01/2013 à 13h 34







dekfighter a écrit :



Je pense qu’il y à une petite coquille dans ton raisonnement. la BCE prête au marché financier et les marchés prête aux états en faisant une marge au passage 2% pour les pays sérieux ou possédant un patrimoine à piller/hypothéquer (comme la France pour le pillage du patrimoine public et privé) 6% ou plus pour les les pays type club-med





Ce qui revient à ce que j’ai écris : “Bien sûr, plus directement.” (qu’il faut lire en indirectement).



Mais il n’y a aucune contrainte imposée aux états pour emprunter ad infinitum. C’est d’ailleurs open bar depuis fin 2011. Les banques empruntent quasi-ZIR autant qu’elles le souhaitent à la BCE pour refinancer les dettes publiques issues des emprunts étatiques précédents auprès d’elles-même.



Autant dire que la BCE va en fin de compte absorber l’ensemble des dettes publiques (ce qui lui était formellement interdit à l’origine afin de contraindre les gouvernements à gérer responsablement leurs finances publiques), puis graduellement les annuler en créant encore plus de monnaie de singe papier.



Comme d’habitude, ceux qui travaillent et produisent (les créateurs de richesses) vont in fine payer pour les frasques social[isant]es des “pays type club-med”, comme tu le dis si bien.



Je ne vais pas me plaindre : j’ai emprunté une somme très importante pendant la crise avec un taux basé sur EURIBOR : autant dire de l’argent quasi-gratuit actuellement et les taux vont encore baisser en 2013 (je n’en demandais pas tant) payé par le bon peuple pro-européen du fait de la politique monétaire désastreuse de la BCE. Le bénéfice à la revente frôlera les 100% (non imposable en plus). <img data-src=" />


Le 19/01/2013 à 21h 20







Mana Peer a écrit :



L’état français ne peut plus faire ça depuis la création de la BCE.





Bien sûr, plus directement. Mais l’État français (et tous les États européens) peut emprunter à la BCE autant qu’il veut (d’où les dettes souveraines qu’il faut rembourser). Ce qui revient en définitive au même. C’est même pire en fait.



Car un des effets pervers (mais voulu) de la BCE par rapport à une banque centrale purement étatique, c’est que tous les pays sont à la mangeoire peuvent emprunter la même monnaie en quantité quasi-infinie (et donc la dévaloriser) : cela ne coûte rien aux États de faire fabriquer par la BCE des € à la tonne. Par contre les populations voient leur pourvoir d’achat monétaire diminuer (inflation des prix) : c’est du vol graduel légalisé.



Les pays dont la gestion des affaires est faite par dessus la jambe (pays du sud en gros, qui empruntent beaucoup et tendent donc à dévaloriser la monnaie) profitent, en empruntant la même monnaie, des pays qui ont une gestion saine (pays du nord en gros, qui empruntent moins et tendent donc à revaloriser la monnaie). C’est une manière insidieuse et bien cachée de redistribuer de la valeur sans que les populations (celles du nord qui travaillent et épargnent) s’en rendent compte (du moins jusqu’à récemment).



Évidemment le pot au rose a été exposé publiquement avec la crise des dettes souveraines, même si les politiques ont tout fait pour le camoufler en désignant leurs boucs émissaires favoris comme responsables de leurs propres errements idéologico-économiques (banques, système financier, spéculation, grande finance, évasion fiscale, trafics en tout genre, terrorisme, globalisation, paradis fiscaux, économie de marché, etc).


Le 19/01/2013 à 14h 16







paradise a écrit :



Je ne connais pas tellement d’assistés, je ne connais que des gens qui travaillent, qui ne veulent pas être assistés, et souvent avec des salaires à peine au-dessus du SMIC malgré 25 ans d’ancienneté.





Je vois régulièrement des personnes qui ont travaillé toutes leur vie (et ont cotisés, ont été taxé, imposés, chargés, etc) et qui sont obligés de demander l’aide du Conseil Général pour s’acheter les couches dont ils ont besoin pour vivre décemment (un exemple parmi d’autres).



Le niveau du SMIC n’a aucun intérêt. C’est la valeur de l’argent qui compte, celle que l’État/gouvernement retire petit à petit du moindre billet ou pièce au vu et au su de tous (inflation) en imprimant toujours plus de monnaie comme si la presse à billets pouvait créer de la valeur elle-même.







paradise a écrit :



Maintenant, je conçois qu’on soit pour l’inégalité sociale, pour l’absence de tout principe de précaution, pour la suppression du devoir de réserve, contre la solidarité nationale et sociale, contre la Sécu et le droit de grève, c’est une philosophie qui a marché pendant des siècles et qui trouve encore des adeptes dans certains pays. <img data-src=" />





Tu te méprends (et fumes trop). Ne pas cautionner ces termes fourre-tout, galvaudés et utilisés par les politiciens véreux et vénaux pour faire passer la pommade corrompue de la fraternité pendant qu’ils ruinent l’économie et les gens eux-mêmes sur le dos des générations futures, ce n’est pas rejeter le sens profond et vrai de mot simple comme Humanité, Liberté, Société, Justice, Propriété ou Individualité, bien au contraire.



Le marketing politique est vicieux et pervers, et n’existe que dans l’intérêt électoraliste de ses utilisateurs.


Le 19/01/2013 à 13h 13







leZilou a écrit :



En gros, ils ont vendu quelque chose qui ne leur appartenait pas.





C’est le ‘business’ de base du politique.







Reznor26 a écrit :



Le domaine public, l’intérêt général…

Des notions de crypto-staliniens rétrogrades tout ça.



On n’est plus au XXème siècle, c’est fini ces conneries. <img data-src=" />





Tu es en France, malheureux. Ne va pas attaquer ces concepts fumeux (auxquels on pourrait ajouter ceux d’équité sociale, de justice inter-générationnelle, de bien public, de principe de précaution, de devoir de réserve, etc) utilisés par nos kleptomanes politiques pour s’offrir l’électorat d’assistés de leur rêve.


Le 19/01/2013 à 22h 09







f4f_ender a écrit :



Il faut relativiser ce qui se dit. A la fin des années 90 certains journalistes soit disant spécialiste annonçaient la “fin” d’internet car les coûts de développement étaient bien supérieur aux bénéfices et que les pubs ne seraient pas viable… C’était à une époque ou on était en 56k et ou on payait encore à l’heure.

Le futur à montré que ces gens avaient totalement tord et internet ne c’est jamais aussi bien porté.





C’est le cas d’à peu près toutes les prévisions alarmistes (de ne pas se réaliser).



C’est dans la nature humaine de modéliser linéairement, car c’est simple et rapide. Le monde (économique) n’est évidemment pas linéaire, il est complexe, dynamique, souvent chaotique, répond aux stimuli, motivations, préférences, à l’adversité et aux défis en s’adaptant pour répondre aux besoins du marché (la demande). Les trajectoires (dans l’espace des phases) sont toutes sauf linéaires.


Le 19/01/2013 à 09h 05

Le contenu instantané (TV, YT) restera implacablement au niveau des demandes du consommateur lamba. C’est à dire bas. Très bas.



Mais on pourra se consoler qu’au moins avec YT il n’est pas imposé d’en haut à la populace télévisuellement décérébrée (pour son bien, of course).

Le 19/01/2013 à 08h 50

C’est bien gentil PrixduNet, mais encore faudrait-il que cela fonctionne.



Exemple : je cherche un produit Synology, je vois l’offre “LDLC : jusqu’à 20 % de remise sur 4 marques, dont Synology”, je clique sur le lien.



1/ déjà la façon trompeuse style catalogue La Redoute d’annoncer des remises qui n’existent en fait pas : il n’y a pas 20% de remise sur les produits Synology, mais 8% seulement, ce qu’on ne découvre évidemment qu’après avoir cliqué sur le lien ;

2/ un peu énervé par cette pratique limite déloyale, je clique sur le lien “8 % sur la marque Synology avec le code HUIT” pour obtenir une erreur 404 : hého, vous vérifiez vos liens sur PdN ?

3/ excédé par tant de légèreté à combler mes attentes, je tape et valide directement le nom produit qui m’intéresse (“DS1812+”) dans le champs Recherche, et là on m’affiche un autre produit.

4/ là 2 explications possibles : a) je n’ai peut-être pas de chance ou b) certains ne font pas leur travail correctement ;

5/ je retente la saisie sans valider : une suggestion apparait qui me propose “Dispo : DS1512+ et DS1812+, les nouveaux NAS de Synology arrivent en précommande” ;

6/ ahhhhhhhhhhhhhh, me dis-je enfin !

7/ je clique : un article du 27/02/2012 vient violemment agresser mes pupilles en ne me proposant qu’un seul lien vers un marchand dont le prix ne correspond pas du tout !

8/ explication b) donc. Et trashcan. Google a de beaux jours devant lui.

Le 19/01/2013 à 08h 24







Tekool a écrit :



Sérieusement, je ne sais pas dans quelle école tu t’es fait bourré le crâne, mais arrêtes tout et fait toi rembourser. Même les plus mauvais keynésianistes m’ont sorti des discours plus éloquents que le tien.





Je ne vois pas bien ce que Keynes vient faire ici. C’est l’un des économistes dont les pensées ont été les plus détournées et romancées pour des raisons électoralistes et idéologiques. Il suffit d’admirer le résultat des endettements souverains actuels (qu’il n’a jamais prescrits) sur le dos des générations futures (autant pour les discours de justice inter-générationnelle !), mais ses écrits (que j’ai lu) ne sont certainement ni mes lectures de chevet ni ont un quelconque rapport avec l’économie réelle (micro-économie).



Pour résumer : tout raisonnement économique dont le point central n’est pas l’intérêt propre d’un agent économique (producteur, consommateur, etc) est voué à l’échec. Il est impossible de connaitre même grossièrement ces intérêts parce qu’ils concernent une multitude d’individus avec des préférences et besoins imparfaits, changeant rapidement et différents en temps et en lieu.



(C’est pour cela que toutes les tentatives de planification centralisée de l’économie conduisent et conduiront fatalement à la ruine (problème d’inconnaissance) : seule une approche essai/erreur au niveau le plus bas économiquement parlant (càd le marché) permet de limiter au minimum le gaspillage des ressources du fait que ces ressources sont celles des agents eux-mêmes, a contrario de la tragédie des biens communs).



Donc ton approche “je choisis ceci ou cela parce que je pense au petit chinois” est peut-être de bonne volonté, mais elle est non seulement puérile (corruption de la noble cause), mais aussi nécessairement anti-économique. En somme elle conduit au contraire de ce que tu veux vraiment.



Note que tout ceci est, en plus d’être parfaitement exemplifié de manière empirique et historique, est démontrable analytiquement (cf Hayek).


Le 18/01/2013 à 19h 32







Tekool a écrit :



Si pour toi énergie, matière première et eau nécessaire





Ce n’est pas les termes exacts employés initialement : essayer de biaiser comme un débutant rend l’argumentation sans objet et la position de l’auteur bancale.

De plus, une once d’analyse permet de se rendre compte que :

1/ l’énergie dense et fiable (càd pas les substituts moyenâgeux et non rentables tels que l’éolien et le solaire qu’on essaie de nous vendre hors de prix en massacrant les campagnes, les oiseaux, etc) se trouve partout autour de soi ;

2/ l’eau : pareil ;

3/ les matières premières : pareil. Il n’existe aucun exemple de matière première qui a totalement disparu (ce n’est pas Physique) ou qui n’a pas pu être remplacé par meilleur et moins cher. Voir aussi plus bas dans quel cadre appréhender correctement une ressource ;

4/ l’Univers est vaste sans les œillères.







Tekool a écrit :



Si les choses sont floues pour toi, elles ne le sont pas forcément pour tout le monde. Tu as visiblement un problème de compréhension de concepts scientifiques de base nécessaire à évaluer le taux de pollution généré par l’extraction minière, la transformation, la fabrication, le transport ainsi que l’usage de produits manufacturés. Laisse donc aux autre le loisir de les comprendre et de s’en servir sans imposer une loi qui n’est que la tienne et celle de constructeurs peu regardants sur les intérêts futurs de l’humanité. Les chiffres donnés séparés de leur interprétation permettrait déjà de faire un choix dans l’achat d’un matériel qui est devenu, malheureusement, pour la plupart d’entre-nous indispensable.





Arguments fallacieux et non-sens typiques des malthusiens en mal de prédictions apocalyptiques réalisées (càd aucune) :

1/ taux de pollution : quesaquo et quelle unité ?

2/ tu peux évaluer tout ce qui t’amuse, même pseudo-scientifique. Cela ne modifie en rien le fait que bis repetita, mise à part certaines activités où les problèmes sont solutionnés optimalement de manière transactionnelle, le prix de vente d’un produit/service inclus nécessairement tous les coûts possibles. C’est une réalité économique, quand bien même la mouvance verdâtre parasite voudrait en faire ses choux gras .

3/ une ressource n’existe que dans un contexte économique et est variable spatialement, dans le temps et suivant les agents qui la produisent et les besoins des agents consommateurs : elle est dynamique (un qualificatif incompréhensible pour les Cassandre alarmistes). Plus simplement : les ressources n’existent pas, on les crée. Noter aussi que cela ne nie aucunement l’existence de matières physiques (dites premières).

4/ le concept de justice inter-générationnelle est typique de la propagande écolo-guignolesque en mal d’égalitarisme (trans-temporel dans ce cas) : il nécessite de connaitre précisément les besoins des générations futures, ce qui n’est donné à personne et encore moins aux malthusiens écocentriques aux prédictions historiquement toutes plus foireuses les unes que les autres.

5/ parle pour toi. Personne n’a demandé ces chiffres qui n’existent pas parce que les concepts qu’ils recouvriraient ne sont pas définis et ne peuvent pas l’être (ce qui explique l’absence d’étude). Mais bien sûr, je respecte totalement ton droit individuel à demander l’inexistant et l’irréalisable.







Tekool a écrit :



Je tiens absolument à savoir combien de personnes je mets dans la misère un peu plus en achetant soit un HDD à plateaux standard ou un SSD. Et laisse moi donc en faire la demande à PC INpact sans imposer ta dictature. Merci.





Plus clairement, tu veux dire que tu choisis tes produits selon des critères non-économiques : tu reconnais donc implicitement que tu pratiques le gaspillage (de valeur, mais aussi fatalement des ressources de toute la chaine de production) pour des motifs personnels inexpliqués et inexplicables (dogmatiques peut-être ?) et non selon des besoins rationnels (ie économiquement justifiables). Bravo !



N’oublie de demander à PCI combien de chinois tu vas mettre à la rue en choisissant tel ou tel produit suivant tes considérations pseudo-économiques.



La seule ‘dictature’ que je supporte est celle de la raison, de la logique et du respect des droits fondamentaux (liberté et propriété). Le reste je le laisse aux illuminés démagogiques de toutes les couleurs (il y en a un quarteron ici, que je me fais une joie de ‘tirer à vue’).


Le 18/01/2013 à 13h 51







Tekool a écrit :



On est en démocratie.





On appelle comme cela la kleptocratie de la majorité de nos jours. Si cela te convient …



Les producteurs ne te DOIVENT RIEN en tant que consommateur, mises à part les garanties du produit/service qu’ils te proposent et que tu acceptes (et celles qu’on leur impose par la loi). Toutes les autres informations (matérielles ou immatérielles, existantes ou non) concernant leurs process/produit/service ne te regardent pas (parce qu’elles leur appartiennent à eux et pas à toi).



Ils n’ont d’ailleurs aucune obligation (légale et/ou morale) de te donner ces renseignements concernant les concepts flous, non définis et non standardisés que tu sembles exiger (rien ne t’empêche de leur écrire directement pour connaître leur position en la matière si ces non-problématiques t’intéressent à ce point).



Enfin, si les producteurs étaient les mêmes entités déguisées en bouffons verts anti-Science, anti-progrès, anti-technologie, anti-industries, bref anti-humain, pourquoi ces éco-terroristes passent-ils le plus clair de leur temps à stigmatiser les premiers avec une ribambelle de pseudo-problèmes maquillés “écologiques” (une science dévoyée comme tête de pont collectiviste) plus alarmistes les uns que les autres (on a atteint le paroxysme de la stupidité avec le “il faut sauver la planète”) ?



Tu mélanges les torchons (recyclés) et les serviettes en plus de t’attribuer tout seul des étiquettes (relire mon post).


Le 16/01/2013 à 20h 29







Tekool a écrit :



Ce qui m’intéresserait énormément de connaitre dans un futur article, c’est l’impact en énergie grise, eau grise (extraction et collecte des matières premières inclues) au Go pour comparer le coût écologique de la fabrication de disques durs classiques à celle d’un SSD. Article pas facile et probablement relativement long à écrire, mais personne ne semble l’avoir jamais encore fait, ni précisément, ni même grosso-modo.





Pas étonnant que cela n’aie pas été fait. Les termes employés (“énergie/eau grise, coût écologique”) n’ont pas de définition standardisée parce qu’ils ne peuvent pas en avoir (termes fourre-tout).

On les retrouve souvent et surtout dans la mouvance écolo-environnementaliste où leurs significations varient d’un groupe à l’autre (rien d’étonnant).



Fondamentalement, ils n’ont aucun intérêt : mise à part certaines activités pour lesquelles un règlement amiable sera toujours préférable (car financièrement optimisé pour les N parties en cause), les coûts induits directement et indirectement par la production de n’importe quel objet manufacturé sont déjà inclus dans le prix de vente.



Évidemment le discours marketing de l’éco-alarmosphère est opposé : que n’inventerait-on pas pour soutirer de l’argent de ceux qui travaillent et produisent pour soutenir le mouvement déclinant de ces parasites verts pastèque.


Le 16/01/2013 à 17h 54







ActionFighter a écrit :



Tu ne fais que déformer mes propos en essayant de me faire passer un imbécile, donc je ne vais pas m’acharner.





Pour ça, tu te débrouilles bien tout seul, je te l’accorde.


Le 16/01/2013 à 17h 53







ActionFighter a écrit :



Je parle de néo-libéralisme, terme que tu ne connais visiblement pas, alors ce petit ton condescendant, tu te le met où je pense.



Tu ne fais que déformer mes propos en essayant de me faire passer un imbécile, donc je ne vais pas m’acharner.



Si tu es incapable de débattre sans tomber dans l’attaque personnelle, tu peux continuer de sortir ta “science” tout seul.





Le terme inventé par les collectivistes pour mieux cacher leur absence d’alternative crédible ? Laisse moi rire.



Tiens, pour la forme, je te cite wikiliberal (que je découvre avec ton lien raté plus haut) :





Quand il n’est pas utilisé par des anti-libéraux, le terme néolibéralisme, associé à néolibéral, sert souvent d’étiquette par défaut pour les théoriciens en panne d’inspiration qui, bien souvent oublient d’en donner la définition ou prétendent qu’il est impossible d’en donner une précisément. Autant dire que le terme n’a aucun sens pour un libéral, sinon l’utilité très pratique de pouvoir cerner par le simple indice de l’emploi de ce concept, la prévention idéologique de la personne qui s’en sert (révélateur de préjugés qui fonctionne aussi avec ultralibéral).


Le 16/01/2013 à 17h 10







ActionFighter a écrit :



Soutenir l’économie de marché, et soutenir le néo-libéralisme économique sont deux choses différentes.





Tu ne sais pas de quoi tu parles (= mythe). Le libéralisme, c’est une doctrine de droit : droit de propriété, droit à la liberté. Le libéralisme économique repose sur ces idées humanistes pour expliquer comment se forme un marché (une relation librement consentie d’échange entre 2 entités pour leur avantage mutuel et réciproque particulier) et plus généralement une économie de marché.



Ce n’est pas la caricature de ce qui est dans ta tête qui a un rapport quelconque avec la réalité.







ActionFighter a écrit :



Je soutiens que l’interventionnisme est une bonne chose pour pallier aux dysfonctionnements des marchés.





Tu ne sais pas de quoi tu parles (= mythe bis). L’interventionnisme est ce qui provoque en premier lieu les dysfonctionnements économiques (les cycles booms-bursts à hautes amplitudes).



Il est tout à fait normal que certains marchés périclitent (produits obsolètes, moins de clients, concurrents plus innovant, etc) pendant que d’autres explosent : c’est quand l’argent public (avec des taux d’intérêts bas voire nuls par rapport à ceux pouvant être obtenus sur le marché bancaire par les acteurs économiques réels) est gaspillé pour soutenir ces marchés en voie de disparition envers et contre tout, comme certaines industries du divertissement par ex. (“marine à voile contre marine à vapeur”), que les problèmes surviennent : les signaux économiques que les consommateurs reçoivent sont artificiellement faussés (produits et prix ne correspondent pas à ceux qui auraient résultés d’un marché normal non faussé).



Les consommateurs sont donc dupés sans le savoir, non seulement sur ce qu’ils achètent (les produits ne correspondant plus à leurs préférences, mais ils ne le savent pas, vu que les ressources employées pour soutenir les industries non rentables ne sont plus disponibles pour créer les nouvelles industries qui y auraient répondu), mais aussi doublement (argent public gaspillé et prix payés supérieurs) sur le prix qu’ils achètent ces produits.



J’ai résumé en 2 § pourquoi et comment ces 2 mythes le sont. Tu n’as probablement rien compris (ou rien voulu comprendre). Tu m’étonnes.<img data-src=" />



Mais on préfère discourir sur ce que l’on ne connait pas et employer des mots dont on ne connait pas les tenants et aboutissant et paraître non-ignorant en le faisant.


Le 16/01/2013 à 16h 03







ActionFighter a écrit :



ou Keynes pour commencer, qui ne basent pas uniquement sur du FUD pour élaborer leurs théories.





C’est déjà fait : il a déjà dû se retourner dans sa tombe plusieurs fois quand on voit comment ses écrits ont été délibérément détournés pour supporter les idées nauséabondes des collectivistes indécrottables.



Entre autres, Keynes n’a jamais écrit ou dit que les déficits publics devaient être permanents, seulement qu’on devait utiliser l’argent public en temps de crise pour soutenir l’activité économique. Les collectivistes ont romancé l’auteur pour lui faire dire ce qui les arrangent électoralement (dépenser sans compter même quand l’économie est florissante).



Keynes lui-même a d’ailleurs toujours supporté l’économie de marché :



There is no objection to be raised against the classical analysis of the manner in which private self-interest will determine what in particular is produced, in what proportions the factors of production will be combined to produce it, and how the value of the final product will be distributed between them.




  • John Maynard Keynes. The General Theory of Employment, Interest and Money.



    Donc, avant de demander aux autres de relire les classiques, lis-les toi-même : tu auras l’air moins ignorant et arrogant.



    Encore une pour la route :



    “Lenin is said to have declared that the best way to destroy the Capitalist System was to debauch the currency …. Lenin was certainly right. There is no subtler, no surer means of overturning the existing basis of society. … The process engages all the hidden forces of economic law on the side of destruction, and does it in a manner which not one man in a million is able to diagnose.”

  • John Maynard Keynes


Le 16/01/2013 à 15h 13







ActionFighter a écrit :



Ensuite, si l’on suit ton raisonnement, les États-Unis devraient avoir un taux de croissance assez élevé, puisque la planche a billet marche à fond, sauf qu’il n’en est rien.





Les USA démontrent aussi (après l’UE) les limites du système ‘planche à billets’ : quand la production de valeur ne suffit plus à compenser les pertes dues à la fabrication de monnaie qui ne coute rien, on aura beau produire toujours plus de billets : n x 0 = 0.



Le reste de ton post reprend (une partie) des mythes libéraux les plus naïfs et ridicules inventés par les collectivistes de tous poils : je ne vois aucune raison de m’attarder sur ces clichés obsolètes quand le travail de sape a déjà été fait intelligemment et avec humour.


Le 16/01/2013 à 14h 26







ActionFighter a écrit :



C’est la planche à billet qui a financée sur le long terme beaucoup d’infrastructures et de services dont nous disposons en France actuellement.

Je te concède qu’il y a eu bons nombres d’abus pour raisons électoralistes, mais condamner purement et simplement cet outil d’orientation politique et économique est un non-sens économique.





Le non-sens économique, c’est de créer de l’argent à partir de rien : cela revient à voler la génération actuelle qui travaille en détruisant la valeur créée au profit d’une classe de parasites improductifs, et voler les générations futures en leur faisant supporter le poids des dettes accumulées.



Il n’y a aucune justification à voler son prochain et encore moins quand le système économique n’en a aucunement besoin pour fonctionner. Le mythe des infrastructures tombe simplement en regardant un peu plus loin que le bout de son nez.



Un peu de lecture sur l’analyse des choix publics (Buchanan)


Le 16/01/2013 à 14h 09







ActionFighter a écrit :



Sauf que, comme par hasard, c’est pendant la période ou l’état providence était le plus présent que la croissance était la plus forte.





Bien évidemment. La croissance (son taux en fait) est calculée à partir des chiffres du PIB qui eux-même incluent l’expansion continue de la masse monétaire au cours du temps (et qui est sous contrôle exclusif de l’Etat/gouvernement) : plus la planche à billets tourne, plus le PIB, et donc la croissance (artificielle), augmente. CQFD.







ActionFighter a écrit :



Et dans le genre œillères, le néo-libéralisme, il n’y a pas mieux.



Signé : un idéologue collectiviste <img data-src=" />





On profite du libéralisme à chaque instant de sa vie en le refusant dans le même temps : cela doit être insupportable <img data-src=" />



Fais-toi une raison : théoriquement, analytiquement et empiriquement, il n’y a pas d’autre système qui puisse fonctionner.



Mais si ta pathologie collectiviste est si ancrée, pourquoi ne pas simplement émigrer en Corée du Nord (par ex. : contrairement au marché, le choix collectiviste est de plus en plus réduit de nos jours, et pour cause) ?



On préfère bien sûr parasiter le système et ne pas mordre (càd élire et réélire) la main qui perfuse (ie l’Etat-providence qui spolie ceux qui travaillent) : un ça-profite restera toujours un ça-profite.


Le 15/01/2013 à 20h 20

James Buchanan (décédé récemment) doit bien rire maintenant.



L’analyse des choix publics à l’aune des intérêts particuliers de leurs auteurs (une partie l’œuvre de Buchanan) est exemplifiée ici même dans toute son hypocrite splendeur.



Les idéologues collectivistes aux œillères bien en place iront nous vanter après cela les mérites de “l’Etat-providence” au service de “l’intérêt général”. La bonne (et couteuse) blague.



Comme l’a si brillamment écrit Henri Louis Mencken :



L’État, ou pour rendre les choses plus concrètes, le gouvernement, se compose d’une bande de types exactement comme vous et moi. Ils n’ont, tout bien considéré, aucun talent particulier pour les affaires du gouvernement ; ils n’en ont que pour accéder à une fonction et la garder. Dans ce but, leur principal procédé consiste à chercher des groupes de gens qui courent désespérément après quelque chose qu’ils ne peuvent pas se procurer, et à promettre de le leur donner. Neuf fois sur dix, cette promesse ne vaut rien. La dixième fois, elle est tenue en pillant A afin de satisfaire B. En d’autres termes, le gouvernement est un courtier en pillage, et chaque élection est une sorte de vente aux enchères par avance de biens à voler.

Le 16/01/2013 à 17h 43







Freud a écrit :



Rien à ajouter. Depuis qu’il est à l’élysée, chaque jour une liberté est compromise.





Cela aurait été certainement pareil avec l’autre. Ils sont tous formés à la même école électoraliste qui consiste à perfuser et saupoudrer pour plaire aux intérêts qui peuvent servir (càd les servir).



Penser que la plupart des personnes qui les élisent ne le savent pas relève de la faribole pure et simple : leurs intérêts communs sont bien compris.


Le 16/01/2013 à 17h 17



Avec ou sans son consentement



Tout est là.



Les libertés foulées aux pieds par les collectivistes attardés et pour des motifs à la noblesse corrompue (“sauver la marine à voile presse papier”).



Pas bien différent de l’individu à la moustache carrée.

Le 16/01/2013 à 16h 39







ijojo a écrit :



La fin de la neutralité des réseaux ?





La fin d’un mythe.



Il n’y a rien de particulièrement choquant de payer pour ce que l’on consomme. Toute ressource non abondante (ici la bande passante) devrait être payée au prix d’équilibre de l’offre et de la demande : c’est la manière la plus optimale (et la plus objective) d’allouer ce qui est relativement rare.



Évidemment, pour certains, payer pour regarder des vidéos serait ‘révolutionnaire’.


Le 16/01/2013 à 14h 18







sniperdc a écrit :



Enfin un 16:10 <img data-src=" />





Ce n’est pas ce qui manque en ce moment. A croire que les fabricants ont décidé de penser à ceux qui travaillent.


Le 16/01/2013 à 14h 17

Et la garantie ?



Comme mon PA246Q vient d’être échangé (gratuitement) sous garantie (au bout d’un an et 12 avec une colonne de pixels morts en plein milieu du panneau), avoir une garantie supérieure à 1 an est un plus appréciable.

Le 15/01/2013 à 17h 42







jinge a écrit :



Pas d’accord, une entreprise qui a un rendement direct de 4% mais qui apporte quelque chose supplémentaire (un service universel, des prix bas, etc…) peut être une bonne entreprise nationale, si ces 4% sont utilisés à bon escient (investissement).

Après l’état doit être capable d’être indépendant de ces sources de revenus annexes, et donc ne pas faire dépendre ses dépenses courantes de ceux-ci!



Il vaut mieux que l’état détienne une entreprise sur du très long terme avec un retour de 4% plutôt qu’elle la vende pour utiliser les recettes pour couvrir les dépenses….

Ca fera la différence entre un état fort en cas de crise et un état en faillite direct…



Cependant il faut aussi que les entreprises détenues restent en statut “privé” et n’aillent pas dans les dérives des statuts fonctionnaires <img data-src=" />



Wala ce que j’avais à dire <img data-src=" />







C’est beau la théorie, sauf quand la réalité montre le contraire.



Rentabilité et incompétence ne sont pas compatibles. Au vu de la situation actuelle, les Etats/gouvernements sont dans le camp des incompétents notoires qui se défaussent hypocritement sur les ‘rentables’ en les accusant de tous les maux.



De plus, si le statut de l’entreprise est “privé”, qu’elle appartienne ou non à l’Etat, par définition elle n’est ni étatique ni publique et ne rentre donc pas dans le cadre “Etat/gouvernement incompétent”.


Le 15/01/2013 à 10h 29







jinge a écrit :



L’Etat/gouvernement cherche égaleemnt la rentabilité, même si ça n’est pas des flux d’argent direct, ce sera via des voies indirectes telles que des taxes/impôts, impact sur la consommation, etc… <img data-src=" />





Ce qui explique la ruine actuelle des Etats, donc <img data-src=" /> Keynes doit se retourner dans sa tombe quand on voit comment ont été détournés ses écrits.



Heureusement que les entreprises gèrent leurs affaires de manière rationnelle (ie rentable) pour que les ménages (du moins ceux qui gèrent aussi leurs affaires intelligemment) puissent encore acheter ce qui est produit.


Le 15/01/2013 à 10h 14



En effet, le but de ces entreprises est généralement d’investir pour ensuite revendre leurs parts quelques années plus tard, en réalisant bien entendu une plus-value.



Pas “généralement” : toujours. Qui voudrait investir son propre argent dans quelque chose de non rentable (à moins d’être un Etat/gouvernement bien sûr) ?

Le 15/01/2013 à 17h 12

Ah, elle m’aurait bien tenté mais trop tard, je me suis offert une Crosshair V Formula-Z pour pas cher récemment (115 €).

Le 31/12/2012 à 18h 32







Durandal a écrit :



<img data-src=" /> Quand je lis “gouvernance”, je vois censure.





C’est le terme politiquement correct (et culturellement acceptable) qui désigne en fait ‘main-mise’ ou ‘appropriation’ (déguisée mais dans notre intérêt bien sûr <img data-src=" />).



Ayant déjà les clés de la banque, celles des menottes et de l’armurerie, contrôlant à merci les boîtes à paroles et à images et le (torchon-)papier, ils ne leur restent plus qu’à s’accaparer du seul espace de liberté privé encore aux mains du public.



Certains appellent (encore) cela ‘démocratie’.



Kleptocratie collectiviste serait plus approprié.


Le 28/12/2012 à 10h 43







jun a écrit :



Un banane d’or au premier qu’arrivera à expliquer que ces contenus sont indispensable au développement culturel mondial et dont le piratage est justifiable…





Le simple fait que ces contenus non seulement existent, mais sont fabriqués exprès pour répondre à une demande suffit amplement.



Prémisses :

1/ ces contenus sont des biens culturels,

2/ leur demande existe depuis que l’Homme existe lui-même (et ne faiblit pas),

3/ tout contenu qui contient de l’information nouvelle (récréative ici) participe, par définition, au “développement culturel mondial”.



Poids moyen d’une banane = 100g.

Valeur d’un lingotin d’or de 100g (cours du 28/12/2012) = 4010.00 €.



J’attends ton chèque certifié.



PS : j’accepte aussi les bitcoins : (étiquette = tmtisfree, adresse = 16AYQy96nmSL11dxiKzmhAmFmQTJyDG6j2)



Note : aucune remise ne sera acceptée pour cause d’absence de définition de “développement culturel mondial” (une expression assez vague pour accepter tout jugement de valeur dans un sens ou dans l’autre).


Le 22/12/2012 à 10h 20



Le doute, l’une des armes principales du journaliste (et du citoyen)



Je rajouterai : “et du scientifique”.



Les arguments par consensus, par effet groupe ou par autorité ne sont tous que des manières plus ou moins fallacieuses (càd non logiques) de laisser les autres penser à notre place.



Cela conduit très souvent à accepter des situations où la peur de l’incertitude est supprimée au profit d’une fausse assurance de groupe : en cas de problème, ce sera évidemment chacun pour soi.



Le scepticisme devrait être la pierre angulaire de la réflexion en face de n’importe quel fait, image, ou situation rapportés par d’autres et même (et surtout) vécu par soi-même : l’auto-satisfaction est le plus trompeur des sentiments.

Le 20/12/2012 à 08h 24



Il est d’ailleurs amusant de noter que SONY continue d’utiliser le terme 4K et pas celui d’ « Ultra HD » alors que c’est l’appellation qui a été normalisée par la Consumer Electronics Association (CEA), il y maintenant près de deux mois.



Il n’y a rien d’amusant. La CEA n’a définit que l’appellation des diffuseurs (le label) en UHD (&gt;= 8 millions de pixel avec dimensions affichables d’au moins 3,840x2,160 en 169). La norme vidéo reste le 4K. La PS3 n’est pas un diffuseur. Elle prend donc en charge le 4K.





The next generation of so-called “4K” high-definition display technology for the home (…) will be called “Ultra High-Definition”



C’est encore plus explicite dans le § suivant :



The group also defined the core characteristics of Ultra High-Definition TVs, monitors and projectors for the home. Minimum performance attributes include display resolution of at least eight million active pixels, with at least 3,840 horizontally and at least 2,160 vertically. Displays will have an aspect ratio with width to height of at least 16 X 9. To use the Ultra HD label, display products will require at least one digital input capable of carrying and presenting native 4K format video from this input at full 3,840 X 2,160 resolution without relying solely on up-converting.





Consumer Electronics Industry Announces Ultra High-Definition

Le 16/12/2012 à 21h 52







gavroche69 a écrit :



Ouais mais justement les épaules de géants je n’y crois guère.

Par exemple si Newton n’avait pas existé, tu crois vraiment que personne n’aurait jamais pondu la loi sur la gravitation universelle ?

Tu crois que si Pasteur n’avait pas existé on serait encore en train de crever de la rage ?

Etc, etc…



Bien sûr cela n’enlève absolument rien au mérite de ces personnes, simplement je pense que tout ce qui existe en inventions, découvertes ou pensées philosophiques n’est que le fruit d’une évolution logique et normale de notre espèce. Je vois ça un peu comme un puzzle immense où chacun essaierai de mettre en place une ou plusieurs pièces en fonction de ses possibilités. Donc là où Y ne saura pas placer une pièce, X y parviendra, j’en suis convaincu car je ne crois absolument pas à la providence. Seulement on ne sait pas trop si le puzzle sera terminé un jour et encore moins à quoi il ressemblera…



Le seul domaine peut-être où ça ne s’applique pas je pense que c’est celui de l’art. Il est peu probable que quelqu’un d’autre que Beethoven aurait pu écrire à l’identique sa 5ème symphonie ou quelqu’un d’autre que De Vinci peindre à l’identique sa Joconde.



C’est normal que l’on retienne les noms de ces personnes, cela permet d’avoir des repères et puis on aime bien admirer et “aduler”, je crois que c’est dans les gènes de l’espèce ça, la preuve c’est qu’on a même inventé dieu… Hélas… <img data-src=" />





1/ Bien sûr, et cela confirme seulement ce qu’il a voulu dire : le progrès est une chaîne ininterrompue à laquelle participe nombre de personnes qui ajoutent à la somme du savoir en se servant de l’existant trouvé par d’autres. Ces découvreurs ont assez d’humilité pour le reconnaître (en général).



2/ Ok avec ça.



3/ La simple différence entre création (pas de limite) et découverte (limites naturelles).



4/ Il faut aussi savoir rendre à César ce qui lui appartient.


Le 16/12/2012 à 15h 28







gavroche69 a écrit :



Je suis allé jeté un oeil et comment dire ?

Qui me dit que ce n’est pas aussi un piège grossier ?

Et puis rien que le fait de mettre en avant qu’il y a plus de 300 citations de libéraux célèbres, ça me refroidit.



Je déteste complètement cette notion de leaders et je trouve abjecte la notion de “maître à penser”… Bien sûr c’est une image mais je la trouve affreuse.

Si on a besoin d’un maître pour penser, autant ne pas exister…



Les hommes (ou femmes) providentiels n’existent pas, n’ont jamais existé et n’existeront jamais. Cette manie de glorifier tout et n’importe qui, du footballeur analphabète en passant par la vedette de cinéma à l’ego démesuré pour aller jusqu’au philosophe qui s’écoute parler ou au politicien qui s’écoute promettre, ça me gonfle.



Cette manière aussi de décliner des noms propres en adjectifs pour bien marquer la soumission à tel ou tel leader de mes deux c’est l’horreur.

Sérieusement, comment peut-on être gaulliste, chiraquien, staliniste ou même carrément copéiste, filloniste, hollandiste, sarkosiste (puisque visiblement la médiocrité ne fait pas peur) ? Faut-il à ce point avoir peur de la liberté et être privé de pensées personnelles pour aller se ranger dans telle ou telle si petite case ?



Heureusement qu’on peut apprécier des gens pour différentes raisons sans en faire des dieux ou des leaders pour autant.



Bien sûr il faut lire et même beaucoup pour se faire des idées sur ce qu’on ne connait pas et apprendre des choses dans plein de domaines, mais si c’est pour se faire uniquement les idées des auteurs ça n’a aucun intérêt.

Forcément que nos idées sont plus ou moins influencées par nos lectures puisqu’on démarre dans la vie avec juste l’instinct de l’espèce et un capital connaissances de zéro, mais il faut savoir garder un minimum de libre arbitre même si ce n’est pas toujours évident. L’humain est quand même censé être un “être pensant” et si possible avec son cerveau, pas avec celui des autres.



Je le répète, il vaut mieux se tromper avec ses propres idées que d’avoir raison avec les idées des autres. En cela je reconnais que je suis farouchement individualiste et répugne à toute notion d’opinion de masse. L’individu est unique et intéressant, la foule est un prédateur d’individus et n’a aucune valeur morale ni aucun intérêt puisque la foule ne pense pas ou si peu.



Des milliers de gens qui gueulent la même chose au même moment, que ce soit pour un match de foot ou pour acclamer un orateur quelconque, ça me gêne voire même ça m’angoisse même si j’admets que c’est quand même moins inquiétant dans le cas du foot (quoi que)…



C’est étonnant de la part d’un “gauchiste” non ? <img data-src=" />

Comme quoi nul n’est parfait…

Il est évident que tout ceci n’est que mon humble avis et n’engage que moi.



Bon j’ai un peu (beaucoup) dérivé mais c’est pas bien grave après tout, que seraient les forums sans dérives ?… <img data-src=" />





C’est une peur bien compréhensible et que je partage. Cela dit, j’ai appris depuis longtemps à faire abstraction des gens. Ce sont les idées qui m’intéressent et la logique du cadre dans lequel elles évoluent. En cela, les “maîtres à penser” ne sont que des mèches : le feux d’artifice doit venir de soi-même. Et ce sont des “maître à penser” (infinitif), pas des “mètres à pensées” (nominatif), si je peux me permettre ce jeu de mots facile.



Je suis aussi assez humble et reconnaissant pour le reconnaître, comme Newton avant moi <img data-src=" />:



If I have seen further, it is by standing on the shoulders of giants.





Un gauchiste libertarien est une espèce en voie de disparition, non ? <img data-src=" />



Sinon le bouquin est bien foutu (surtout les dialogues détournés dans les bulles de BD) et pas prise de tête (3-4 pages par idées, BD comprise). Si tu es un gauchiste convaincu, il pourrait même t’aider à ré-affuter tes arguments ou d’en trouver des nouveaux parce que les 36 principaux mythes anti-libéraux y sont cliniquement taillés en pièces de manière assez humoristique. Il se peut même que tu découvres que tu es un libéral sans le savoir …


Le 16/12/2012 à 11h 35







gavroche69 a écrit :



Je préfère ce genre de discours (même si je n’y adhère pas totalement) que celui qui consiste à sortir les vieux poncifs du style “Marxiste”, “Gauchiste” et autres “Socialo-communiste”…



D’ailleurs je note que les adeptes du libéralisme exècrent le communisme sauf quand il est source de profits, il suffit de voir les courbettes que font les “grands” financiers devant les dirigeants Chinois qui ont pourtant instauré un régime à faire passer l’ex l’URSS pour un modèle de démocratie…



Payez, payez et il vous sera beaucoup pardonné… <img data-src=" />



Voir le vieux dassault parler de cette formidable Chine avec pratiquement les larmes aux yeux, c’est à mourir de rire ou à vomir, au choix… <img data-src=" />





1/ Je résume généralement toutes ces doctrines sous l’étiquette ‘collectivistes’ (à laquelle tu peux y ajouter les fascistes, nationalistes, nazis, staliniens, etc). Ils ont tous comme point commun la négation des libertés pour leur profit.



2/ “grands financiers devant les dirigeants Chinois” : je ne sais pas quelle définition tu as du libéralisme mais la mienne exclue :

a) les “grands financiers” : les banques qui sont les laquais des Etats qu’ils financent sur notre dos, et les corporations/lobbies qui s’accoquinent avec les gouvernants pour duper le marché (le terme US intraduisible est rent-seekers) ;

b) les “dirigeants” (Chinois ou autres) qui s’accaparent et restreignent nos libertés pour saupoudrer les richesses volées aux travailleurs et aux producteurs à leurs futurs votants et s’attirer leurs bonnes ‘grâces’.



Donc non : qualifier les exactions de ces parasites de “libéralisme” est non seulement incorrect, mais c’est un total contresens (mais très courant : il fait partie des mythes soigneusement entretenus par les-dits collectivistes pour avancer leurs idées liberticides).



Si cela t’intéresse d’éviter de tomber dans ces pièges grossiers, je recommande Pulp Libéralisme (très facile d’accès, style BD et qui torpille les mythes les plus courants : la page de garde donne le ton).


Le 15/12/2012 à 21h 40







gavroche69 a écrit :



Ben tu vois que parfois on arrive à être d’accord, 3 points sur 6 ça nous fait la moyenne et c’est carrément un miracle !! <img data-src=" />



Pour le point 6 je trouve juste que tu emploies un vocabulaire très dur limite injurieux pour des gens que finalement tu ne connais pas (et moi non plus d’ailleurs).

D’autant que je ne pense pas que ce soit un comportement typiquement plus Français que n’importe qu’elle autre nationalité. Comme je l’ai déjà dit par ailleurs, si les richesses étaient aussi bien réparties que la connerie au niveau mondial la misère n’existerait pas…



Le problème étant que si tout le monde est plus ou moins con (question de point de vue) tout le monde n’est pas plus ou moins riche (au sens fric du terme évidemment).



I am over the top… Je note… <img data-src=" />





1/ Quand les commentaires sont raisonnables, il n’y a pas lieu de contredire ou critiquer.



2/ “Un vocabulaire fleuri” est tout ce je j’accepterai comme critique <img data-src=" />



3/ C’est vrai : la misère est in fine la conséquence d’une mauvaise répartition des richesses. Cette mauvaise répartition volontaire est le résultat du bafouement récurrent dans le temps et l’espace des libertés fondamentales (droit de propriété, liberté de commercer) par une élite dirigeante qui s’accapare les pouvoirs et l’économie à son profit exclusif (il suffit de regarder l’Histoire).

Il n’existe qu’un seul mécanisme acceptable (pour un humaniste respectueux des libertés) permettant une répartition naturelle et socialement optimale des richesses : il n’a même pas besoin d’être inventé, il apparaît spontanément, s’auto-organise et se coordonne tout seul sans avoir besoin d’une maîtrise d’œuvre centralisée.



4/ “tout le monde n’est pas plus ou moins riche (au sens fric du terme évidemment)” : si c’était le cas, je n’aurais plus la satisfaction de ruiner les pseudo-argumentations économiques et morales des collectivistes de tous poils.



5/ J’aime bien cette expression US : courte mais expressive <img data-src=" />


Le 15/12/2012 à 18h 50

1/ La culture a à voir, c’est même le sujet de la réflexion initiale de von-block (cf le post de von-block).



2/ Hors sujet : la réflexion était sur la salubrité de la culture asiatique.



3, 4 et 5/ Tout à fait d’accord. Mais personnellement, je n’ai rien contre ceux qui pratiquent leurs traditions (du moment qu’elles n’interfèrent pas avec la liberté et la propriété d’autrui).



6/ Je n’ai pas donné d’avis sur quoi que ce soit dans ce fil, mais ai répondu (métaphoriquement) sur la façon très française (= hautaine, = je sais mieux que les principaux intéressés ce qui est bon pour eux) de donner son jugement sur des cultures que l’on ne connaît pas avec une absence totale d’autocritique (les français n’étant pas spécialement reconnus pour leur haut niveau d’hygiène et de propreté).

Donc, dans le cas présent, tenter de me faire la morale sur mon intolérance supposée est un peu over the top, comme disent nos amis US.

Le 15/12/2012 à 16h 14







gavroche69 a écrit :



Y’a des fois où je me remets en question et que je me demande si j’ai raison de penser ce que je pense…

Et puis y’a la miss tmtisfree qui vient cracher son venin ultra libéral et subitement je n’ai plus de doute !! <img data-src=" />



Je ne sais comment te remercier chère Miss, d’autant que tu es vraiment de pire en pire à considérer tout le monde comme étant inculte, tout le monde sauf ta grandeur bien sûr… <img data-src=" />





1/ Tu as dû te tromper de thread (re : “cracher son venin ultra libéral”) ;.

2/ Les barbares irrespectueux des cultures étrangères sont insupportables de suffisance : sans doute la perte de l’empire hante-elle encore leur nuits agitées de couronnes ou autres artifices de pouvoir. Leur morale ‘civilisatrice’ est aussi puante que leur idéal sociétal uniforme et anti-humain.


Le 14/12/2012 à 19h 23







moxepius a écrit :



Donc sous prétexte que c’est pire ailleurs on devrait trouver ça normal…







Réflexion typique de l’occidental moyen jamais sorti de son trou mais aussi hautain, incultivé et mieux-pensant que le coquelet pseudo-civilisé de basse-court avec ses 2 pieds dans la mouise chantant de bon matin (et juste avant le couteau de cuisine).


Le 14/12/2012 à 17h 55







dealwithit a écrit :



C’est clair qu’avec cette news, le capitalisme ultra libérale c’est franchement mieux <img data-src=" />





C’est vrai que rester paysans à gratter la terre pour se nourrir de racines (quand elles poussent), c’est le rêve ultime.



Ce ‘reportage’ est tout à fait dans le politiquement correct issu du marxisme culturel ambiant qui consiste à cracher sur le méchant consommateur occidental exploiteur de main d’œuvre bon marché, alors que c’est précisément la manière dont le tiers monde sortira de la pauvreté.



Foxconn a trouvé la solution pour résoudre le problème des couineuses occidentales : robotisation. Une information bizarrement omise dans le ‘reportage’.



Finalement, dans quelques années et pour les mêmes raisons, on aura de nouveau droit à un autre ‘reportage’ essayant de nous stigmatiser pour les millions de pauvres chômeurs chinois remplacés par des robots qui ne demandent rien, eux.



Mais que ne ferait-on pas pour conserver son fond de commerce idéologiquement inique. Rendez-vous compte, plus de pauvres pour essayer de nous culpabiliser !


Le 14/12/2012 à 17h 33



« Il y avait une deadline, qui était hier soir, et la position de la France a été connue lors de cette deadline ». Selon Bercy, ce silence était en fait « juste une question de timing : le temps de la négociation, de la politique, de la diplomatie internationale… n’est pas le temps des médias. Ce qui compte, c’est le fond », nous a-t-on expliqué.



On avait compris depuis longtemps que les médias, ce n’est que la forme pour distraire le bon peuple avec des cacahuètes pendant que leurs seigneuries non élues jet-settent pour palabrer aux quatre coins de la planète au chaud et à nos frais.



Mais comme c’est pour notre bien, autant garder tout cela secret. De toute manière le bon peuple ne ‘comprend’ que le 20h (et éventuellement l’émission d’infotainment qui suit [au mieux]).

Le 14/12/2012 à 14h 26







yvan a écrit :



Sont trop occupés à communiquer sur notre dame des landes pendant que l’Europe défend la réduction du trafic aérien et des émissions de CO2 à dubaï.

<img data-src=" />





A Doha en fait. On confond vite une conférence onusienne avec une autre tant elles se ressemblent au niveau de la méthode anti-démocratique, le consensus mou inobtenable, inintelligible ou non-sensique et de leur résultats systématiquement nuls (et ça c’est une bonne nouvelle).