Je ne me rappel plus très bien ce que tu avais dis à propos de ton égo mais je crois que tu viens de démontrer que c’était faux.
Ma mesure (relative) de ta personne n’apporte aucune information sur la mienne. Endgame.
Le
24/01/2013 à
14h
57
TaigaIV a écrit :
…
Never argue with idiots because they will drag you down to their level and then beat you with experience.
Le
24/01/2013 à
14h
42
TaigaIV a écrit :
Un classique du cliché. Il faudrait innover un peu. C’est désespérant.
L’impolitesse (couper la parole) pour répéter bêtement ne grandit pas son auteur.
Le
24/01/2013 à
14h
41
batoche a écrit :
==> L’erreur grotesque est d’attribuer cette réalité à la gestion par une entité plutôt qu’une autre.
Ce n’est pas une erreur : c’est son point.
C’est peut-être valable pour une autre entité mais ce n’est pas ce qui intéresse l’auteur, et moi non plus d’ailleurs d’où ma citation. Ma citation est donc contextuellement appropriée parce qu’elle est en rapport direct avec le sujet.
Le
24/01/2013 à
14h
36
uzak a écrit :
Bien sûr que les entreprises nuisent à nos intérêts… Total par exemple. C’est absolument pas dans mon intérêt d’avoir une marée noire chez moi.
Tu comptes faire une généralisation abusive de tous les événements qui sont survenus depuis la nuit des temps ?
uzak a écrit :
Tu confonds facilement anarchie et liberté.
Je ne confond pas et connais leur différence. Merci.
uzak a écrit :
Faut rappeler que la liberté, c’est pas de faire ce que tu veux. C’est de faire ce que tu veux, tant que ça n’empiète pas sur les libertés de ton voisin.
Les droits naturels (liberté et propriété) viennent, comme écrit plus haut (et que tu aurais lu si tu t’étais donné la peine), avec des grandes responsabilités (celles que tu cites par ex.).
uzak a écrit :
Et c’est justement un Etat et une société qui définit où est la limite entre ta liberté et celle de ton voisin. Et la police qui applique cette limite.
Tu as bien retenu la leçon de l’école étatique (qui défend donc bien son bifteck). Sauf que la possibilité d’atteindre cette société par la loi ne requiert pas l’existence d’un groupe d’individus (l’État) qui nie (partiellement ou totalement) ces droits. Ce point est discuté et analysé valablement par Friedman.
uzak a écrit :
La liberté comme tu la décris, c’est juste la loi du plus fort.
“Tous les animaux sont libres et égaux, mais le cochons plus que les autres…”
Un classique du cliché. Il faudrait innover un peu. C’est désespérant.
Le
24/01/2013 à
14h
23
TaigaIV a écrit :
Une fois de plus tu te prends pour une référence, ce que tu n’es strictement pas.
Fort heureusement, je n’ai pas d’égo surdimensionné.
TaigaIV a écrit :
Je sais déjà ce que tu vas répondre à ces commentaires, ne te donnes pas la peine de me donner raison et de continuer, essai plutôt de revenir sur tous les points que tu as esquivé. Ta suffisance ne te donnera pas raisons.
Raison : j’emploie de nom seulement dans son sens objectiviste (ie ‘raisonnable’). Les petites cuisines de chapelle des égos m’indiffèrent.
Le
24/01/2013 à
14h
16
TaigaIV a écrit :
Il ne la surtout pas compris comme toi.
C’est son droit. Et ?
TaigaIV a écrit :
Pas de logique dans ta réponse, il n’est pas libre, en fait si, il l’est autant que d’arrêter de respirer.
Ah, je vois qu’on torture le sophisme jusque dans ces derniers retranchements.
Le
24/01/2013 à
14h
13
batoche a écrit :
Comme elle est issue d’une grotesque faute de raisonnement
Qui est ?
Le
24/01/2013 à
14h
09
TaigaIV a écrit :
" /> Le marché réclame des vierges et des organes neuf (pas automatiquement dans le même emballage mais si c’est le cas c’est pas grave).
Salaud d’état qui oblige à passer par de petits entrepreneur qui sont obligés de ne pas avoir de status pour exercer leurs nobles activités.
? Pas de rapport intelligible.
TaigaIV a écrit :
Si tu considères qu’appliquer le point de vue d’une minorité à un ensemble est factuellement correct, oui ton propos est factuellement correct. Il est aussi intellectuellement mal honnête (comme la pirouette que tu fais juste en dessous).
Impossibilité logique. Si les faits sont corrects, ils se suffisent à eux-mêmes.
TaigaIV a écrit :
C’est vrai que ce n’était pas très jolie de ta part de dire que les transports en commun sont de plus en plus géré par le privé et que celui-ci a comme intérêt celui de ses clients.
Comme quoi, certaines fois, l’ironie paye.
Le
24/01/2013 à
14h
04
TaigaIV a écrit :
Le monsieur ne dit pas que la citation est inappropriée, il dit qu’elle est stupide et explique pourquoi.
Il n’a fait que paraphraser sans comprendre le but de la citation.
TaigaIV a écrit :
C’est bien pour ça qu’il se demande pourquoi quelqu’un en vie à sa place.
Pas de logique dans cette réponse.
Il a volontairement et librement signé un contrat pour échanger son temps de main d’œuvre contre de l’argent. C’est une valeur contre une autre valeur. S’il veut payer pour travailler, libre à lui d’aller voir ailleurs.
Le
24/01/2013 à
13h
57
TaigaIV a écrit :
Je vois que tu es en pointe pour tenter de ridiculiser les avis qui ne te conviennent pas en exagérant le propos et l’importance de certains extrémistes.
Mon Dieu non. Je ne me vois pas défier un expert sur son terrain. Mais mon propos (sarcastique) est factuellement correct
TaigaIV a écrit :
Je sais, nous n’avons pas encore atteint le haut degré de conscience des Somaliens qui ont réussi à ce détacher de l’état et de sa mains mises, ils ont d’ailleurs le système de transport en commun le plus efficace et le moins cher du monde, loin devant New-york ou Londres.
Je prend un extrême et je tente de généraliser gaiement (en pensant probablement que plus c’est gros plus ça passe. " />).
Le
24/01/2013 à
13h
51
ActionFighter a écrit :
Alors que grâce à la libre circulation des biens et des personnes, on pourrait importer des pousses-pousses chinois qui ne coutent que quelques grains de riz par jour.
Si le marché le demande.
Le
24/01/2013 à
13h
43
Wiistiti a écrit :
Et l’accaparement du fruit de mon travail par le patron ?
Tes services ne sont pas gratuits.
Le
24/01/2013 à
13h
42
TaigaIV a écrit :
Merci pour le vent mais je vis dans une société moderne qui ne dépend pas des éléments pour ces déplacements, je peux prendre le bus et toute une série de moyen de transport qui nécessite un minimum d’organisation.
C’est mal et le goulag t’attend si tu ne modifies pas immédiatement ce comportement égoïste. Car selon les collectivistes (verts), l’énergie éolienne est l’avenir énergétique de l’Homme car les bus rejettent du CO² qui, toujours selon eux, augmente (ou participe à augmenter) la température atmosphérique, chose que personne n’a pu “démontrer” autrement que par des modélisations à l’aide d’un tel nombre de paramètres tous plus tunable les uns que les autres que von Neumann a dû se retourner plusieurs fois dans sa tombe en maudissant la climato-numérologie.
Dans le monde “la série de moyen de transport qui nécessite un minimum d’organisation” est gérée de plus en plus par ces entreprises qui cherchent à nuire à leurs clients.
Le
24/01/2013 à
13h
22
batoche a écrit :
Toute richesse viendra originairement de lui, de toute façon. Cela n’est pas spécifique à une gestion gouvernementale.
Le point discuté est celui de l’accaparement par l’État (ou le gouvernement). Donc la citation est appropriée.
Le
24/01/2013 à
13h
19
TaigaIV a écrit :
Merci de me signaler que certaines choses m’échappent, je vais écouter ton avis de spécialiste sur le sujet et prendre les mesures nécessaires. Par contre je ne perdrais pas de temps à répondre à ta vision manichéenne et étriquée du paragraphe suivant.
Il n’y a pas de § suivant.
TaigaIV a écrit :
Tu exprimes enfin ta position, tu m’en vois fort heureux.
Manifestement, la pratique de l’enfantillage peut perdurer même à l’âge dit adulte. Ceci explique tout ce qui précède, donc.
Bon vent.
Le
24/01/2013 à
13h
06
TaigaIV a écrit :
J’ai un peu de mal à comprendre ce qu’il y a de satisfaisant à faire de l’élevage de sociopathe. Je n’insisterais pas sur cette histoire de fiat qui est un peu la Lada du monde capitaliste.
Tu peux être sarcastique mais le manque de fond de ta réponse suffit à démontrer que tu as parfaitement compris que tu es sur le mauvais chemin.
Très bien cette suite d’affirmation qui en quelque lignes résument toute la profondeur de la pensée française, celle dont nous sommes si fière, celle du café du commerce.
Pas d’argument donc. Une retraite en bonne et due forme vaudra toujours mieux qu’un étalage d’artifices cliniquement mort-nés. Oups.
Le
24/01/2013 à
12h
57
TaigaIV a écrit :
Toi aussi tu es en mode je fais les questions et les réponses ? L’innocuité évidente des entreprises c’est dans quelle table de la loi, celle de Picsou ou de Groquik ?
Elles étaient rhétoriques (cela t’a échappé).
Je dirais, à te lire, que l’intérêt bien compris de toutes ces entreprises est – évidemment – de te piller, te voler, restreindre tes droits à contracter librement, et éventuellement de t’emprisonner par leur milice bien connue, voire te tuer pour ne plus avoir enfin le désagrément de t’avoir comme client et donc ruiner leur business en paix. C’est logique et raisonnable.
Le
24/01/2013 à
12h
41
TaigaIV a écrit :
Donc tout le monde est content, je ne vois pas pourquoi tu cherches des problèmes la ou il n’y en a pas.
Il est pourtant simple de comprendre que si qui que ce soit se permet de disposer de tes droits, par fiat ou lois, pour son intérêt, forcément le tien n’a plus d’importance pour lui. Même mes gamins ont compris cela rapidement.
TaigaIV a écrit :
Ben oui, pas de chef, par exemple le chauffeur du bus ira où il voudra au lieu de suivre l’itinéraire prévu et participer à l’épanouissement du groupe et de la société. Tu vois bien que ton système ne peut pas aller bien loin, en tout cas pas en bus.
L’analogie foireuse de la voiture manquait. Son degré de complexité est bien évidemment comparable avec celui que constitue l’interaction d’une multitude d’individus aux intérêts propres et différenciés … (sarcasme inside)
Ce qui explique la phrase d’après sans doute.
TaigaIV a écrit :
Je t’arrête tout de suite, il est évident qu’il n’est pas possible d’écrire quoique ce soit de profond dans cette langue barbare.
Je t’en offre une autre pour le plaisir.
Les énormes récompenses et les avantages qui sont généralement liés à l’emploi public avivent grandement l’ambition et la cupidité. Ils créent une lutte violente entre ceux qui possèdent des postes et ceux qui en souhaitent. … Entre les mains d’un gouvernement, une grosse somme fait naître de fâcheuses tentations. Le public profite rarement, je n’ose pas dire jamais, d’un trésor dont il a fait les frais : car toute valeur, et par conséquent toute richesse vient originairement de lui.
Suis-je le seul que la surveillance de mon pays dérange moins que la surveillance, autrement plus importante en nombre, d’entreprises privées (de mon pays ou d’un autre…) ?
Pourquoi ? Ces entreprises ont-elles déjà nuit à tes intérêts, projettent-elles de le faire, en ont-elles seulement les moyens, et est-ce dans leur intérêt ? La seule réponse honnête est non.
Par contre on peut aisément montrer que l’État a déjà nuit (absolument ou relativement) à tes intérêts dans à peu près tous les domaines.
Le
24/01/2013 à
12h
16
ActionFighter a écrit :
C’était couplé avec mon abonnement à “Alain Madelin Magazine”, mais j’ai toujours pas trouvé l’adresse pour résilier " />
Pas étonnant, ces droits sont naturels (ni négociables ni aliénables).
Le
24/01/2013 à
12h
10
TaigaIV a écrit :
Si on peut se passer d’entremetteur pourquoi en reste il ?
Facile : il défend ses intérêts parce que les individus qui le composent défendent les leurs.
TaigaIV a écrit :
Pour ce qui est de la dictature c’est dans la nature, dans toutes les meutes il y a un chef et c’est très bien comme ça.
C’est ton opinion qui n’est pas partagée. Aucun individu n’a besoin d’un chef pour estimer ce qui a de mieux pour lui.
C’est justement l’erreur fatale des collectivistes : ils pensent que les individus ne sont pas assez intelligents pour penser par eux-mêmes, et il faut donc qu’ils le fassent à leur place. L’impossibilité théorique et pratique à connaitre les besoins différents de tous les individus les forcent à essayer de mettre tout le monde dans le même moule (“équité”, “égalité”, “justice sociale”, etc) : ça n’a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais car les postulats de départ sont faux et les et moyens employés déficients.
The great movement toward government has not come about as a result of people with evil intentions trying to do evil. The great growth of government has come about because of good people trying to do good. But the method by which they have tried to do good has been basically flawed. They have tried to do good with other people’s money. Doing good with other people’s money has two basic flaws. In the first place, you never spend anybody else’s money as carefully as you spend your own. So a large fraction of that money is inevitably wasted. In the second place, and equally important, you cannot do good with other people’s money unless you first get the money away from them. So that force – sending a policeman to take the money from somebody’s pocket – is fundamentally at the basis of the philosophy of the welfare state.
Milton Friedman, 1978. Tax Limitation, Inflation & the Role of Government.
Le
24/01/2013 à
11h
54
ActionFighter a écrit :
Arrêtes un peu avec tes délires collectivistes.
Tu es malade. Ton cerveau est malade, gangréné par des années de propagande étatique.
Ouvres ton esprit et tu verras que seule la Main Invisible possède tous les pouvoirs pour résoudre nos problèmes.
Ouvres ton esprit, et rejoins nous.
Encore un abonné à vie de “Mythes et Mythos”. La résiliation doit être payante.
Le
24/01/2013 à
11h
53
TaigaIV a écrit :
La tienne aussi puisque sans l’armada dont tu te plaints, les outils permettant la mise en commun des moyens pour le confort de tous (école, hôpital, prison, rond points) et l’utilisation légitime de la force tu ne pourras pas organiser d’élection. Les élections te permettent de t’exprimer, elles sont la prise en compte de ton avis. La démocratie n’est peut-être pas le meilleur des systèmes mais a-t-on trouvé mieux que la dictature de la majorité ?
Tu décris le système actuel comme sa propre justification : ce n’est logiquement pas valable. La mise en commun des moyens peut très bien être faite, et est réalisée tout les jours à toutes les échelles, sans entremetteur qui prive les individus de leurs droits. Toute dictature (politique) est par nature inacceptable car elle ne respecte pas – et ne peut pas respecter – les droits des individus.
Le
24/01/2013 à
11h
21
TaigaIV a écrit :
Tu crois vraiment que si on laissait tout le monde faire ce qu’il veut tu pourrais être libre et bien non.
Tu fais les demandes et les réponses : c’est plus facile. Tu peux démontrer ce que tu avances au moins ? Voyons voir.
TaigaIV a écrit :
Sans les forces de maintiens de l’ordre du serais obligé de rester chez toi pour empêcher des hordes de barbares de venir abusé sexuellement ta tortue d’eau et manger ton hamster (ou l’inverse).
C’est déjà le cas. Si je ne me plie pas aux règles qu’on m’a imposé (personne ne m’a demandé mon avis et ne me laisse maintenant le choix), on m’envoie la cavalerie étatique (fiscale, para-sociale, policière ou martiale) pour m’y contraindre par la violence (privation de ma liberté) et la spoliation (privation de ma propriété), tous droits qui pré-datent l’existence même de l’État.
Si on justifie l’existence de la force armée, c’est parce que l’on a interdit aux personnes les moyens de se défendre. Absence d’État n’implique pas absence d’ordre quand les droits sont parfaitement définis.
Ta démonstration se ruine d’elle-même.
Le
24/01/2013 à
10h
11
La France, troisième État à réclamer le plus d’infos utilisateurs
Il me semblait que Liberté et (cyber-)police était des termes antinomiques, qu’espérer le premier en subissant le second était impossible. On nous aurait menti ?
Tu peux utiliser tous les adjectifs non pertinents que tu veux ; il se trouve qu’une philosophie basée sur le droit naturel sera toujours préférable à une doctrine basée sur des principes posés a priori pour les intérêts de leur auteurs.
Une philosophie du droit n’a pas non plus besoin d’explication téléologique a posteriori : elle est consistante et non-contradictoire avec elle-même. C’est un truisme de dire que, tout simplement, elle est.
Les droits de liberté et de propriété et les responsabilités qui la définissent sont non seulement naturels et universels, ils sont les seuls à respecter l’intérêt de tous, ce que les collectivistes ont dévoyé en “intérêt public”, “général” ou “collectif” pour leur servir de levier d’ingénierie sociale perverse car pour leur intérêt propre (cf l’Histoire) : ces droits sont humains.
peter macaloai a écrit :
1/ De principe pour l’intérêt général, mais en tant que bon libertarien tu ne vois que l’intérêt particulier, ce premier devant être nécessairement régalien (enfin le jour où vous vous mettrez d’accord sur les limites de l’état).
Les droits naturels précèdent et préemptent tous les autres. Ils ne se subsument sous aucune autre catégorie artificielle (étatique, associative, collective ou autres). L’intérêt de tous ne peut exister si les intérêts particuliers ne sont pas d’abord satisfaits : il s’en suit que si tel est le cas, l’intérêt dit “général” est donc lui aussi logiquement satisfait. C’est mettre la charrue avant les bœufs que de procéder autrement (cf maintenant).
Les limites de l’État sont claires : le respect des droits de chacun implique nécessairement que sa taille optimale soit zéro, ses limites sont donc nulles.
Cela dit, la triste réalité actuelle étant ce qu’elle est (grignotage progressif des libertés et propriétés par l’application vicieuse du gradualisme politique (les politiques honnêtes prennent aussi des décisions en permanence sans en mesurer les conséquences inattendues car l’humain a du mal a se projeter autrement que linéairement dans le futur), certains pensent qu’un minimum d’État/gouvernement est inévitable, nécessaire et/ou indispensable suivant des tendances, opinions ou positions (qui sont toutes respectables bien qu’entièrement discutables et discutées âprement).
Il n’en reste pas moins que le fil de l’Histoire tend vers toujours moins d’arkhê : le mouvement est donc dans le bon sens, mais le chemin n’est pas rectiligne.
peter macaloai a écrit :
2/ Raison de plus pour garder un espace de débat et de liberté tel que le net aujourd’hui. Grâce à lui les politiques se retrouvent de plus en plus face à leurs contradictions.
Tu es donc d’accord sans le dire. Le meilleur moyen de conserver un espace de liberté (sur le net ou ailleurs), c’est de le laisser libre d’évoluer comme ses acteurs l’entendent. Si les acteurs préfèrent proposer et/ou payer pour des services différenciés avec une QoS digne de ce nom, pourquoi cela fait-il débat chez ceux que cela ne concerne pas (les politico-bureaucrates), si ce n’est pour mettre main sur le seul espace qu’ils ne régentent pas encore ?
peter macaloai a écrit :
3/ Au delà de l’aspect trollesque de ta phrase, l’économie va des fois à l’encontre des gens, tout comme le politique va des fois juste au service de lui même. Le public veut dire ici prendre des décisions que le privé par cupidité irait à l’encontre. Il y a ainsi des institutions privées qui sont reconnues d’utilisée publique.
Au delà de la vue puérile du ‘bon public contre le méchant privé’, il suffit d’observer qu’elles sont les entités et activités qui donnent aux gens ce qui les intéressent et satisfont leur besoin dans tous les domaines de leur vie, et comparer avec celles contre lesquelles les gens râlent et se moquent en permanence pour distinguer la réalité de la mythologique.
Les individus qui composent les choses publiques ne sont pas différents des autres quand il s’agit de leur intérêt (cf œuvre de J. Buchanan, récemment décédé). Ceux qui améliorent au quotidien la vie de leurs semblables (le “privé”) ne passent pas leur précieux temps à s’en vanter : il le font et réussissent.
La différence entre les étatistes et ceux qui préfèrent la voie naturelle, c’est que les premiers se sont donnés pour mission que l’ordre (leur ordre en fait qu’ils ont définis variablement) ne peut être établis que par la violence, c’est à dire la nécessaire négation partielle ou totale des droits humains fondamentaux.
Les seconds pensent que ces droits nous définissent d’abord, et qu’ils doivent primer sur tout le reste si l’humain veut rester humain. Cette déontologie est évidemment en opposition avec la vision téléologique exposée plus haut. En ce sens, les étatistes ne sont pas différents des sectaires, religieux et créationnistes de tous poils.
Le
23/01/2013 à
16h
47
inacceptables, aussi bien d’un point de vue économique qu’au regard de nos droits fondamentaux à l’ère numérique
1/ la diminution des prix et l’adaptation de l’offre sont des modalités inhérentes à l’activité économique : la soit-disante neutralité d’internet n’est qu’une position morale de principe, pas économique ;
2/ nos droits fondamentaux réels (liberté, propriété) sont déjà bafoués depuis trop longtemps par la clique politico-bureaucratique en mode soviet-like ;
3/ le “public” est dans tous les cas le “privé” : la distinction volontaire mais erronée des collectivistes entre ces termes ne sert qu’à masquer la réalité de leur pouvoir de division pour régner : l’économie est nécessairement au service des gens, alors que les politiques sont au service d’eux-même.
Ce n’est pas parce que deux disques font partie d’une serie defectueuse qu’ils vont tomber en panne pile poil en même temps.
Les pannes peuvent provenir de firmwares buggés.
Le
23/01/2013 à
16h
34
Drepanocytose a écrit :
2 commandes, ca suffit déjà.
Bon, pour des modèles Entreprise je comprends, mais pour ceux qui montent leur NAS avec des HDD cheap (ce que je comprendrais très bien vu les tarifs actuels du Go), ca a un intérêt.
Je ne vois pas trop l’intérêt avec seulement 2 commandes de disques cheap.
Si le but est d’éviter des défaillances en série, c’est raté car il restera toujours au moins 2 disques de la même série pour tout volume Raid de 5 disques (mon cas). Comme sur un volume le max. de disques spare est 2 (IMHO, sur SHR2 en tout cas), la possibilité que 2 disques crashent en même temps existe toujours.
Le
23/01/2013 à
15h
53
Drepanocytose a écrit :
Pour info, mentionnons qu’il est préférable de prendre ses HDD dans des séries différentes, par exemple en les achetant chez des boutiques différentes.
Hors de question (pour moi). Quand j’achète une série pour remplacement, j’en prend 6 (5 + un spare) d’un coup, je ne me vois pas faire 6 commandes différentes.
Le risque de panne est vraiment epsilon sur les modèles Enterprise et même si il y a un problème, mes données sont répliquées 2 fois en plus des données d’origine. Donc non.
Ce stupide parser est une antiquité (!), il ne comprend pas le grec.
Le
23/01/2013 à
15h
30
Glyphe a écrit :
Je compte acheter le DS1812+ comme premier NAS, autant partir sur du grand et large tout de suite. Tu utilises quoi comme disques dans les tiens ?
J’ai regardé et les WD Red me semblent assez adaptés non ?
Que des Hitachi (quasiment depuis que Quantum n’en fait plus). J’utilise des modèles Enterprise (les Ultrastar) qui sont plus adaptés à un environnement Raid.
Pas de panne matériel, juste 2 plantages par surchauffe des disques (environnement corrigé depuis) des volumes Raid que le service Synology a dépanné 2 fois à distance depuis Singapour (2 dimanches) : autant dire que je suis très satisfait.
Le
23/01/2013 à
11h
10
icna99a a écrit :
Le problème du NAS c’est que c’est additif.
J’ai commencé par un deux baies, je l’ai remplacé par un 4 baies au bout d’un moment et maintenant je louche sur les 8 baies.
Que du bonheur.
Addictif, très certainement.
J’ai commencé par un Synology DS1010+ (5x4 To) rapidement complété par une unité d’expansion DX510 (5x3 To).
Les besoins augmentant plus vite que prévus, un DS1511+ (5x3 To) et une autre unité DX510 (5x2 To) sont venus compéter l’installation.
Évidemment il me reste maintenant sur les bras une dizaine de disques (1 et 2 To) qui étaient à l’origine sur le couple DS1010+/DX510. Un Synology DS1812+ va donc bientôt rejoindre l’escadron de stockage initial pour un espace utile final d’environ 60 To (sauvegardes sur volumes indépendants comprises).
Le tout automatisé (et pilotable à distance) pour éviter les prises de tête.
Et comme dit Von-block ci dessus, des clients qui payent plus cher parce que c’est forcément plus mieux, j’en connais aussi.
Ce n’est pas la seule explication possible.
J’ai préféré acheter des licences complètes parce que je ne veux pas faire de mise à jour vers Windows8 mais des rétrogradations vers 7 tout en me laissant la possibilité d’upgrader le moment venu (je suis passé à Seven l’année dernière seulement, le dernier Win98 a été mis à jour en XP aussi en début d’année et j’ai encore un DOS qui traine).
Donc la seule manière d’avoir Seven tout en ayant la possibilité d’aller vers Win8 plus tard est d’acheter la licence complète (OEM). Le prix d’une licence 7 Pro est identique d’ailleurs.
Le
23/01/2013 à
15h
39
280 € la licence ? Les 2 achetées récemment m’ont couté ~140 € l’unité juste pour pouvoir rétrograder en Windows 7 Pro au cas où. Ça va vraiment faire cher l’OS à ce prix là.
Et pour un non pro du langage informatique et qui n’a jamais compris la différence entre toutes ces version de java disponibles (java pour windows, java pour le browser etc…) vous avez un conseil ? Quelle version télécharger etc… Merci d’avance !
Aucune si rien ne la réclame.
Sinon la dernière (7u11) en 32 bit (pour la compatibilité).
Le
23/01/2013 à
17h
35
Vincent_H a écrit :
C’est évidemment là qu’on veut en venir. Une boite comme Oracle ne devrait pas avoir besoin de ce genre de partenariat un peu ridicule. La case ne devrait pas être cochée. L’installation ne devrait pas être différée de dix minutes. La proposition ne devrait pas être refaite à chaque mise à jour.
Soit. Mais de là à en faire un article aussi long (qui ne fait que reprendre celui d’un confrère) ? Ça fait quand même chevalier blanc donneur de leçon à 2 sous cents pour une simple barre qui s’installe en retard.
Une boîte comme Oracle veut gagner de l’argent partout où c’est possible, sinon elle se serait appelée ATD Quart Monde (ou équivalent) et ferait dans le philanthropique.
Le
23/01/2013 à
16h
59
La barre Ask n’est proposée que dans le mode online (IMHO). On ne peut pas rater la demande pour son installation.
Toutefois, si elle acceptée sans y faire attention
Et quand j’écrase un passant “sans faire attention”, je suis responsable. Pour tout acte, même “sans faire attention”, il existe des conséquences.
Cela dit, Oracle devrait ne pas cocher la case à cocher par défaut. Celle pratique est incorrecte.
Francais, vivant a l’etranger, ayant paye ma redevance TV cette annee … je n’ai pas acces a ce type de contenu.
La restriction geographique ca ne devait pas etre un anachronisme ?
On appelle cela une frontière en langage courant. Mais effectivement, le premier mot du triptyque théorique nationale est “Liberté”.
Le
22/01/2013 à
16h
21
Warthoggv68 a écrit :
Le post dessus est directement intéressé par le problème au niveau de ses travaux de recherche aussi… Désolé pour l’aspect technique. S’il y en a que ça rebute, on peut troller aussi " />
Cool, un autre scientifique !
Le
22/01/2013 à
15h
23
tazvld a écrit :
Le “jamais” sert à marquer son argumentation. C’est un orateur avec des connaissance technique. Dire que ça sera peut être possible dans 30-40ans (au pouce levé) mais que pour l’instant non casse un peu la force de son argument, car ce sont des détails inutiles. Dire “ce n’est pas possible à l’heure actuelle” ne permet pas de dire quand exactement, surtout dire si c’est dans un futur proche ou lointain. Ce “jamais” est donc une figure de style permettant de simplifier son argumentation et la garder “choc” et se rapporte à une vision “humaine” et à une vision même lointaine de “Twitter” en tant que société.
Une personne ayant les connaissance nécessaire sait que ce n’est vraiment pas pour maintenant, les autres prennent l’argument tel quel, et comprennent que twitter ne peut pas automatiser la modération. Car oui, le vrai message dans cette phrase, ce n’est pas la possibilité d’une IA capable de déceler l’ironie, mais l’impossibilité pour twitter de modéré de manière informatique.
Ok. Comme indiqué au-dessus, je n’ai plus de son sur mon PC. J’ai basé mon propos sur le texte partiellement retranscrit. Dans son contexte, sa rhétorique est compréhensible. Merci pour ces précisions.
Le
22/01/2013 à
13h
46
Un survol rapide de Google montre qu’il y a des chercheurs qui travaillent sur la modélisation de l’ironie et des métaphores : là ou là.
Le
22/01/2013 à
13h
31
Le post au-dessus est encore plus technique que le mien, damn !
Le
22/01/2013 à
13h
28
5h31k a écrit :
Je reprends juste les termes cités dans l’article (donc hors contexte aussi) :
Sinon je pense que c’est rationnellement impossible de savoir si, une simple phrase dans son contexte ou pas, est identifiable comme “ironique” ou non. Tout simplement parce que si on avance dans le “set d’équations” qui permet de définir une phrase ironique simplement sur un texte, on ne peux pas savoir ce qui se passait dans la tête de la personne au moment T où la phrase a été dite.
Ce n’est pas le tout de penser que c’est et sera éternellement “rationnellement impossible”: il faut pouvoir le démontrer. Sinon ce ne sont que des suppositions dans le vide, des a priori qui ne prouvent rien.
On apprend l’ironie (ce n’est pas une prédisposition génétique). Donc l’ironie est réductible à des mécanismes d’apprentissage qui ne sont pas bien différents des autre mécanismes cellulaires et moléculaires qui permettent de transformer la bouillie neuronale d’un enfant en un cerveau mature adulte.
Ici le problème est encore plus simple : on ne demande qu’à reconnaitre l’ironie : autant dire que qu’une base de données suffisamment complète (les permutations de mots sémantiquement permises sont finies) ferait l’affaire avec un peu d’intelligence d’un système expert capable d’apprendre pour l’analyse et le rapprochement du contexte avec les mots ou expressions ciblées (réseau neuronal par ex.). Les oreilles d’Echelon font cela à longueur de journée.
5h31k a écrit :
C’est pour cela que je répond que l’on ne peux pas trouver, sur un simple texte, si une phrase est ironique ou pas. Par contre, si l’on analyse beaucoup de signaux, il dois être possible de définir si oui ou non un bout de parole a été dit de façon ironique ou pas (le fameux “you don’t say”)
Je n’ai pas exclu l’analyse probabiliste.
Le
22/01/2013 à
13h
05
francois-battail a écrit :
Nous sommes d’accord. Mais dans le contexte la phrase est raisonnable, jamais peut aussi se traduire par irréaliste à court / moyen terme eu égard aux connaissances actuelles, en tout cas en langage parlé. En l’occurrence il s’agissait de démontrer la démagogie des politiques et dans ce contexte il y a une certitude que la technique actuellement disponible ne permet pas de réaliser les rêves délirants de nos chers élus.
Soit. Je n’ai pas encore de son sur mon PC pour pouvoir écouter les vidéos (l’ampli est en réparation). Donc l’ensemble du contexte m’échappe un peu en ne lisant que le texte. Merci des précisions.
Le
22/01/2013 à
12h
48
francois-battail a écrit :
Le jour où il y aura un correcteur grammatical décent on pourra en reparler. Même problème avec la traduction automatique, les progrès réalisés ne sont pas strictement algorithmiques mais plutôt basés sur des échantillons réputés fiables de traductions déjà existantes.
Donc, non on ne sait pas faire ; cette problématique se pose depuis près d’un siècle (Turing).
Quels que soient les techniques ou les moyens employés connus (LUT, probabiliste, neuronal, etc) ou futurs (inconnus), le point est que dire “jamais” relève d’une certitude que personne ne possède. “Donc, non on ne sait pas faire” n’implique pas qu’on ne saura “jamais” faire.
Le
22/01/2013 à
12h
37
5h31k a écrit :
Si j’écris dans un input “pas de bras, pas de chocolat”. Peut-tu me dire de quel forme est cette phrase ? est-ce de l’irone ? est-ce une critique ouverte ? est-ce juste une phrase bancale ?
1/ Je ne connais pas cette expression ;
2/ Il n’y a pas de contexte (à la différence de l’ironie) ;
3/ Cela ne contredit en rien ce que j’ai écrit : le futur n’est pas connu, c’est être bien péremptoire que d’être 100% certain qu’à aucun moment, entre maintenant et la fin de l’Homme ou de l’Univers connu, l’ironie ne pourra pas être amenable à la modélisation et réduite à un set d’équations. C’est pas comme si on demandait de solutionner Navier-Stokes.
Le
22/01/2013 à
12h
26
tazvld a écrit :
Disons que la phrase est à mettre dans le contexte. Ici, il veux très certainement dire que Twitter est incapable de réaliser ce que demande ces personnes, le sens des phrases étant déjà très difficile à être identifier par ordinateur, il nous parait impossible d’arriver à identifier l’ironie avec nos moyens actuels. Il faut se souvenir qu’il parle à des personnes non informées des moyens et qui se foutent totalement des contrainte technique (Qui a dit HADOPI?). C’est donc à travers une phrase simple et concise qu’il a essayé d’exposer son argument, lui donnant au passage un poids important.
Comme tu peux le remarquer, le langage est très complexe, et même un humain n’arrive pas à comprendre à coup sûr celui ci et à identifier les subtilités, comment un programme en serait capable?
Ok, mais être aussi tranché à propos de domaines en telle évolution (cybernétique, robotique) ? J’en doute. Qui au début du siècle dernier aurait pu imaginer qu’une machine pourrait seulement faire ce qu’elle fait de nos jours et qui nous paraît aussi naturel ?
“Jamais” implique une certitude qui n’existe pas en pratique. L’ironie s’apprend (même Sheldon y arrive !) et je ne vois pas ce qui s’opposerait à ce que ce qu’une machine ne puisse pas y parvenir aussi (et même plus).
Dans tous les cas, il est plus prudent et honnête de dire “je ne sais pas” que de subir le ridicule d’une position absolument certaine mais ruinée empiriquement à terme : les exemples historiques abondent et leurs auteurs ne sortent pas grandis (pour notre plus grand plaisir).
La France peut s’enorgueillir de posséder la Commission
Vous pouvez aussi être fier d’avoir exporté votre savoir-faire bureaucratique en dehors de vos frontières (théoriques).
En effet l’EUSSR Europe avance doucement mais surement vers un modèle soviétique de planification centralisée grâce à une percée fondamentale en matière de prise de non-décision technocratique : une discipline héroïquement appelée :
soit le fait pour les mêmes personnes se réunir de manière récurrente (en comité donc, pour ceux qui ne suivraient pas) sur des sujets vaguement définis pour mieux y revenir plus tard (perpétuant ainsi votre bonne vieille tradition cocardière de l’indispensable réunionite).
Personne ne doute que cette avancée eurocratique, aussi bonne pour les producteurs d’arabica que de robusta (et de tisane), a permis et, n’en doutons pas camarades, permettra encore de réduire le chômage de nos politiques et bureaucrates locaux ignoblement dépossédés de leur activité sous des prétextes dépravés dit “démocratiques”.
Continuons de défendre nos privilèges à 300 k€/mois minimum.
ça fait trois fois que je réécris ma réponse et cela ne me convient toujours pas, alors je vais laisser tomber pour l’instant Je pense qu’on est en accord sur pas mal d’idées mais qu’on les exprime différemment, avec quelques nuances malgré tout.
Mon post n’était en aucun cas une réfutation. J’ai juste tiqué sur les “généralités voire clichés” et tes introductions de § " />
7067 commentaires
La France, troisième État à réclamer le plus d’infos utilisateurs à Google
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Le 24/01/2013 à 15h 03
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Le 24/01/2013 à 14h 42
Le 24/01/2013 à 14h 41
Le 24/01/2013 à 14h 36
Le 24/01/2013 à 14h 23
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Le 24/01/2013 à 14h 09
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Le 24/01/2013 à 13h 19
Le 24/01/2013 à 13h 06
Le 24/01/2013 à 12h 57
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Le 24/01/2013 à 10h 11
La France, troisième État à réclamer le plus d’infos utilisateurs
Il me semblait que Liberté et (cyber-)police était des termes antinomiques, qu’espérer le premier en subissant le second était impossible. On nous aurait menti ?
Offres internet différenciées : Françoise Castex répond à Neelie Kroes
23/01/2013
Le 24/01/2013 à 09h 21
Le 23/01/2013 à 16h 47
inacceptables, aussi bien d’un point de vue économique qu’au regard de nos droits fondamentaux à l’ère numérique
1/ la diminution des prix et l’adaptation de l’offre sont des modalités inhérentes à l’activité économique : la soit-disante neutralité d’internet n’est qu’une position morale de principe, pas économique ;
2/ nos droits fondamentaux réels (liberté, propriété) sont déjà bafoués depuis trop longtemps par la clique politico-bureaucratique en mode soviet-like ;
3/ le “public” est dans tous les cas le “privé” : la distinction volontaire mais erronée des collectivistes entre ces termes ne sert qu’à masquer la réalité de leur pouvoir de division pour régner : l’économie est nécessairement au service des gens, alors que les politiques sont au service d’eux-même.
Le recap’ des tests : le stockage dans tous ses états
22/01/2013
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Le 23/01/2013 à 16h 34
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[MàJ] Windows 8 : un minimum de 119,99 dollars à partir du 1er février
23/01/2013
Le 23/01/2013 à 17h 50
Le 23/01/2013 à 15h 39
280 € la licence ? Les 2 achetées récemment m’ont couté ~140 € l’unité juste pour pouvoir rétrograder en Windows 7 Pro au cas où. Ça va vraiment faire cher l’OS à ce prix là.
L’installeur Java a décidément de bien mauvaises habitudes
23/01/2013
Le 23/01/2013 à 17h 37
Le 23/01/2013 à 17h 35
Le 23/01/2013 à 16h 59
La barre Ask n’est proposée que dans le mode online (IMHO). On ne peut pas rater la demande pour son installation.
Toutefois, si elle acceptée sans y faire attention
Et quand j’écrase un passant “sans faire attention”, je suis responsable. Pour tout acte, même “sans faire attention”, il existe des conséquences.
Cela dit, Oracle devrait ne pas cocher la case à cocher par défaut. Celle pratique est incorrecte.
« Les ordinateurs ne pourront jamais capter l’ironie »
22/01/2013
Le 23/01/2013 à 12h 25
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Le 22/01/2013 à 15h 23
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Un survol rapide de Google montre qu’il y a des chercheurs qui travaillent sur la modélisation de l’ironie et des métaphores : là ou là.
Le 22/01/2013 à 13h 31
Le post au-dessus est encore plus technique que le mien, damn !
Le 22/01/2013 à 13h 28
Le 22/01/2013 à 13h 05
Le 22/01/2013 à 12h 48
Le 22/01/2013 à 12h 37
Le 22/01/2013 à 12h 26
Ne dites plus « Hashtag » mais « Mot-dièse », please
23/01/2013
Le 23/01/2013 à 12h 20
La France peut s’enorgueillir de posséder la Commission
Vous pouvez aussi être fier d’avoir exporté votre savoir-faire bureaucratique en dehors de vos frontières (théoriques).
En effet l’EUSSR Europe avance doucement mais surement vers un modèle soviétique de planification centralisée grâce à une percée fondamentale en matière de prise de non-décision technocratique : une discipline héroïquement appelée :
“comitologie”
soit le fait pour les mêmes personnes se réunir de manière récurrente (en comité donc, pour ceux qui ne suivraient pas) sur des sujets vaguement définis pour mieux y revenir plus tard (perpétuant ainsi votre bonne vieille tradition cocardière de l’indispensable réunionite).
Personne ne doute que cette avancée eurocratique, aussi bonne pour les producteurs d’arabica que de robusta (et de tisane), a permis et, n’en doutons pas camarades, permettra encore de réduire le chômage de nos politiques et bureaucrates locaux ignoblement dépossédés de leur activité sous des prétextes dépravés dit “démocratiques”.
Continuons de défendre nos privilèges à 300 k€/mois minimum.
Signé,
J. M. Barroso
Refiscaliser en France les géants du net via les données personnelles
19/01/2013
Le 22/01/2013 à 16h 27