Comparons ce qui est comparable : la relation entre époux n’est pas du tout du même type que celle entre un client utilisateur de FB et FB. De plus pour être valables légalement, les contrats de mariage impliquent des tiers (officiers d’État civil, notaire et/ou maire) qui n’existent pas par ailleurs.
Cette position un peu futile de vouloir à tout prix effacer la notion de client fait penser à ces syndicats d’un autre âge qui s’obstinent à les étiqueter en « usagers », ou ces professionnels de santé qui les appellent des « patients ». Ces idiomes sont assez symptomatiques du mal (culturel) français. On est pourtant tous des capitalistes maintenant.
Le
07/11/2020 à
19h
33
Distinguo sans différence. Le fait d’introduire un transfert marchand (« vente ») est factice et sans rapport : un contrat est un contrat, que le produit/service soit marchand ou pas.
Sans perte de généralité, on peut favorablement comparer les CGU aux conventions d’ouverture de compte bancaire qui sont aussi des contrats d’utilisation : leur signature fait du signataire un client (et donc utilisateur) sans transfert marchand (et à qui non seulement cela ne coûte rien mais peut même rapporter si le compte est rémunéré).
PS : ce serait plus convenable de me citer pour m’avertir quand tu me réponds.
Édition : une fois n’est pas coutume, le commentaire ci-dessus est correct.
Le
07/11/2020 à
11h
16
Je vois que tu restes assez haut en niveau d’approximation. CGU != CGV bisou
Les CGU/CGV sont juridiquement des contrats : dès acceptation/signature/inscription/etc. tu deviens de facto et de jure* un client de la marque et un utilisateur de ses service. Point. Un tel niveau d’ignorance est déconcertant.
Le
07/11/2020 à
07h
43
(quote:1835741:j34n-r0x0r) Certes dans l’absolu l’argent n’a pas d’odeur, mais il ne se mange pas non-plus…
Un certain raccourci calamiteux formulé plus haut et appliqué ici pourrait laisser penser que si.
Le
07/11/2020 à
07h
36
Ok, alors de qui parlais-tu quand tu disais les “clients” de Facebook ?
C’est indiqué dans mon commentaire où il suffit de relier 2 phrases : client = utilisateur. Que l’utilisation de FB soit gratuite ne fait pas moins de ses utilisateurs des clients comme tout signataire de n’importe quelles CGU proposées par n’importe quelle entreprise n’importe où dans le monde. Que FB ait (aussi) des clients B2B est sans rapport.
PS : le niveau d’agressivité perçu est réglé sur le niveau d’absurdité relevé.
Le
06/11/2020 à
11h
01
S’ils pensent qu’ils peuvent changer le monde, ils seront plus “impliqués” dans leur travail et feront des concessions sur leur vie perso pour priviligié leur vie pro = + de $$$$ pour FB
Si un rêveur travaille 10h/jr en étant payé 7, + du taf quand il est chez lui, il ira pas forcément se plaindre puisqu’il va participer à changer le monde et ça lui suffit. Si tu demandes à un mec normal de faire 10h/j il demandera à être payé pour les 10h/j.
Comme dit plus haut par MoonRa, l’horizon temporel (de beaucoup) des salariés ne dépasse pas la fin du mois. Seuls les activistes sont intéressés par de type de question holistique (et débile à mon sens). . .
Médiocre raccourci : l’utilisation de (certaines de) tes données à laquelle tu consens d’ailleurs en t’inscrivant ne fait pas de toi un « produit » au sens usuel du terme (de bien ou de service). C’est une grotesque tentative de détournement de sens, un pétard mouillé.
Le
06/11/2020 à
09h
44
On ne comprend pas bien l’intérêt de demander aux salariés leur avis sur le sujet alors que les principaux concernés sont les clients.
Mais il est vrai qu’avec 2,7 milliards d’utilisateurs, la question ne se pose même pas…
(quote:1835887:Idiogène) Il n’y a pas de causalité directe entre la mesure d’absorption lumineuse du H2 et la notion de gaz à effet de serre.
Alors que c’est précisément la définition d’un gaz à effet de serre (GES)… pas étonnant que d’aucun considère que cet effet est fictif tant il est utilisé de manière ad hoc pour prouver tout et son contraire. D’ailleurs l’IPGP n’a effectué aucun calcul à l’appui de son hypothèse.
La phrase citée (« Une quantité élevée de H2, gaz à effet de serre ») est fatalement erronée car le spectre d’absorption d’H2 montre qu’il n’en est pas un. Le réchauffement par GES de Mars est donc toujours purement hypothétique. Note que cela ne veut pas dire qu’il n’a pas eu lieu, seulement que l’explication avancée est fausse.
(Le reste, qui confond thermalisation et effet de serre, méconnaît la Loi de Beer-Lambert et oublie les effets de la gravité et de la pression atmosphérique, est un salmigondis non physique sans rapport.)
Le
07/11/2020 à
15h
32
(quote:1835848:Idiogène) C’est du retroll gratuit
Change de disque. . .
L’url pointe vers un abstract qui se conclue par : “ A good linear relationship between H2 concentration and sensor response was observed. A simple and robust transmitter–receiver configuration of the sensor allows in situ installation in harsh industrial environments.”
La traduction rapide contredit la nécessité de mesures en temps réel peu significatives lors du choix d’un pas d’étude qui est toujours nécessaire, 20 secondes ici. (autrement dit la durée des snapshots, tu appelles cela comme tu veux il n’y a pas de problème de mesure).
On n’échappe pas au ridicule quand on cite hors contexte et hors sujet : l’équipe qui a publié cet article (2019 je le rappelle) a développé ce nouveau senseur précisément parce que jusqu’alors mesurer la [H2] était difficile en environnement industriel ; on se doute que si le projet n’avait pas abouti, ils n’auraient pas publié…
Bref ce point HS est encore une manière de tenter de détourner le sujet qui est la grossière erreur physique de l’IPGP citée dans la news : H2 n’est pas un gaz à effet de serre. . .
CIte les passages et le lien avec le moment dipolaire, je n’ai pas à suivre de fausses pistes.
Triviale constatation physique qu’on étudie en terminale (la molécule est symétrique) et qui rappelée en introduction de l’article :
As a diatomic homonuclear molecule, H2 has no dipole moment that could create strong optical absorption in the infrared region. The absorption spectrum of H2 is therefore limited to vibrational bands of very weak electric quadrupole transitions.
Note que dans les molécules diatomiques, on ne distingue évidemment pas le moment polaire de liaison du moment polaire moléculaire (comme on le ferait pour du méthane par ex.). . .
Une couche peut agir comme une paroi, l’opacité ou la notion de fond ne souffrent pas en principe des molécules considérées…
Révise tes notions de cavité et de corps noir : l’atmosphère est transparente pour la plupart des rayonnements. Les « couches » ne sont que des abstractions pour permettre l’analyse et faciliter les calculs. En aucun cas ce sont des parois ou autre ineptie du folklore climastrologique. . .
Oui les ondes gravitationnelles ont été théorisées rapidement.
Mauvaise foi. Je te cite :
Depuis les seventies on sait mesurer tout et n’importe quoi, même des ondes gravitationnelles…
ce qui est manifestement faux vu la date (mesure =/= théorie). Une personne honnête aurait reconnu cette erreur ne portant pas à conséquence en plus. Tenter de biaiser ici fait de toi un amateur fourbe et malhonnête.
Le
06/11/2020 à
09h
30
(reply:1835622:Idiogène)
C’est une illustration de ton ignorance.
1/ Le point de mon sujet est le H2, rien d’autre, et l’article d’où est tiré le spectre mis en lien est de 2019, mets-toi à jour. 2/ HS : je ne suis concernée ici que par Vénus (btw une couche n’est ni une paroi ni un fond). 3/ Relis l’article qui dit le contraire : H2 est très difficile à mesurer car il n’a pas beaucoup de raies d’absorption, ce qui est mon point et contredit ce que dit la news/IPGP.
Apprend à lire avant de répondre n’importe quoi : 1/ le sujet est le H2, pas le CO2 ; 2/ l’atmosphère n’a ni « paroi » ni « fond » ; 3/ l’article d’où est tiré le spectre dit précisément que mesurer celui de H2 est très difficile.
Bref ta réponse est HS comme d’habitude.
Le
03/11/2020 à
16h
42
De plus en plus loin dans le n’importe quoi pour tenter de faire passer ton déni de la réalité concernant l’effet de serre (et par extension le réchauffement climatique)
Il y a bien un effet de serre sur Venus (et pas qu’un peu) :) https://videotheque.cnrs.fr/doc=2146 C’est d’ailleurs ça qui explique que venus soit bien plus chaude que mercure (pourtant plus proche du soleil)…
C’est balot de citer la figure d’un article qui contredit ses propos… :V
Ah et a toute fin utile : la “pureté absolue” n’existe pas (hormis en cosmétique peut être…).
Si c’est écrit sur un site Web quelconque alors… Sauf que C. Sagan a correctement approché par calcul la température de Vénus – ~700 K – (corrigenda) avant même de connaître la composition exact de son atmosphère : la variation de 0 à 100 % de CO2 ne fait varier la température que de quelques dizaines de degré, ce qui prouve que l’effet de serre n’est pas le principal responsable de la température sur Vénus. . .
C’est balot de citer la figure d’un article qui contredit ses propos… :V
C’est surtout stupide de ne pas l’avoir lu car c’est de lui que j’ai tiré mes renseignements LOL !
Le
03/11/2020 à
16h
28
(quote:1834870:Idiogène) Contre-sens ! L’atmosphère de nuit retient les rayonnements déperditifs.
Non car si tel était le cas, il existerait une différence de températures entre sa face éclairée et sa face à l’ombre : or la température atmosphérique vénusienne est uniforme (d’autant plus que Vénus tourne très lentement sur elle-même). . . Ici H2 n’a pas de moment dipolaire et donc n’absorbe pas dans l’IR. Son spectre d’absorption est limité à quelques très rares et excessivement faibles bandes de transitions par vibration, raison pour laquelle il est difficile de mesurer optiquement (c-à-d en temps réel) la [H2] si l’échantillon n’est pas d’une pureté absolue.
Une fois de plus, à part une hypothèse sans preuve et une conclusion sans fondement physique comme habituellement avec la théorie mal nommée et dite de « l’effet de serre », il n’y a pas grand chose dans cette étude.
C’est marrant, j’ai cherché le même livre en poche : le premier tome de À la recherche du temps perdu, et là où j’ai eu le plus de mal à le trouver, c’est sur Amazon.
À prix égal, j’essaierai dorénavant d’acheter mes livres sur un de ces 2 sites.
Tant mieux pour toi, je ne doute pas que pour des besoins basiques ou sur des produits con(ve)nus ou nouveaux ces sites soient suffisants, mais note que ta condition « à prix égal » sera rarement satisfaire vu que les frais de ports ne sont pas nuls (ou à 1 centime) sur ces sites…
Je fais mes recherches par thèmes (aucun trouvé sur ces sites), collections (critère inconnu sur ces sites) et d’ouvrages difficiles à trouver ou pas réédités (ils ne vendent que du neuf a priori) : Amazon ou Ebay sont donc incontournables.
Le
07/11/2020 à
11h
01
Vu l’indigence produit et l’absence d’ergonomie de ces sites (on devrait plutôt dire moteur de recherche ou agrégateur), leur totale invisibilité sur le Web est compréhensible, et quiconque les a testé repart immédiatement vers Amazon…
Le
07/11/2020 à
08h
36
Cette exception au marché du livre est sans doute justifiée parce que le prix du livre est réglementé et plutôt bas. Quand tu as un livre de poche qui coute 7€, que le libraire touche 1 ou 2€ dessus et que les frais d’expédition de la poste sont de plus de 5€ que ce passe t’il ? Le libraire ne peut pas se permettre de ne pas facturer le coût d’expédition et les gens achètent sur Amazon qui a un cout d’expédition moindre et fait du dumping. D’où la loi anti-Amazon qui a magistralement foiré et l’aide actuelle aux libraires qui, en plus de ne pas pouvoir vendre à distance, ne peuvent maintenant plus vendre en physique avec le confinement. Mais le résultat sera le même, un échec. Les “petits” libraires ne peuvent toujours pas vendre en ligne car ils n’ont pas de plateforme de vente ligne. Il n’ont comme solution que de vendre sur Amazon, Fnac, CDiscount ou que sais-je, qui leur prendra 20% de commission (ce qui correspond grosso modo à leur marge sur les prix réglementés). Fin de l’histoire
Pour une entreprise, prendre à sa charge des frais (de livraison ici) n’est pas du dumping (un terme péjoratif sans pouvoir explicatif) mais un moyen de séduire le client pour prendre des parts de marché. Ceci se fait aux dépends de ses finances et donc potentiellement à l’avantage de ses concurrents à terme, et de ses actionnaires qui peuvent décider de favoriser à tout moment leurs dividendes en y mettant fin.
Le rôle du syndicat des libraires dans cette débâcle est clair. De plus pourquoi sont-ils incapables de s’organiser comme d’autres professions pour développer des synergies, limiter les coûts etc. avec des plateformes de vente ou d’achat, de mises en commun opérationnelles, de regroupements, etc. ? L’explication est évidente : ils n’ont pas besoin car en crapitalisme de connivence les relais dans les cercles du pouvoir qui en retour essaie de plaire à ses influenceurs sont un levier suffisant c-à-d gagnant-gagnant (le seul perdant étant l’abruti d’électeur mais passons).
Le
07/11/2020 à
08h
08
FunnyD a dit:
Tiens, Tmtisfree as un alterego, ou un double compte…
Jaloux… . .
L’ironie de ton commentaire doit t’échapper, parce que le seul qui défend Amazon ici est le gouvernement qui copie ses méthodes lol !
Du reste ta vision de « l’intérêt économique » est étriquée : comme toujours avec les étatistes la fin justifie les moyens pour rectifier au fil de l’eau leur empilement d’échecs et d’erreurs. Ici l’absurdité de la décision la dispute au comique : la prise en charge publique des frais de livraison va profiter aux aisés qui lisent aux dépends de tous les autres qui ne lisent pas ou peu (généralement moins aisé) : pire traitement inégalitaire, je ne vois pas, bravo !
L’incohérence congénitale des ignares collectivistes est confondante.
Le
06/11/2020 à
10h
47
Je sais bien qu’il date de mars, c’est même pour cela que je le cite. Déjà à l’époque on savait que les projections des modèles étaient complètement fausses. Mais même sans cela, se tirer volontairement une balle dans le pied échappe à toute logique.
Il n’en reste pas moins que le syndicat des libraires, s’il comptait sur l’État pour s’adapter la situation nouvelle (nouveau virus), s’est lourdement fourvoyé et les libraires en paient le prix fort maintenant.
Édition : anagrys écrit la même chose un peu plus haut.
Le
06/11/2020 à
09h
38
Amazon est donc invité à aller se promener ailleurs. »
Remarque ridicule et, ironiquement, tout à fait déplacée alors qu’Amazon pratique déjà le 1 centime. . .
Étant donné que ces derniers ont déjà voté pour autoriser la transmission d’image/vidéo, le caractère d’urgence de la situation est automatiquement inclus, d’autant que le gestionnaire de l’immeuble est aussi choisi par eux. Face aux nuisances actuelles dans les immeubles, cet amendement est une évolution pertinente sinon attendue.
Mais globalement, je pense que la police doit rester nationale et que la police municipale devrait se limiter aux problèmes de stationnement. Il est anormal que l’État transfère son pouvoir de police à des entités locales avec tous les problèmes d’inégalité liés aux territoires que cela peut poser ainsi que les problèmes de clientélisme local.
Tu es bien gentil avec l’État, alors qu’une fois de plus il a failli dans son domaine d’incompétence. L’État, c-à-d les cancres au pouvoir, se désengage du régalien depuis belle lurette, préférant le facile, le porteur médiatiquement, le pas coûteux politiquement ou électoralement (mais le plus destructeur sociétalement) plutôt que de développer une politique de sécurité et de protection digne de ce nom.
Certains quartiers ne sont même plus « visités » par la police nationale (PN), ce qui fait que l’existence de l’échelon municipale est en fait une bénédiction pour les populations locales. Ta plainte d’« inégalité » serait comique si elle n’était pas lancée avec de telles œillères.
Et je ne parle pas du scandale du nombre effarant de plaintes qui sont classées sans suite par la PN pour enjoliver les statistiques et plaire en haut lieu…
En fait tout concoure pour que le local reprenne les choses en main : ce ne pourra pas être pire que la déroute actuelle. . .
Enfin, j’en ai marre de ces “expérimentations” qui soit de prolongent, soit deviennent définitives surtout dans le domaine de la sécurité.
« Il faudra donc éviter que les revendeurs ne jouent trop la hausse pour maximiser leurs gains. »
Inévitable (et sain et bénéfique) dans un marché fonctionnel où le nombre de produits est limité. Si on veut éviter la houle par grand vent, on ne sort pas en mer…
Je dis bien que c’est entre autres, ce qui la fait avancer. Consensus ne veut pas dire fermer la porte à la remise en cause je me contredirais en l’espace d’un commentaire si je pensais cela.
Jaenprofite : après si l’on cherche ce qui fait le plus avancer la science, je serais presque d’accord avec toi. Ca dépend de ce que tu mets derrière découverte. Si dans ton idée ça englobe la découverte d’une théorie, la découverte de preuve et la découverte d’une erreur, on est d’accord. Ma liste n’est d’ailleurs probablement pas exhaustive
L’appel au consensus en matière scientifique est une variante de l’appel à l’autorité, donc un sophisme. Il est aussi utile que pour un assoiffé au milieu du désert de s’en remettre à Dieu : le résultat est couru d’avance (nul).
Le
05/11/2020 à
11h
14
C’est marrant, le consensus, c’est ce qui entre autres, fait avancer la science.
Au contraire : cette notion anti-scientifique n’est qu’un écran de fumée pour idéologue/ignare. L’appel au consensus permet d’éviter de (se) « remettre en question » et on ne compte plus le nombre de consensus qui ont subséquemment péri par la Science elle-même.
Le
05/11/2020 à
10h
24
Pour moi, la seule limitation intellectuelle qui existe, c’est de jamais se remettre en question. Car sans remise en question on progresse jamais.
Comme les enragés du consensus, les idéologues doctrinaires etc. La remise en question est une démarche personnelle qui demande des efforts constants, ce que peu sont décidés à fournir sur le long terme. Ces fainéants aux œillères sont très souvent ceux qui se plaignent des autres à ce sujet d’ailleurs, un moyen cérébralement peu coûteux pour éviter d’exposer leur ignorance. On les reconnaît facilement.
Le
05/11/2020 à
08h
21
C’est impossible de débattre avec ce genre de personne. Leur but, c’est d’essayer de propager leur avis, pas d’y réfléchir.
Je n’ai pas une très haute opinion des politiques en général et de Trump ou Biden en particulier : il faut être extrêmement naïf ou possédé par une idéologie pour leur accorder le bénéfice du doute. J’accorde ma charité aux plus faibles mais pas aux aux escrocs, menteurs, hypocrites, voleurs et autres parasites.
Alors, que quelques blaireaux stupides ici ou là se censurent ou pensent ceci ou cela de moi ne m’affecte pas particulièrement : leur limitation intellectuelle et leur misère cognitive sont établies dès leur absence/refus d’engagement sur un sujet.
Le
05/11/2020 à
08h
10
Faut pas lui répondre, c’est un demeuré ce type. ^^ Je l’ai filtré.
C’est cool de pouvoir réfuter unilatéralement des abrutis qui se censurent eux-mêmes
Le
04/11/2020 à
19h
20
Ton lien tente de faire passer le « système de fraude » pour un « système d’aide aux personnes ayant des difficultés à voter », alors que ce système (entre autres) est pointé du doigt pour faciliter la fraude, justement. On peut donc légitimement interpréter ses propos à cette aune.
Ceci dit, Biden semble avoir plus fait un lapsus révélateur. Ou alors il est sénile. Ou les 2.
Ouais, vive l’anomie economique. Aux armes, individus souverains.
L’économie possède ses propres règles qui ne devraient pas être subordonnées aux diktats et aux oukases d’une castes d’imbéciles non-pensants imposant des décisions irréfléchies et ineptes sous couvert d’un comité Théodule pseudoscientifique à leur botte parce qu’ils ont été incapables, malgré leurs promesses depuis des mois, d’adapter le système de soin aux pénuries qu’ils ont eux-mêmes créées. « Fusiller » ces incompétents récidivistes sur la place publique serait un moindre mal.
Le
05/11/2020 à
10h
41
S’ « engager en faveur de petits commerçants de proximité » en les mettant arbitrairement hors marché, ce serait risible sans la ruine économique. Et comme ils ont été mis hors concurrence, on ne peut donc parler de « concurrence déloyale » de la part des autres acteurs. Ce dépité est un crétin.
Plus généralement la faillite de l’État-providence, de l’État-stratège, de l’État-nounou, de l’État omniscient et omnipotent, bref du tout-État-à-la-mode-fasciste et de ses institutions technobureaucratiques inefficientes et obsolètes est maintenant bien ancrée dans les consciences. En espérant que cela cristallise dans les mémoires en se traduisant par des actes.
Bizarrement pas de mention de l’obsolescence administrative et institutionnelle alors que ces épaves bureaucratiques d’un autre âge saignent le public à blanc pour maintenir en place nombre de parasites improductifs qui se croient importants.
La date avancée du 18 novembre est juste une bouffonnerie arbitraire de comm’ d’une agence administrative en mal de reconnaissance ou d’existence qui ne semble exister que par (et être au service de) son « président », un titre ronflant pour un simple bureaucrate.
De plus la (tentative de) réduction de l’ARCEP à sa petite personne tout gonflé d’un égo surdimensionné est tout à fait pitoyable.
Ce n’est pas exactement la même chose, les entreprises utilisant aussi des HDD de class Desktop, d’autant plus qu’un peu plus loin il est écrit que « Toshiba nous a fourni une version classique », terme normalement entendu comme Desktop. Mais soit.
Le
31/10/2020 à
08h
08
Il est rare d’avoir des tests de HDD de nos jours donc
Cependant nulle part dans l’article il n’est précisé que c’est un disque de classe Enterprise (même si on peut le deviner selon les caractéristiques). Le taux d’erreur irrécupérable en lecture qui est un indice de fiabilité, n’est pas non plus indiqué (ni dans la doc. mise en lien d’ailleurs) : la documentation technique le donne à 1 / 10^15 pour ce disque.
Maintenant, le problème va aussi se répercuter sur le privé. Est-ce que des entreprises comme Space X, BlueOrigine ou OneWeb ne privilégieront pas les bénéfices au détriment du bien commun ?
2 secondes de réflexion auraient pu t’éviter ce cliché débile : « les bénéfices » sont la mesure de la durabilité d’un modèle de spécialisation. Quand une entreprise fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire. Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive pour le bien des consommateurs, et globalement pour la société tout entière – c-à-d le seul « bien commun » qui a une nature et définition non-idéologique.
‘Tain les gars, ça fait des années que je vois les mêmes méthodes, renouvelez-vous un peu. A chaque fois qu’un petit nouveau sort un peu trop sa tête, vous cherchez à couper. On se croirait sur un forum de jeux vidéo où les mecs ont découvert Schopenhauer et qui font joujou avec comme un pétomane s’amuse avec son sphincter
La poignée d’irréductibles imbéciles (toujours les mêmes) qui essaient de compenser leur totale incompétence et inculture générale par de l’invective, du sophisme, du relativisme ou, pour les plus minables de se plaindre de la forme/longueur des §, pour essayer de faire taire ce (et ceux) qui heurte(nt) les croyances de leur petit confort cérébral est en fait salutaire : elle indique que tu es sur le bon chemin !
Note pour les frustrés : l’ « arrogance » ou de la « prétention » ne représentent seulement que vos infirmités cognitives face à la manifestation du savoir, de la réflexion, du raisonnement, et, pour tout dire, de l’intelligence en action.
Cela devrait vous (c-à-d pour les moins sots) indiquer la voie à prendre…
Il n’y a rien en rapport avec le climat dans ce site qui ressemble plus à un gadget pour attardé mental qui saccade dès qu’on sélectionne plus de 2 couches : à peine 30 ans de données non-numériques (tout juste un point climatique) qu’il est impossible de comparer pour en suivre l’évolution.
La seule « régulation » fonctionnelle, perenne et pacifique de l’espace (au sens large) est d’y définir un droit de propriété (comme ~partout ailleurs) : la proposition de zone de sécurité va dans ce sens, de même que l’exploitation des matières premières sur la base du premier arrivé premier servi.
Je commente un point grossièrement erroné de l’article sur Vénus, n’ayant pas eu l’occasion de le faire avant.
il s’agit en effet de la planète la plus chaude du Système solaire. Grâce à un –effet de serre puissant–, sa surface est maintenue à une température moyenne de +470 °C
Comme rappelé, la planète tourne très lentement sur son axe. Si la théorie radiative était l’unique explication pour la température élevée, il devrait exister une très forte différence de température entre la face toujours éclairée sujette à l’ « effet de serre » et l’autre face non-éclairée par le Soleil.
Or la température est homogène sur Vénus, sans différence jour/nuit [1], ce que la théorie radiative ne peut expliquer. Ce n’est donc pas « un puissant effet de serre » qui explique la température uniforme de près de 700 K sur Vénus.
Un argument étayé et raisonnable, bien que l’imitation en matière de guerres et conflits soit discutable : ces derniers n’existent que parce que de mauvaises décisions ont été prises (avant, ailleurs, etc.).
Le
16/10/2020 à
15h
18
Un Etat qui s’endette n’est en rien un problème dans l’absolu, c’est de manière indirecte une création de richesse : La dette de l’état peut servir :
à favoriser des investissement ce qui donne (=>) de la production => des salaires => de la consommation
à aider des gens dans le besoin favorisant ainsi de la consommation => de la production => des salaires.
De plus endetter l’Etat n’enlève aucune capacité de création de richesses aux entreprises et individus.
Que l’état possède ces armes / satellites /etc ça créée de la demande et donc des emplois (pas que en France certes et là dessus on pourrait trouver à redire) mais si je me fie aux chiffres dispo sur le site de la défense :
La première mission de la DGA est de savoir investir pour équiper les forces et préparer l’avenir. Cette capacité d’investissement s’appuie sur une industrie compétitive et pérenne composée d’environ 10 grands groupes et plus de 4 000 PME, dont 350 sont considérées comme stratégiques. Ce tissu industriel représente plus de 200 000 emplois de haute technicité non dé localisables, et 15 M d€ de chiffre d’affaires (hors activités de maintenance). L’industrie française est capable de concevoir et de produire la quasi-totalité des équipements nécessaires aux forces armées. C’est un des rares secteurs avec l’aéronautique à contribuer positivement à la balance commerciale de la France. Dans certaines régions, le secteur de la défense représente plus de 7 % des emplois industriels. Face à un contexte budgétaire contraint et un marché de l’armement en perpétuelle évolution, préserver les compétences et la compétitivité de notre industrie de défense est un défi. La DGA, veille donc à maintenir les compétences clés pour garantir l’autonomie industrielle de la France
Niveau production de richesse à proprement parler ça n’est pas inutile.
Quant à la plus-value de tout ces jouets pour attardés, j’estime que si on ne les avait pas eu on ne serait pas là à en parler en français mais c’est qu’un avis, ça ne vaut rien dans l’argumentation.
En ce qui concerne les guerres perdues on est pas si ridicule :
Parmi les 185 batailles que la France a livrées au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d’entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises, donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe.
Les finances et dettes publiques ne sont clairement pas utilisées pour produire de la richesse en France : elles remboursent d’autre dettes, elles achètent la paix sociale, elles masquent les chiffres du chômage, etc. Bref les dettes sont une charge.
De plus consommer ne produit pas de richesse, ainsi que l’indique précisément le verbe. Comme produire ici coûte trop cher, la consommation et donc la production se fait essentiellement sur des produits à faible marge : la création de richesse est relativement faible.
L’État doit rembourser ses dettes par l’imposition/taxation (là on est champion du monde pour le coup) des entreprises qui ont alors moins de capacité à investir pour innover et gagner des marchés, etc., et plus généralement, tous les individus qui eux aussi consomment moins, investissent moins, etc.
Les richesses se créent par la production de machines pour créer d’autres machines qui créeront des biens ou services. Toutes ces armes ne produisent rien en définitive à part la mort (mais pas de quoi en être fier) et faire perdurer la parasitocratie (publique et privée). L’argent gaspillé dans ces gadgets ne sert pas à produire de richesses.
S’endetter est facile, mais c’est un cercle vicieux dont il est difficile de sortir quand on ne produit rien. Mais en France le dogme est depuis 50 ans Je dépense donc je suis (élu).
Le
16/10/2020 à
12h
19
Autant le fait énoncé concernant le PIB / habitant est fondé, autant je trouve les propos sur la place de la France à relativiser.
Extraits de wikipedia (ça vaut ce que ça vaut on est d’accord mais ça donne une idée globale)
En 2020, la France est la 6e puissance économique mondiale, selon la banque mondiale et le FMI, et la 2e puissance économique en Europe derrière l’Allemagne. Avec un PIB nominal de 2,771.622 milliards de dollars, la France est la 6e puissance économique mondiale et se place derrière les États-Unis, la Chine, le Japon, l’Allemagne et l’Inde. En 2020, elle se classe au 45 rang pour le PIB par habitant en parité de pouvoir d’achat (PPA). En classement par PIB en PPA, la France est la 10e puissance économique.
Oui on peut faire mieux (il faut toujours chercher pour en tout cas) mais le “french-bashing” semble bien trop ancré pour que les gens relativisent on dirait.
côté militaire on est pas non plus en reste (pour coller un peu à l’article) :
membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU
autorisée par le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires à posséder des armes nucléaires
En 2015, les États-Unis, la Russie, et la France sont les seules puissances militaires dans le monde à disposer de systèmes de veille satellite opérationnel
A peu de choses près on a l’armée la plus puissante d’Europe
5ème puissance mondiale militaire (3ème pour le nucléaire)
Je ne critique pas la « France » en tant que telle (qui est une aire géographique arbitraire neutre) mais le système français : celui l’endettement à tout prix (« ça ne coûte pas cher, c’est l’État qui paie », « quoiqu’il en coûte », etc.) plutôt que favoriser la création de richesses (l’économie) pour avoir les moyens de ses ambitions.
Alors oui on peut pavoiser de posséder des armes, des satellites espions, etc. et entretenir l’illusion de la grandeur passée (celle de toutes les guerres perdues ?), mais pour quoi faire quand la même caste sabote intentionnellement le système pour viser la décadence économique ?
Est-ce que tous ces jouets pour attardés apportent une quelconque plus-value ? Tous ces gadgets ont-ils évité le terrorisme et la barbarie associée ? Au final est-ce qu’on dormirait mieux si toutes ces dépenses inutiles n’existaient pas ? La réponse est oui, sans hésitation.
Licenciement économique (puisqu’il ne s’agit pas ici de fautes individuelles), avec preuves démontrant de réelles difficultés économiques, mettant réellement l’entreprise en danger de vie, sans aucune solution alternative.
Malheureusement, le Code du Travail n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même au sujet de la protection des salariés contre les rapaces économiques.
Le code du travail (quand on le lit) indique pourtant clairement que sont aussi considérées comme valables : 1/ la réorganisation pour la compétitivité 2/ la cessation d’activité
Les entreprises sont (encore) libres de décider si leur business nécessite une réorientation (définitive) face aux évolution du marché (c’est-à-dire aux individus qui échangent) et donc son adaptation en terme de capital, humain compris.
Certes on peut comprendre qu’il soit difficile de perdre son emploi. Mais dans un pays qui cumule toutes les difficultés possibles (chômage de masse, dettes publiques monstrueuses, ossification du marché du travail, zéro croissance depuis des décennies, asphyxie réglementaire, champion du monde de la taxation/imposition, dirigisme économique à la mode soviétique, etc.), nul besoin de sortir de l’ENA pour penser à anticiper le pire en prévoyant un plan B de rechange, juste au cas où.
Mais quand on cherche à vous faire croire que votre emploi est un droit (syndicats) ou que l’État vous ment en vous promettant de vous protéger des vilains capitalistes (plan de licenciement = plan de sauvegarde LOL), il ne faut pas s’étonner ensuite des drames quand la réalité refait surface.
7067 commentaires
Facebook : seuls 51 % de ses salariés croient encore qu’il pourrait améliorer le monde
06/11/2020
Le 08/11/2020 à 17h 49
Pourquoi pas mon petit doigt aussi
Le 08/11/2020 à 08h 31
Comparons ce qui est comparable : la relation entre époux n’est pas du tout du même type que celle entre un client utilisateur de FB et FB. De plus pour être valables légalement, les contrats de mariage impliquent des tiers (officiers d’État civil, notaire et/ou maire) qui n’existent pas par ailleurs.
Cette position un peu futile de vouloir à tout prix effacer la notion de client fait penser à ces syndicats d’un autre âge qui s’obstinent à les étiqueter en « usagers », ou ces professionnels de santé qui les appellent des « patients ». Ces idiomes sont assez symptomatiques du mal (culturel) français. On est pourtant tous des capitalistes maintenant.
Le 07/11/2020 à 19h 33
Distinguo sans différence. Le fait d’introduire un transfert marchand (« vente ») est factice et sans rapport : un contrat est un contrat, que le produit/service soit marchand ou pas.
Sans perte de généralité, on peut favorablement comparer les CGU aux conventions d’ouverture de compte bancaire qui sont aussi des contrats d’utilisation : leur signature fait du signataire un client (et donc utilisateur) sans transfert marchand (et à qui non seulement cela ne coûte rien mais peut même rapporter si le compte est rémunéré).
PS : ce serait plus convenable de me citer pour m’avertir quand tu me réponds.
Édition : une fois n’est pas coutume, le commentaire ci-dessus est correct.
Le 07/11/2020 à 11h 16
Les CGU/CGV sont juridiquement des contrats : dès acceptation/signature/inscription/etc. tu deviens de facto et de jure* un client de la marque et un utilisateur de ses service. Point. Un tel niveau d’ignorance est déconcertant.
Le 07/11/2020 à 07h 43
Un certain raccourci calamiteux formulé plus haut et appliqué ici pourrait laisser penser que si.
Le 07/11/2020 à 07h 36
C’est indiqué dans mon commentaire où il suffit de relier 2 phrases : client = utilisateur. Que l’utilisation de FB soit gratuite ne fait pas moins de ses utilisateurs des clients comme tout signataire de n’importe quelles CGU proposées par n’importe quelle entreprise n’importe où dans le monde. Que FB ait (aussi) des clients B2B est sans rapport.
PS : le niveau d’agressivité perçu est réglé sur le niveau d’absurdité relevé.
Le 06/11/2020 à 11h 01
Comme dit plus haut par MoonRa, l’horizon temporel (de beaucoup) des salariés ne dépasse pas la fin du mois. Seuls les activistes sont intéressés par de type de question holistique (et débile à mon sens).
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Médiocre raccourci : l’utilisation de (certaines de) tes données à laquelle tu consens d’ailleurs en t’inscrivant ne fait pas de toi un « produit » au sens usuel du terme (de bien ou de service). C’est une grotesque tentative de détournement de sens, un pétard mouillé.
Le 06/11/2020 à 09h 44
On ne comprend pas bien l’intérêt de demander aux salariés leur avis sur le sujet alors que les principaux concernés sont les clients.
Mais il est vrai qu’avec 2,7 milliards d’utilisateurs, la question ne se pose même pas…
Quand une météorite au Maroc « dévoile un climat chaud sur Mars il y a 4,4 milliards d’années »
02/11/2020
Le 08/11/2020 à 09h 02
Alors que c’est précisément la définition d’un gaz à effet de serre (GES)… pas étonnant que d’aucun considère que cet effet est fictif tant il est utilisé de manière ad hoc pour prouver tout et son contraire. D’ailleurs l’IPGP n’a effectué aucun calcul à l’appui de son hypothèse.
La phrase citée (« Une quantité élevée de H2, gaz à effet de serre ») est fatalement erronée car le spectre d’absorption d’H2 montre qu’il n’en est pas un. Le réchauffement par GES de Mars est donc toujours purement hypothétique. Note que cela ne veut pas dire qu’il n’a pas eu lieu, seulement que l’explication avancée est fausse.
(Le reste, qui confond thermalisation et effet de serre, méconnaît la Loi de Beer-Lambert et oublie les effets de la gravité et de la pression atmosphérique, est un salmigondis non physique sans rapport.)
Le 07/11/2020 à 15h 32
Change de disque.
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On n’échappe pas au ridicule quand on cite hors contexte et hors sujet : l’équipe qui a publié cet article (2019 je le rappelle) a développé ce nouveau senseur précisément parce que jusqu’alors mesurer la [H2] était difficile en environnement industriel ; on se doute que si le projet n’avait pas abouti, ils n’auraient pas publié…
Bref ce point HS est encore une manière de tenter de détourner le sujet qui est la grossière erreur physique de l’IPGP citée dans la news : H2 n’est pas un gaz à effet de serre.
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Triviale constatation physique qu’on étudie en terminale (la molécule est symétrique) et qui rappelée en introduction de l’article :
Note que dans les molécules diatomiques, on ne distingue évidemment pas le moment polaire de liaison du moment polaire moléculaire (comme on le ferait pour du méthane par ex.).
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Révise tes notions de cavité et de corps noir : l’atmosphère est transparente pour la plupart des rayonnements. Les « couches » ne sont que des abstractions pour permettre l’analyse et faciliter les calculs. En aucun cas ce sont des parois ou autre ineptie du folklore climastrologique.
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Mauvaise foi. Je te cite :
ce qui est manifestement faux vu la date (mesure =/= théorie). Une personne honnête aurait reconnu cette erreur ne portant pas à conséquence en plus. Tenter de biaiser ici fait de toi un amateur fourbe et malhonnête.
Le 06/11/2020 à 09h 30
C’est une illustration de ton ignorance.
1/ Le point de mon sujet est le H2, rien d’autre, et l’article d’où est tiré le spectre mis en lien est de 2019, mets-toi à jour.
2/ HS : je ne suis concernée ici que par Vénus (btw une couche n’est ni une paroi ni un fond).
3/ Relis l’article qui dit le contraire : H2 est très difficile à mesurer car il n’a pas beaucoup de raies d’absorption, ce qui est mon point et contredit ce que dit la news/IPGP.
(Note : les ondes gravitationnelles ont été trouvées seulement en 2015…)
Le 03/11/2020 à 16h 49
Apprend à lire avant de répondre n’importe quoi :
1/ le sujet est le H2, pas le CO2 ;
2/ l’atmosphère n’a ni « paroi » ni « fond » ;
3/ l’article d’où est tiré le spectre dit précisément que mesurer celui de H2 est très difficile.
Bref ta réponse est HS comme d’habitude.
Le 03/11/2020 à 16h 42
Si c’est écrit sur un site Web quelconque alors… Sauf que C. Sagan a correctement approché par calcul la température de Vénus – ~700 K – (corrigenda) avant même de connaître la composition exact de son atmosphère : la variation de 0 à 100 % de CO2 ne fait varier la température que de quelques dizaines de degré, ce qui prouve que l’effet de serre n’est pas le principal responsable de la température sur Vénus.
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C’est surtout stupide de ne pas l’avoir lu car c’est de lui que j’ai tiré mes renseignements LOL !
Le 03/11/2020 à 16h 28
C’est comme cela que fonctionne le nouveau four de la NASA !
Le 03/11/2020 à 10h 16
Non car si tel était le cas, il existerait une différence de températures entre sa face éclairée et sa face à l’ombre : or la température atmosphérique vénusienne est uniforme (d’autant plus que Vénus tourne très lentement sur elle-même).
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Ici H2 n’a pas de moment dipolaire et donc n’absorbe pas dans l’IR. Son spectre d’absorption est limité à quelques très rares et excessivement faibles bandes de transitions par vibration, raison pour laquelle il est difficile de mesurer optiquement (c-à-d en temps réel) la [H2] si l’échantillon n’est pas d’une pureté absolue.
Une fois de plus, à part une hypothèse sans preuve et une conclusion sans fondement physique comme habituellement avec la théorie mal nommée et dite de « l’effet de serre », il n’y a pas grand chose dans cette étude.
Librairies indépendantes : un reste à charge de 0,01 euro pour l’expédition de livres après coup de pouce gouvernemental
06/11/2020
Le 07/11/2020 à 14h 33
Tant mieux pour toi, je ne doute pas que pour des besoins basiques ou sur des produits con(ve)nus ou nouveaux ces sites soient suffisants, mais note que ta condition « à prix égal » sera rarement satisfaire vu que les frais de ports ne sont pas nuls (ou à 1 centime) sur ces sites…
Je fais mes recherches par thèmes (aucun trouvé sur ces sites), collections (critère inconnu sur ces sites) et d’ouvrages difficiles à trouver ou pas réédités (ils ne vendent que du neuf a priori) : Amazon ou Ebay sont donc incontournables.
Le 07/11/2020 à 11h 01
Vu l’indigence produit et l’absence d’ergonomie de ces sites (on devrait plutôt dire moteur de recherche ou agrégateur), leur totale invisibilité sur le Web est compréhensible, et quiconque les a testé repart immédiatement vers Amazon…
Le 07/11/2020 à 08h 36
Pour une entreprise, prendre à sa charge des frais (de livraison ici) n’est pas du dumping (un terme péjoratif sans pouvoir explicatif) mais un moyen de séduire le client pour prendre des parts de marché. Ceci se fait aux dépends de ses finances et donc potentiellement à l’avantage de ses concurrents à terme, et de ses actionnaires qui peuvent décider de favoriser à tout moment leurs dividendes en y mettant fin.
Le rôle du syndicat des libraires dans cette débâcle est clair. De plus pourquoi sont-ils incapables de s’organiser comme d’autres professions pour développer des synergies, limiter les coûts etc. avec des plateformes de vente ou d’achat, de mises en commun opérationnelles, de regroupements, etc. ? L’explication est évidente : ils n’ont pas besoin car en crapitalisme de connivence les relais dans les cercles du pouvoir qui en retour essaie de plaire à ses influenceurs sont un levier suffisant c-à-d gagnant-gagnant (le seul perdant étant l’abruti d’électeur mais passons).
Le 07/11/2020 à 08h 08
Jaloux…
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L’ironie de ton commentaire doit t’échapper, parce que le seul qui défend Amazon ici est le gouvernement qui copie ses méthodes lol !
Du reste ta vision de « l’intérêt économique » est étriquée : comme toujours avec les étatistes la fin justifie les moyens pour rectifier au fil de l’eau leur empilement d’échecs et d’erreurs. Ici l’absurdité de la décision la dispute au comique : la prise en charge publique des frais de livraison va profiter aux aisés qui lisent aux dépends de tous les autres qui ne lisent pas ou peu (généralement moins aisé) : pire traitement inégalitaire, je ne vois pas, bravo !
L’incohérence congénitale des ignares collectivistes est confondante.
Le 06/11/2020 à 10h 47
Je sais bien qu’il date de mars, c’est même pour cela que je le cite. Déjà à l’époque on savait que les projections des modèles étaient complètement fausses. Mais même sans cela, se tirer volontairement une balle dans le pied échappe à toute logique.
Évidemment des mois ont passé mais pour les imbéciles qui pensent nous gouverner rien n’a été fait, et donc ils réappliquent bêtement leurs recettes d’un autre âge sans tirer les leçons d’un passé pourtant récent. Mélenchon est tout à fait correct dans son diagnostic sur la dérive autoritaire du pouvoir.
Il n’en reste pas moins que le syndicat des libraires, s’il comptait sur l’État pour s’adapter la situation nouvelle (nouveau virus), s’est lourdement fourvoyé et les libraires en paient le prix fort maintenant.
Édition : anagrys écrit la même chose un peu plus haut.
Le 06/11/2020 à 09h 38
Remarque ridicule et, ironiquement, tout à fait déplacée alors qu’Amazon pratique déjà le 1 centime.
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Pourquoi devrait-on se montrer solidaire d’un secteur qui s’est lui-même imposé ces sanctions ? Qu’ils ne viennent pas se plaindre maintenant et assument leur décision.
Ce que prévoit la proposition de loi sur la Sécurité globale après la commission des lois
06/11/2020
Le 07/11/2020 à 09h 57
Étant donné que ces derniers ont déjà voté pour autoriser la transmission d’image/vidéo, le caractère d’urgence de la situation est automatiquement inclus, d’autant que le gestionnaire de l’immeuble est aussi choisi par eux. Face aux nuisances actuelles dans les immeubles, cet amendement est une évolution pertinente sinon attendue.
En commission, le fichier des véhicules assurés s’ouvre aux policiers municipaux
05/11/2020
Le 05/11/2020 à 17h 10
Tu es bien gentil avec l’État, alors qu’une fois de plus il a failli dans son domaine d’incompétence. L’État, c-à-d les cancres au pouvoir, se désengage du régalien depuis belle lurette, préférant le facile, le porteur médiatiquement, le pas coûteux politiquement ou électoralement (mais le plus destructeur sociétalement) plutôt que de développer une politique de sécurité et de protection digne de ce nom.
Certains quartiers ne sont même plus « visités » par la police nationale (PN), ce qui fait que l’existence de l’échelon municipale est en fait une bénédiction pour les populations locales. Ta plainte d’« inégalité » serait comique si elle n’était pas lancée avec de telles œillères.
Et je ne parle pas du scandale du nombre effarant de plaintes qui sont classées sans suite par la PN pour enjoliver les statistiques et plaire en haut lieu…
En fait tout concoure pour que le local reprenne les choses en main : ce ne pourra pas être pire que la déroute actuelle.
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Amen.
Composition, technologies et fonctionnalités : on vous dit tout du disque dur moderne
05/11/2020
Le 05/11/2020 à 15h 59
La traduction (automatique ?) du tableau comparatif chez Intel est ignoble : préférez la version anglaise.
Les processeurs Ryzen 5000 (Zen 3) d’AMD sont disponibles en France, dès 315 euros
05/11/2020
Le 05/11/2020 à 15h 47
« D’autres comme Top Achat affichent des tarifs bien plus élevés, sans doute en raison du peu de pièces disponibles »
QED. LOL !
Un premier test du Ryzen 5 5600X (Zen 3) d’AMD
04/11/2020
Le 05/11/2020 à 15h 43
« Il faudra donc éviter que les revendeurs ne jouent trop la hausse pour maximiser leurs gains. »
Inévitable (et sain et bénéfique) dans un marché fonctionnel où le nombre de produits est limité. Si on veut éviter la houle par grand vent, on ne sort pas en mer…
Donald Trump dit avoir gagné et promet d’aller jusqu’à la Cour suprême
04/11/2020
Le 05/11/2020 à 15h 16
Ce n’est pas un argument.
Le 05/11/2020 à 13h 30
L’appel au consensus en matière scientifique est une variante de l’appel à l’autorité, donc un sophisme. Il est aussi utile que pour un assoiffé au milieu du désert de s’en remettre à Dieu : le résultat est couru d’avance (nul).
Le 05/11/2020 à 11h 14
Au contraire : cette notion anti-scientifique n’est qu’un écran de fumée pour idéologue/ignare. L’appel au consensus permet d’éviter de (se) « remettre en question » et on ne compte plus le nombre de consensus qui ont subséquemment péri par la Science elle-même.
Le 05/11/2020 à 10h 24
Comme les enragés du consensus, les idéologues doctrinaires etc. La remise en question est une démarche personnelle qui demande des efforts constants, ce que peu sont décidés à fournir sur le long terme. Ces fainéants aux œillères sont très souvent ceux qui se plaignent des autres à ce sujet d’ailleurs, un moyen cérébralement peu coûteux pour éviter d’exposer leur ignorance. On les reconnaît facilement.
Le 05/11/2020 à 08h 21
Je n’ai pas une très haute opinion des politiques en général et de Trump ou Biden en particulier : il faut être extrêmement naïf ou possédé par une idéologie pour leur accorder le bénéfice du doute. J’accorde ma charité aux plus faibles mais pas aux aux escrocs, menteurs, hypocrites, voleurs et autres parasites.
Alors, que quelques blaireaux stupides ici ou là se censurent ou pensent ceci ou cela de moi ne m’affecte pas particulièrement : leur limitation intellectuelle et leur misère cognitive sont établies dès leur absence/refus d’engagement sur un sujet.
Le 05/11/2020 à 08h 10
C’est cool de pouvoir réfuter unilatéralement des abrutis qui se censurent eux-mêmes
Le 04/11/2020 à 19h 20
Ton lien tente de faire passer le « système de fraude » pour un « système d’aide aux personnes ayant des difficultés à voter », alors que ce système (entre autres) est pointé du doigt pour faciliter la fraude, justement. On peut donc légitimement interpréter ses propos à cette aune.
Ceci dit, Biden semble avoir plus fait un lapsus révélateur. Ou alors il est sénile. Ou les 2.
Le 04/11/2020 à 15h 15
La meilleure est quand Biden déclare publiquement qu’il a (avec Obama) mis en place la plus grande escroquerie aux voix de l’Histoire des USA… Tant « d’honnêteté » c’est rare !
Ventes de produits non essentiels : un député veut étendre les restrictions aux « sites Internet des GAFA »
05/11/2020
Le 05/11/2020 à 11h 08
L’économie possède ses propres règles qui ne devraient pas être subordonnées aux diktats et aux oukases d’une castes d’imbéciles non-pensants imposant des décisions irréfléchies et ineptes sous couvert d’un comité Théodule pseudoscientifique à leur botte parce qu’ils ont été incapables, malgré leurs promesses depuis des mois, d’adapter le système de soin aux pénuries qu’ils ont eux-mêmes créées. « Fusiller » ces incompétents récidivistes sur la place publique serait un moindre mal.
Le 05/11/2020 à 10h 41
S’ « engager en faveur de petits commerçants de proximité » en les mettant arbitrairement hors marché, ce serait risible sans la ruine économique. Et comme ils ont été mis hors concurrence, on ne peut donc parler de « concurrence déloyale » de la part des autres acteurs. Ce dépité est un crétin.
Plus généralement la faillite de l’État-providence, de l’État-stratège, de l’État-nounou, de l’État omniscient et omnipotent, bref du tout-État-à-la-mode-fasciste et de ses institutions technobureaucratiques inefficientes et obsolètes est maintenant bien ancrée dans les consciences. En espérant que cela cristallise dans les mémoires en se traduisant par des actes.
Numérique soutenable : L’Arcep revient sur les différentes « obsolescences »
05/11/2020
Le 05/11/2020 à 10h 55
Bizarrement pas de mention de l’obsolescence administrative et institutionnelle alors que ces épaves bureaucratiques d’un autre âge saignent le public à blanc pour maintenir en place nombre de parasites improductifs qui se croient importants.
Ce pays est foutu.
5G : coup d’envoi dès le 18 novembre, l’Arcep prépare un observatoire des déploiements
04/11/2020
Le 05/11/2020 à 08h 37
La date avancée du 18 novembre est juste une bouffonnerie arbitraire de comm’ d’une agence administrative en mal de reconnaissance ou d’existence qui ne semble exister que par (et être au service de) son « président », un titre ronflant pour un simple bureaucrate.
De plus la (tentative de) réduction de l’ARCEP à sa petite personne tout gonflé d’un égo surdimensionné est tout à fait pitoyable.
Sur ce point au moins l’ANFR est bien plus pro.
Disque dur Toshiba MG08 de 16 To (CMR) : quelles performances à haute densité ?
28/10/2020
Le 01/11/2020 à 09h 07
Ce n’est pas exactement la même chose, les entreprises utilisant aussi des HDD de class Desktop, d’autant plus qu’un peu plus loin il est écrit que « Toshiba nous a fourni une version classique », terme normalement entendu comme Desktop. Mais soit.
Le 31/10/2020 à 08h 08
Il est rare d’avoir des tests de HDD de nos jours donc
Cependant nulle part dans l’article il n’est précisé que c’est un disque de classe Enterprise (même si on peut le deviner selon les caractéristiques). Le taux d’erreur irrécupérable en lecture qui est un indice de fiabilité, n’est pas non plus indiqué (ni dans la doc. mise en lien d’ailleurs) : la documentation technique le donne à 1 / 10^15 pour ce disque.
Dans l’espace, les débris sont « une menace pour notre avenir »
28/10/2020
Le 30/10/2020 à 21h 07
2 secondes de réflexion auraient pu t’éviter ce cliché débile : « les bénéfices » sont la mesure de la durabilité d’un modèle de spécialisation. Quand une entreprise fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire. Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive pour le bien des consommateurs, et globalement pour la société tout entière – c-à-d le seul « bien commun » qui a une nature et définition non-idéologique.
Pour le CNRS, « la question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement »
28/10/2020
Le 30/10/2020 à 20h 30
La poignée d’irréductibles imbéciles (toujours les mêmes) qui essaient de compenser leur totale incompétence et inculture générale par de l’invective, du sophisme, du relativisme ou, pour les plus minables de se plaindre de la forme/longueur des §, pour essayer de faire taire ce (et ceux) qui heurte(nt) les croyances de leur petit confort cérébral est en fait salutaire : elle indique que tu es sur le bon chemin !
Note pour les frustrés : l’ « arrogance » ou de la « prétention » ne représentent seulement que vos infirmités cognitives face à la manifestation du savoir, de la réflexion, du raisonnement, et, pour tout dire, de l’intelligence en action.
Cela devrait vous (c-à-d pour les moins sots) indiquer la voie à prendre…
Climate from Space : l’ESA lance un site dédié au changement climatique, avec 21 couches de données
22/10/2020
Le 23/10/2020 à 07h 59
Il n’y a rien en rapport avec le climat dans ce site qui ressemble plus à un gadget pour attardé mental qui saccade dès qu’on sélectionne plus de 2 couches : à peine 30 ans de données non-numériques (tout juste un point climatique) qu’il est impossible de comparer pour en suivre l’évolution.
De l’argent jeté par les fenêtres.
L’espace en manque de régulation
20/10/2020
Le 23/10/2020 à 07h 28
La seule « régulation » fonctionnelle, perenne et pacifique de l’espace (au sens large) est d’y définir un droit de propriété (comme ~partout ailleurs) : la proposition de zone de sécurité va dans ce sens, de même que l’exploitation des matières premières sur la base du premier arrivé premier servi.
En route vers Mercure, BepiColombo effectue son premier survol de Vénus
16/10/2020
Le 17/10/2020 à 08h 33
Je commente un point grossièrement erroné de l’article sur Vénus, n’ayant pas eu l’occasion de le faire avant.
Comme rappelé, la planète tourne très lentement sur son axe. Si la théorie radiative était l’unique explication pour la température élevée, il devrait exister une très forte différence de température entre la face toujours éclairée sujette à l’ « effet de serre » et l’autre face non-éclairée par le Soleil.
Or la température est homogène sur Vénus, sans différence jour/nuit [1], ce que la théorie radiative ne peut expliquer. Ce n’est donc pas « un puissant effet de serre » qui explique la température uniforme de près de 700 K sur Vénus.
[1] https://www.aeronomie.be/sites/default/files/2019-07/Venus_atmosphere_temperature_altitude.jpg
Le renseignement spatial évolue rapidement, la France va déployer de nouveaux satellites
16/10/2020
Le 17/10/2020 à 07h 40
Un argument étayé et raisonnable, bien que l’imitation en matière de guerres et conflits soit discutable : ces derniers n’existent que parce que de mauvaises décisions ont été prises (avant, ailleurs, etc.).
Le 16/10/2020 à 15h 18
Les finances et dettes publiques ne sont clairement pas utilisées pour produire de la richesse en France : elles remboursent d’autre dettes, elles achètent la paix sociale, elles masquent les chiffres du chômage, etc. Bref les dettes sont une charge.
De plus consommer ne produit pas de richesse, ainsi que l’indique précisément le verbe. Comme produire ici coûte trop cher, la consommation et donc la production se fait essentiellement sur des produits à faible marge : la création de richesse est relativement faible.
L’État doit rembourser ses dettes par l’imposition/taxation (là on est champion du monde pour le coup) des entreprises qui ont alors moins de capacité à investir pour innover et gagner des marchés, etc., et plus généralement, tous les individus qui eux aussi consomment moins, investissent moins, etc.
Les richesses se créent par la production de machines pour créer d’autres machines qui créeront des biens ou services. Toutes ces armes ne produisent rien en définitive à part la mort (mais pas de quoi en être fier) et faire perdurer la parasitocratie (publique et privée). L’argent gaspillé dans ces gadgets ne sert pas à produire de richesses.
S’endetter est facile, mais c’est un cercle vicieux dont il est difficile de sortir quand on ne produit rien. Mais en France le dogme est depuis 50 ans Je dépense donc je suis (élu).
Le 16/10/2020 à 12h 19
Je ne critique pas la « France » en tant que telle (qui est une aire géographique arbitraire neutre) mais le système français : celui l’endettement à tout prix (« ça ne coûte pas cher, c’est l’État qui paie », « quoiqu’il en coûte », etc.) plutôt que favoriser la création de richesses (l’économie) pour avoir les moyens de ses ambitions.
Alors oui on peut pavoiser de posséder des armes, des satellites espions, etc. et entretenir l’illusion de la grandeur passée (celle de toutes les guerres perdues ?), mais pour quoi faire quand la même caste sabote intentionnellement le système pour viser la décadence économique ?
Est-ce que tous ces jouets pour attardés apportent une quelconque plus-value ? Tous ces gadgets ont-ils évité le terrorisme et la barbarie associée ? Au final est-ce qu’on dormirait mieux si toutes ces dépenses inutiles n’existaient pas ? La réponse est oui, sans hésitation.
Appel à la grève suite à l’annonce de la fermeture des bureaux de Blizzard en France
15/10/2020
Le 17/10/2020 à 07h 24
Le code du travail (quand on le lit) indique pourtant clairement que sont aussi considérées comme valables :
1/ la réorganisation pour la compétitivité
2/ la cessation d’activité
Les entreprises sont (encore) libres de décider si leur business nécessite une réorientation (définitive) face aux évolution du marché (c’est-à-dire aux individus qui échangent) et donc son adaptation en terme de capital, humain compris.
Certes on peut comprendre qu’il soit difficile de perdre son emploi. Mais dans un pays qui cumule toutes les difficultés possibles (chômage de masse, dettes publiques monstrueuses, ossification du marché du travail, zéro croissance depuis des décennies, asphyxie réglementaire, champion du monde de la taxation/imposition, dirigisme économique à la mode soviétique, etc.), nul besoin de sortir de l’ENA pour penser à anticiper le pire en prévoyant un plan B de rechange, juste au cas où.
Mais quand on cherche à vous faire croire que votre emploi est un droit (syndicats) ou que l’État vous ment en vous promettant de vous protéger des vilains capitalistes (plan de licenciement = plan de sauvegarde LOL), il ne faut pas s’étonner ensuite des drames quand la réalité refait surface.
Le 16/10/2020 à 11h 50
Définis « raison valable ».