Tu n’aura pas mis longtemps à abandonner ton principe de « se comporter en adulte »
C’est moins fastidieux que d’argumenter cela dit…
Le
18/11/2020 à
15h
34
Elle est inadaptée. Tout l’intérêt des TCS/non-labour est justement que la matière organique s’accumule au cours du temps, ce qu’elle fait : c’est donc un stockage positif net. Donc la réalité est que moins la décomposition est rapide, moins il y a réémission de gaz à effet de serre, ce qui équivaut à du stockage.
Ta logique « simple » est donc fatalement erronée, car simpliste puisqu’elle ne permet pas de déterminer les véritables émetteurs de CO2 (les consommateurs) à cause d’une définition déficience et d’une méthodologie défaillante.
On ne devrait pas s’aventurer à commenter dans ses domaines d’incompétence, qui sont nombreux et variés en ce qui te concerne.
Le
18/11/2020 à
08h
45
agriculteurs traditionnels
1/ Malhonnêteté intellectuelle made in carbier typique qui consiste à changer subrepticement de variable (« l’agriculture conventionnelle » -> « agriculteurs traditionnels »). Comme ces derniers exploitent beaucoup moins de surfaces en moyenne, ils sont mathématiquement plus nombreux puisqu’elles sont en gros équiréparties. Cet état de fait ne change absolument rien aux surfaces absolues de l’agriculture en TCS/non-labour/raisonnée/etc. qui progressent toujours d’ailleurs, mais cela permet à carbier d’essayer de tromper. Raté.
2/ En vrac dans ton lien : a) les émissions sont affichées en % dont la base n’est pas précisée ;
b) le % de CH4 émis par l’élevage est sélectionné hors contexte (non intégré, cf travaux INRA) ;
c) les % sont mis en opposition avec des valeurs absolues (pomme versus lapin) ;
d) l’unité utilisée n’est pas intuitive : l’équivalence est inutile quand on connaît (ou on peut calculer très facilement) la quantité réelle de CO2 ;
e) le chiffre du « bilan du puits carbone » contient la même erreur exposée plus haut et pour la même raison : il comprend les enfouissements et les consommations en fin de chaîne.
L’explication en est que pour les escrolos la définition d’un puits de carbone est celle d’un stockage à long terme : cette définition est bien entendu erronée et trompeuse dans le cadre de la recherche des émissions et donc des émetteurs.
f) les bioénergies sont oubliées (c’est même écrit lol !).
En fait ton graphique récapitule exactement les erreurs exposées plus haut.
Le
17/11/2020 à
16h
12
Soit spécifique, je ne lis pas dans les esprits.
Le
17/11/2020 à
16h
02
Le corollaire de la 1ère.
Le
17/11/2020 à
15h
00
? ?
Le
17/11/2020 à
14h
59
(reply:1837593:jack oneill)
Une subvention de l’UE à une entreprise de l’UE (ici un financement de l’ESA à des entreprises de l’UE) est une forme de protectionnisme : pourquoi n’y a-t-il pas d’appels d’offres internationaux sur ce type de projets aussi coûteux ?
Le refuelling est indirect : le remorqueur reste « au service » du satellite cible (ici l’IS-901) pendant encore 5 ans avant de l’envoyer au cimetière. Tout à fait d’accord avec la prouesse.
Le
17/11/2020 à
13h
09
(reply:1837571:jack oneill)
Je les ai ignorées parce que ma question les visait déjà (mon « hors UE »). Le but de ces subventions est donc bien du protectionnisme déguisé, soit exactement mon point de départ ! On se fiche totalement de celui qui finance.
Ce n’est pas « exactement » ce que tu as écrit, je te cite « Il y a des projets de missions de refuel pour les satellite GEO » : une telle mission déjà opérée n’est plus un « projet ». Autant être précis, surtout quand on travaille dans le domaine.
Le
17/11/2020 à
12h
56
Certainement, mais mon but était de pointer les erreurs du GIEC et des escrolos qui prétendent que la fixation de C dans les productions agricoles n’est pas un stockage, pas de faire un bilan (auquel on pourrait aussi ajouter la production de bioénergies avec ses répercussions positives en amont et en aval mais non prises en compte, ou le développement de l’éolien, etc.).
Grossièrement, les émissions de CO2 moyennes agricoles sont d’environ 2 t / ha. De l’autre côté, par ex. 1 ha de maïs non irrigué capte environ 27 t de CO2 (la forêt fois moins). Tu comprends maintenant le but de la manœuvre qui consiste à ne pas tenir compte de la photosynthèse : on devrait en fait nous payer pour le le service rendu (si on est croyant) au lieu de nous accabler de taxes…
Le
17/11/2020 à
12h
12
(reply:1837528:jack oneill)
Épargne-toi l’effort de bomber le torse, aucun bon point n’est attribué pour de supposées qualifications : seule la qualité des arguments est prise en compte.
1/ Tu n’as pas à me remercier : mes intérêts (à courts, moyens, longs et très long termes) ont simplement prévalu. Je répondais à ton « triptyque » dépassé qui oubliait la part non minoritaire (au sens de non marginale) des TCS/non-labour/etc. (voir aussi ce commentaire), ce dont tu conviens. Je me limite parce que a) je répondais à tes affirmations et b) je ne peux pas faire une thèse sur le sujet ici. Ce que j’aime ou pas est sans rapport : seuls les faits/arguments m’intéressent. Note que je ne nie pas que l’Homme a une influence non négligeable (positive et négative) sur l’environnement en général. De là à attribuer une supposée influence (sans parler de la quantifier) sur une seule variable non physique (dont les données ajustées toujours dans le même sens sont suspectes) et probablement non représentative (par rapport à la quantité de chaleur accumulée dans les eaux), évoluant très lentement dans un système chaotique complexe et elle-même dépendante d’un seul facteur (la [CO2]atmos) dont l’effet calculé linéaire est suspicieusement simpliste, le tout baignant dans un océan d’incertitudes et d’inconnues aussi connues qu’inconnues, cela fait beaucoup (trop) pour mon tempérament scientifique. D’autant que la prise en compte correcte (à la ≠ du GIEC) de où va le CO2 capté par la photosynthèse indique que l’agriculture est climatiquement neutre.
2/ Inutile de me convaincre sur l’utilité des données satellite. Je suis persuadée que c’est l’avenir de l’agriculture de précision et de futurs gains de productivité/marge. Simplement, ma critique visait le discours marketing et son positionnement escrolo disons vert à la mode, ce que tu confirmes en citant des applications potentiellement utiles qui n’ont rien à voir. On attend mieux d’un organisme vivant sur des fonds publics. Sur la redondance des données, les Sentinels les fournissent déjà (plus de 250 index de végétation par ex. qui couvrent l’état et la production des cultures) : parler de « sécurité alimentaire » quand on ne dispose pas de modèle global allant de la culture à la production est une exagération confinant au mensonge.
3/ « continue de mettre des guillemets autour de consensus » et « inquiétude du milieu scientifique » sont 2 arguments d’autorité. Ton § de sociologie supputative est sophistique (argumentum ad personam/hominem) et erroné : je ne suis pas sceptique mais hérétique – je questionne les fondamentaux (la théorie, et donc les modèles climatiques (MC)), par conséquent nul besoin de mettre les mains dans le « code » que je laisse aux techniciens. En vrac a) je n’ai pas parlé d’aucun modèle météo. b) Traduction : tu confirmes que les nuages, dont l’existence dérivent de la microphysique, ne sont donc pas « simulés » puisque la microphysique ne l’est pas elle-même dans les MC mais bien paramétrés sur tous les MC (cf en part. la fig. 2 page 5) . Le tableau récapitulatif des caractéristiques des MC utilisés par le GIEC montre d’ailleurs que 2⁄3 des modèles n’implémentent même pas de cloud feedback. c) Le fait qu’il n’existe qu’un seul climat face à autant de modèles devrait faire s’interroger sur l’état de la discipline. Mais non, le GIEC préfère masquer les incertitudes en en faisant des moyennes.
4/ « Et ? » : pas plus que ce que j’ai déjà écrit : pourquoi sélectionne-t-on ces entreprises alors que hors UE bien d’autres existent certainement plus compétitives et tout aussi compétentes ? Je te corrige :
« c’est le peuple qui finance des missions spatiales européennes. »
5/ Allons, les USA remplacent leurs satellites comme l’ESA, pourquoi le nier. Et une mission (privée) en GEO de refuelling a déjà eu lieu cette année. Ce qui « me semble pertinent » ou pas est sans rapport. Mais merci pour ces précisions.
Le
17/11/2020 à
10h
02
Non l’agriculture conventionnelle n’est pas raisonnée car utilisant abondamment nombre de produits phytosanitaires dispensables. A telle point que chez les grands céréaliers, la couche superficielle des terres est une couche “morte”.
Toute l’agriculture conventionnelle n’est pas encore raisonnée (au sens où on l’entend dans la profession), c’est exact, mais une grande partie l’est et en particulier les grandes cultures (c’est pour cela qu’elles sont grandes…). Ton affirmation erronée à l’opposé de la réalité traduit ton déficit de connaissances sur le sujet et fait pitié : 1/ les quantités vendues ont baissées de 57 % en 20 ans, et la baisse se poursuit en particulier grâce aux TCS et non-labour. Certains produits retirés sous la pression d’ignares idéologues dans ton genre ont été récemment réautorisés par celle, et à sa courte honte, qui les avaient interdits. On utilise aussi des techniques de réductions de doses, réduction de la dérive, d’incorporation d’adjuvants, d’application selon des cartes de préconisations, etc. pour en mettre le moins possible là où il faut. Seuls des dogmatiques sont assez possédés par leur idéologie débile ou leur inculture pour croire que jeter l’argent par la fenêtre en gaspillant ces produits onéreux est crédible. Enfin tu ne cites aucun ex. de « produits dispensables » (pour qui, pour quoi, tu ne sais pas). On ne va pas te croire sur parole, surtout toi. 2/ les grand céréaliers sont en TCS/non-labour depuis longtemps parce que les bénéfices pour le sol (et le temps de travail et la marge) sont bien connus : augmentation de la biodiversité (verres de terre, faune (les dégâts de gibier localisés chez eux en attestent), etc.) amélioration de la structure/texture (battance, portance), résistance accrue aux évènements météo (mulching dérobées, CIPAN), augmentation du C/N (matière organique), … diminution des passages, de la mécanisation, conduite culturale intégrée, etc.
Bref tu exposes ton ignorance. . .
Non l’agriculture conventionnelle n’est pas plus respectueuse de la biodiversité que le bio
J’ai donné plus haut les arguments et les liens qui démontrent pourquoi elle l’est (base de comparaison trompeuse). . .
Non l’agriculture conventionnelle n’est pas neutre en CO2. Elle le serait sans l’utilisation massive de phytosanitaires.
idem (le CO2 capté par photosynthèse est enfoui ou consommé en fin de chaîne).
Le
16/11/2020 à
19h
55
Avec son « triptyque », l’interlocuteur semble penser que l’agriculture en 2020 est en restée aux techniques de 1970 (~100 % labour). Donc en lui répondant j’entendais « minoritaire » dans le sens de peu représentée plutôt qu’opposé à majoritaire. J’aurais pu écrire plus précisément « marginale » mais le mot me semblait suffisamment clair pris dans le contexte.
Le
16/11/2020 à
17h
55
(reply:1837378:jack oneill)
Mon associé sur ma ferme (oui j’exploite la Nature, pas de bol…) est ingénieur agricole (re pas de bol)…, et j’ai moi-même un doctorat scientifique (re re pas de bol) + un BPREA pour le côté agricole. Voilà pour les présentations.
1/ Le non-labour, les TCS et l’agriculture (conventionnelle) de conservation (que je pratique) ne sont pas minoritaires au contraire. Il faudrait sortir un peu sur le terrain. Le cycle cultural dépend énormément de facteurs non maîtrisables tels que la géographie (hydrologie), la typologie des sols (adéquation aux espèces/variétés), le climat/microclimat (idem), la situation hémisphérique (ensoleillement, pluie), l’existence de marché, les capacités de transport locales, etc. Du bureau, tout paraît simple… Les produits phytos sont aux plantes ce que les médicaments sont aux animaux (humains compris). On ne les utilise (tout comme les intrants) qu’avec la plus extrême parcimonie car très chers. Ils ont contribué et contribuent toujours à fournir de la nourriture saine et peu coûteuse. Ils ne dérangent en fait que les idéologues qui surfent sur l’ignorance des foules.
Biodiversité : ta position est exactement équivalente à celui qui célébrerait comme plus écolo le 4x4 qui consomme moins d’essence au km (ie le bio) plutôt que le bus (ie tout le reste)… Ta métrique de comparaison est grossièrement inadéquate et non pertinante.
Carbone : dans ses bilans des émissions de CO2 par secteurs d’activité, le GIEC (rapports 2006 et 2019) ne tient pas compte de la contribution positive de la photosynthèse pour l’agriculture, alors que ce processus naturel qui capte du CO2 en est le fondement. En effet le GIEC suppose que la biomasse produite est totalement et immédiatement perdue par émissions de CO2 dont il rend responsable l’agriculture. Or une partie de cette biomasse (paille, herbe) retourne in fine au sol et représente donc une contribution nette positive au bilan (même pour l’élevage, cf travaux INRA de Clermont Theix). De même l’autre partie (grains) est consommée et donc émise plus tard par les consommateurs finaux étrangers au secteur agricole. En clair et contre toute logique, l’ensemble des émissions de CO2 entre la ferme et la fourchette est attribué à l’agriculture ! Pourquoi dès lors le GIEC prétend-il que l’agriculture est responsable de 23 % des émissions globales de CO2, et de 18 % en France alors que l’agriculture est le premier puits de carbone du pays ? L’agriculture est donc « climatiquement » neutre mais tout le monde l’ignore parce que le GIEC s’est fourvoyé
2/ Tous ces paramètres (déjà mesurés par ailleurs) ont très peu d’importance face à la gestion des stocks mondiaux (céréales/oléoprotéagineux et.), à la météo (ses caprices naturels), aux coûts de transport (taxes carbone…) et par dessus de tout au libre fonctionnement des marchés. Par ailleurs il n’existe pas de modèle cultural intégré de la parcelle à la récolte qui prenne en compte ces variables pour fournir des prédictions même grossières aux termes qui nous intéresseraient vu le nombre d’incertitudes et d’inconnues présentes dans ledit cycle. Ces indicateurs n’ont donc pas grand intérêt pour le moment, à part faire baisser leurs coûts futurs d’acquisition avec la multiplication de données redondantes. Un entretien et accord récent avec le CEO de Spacesence pour intégrer nos surfaces à son business me l’a confirmé. Donc certes l’utilisation des observations satellitaires peut être intéressante pour l’utilisateur final, mais certainement pas pour déterminer une sécurité alimentaire (que le développement forcé de l’agriculture extensive – bio – mettrait en danger, voir là et là).
4/ L’Europe n’est pas le seul marché où des fabricants de satellite existent. Thalès et Airbus sont aussi des entreprises de transport, activité en perte de vitesse actuellement (conjoncturellement et structurellement). Pour le reste OK mais c’est HS.
Les USA remplacent leurs satellites continuellement et ont la technologie pour les réapprovisionner en carburant in situ. Est-ce le cas des satellites de l’ESA ? Si l’objectif est l’observation climatique (d’après la news et la comm. de l’ESA), alors on saura si ces satellites ont eu une réelle utilité que dans seulement plusieurs décennies. Ça fait cher et long le doublonnage de données.
Le
16/11/2020 à
14h
52
Autant, il ne fait jamais de mal de faire de l’observation plus pousée. Autant je suis d’accord sur une partie de ton propos. Mention spéciale pour la dernière phrase Pour l’agriculture par contre, on ne peux pas vraiment dire que cela soit durable. Il faut faire mieux.
Je n’ai rien a priori contre l’observation s’elle est sert un but : ici ce n’est que du doublon avec l’existant.
Comme dit, l’agriculture conventionnelle (c-à-d raisonnée) est déjà durable : elle nourrit sainement au moindre coût en utilisant avec parcimonie les ressources. Rapportée à la métrique correcte, elle est plus respectueuse de la biodiversité que le bio (tout en coûtant moins chère en aide) et elle est déjà neutre en CO2 (ça c’est pour les croyants réchauffistes).
Le
16/11/2020 à
10h
16
Il n’y a rien d’innovant dans ces projets (qui resteront en cet état, on l’espère) : toutes ces variables sont déjà abondamment suivies par ailleurs, et les techniques envisagées existent depuis des décennies. D’autant plus que l’objectif étant climatique, au moins 30 ans de suivi sont requis pour commencer à obtenir un résultat (sans parler de conclusions)
La raison avancée, forcément en rapport avec la mode escro-illogique du moment pour obtenir de l’argent public, est particulièrement croustillante : le (pseudo) « consensus » climastrologique n’est pas encore compris
Sur le terrain, l’agriculture est déjà « durable », sinon elle n’existerait plus. Comment la sécurité alimentaire va être étudiée depuis l’orbite reste un complet mystère.
Comme le montre la dernière phrase, ces contrats ne sont en fait que des subventions publiques à des acteurs privés du transport déguisées en missions « pour sauver la planète ». À part les cochons de contribuables consentants à qui on n’a pas demandé leur avis sur le sujet, toute la clique des habituels profiteurs, des polytocards aux crapitalistes en passant par les bureaucrates et technocrates des Eurosoviets est gagnante.
Grâce au supercalculateur du Grand Équipement National de Calcul Intensif installé au Très Grand Centre de Calcul
Très très grande emphase pour un ordinateur même pas classé dans le Top10. . .
la résolution beaucoup plus importante de la simulation sur le supercalculateur Joliot-Curie a permis de mettre en évidence « un effet physique nouveau de lien entre grandes échelles et petites échelles ».
Par définition, une simulation ne permet pas de « mettre en évidence » : elle suggère, au mieux, tant que des observations et/ou un important faisceau d’autres éléments concordants n’ont pas été indépendamment observés et/ou rapportés, respectivement.
ah, si tu préfère une milice privée, le jour ou ton voisin pousse la clôture un peu trop sur ton terrain il se passe quoi ? vos deux milices privées se font la guerre ?
Comme c’est HS je vais faire court : tu devrais lire The Machinery of Freedom (Vers une société sans État, en français) de D. Friedman qui aborde toutes ces problématiques en proposant pour chacune des solutions pertinentes et/ou déjà implémentées. À titre d’ex. actuel, la justice commerciale, qui est basée sur des règles dérivant de la tradition (c-à-d non législative), est essentiellement rendue par des acteurs privés, et cette justice est utilisée seulement en dernier ressort après arbitrage (privé) et médiation (privée) qui réussit dans 90 % des cas. . .
bah ça sera qui le nouvel entrant ? qui aura assez de trésorerie pour faire de la r&d pour proposer mieux que ce qui satisfait pas les clients ? des marques de luxe ?
Ça se pratique tous les jours dans le monde réel et techniquement on appelle cela de la concurrence. . .
je ressort le vieux cliché du vendeur de pc de la fnac qui vend un pc gamer à 3000€ à la grand mère qui veut juste un truc de base pour son petit-fils de 5 ans ?
Comme tu dis : « cliché ». . .
15 centimes de DEE sur un lave linge c’est laaargement suffisant pour le recycler, c’est bien connu donc oui, ce sont les impôts, mais ça c’est pas écrit sur l’étiquette c’est ce que je dis
Peut-être, mais il faudrait le démontrer, ce que tu ne fais pas.
Le
16/11/2020 à
19h
46
Donc tu comprends que ton concept est inapplicable en pratique : les prix ne sont jamais assez bas, la qualité n’est jamais assez élevée, la marge n’est jamais assez élevée, le service rendu jamais assez bon, etc. On vise des optimums qui ne sont jamais atteints : c’est la raison qui fait qu’il existe toujours des opportunités de mieux fabriquer; vendre, etc.
Ton point d’équilibre n’existe dans un 1 cas : quand il y a zéro marché.
Le
16/11/2020 à
19h
36
sans impôt, pas de police / pompier / service de santé / entretient des routes …
je note que tu accepte l’idée qu’amazon a les moyens de faire ce que nos théories présentent, bravo pour ce début d’ouverture :) par contre “se mettre à dos les clients” bah je vois pas comment, si pour étouffer le marché ils vendent moins cher, les clients vont être content, si ensuite ils sont en monopole et remontent les prix, le client n’aura plus de point de comparaison, et à part gueuler et dire “c’est trop cher”, il aura pas le choix s’il veut son produit “se mettre à dos les vendeurs”, en gardant quelques gros bien visibles et en étouffant les “petits” un par un, je vois pas ce qui pourrait poser problème, faut juste une stratégie “intelligente”
faut pas oublier que “le client est con-sommateur” (cf les guignols y’a 20 ans déjà) et le marketing est efficace, toi tu sais peut-être te passer du dernier iphone ou la dernière bagnole à la mode ou la dernière tv / console / …, mais combien font passer ces deux choses avant de pouvoir bouffer autre chose que des pâtes à tous les repas ? et/ou sans un crédit à la consommation ? pour remplacer qqch qui pouvait tenir encore quelques années ?
“l’obsolescence programmée”, elle bénéficie du fait que le client ne paie qu’une partie du produit : ta machine à laver que t’as payé moitié prix, c’est cool, mais si pour réduire les coût t’as une pièce plastique à 1 centime, au lieu d’une pièce métal à 10 centimes, qui lâche, bah la déchetterie et le recyclage, qui le paie ? pas le client au magasin en tout cas, le client qui “vote avec son porte monnaie”, ne voit que le prix affiché en magasin …
edit : coquilles / ortho
sans impôt, pas de police / pompier / service de santé / entretient des routes …
Parce que l’État a décidé qu’il avait un monopole artificiel sur ces sujets… ce qui ne rend pas moins immoral la spoliation des fruits du travail par sa coercition et sans consentement. Mais c’est HS. . .
je note que tu accepte l’idée qu’amazon a les moyens de faire ce que nos théories présentent, bravo pour ce début d’ouverture :)
De la même manière que j’accepte la théorie que ton mari/ta femme est beau/belle et que tes enfants sont intelligents, etc. La question qu’il faut se poser est : est-ce vrai et comparé à quoi ? . .
par contre “se mettre à dos les clients” bah je vois pas comment, si pour étouffer le marché ils vendent moins cher, les clients vont être content, si ensuite ils sont en monopole et remontent les prix, le client n’aura plus de point de comparaison, et à part gueuler et dire “c’est trop cher”, il aura pas le choix s’il veut son produit
Tu n’as pas été au bout de ton ex. que j’amende :
par contre “se mettre à dos les clients” bah c’est facile, si pour étouffer le marché ils vendent moins cher, les clients vont être content, si ensuite ils sont en monopole et remontent les prix, le client aura le point de comparaison précédent et ne sera pas content de l’inflation qu’il subit, il le fera savoir et un nouveau concurrent profitera de l’opportunité pour le proposer moins cher, il aura donc à nouveau le choix s’il veut son produit . . faut pas oublier que “le client est con-sommateur”
Ah, tu sais de quoi tu parles Plus sérieusement, si tu étais de l’autre côté du comptoir, tu saurais qu’on respecte le client (même les plus cons) parce que ce sont eux qui in fine décident de ton sort de vendeur/commerçant.
“l’obsolescence programmée”, elle bénéficie du fait que le client ne paie qu’une partie du produit : ta machine à laver que t’as payé moitié prix, c’est cool, mais si pour réduire les coût t’as une pièce plastique à 1 centime, au lieu d’une pièce métal à 10 centimes, qui lâche, bah la déchetterie et le recyclage, qui le paie ?
C’est bien le client qui paie : les déchetteries sont payées par les impôts (quand elles ne sont pas payantes), et tous les appareils électrique supportent une contribution de recyclage (même non recyclés) dite d’éco-participation DEEE.
Le
16/11/2020 à
19h
16
La phrase citée exprime un objectif permanent d’amélioration de ces 3 critères (chez Amazon par ex., leur politique interne vis à vis des vendeurs tiers est très stricte quant à la qualité du service client attendue, moins sur la qualité des produits. Sur les prix il n’y a pas photo – en général.).Je ne vois pas comment on peut définir le « point d’équilibre » d’un tel système dynamique et complexe.
Le
16/11/2020 à
18h
19
Explicite ou définit ton « point d’équilibre ». . .
Avec des « si »…
Pas plus immorale qu’un consentement à l’impôt qui n’est jamais demandé aux intéressés.
Note qu’il n’est pas théoriquement exclu qu’Amazon puisse faire ce qu’on lui reproche : simplement dans la pratique, ce n’est pas dans son intérêt de se mettre à dos ses vendeurs et ses clients.
C’est la même problématique qu’avec l’obsolescence programmée : on oublie que c’est le client final qui décide de la vie ou de la mort des entreprises en votant avec son porte-monnaie. Il n’y a pas de meilleurs et plus démocratiques chiens de garde que lui.
Le
16/11/2020 à
14h
42
carrefour te livre pas chez toi le lendemain, et faut (souvent) faire plusieurs bornes pour y aller, c’est beaucoup plus loin, et beaucoup plus chronophage, ton épicerie de quartier répond à un besoin “simple” que carrefour ne peut pas couvrir “zut j’ai oublié le beurre en faisant mes courses du mois”, tu retournes perdre 1h30 entre faire le trajet, trouver le rayon, être coincé à la caisse pendant l’heure d’affluence ? ou tu vas payer 2 fois plus cher ta plaque de beurre, mais tu reprend où t’en étais 15 minutes plus tard ?
le parallèle avec carrefour tient pas sur ce point, voire c’est l’inverse, amazon peut expédier ton produit le lendemain, un vendeur tier peut expédier de Chine, des USA, d’Allemagne ou … bref de plus loin qu’amazon, c’est donc potentiellement largement plus long de commander à un vendeur tier (l’épicerie du coin) qu’a amazon (carrefour)
le problème n’est pas tant que ce scénario ait été appliqué par amazon ou pas (j’avais déjà lu des trucs dans le sens de ce que disaient fofo ou alex, ça me semblait tout à fait à minima plausible, mais n’ayant pas de source à t’indiquer, je m’étendrai pas), le plus gros problème, c’est que strictement rien ne peut empêcher ces scenarii, “by design” en fait la confiance des clients ? bof ils voient juste “amazon” sur les colis qui sont pas directement envoyés par les vendeurs tiers, à moins de connaître un vendeur tier spécifique et de passer par lui volontairement quelle que soit la raison c’est “vendu par amazon” la confiance des vendeurs ? y’a combien de vendeurs au total sur la marketplace ? si amazon vend 1 produit qui va bouffer tout le marché, ça va flinguer les ventes de combien de vendeurs ? et en couler combien ?
il “suffit” à amazon d’avancer ces pions discrètement et lentement, si en 3 mois 30% des vendeurs tiers mettent la clef sous la porte, ça va se voir, les journaliste vont chercher et “peut-être” que ça arrivera aux oreilles des acheteurs qui diront “c’est pas sympa monsieur amazon” et peut-être que certain voudront lancer des procès pour abus de position dominante. mais concrètement, c’est quoi les gardes fous ? “on vous promet on le fera pas même si on a toutes les cartes en main pour le faire” n’est pas ce que j’appelle une garantie, ni une quelconque mesure technique.
carrefour te livre pas chez toi le lendemain
Carrefour livre dans la journée, voire en moins d’1h en livraison express. Mais c’est HS : le sujet était que ton scénario n’a pas d’existence dans la réalité (sinon il n’y aurait plus de marchés). Il ne suffit pas d’émettre des suppositions avec des conditionnels partout, il faut montrer qu’elles sont réelles.
Le garde-fou ? Le profit bien sûr, parce qu’il est la mesure de la durabilité du modèle économique ! Et il implique d’attirer/conserver le plus de clients satisfaits possibles qui achèterons le plus de produits de qualité au meilleur coût possible vendus par le plus grand nombre de vendeurs possibles tout aussi satisfaits.
Ta position est exactement celle de ceux qui crient à la fraude fiscale (illégale) qu’ils confondent (volontairement) avec de l’optimisation (légale) : cette optimisation permanente est ce qui rend l’économie de marché si performante et imbattable.
Le
16/11/2020 à
09h
39
tu cherches souvent des “briques plastiques qui s’emboitent” ou tu cherches des “legos” sur amazon ? le nom du produit étant celui de la marque, si tu veux vendre moins cher que le fabricant lui-même où tu achètes ? alors qu’un produit “no-name” qu’un vendeur tier teste en ayant acheté 50 exemplaires à son fournisseur, si ça marche, lui peut vouloir en commander 100 ou 500 avec les rabais de volume, mais il aurait pas le même poids qu’amazon qui lui peut en acheter 10000 et donc casser les prix ce qui fera couler le vendeur qui avait pris les risque initiaux
Ton scénario a plusieurs problèmes. Il n’est pas spécifique au système type Amazon, mais peut aussi s’appliquer à tous les autres canaux traditionnels.
Ensuite, dans les faits, il n’est pas même crédible puisque par définition, le concept de place de marché a justement été développé pour élargir le champ des produits offerts par la plateforme : si ton scénario était généralisé cela équivaudrait pour Amazon à saboter et sa place de marché, et sa plateforme et la confiance des vendeurs et des clients dans sa marque. Qui peut croire cela ?
Pour prendre un ex., que Carrefour achète via sa central d’achat des tonnes de pâtes à l’année n’empêche pas l’épicier du coin d’en vendre seulement une palette. Multiplie cela à tous les produits. Note que je n’affirme pas que ton scénario est impossible, seulement qu’il est improbable parce qu’il n’est pas dans l’intérêt des agents économiques.
Ton scénario relève en fait d’une vision purement mécanistique et figée (c-à-d inhumaine) d’un système (l’économie) complexe, autorégulé, dynamique, changeant, fluide, adaptable, etc. : les marchés, qui sont avant tout des actes d’échange entre humains.
Le
14/11/2020 à
22h
19
Impressionnant la mauvaise foi (je débats pas vu tes réponses c’est pas la peine, je réponds juste pour que fofo9012 se sente moins seul)
Le tribalisme, c’est ce qui reste aux barbares quand ils se sont excisés leur (restant de) cervelle.
Le
14/11/2020 à
22h
14
ah, maintenant que les commentaires sont de retour, je peux poster
lego est fabricant, pas (re)vendeur, amazon peut pas se fournir ailleurs pour vendre des legos, donc il peut pas vendre moins cher, ou alors c’est de la contrefaçon amazon peut tenter de faire fabriquer un produit similaire, mais il ne pourra pas bénéficier de l’avantage de la marque “lego” et de l’image qui va avec ce contre-exemple n’invalide pas du tout les dires de fofo ou alex
. Le truc à comprendre est que pour optimiser la recherche, la vente, l’infrastructure et au final l’expérience client, les plateformes fonctionnent avec des fiches produits standardisées : peu importe l’intitulé de la boutique (fabricants ou vendeurs), les mêmes fiches sont utilisées par tous les vendeurs DONT Amazon. Ergo : ils sont sur un pied d’égalité et tous les vendeurs de produits Lego (incluant Amazon) qui utilisent des fiches Lego sont exactement représentés de la même manière sur toutes ces fiches. En quoi cela est supposé supporter les dires du 1er point du 2nd commentaire de mon interlocuteur m’échappe :
1/ leur image n’est en rien « effacée » puisque la plupart des vendeurs n’en ont aucune : au contraire, sur une plateforme ils sont maintenant visibles ; 2/ leur nom est conservé et apparaît sur toutes les fiches produits du vendeur. Les « petits commerçants » n’ont généralement pas de logo (quel intérêt ?), mais si le vendeur est assez important pour en avoir un rien n’interdit de l’afficher sur sa boutique ; 3/ enfin la fidélité des clients dépend de leur satisfaction quant à leur expérience d’achat : il est évident qu’Amazon est la plateforme reine pour la leur fournir vu la progression de son CA et le nombre de vendeurs y opérant.
Le
13/11/2020 à
09h
55
Quelles inepties !
« quelques € de plus », c’est la différence entre crever et survivre
« travail normal » = planqué, rentier, socioassisté ou fonctionnaire ?
le système est horizontal (par définition) et les norme évoluent (pas comme certains)
fantaisie extrémiste absurde car hors réalité
c’est le but recherché quand les coûts sociaux sont > aux avantages . .
totale méconnaissance : les boutiques (par ex. Légo) sont des quasi sites Web qui profite de l’infrastructure mutualisée, du sérieux et des garanties de la plateforme
comme si la concurrence n’existait pas ailleurs
suppositions et généralisation abusives . . On pourrait conclure qu’il faut être particulièrement c… pour commenter sur un sujet dont on ignore tout.
Le
13/11/2020 à
09h
31
Supputation. Déjà rien ne prouve qu’Amazon soit leur seul canal de vente ou même leur principal. Ensuite, et selon les Kommissars, la pratique reprochée serait « systématique » : il est difficile de croire qu’absolument aucune victime soit restée sans réagir si c’était le cas.
Bref, cela ressemble aux opcom habituelles des clowns de l’UE.
Le
12/11/2020 à
15h
02
(reply:1836901oux Dingue)
Mutualiser n’a rien de « gauchiasse ». Par contre qualifier « Sarkozy, Hollande et Macron » de libéraux, çà oui, en plus d’être comiquement absurde.
Le
12/11/2020 à
13h
24
Bizarrement (non), aucune procédure en justice n’a été lancée contre Amazon par les supposées victimes… mais on comprend pourquoi Amazon est le 1er recruteur d’avocats.
Cette opération marketing des Kommissars n’est destinée qu’à leur parade et ressemble à s’y méprendre aux cabales précédentes contre les GAFA. Il est vrai qu’en EURSS, ces géants ne peuvent être créés (sans parler de prospérer).
Ce n’est pas une question de produire de l’énergie mais de comment produire de l’énergie.
Même des puissances comme la Chine et l’Inde ont aujourd’hui pleinement conscience des enjeux du changement climatique anthropique et sont prêt à faire leur part. Les seuls à encore bloquer aujourd’hui sont les USA.
Tu parles d’“eurosoviet”, tu ne réalises peut-être pas à quel point, par ex., l’économie Chinoise est dirigée, et ils sont pourtant loin du communisme. L’UE est très libérale en réalité. Et le réchauffement est clairement un problème qui nécessite une coopération globale.
La Chine est en large majorité une économie de marché alors que le régime politique du Parti Communiste Chinois est indubitablement… communiste. Économiquement, l’Europe est bien moins libéral, ce qui explique la grande réussite chinoise (moins de régulations/réglementations, moins de taxation/imposition, plus de liberté d’entreprendre, etc.). Et le supposé réchauffement est clairement un non-problème qui nécessite le courage de ne rien faire.
Le
13/11/2020 à
09h
13
Il est bien certain que ce n’est pas avec les écocrucifix découpeurs d’oiseaux, les miroirs solaires aux alouettes ou autres farces et attrapes escrolos qui ravagent les paysages et détruisent la biodiversité qu’on va produire de l’énergie peu chère et fiable où et quand on en a besoin pour faire tourner une économie (numérique ou autre).
Aussi plutôt que de réfléchir sur les manières intelligentes d’anticiper la consommation et donc la production et de prospérer en // comme le ferait n’importe quel agent économique au fait de la réalité, nos polytocards ineptes et technocrates non élus vivant avec l’argent des autres et/ou les pompes à pognon virtuel de la BCE ont décrété que la voie la plus débile était la meilleure : c-à-d restreindre la production d’énergie dans le temps et dans l’espace, et pondre ensuite des rapports pour constater et imposer (évidemment) la nécessaire adaptation et amélioration de l’efficacité pour y faire face.
Bien sûr sans jamais en chiffrer les coûts exponentiels à mesure que l’on tend vers la limite haute d’efficacité théoriquement possible, qui est déjà proche. Et en oubliant que cette illusion ne comblera jamais le fossé grandissant entre la consommation et la production…
On peut prédire que le suicide des Eurosoviets par effondrement économique malthusien restera dans les anales de l’Histoire comme l’exemple le plus typique et consternant de l’hubris d’idéologues si hors sol que leur éradication n’est maintenant plus une question de si mais de quand.
Là n’est pas le sujet : il n’existe pas une telle législation en Italie où Apple et Samsung ont seulement écopé une amende pour défaut d’information infligée par une administration indépendante (et donc non par la justice). Ma phrase reste donc entièrement correcte.
Le
13/11/2020 à
09h
18
2018 l’Italie contre Samsung et Apple.
Relis ma phrase.
Le
12/11/2020 à
16h
37
Lesgalapagos a dit:
Ne peut-on pas considérer cela comme de l’obsolescence programmée ?
Légalement non, économiquement non, commercialement non, moralement non, etc.
Le concept, fumeux et/ou tautologique comme à peu près tous les concepts escrolos, n’a strictement aucune utilité pratique pour la simple raison que tout ce qui est mis sur le marché est statistiquement fabriqué, de par l’existence même des lois de la Physique sans parler de celles économiques, pour être obsolète à terme. La garantie est ici de 100 %.
Restreint au champ juridique, on attend toujours 5 ans plus tard la 1ère condamnation en France de ce qui devait être un problème si largement répandu que de la législation avait été jugée nécessaire pour l’exposer et le sanctionner. Rétrospectivement, cette absence prouve mon point.
Je dépense (l’argent des autres) donc je suis (médiatiquement et électoralement) : les autres (pauvres) essuieront les plâtres plus tard.
La résilience a été testée en France : depuis septembre l’électricité non produite par Fessenheim, neutre en CO2 pour les croyants réchauffistes, mais fermées pour satisfaire les lubies antinucléaires de ces mêmes escrolos réchauffistes, est maintenant fournie par les anciennes centrales thermiques en France : sacré résultat d’une Europe plus verte…
Parions que comme d’habitude, certains profiteront de cette aubaine pour s’enrichir à bon compte pendant que le nombre de pauvres en Europe continuera de grimper.
La dernière partie de la FAQ est on ne peut plus claire : ce qu’il reste de business en EURSS sera taxé jusqu’à ce que mort s’en suive.
Que ce soient Mélenchon et la CGT qui disent tout haut ce que tout le monde ou presque pensent tout bas (par peur des représailles et/ou des collabos) indique la profondeur de l’ornière autoritaire et liberticide dans laquelle l’occupant intérieur entraîne ce pays.
Avec les millions de pauvres supplémentaires qui sont la conséquence directe de la ruine économique imposée par un gouvernement (volontairement ?) incompétent, je vois bien à terme l’instauration forcée d’un RU large mais sélectif comme solution miracle : pour un politocard, payer une telle base électorale avec l’argent des autres est maintenant un rêve à portée de main.
Ceci n’est qu’un simple échantillon non exhaustif de ta “caractérisation assidue”.
Pour info, en phase 3, les souches sur lesquels tu teste sont celles présentes à l’instant des tests sur les territoires où ils sont réalisés, vue qu’il n’est pas fait d’infection volontaire. Ca n’empèche pas d’éventuels problèmes duent à des mutations.
Quelques choses de plus intéressants, t’as pas des liens vers “Les quelques études sur le sujet montrent que” auquele tu fais donc référence ?
Ce qui montre la constance de ma caractérisation géographique précise que personne ne nie, merci. . .
Quelques choses de plus intéressants
De fait, tout à fait inintéressant, mais sur lesquelles tu n’as pas pu résister pour enfiler commentaires après commentaires jusqu’à maintenant… bref pas très cohérent mais passons. . .
t’as pas des liens vers “Les quelques études sur le sujet montrent que” auquele tu fais donc référence ?
Ces publications sont indiquées dans la vidéo mise en lien.
Le
12/11/2020 à
13h
00
Pour ce qui est de la vaccination contre les variants, si on se base sur l’exemple du vaccin contre la grippe, marche peu importe le variant (il en existe des milliers différent). En revanche quand ils varient trop, ont appel ça des sous-types auquel cas effectivement les vaccins diffèrent. Pour pouvoir avoir des vaccins efficace, chaque années ont fait des suivis de ces souches à travers le monde pour savoir laquelle se propage et donc laquelle doit être vacciné.
Ce qui est valable pour la grippe peut ne pas l’être dans le cas présent. Nous verrons bien.
Pour être complet le seuil entre variants et sous-types est couramment (et arbitrairement) défini à 2 % de différence dans les génotypes. Comme ce virus comporte +30000 bases, l’appellation actuelle de variants pour ce virus est conforme à cette définition (moins de 100 différences).
Ce site trace pays par pays les variants (qui sont nommés subtypes…) depuis le début de l’épidémie (basé sur ce papier).
Le
12/11/2020 à
11h
09
Oui c’est l’endroit fort probable.et oui le marteler à chaque discution sur le sujet, surtout quand ça n’apporte rien au sujet, ça decridibilise d’entrée de jeu. D’ailleur qu’est ce qui vaut à ce virus ce traitement de faveur auquel n’a pas droit le sida, la grippe, etc…. J’en déduis que t’as pas de lien faire les autres études auxquels tu fais référence ? Juste pour croiser les info.
Je ne « martèle » pas, je le caractérise précisément pour savoir de quoi on parle. Par ex. les variants ne sont pas d’origine chinoise, mais nord-africaine, de pays nordiques, etc.
Le SIDA a eu son heure de gloire, et la grippe revenant tous les ans la nature humaine s’habitue psychologiquement à son tribu.
Ce qui vaut ce traitement de faveur à ce virus, c’est d’une part son origine incertaine (hors géographie, naturelle ou humaine ?) et d’autre part les inespérées expériences d’ingénierie sociale liberticide qu’il a permis et permet encore, et qui horrifie même un Mélenchon, c’est dire…
Mais effectivement à part cela, c’est juste une grippe (un peu ?) plus grave et contagieuse que d’habitude.
Le
12/11/2020 à
10h
50
Dans l’article : « Sur le papier, le Covid est un virus assez “bête”. Il varie peu, notamment dans la façon dont il infecte la cellule ; la plupart des gens font une bonne réponse et développent des anticorps neutralisants facilement. Pourquoi, dans ces conditions, n’arriverait-on pas à développer un vaccin qui fonctionne ? » Où est la vérité ? Elle dit aussi : « La recherche, c’est le temps long. Ici, dans le labo, on change d’avis tous les jours sur le Covid »
Tes 2 citations résument bien la tension entre d’un côté la théorie et les connaissances/pratiques passées qui permettent de prédire (mais pas toujours très justement), et de l’autre côté les nouvelles données qui au jour le jour les confirment, les infirment ou les modifient. D’expérience, cette dualité voire cette opposition est tout ce qui fait le sel de l’activité de recherche (surtout quand tu trouves ;).
Sur le fond, les profils génétiques indiquent que ce virus et ses variants mutent et/ou se recombinent très facilement. Ce que cela implique pour l’avenir est difficile à dire, à part que la stratégie vaccin pourrait faire long feu.
Le
12/11/2020 à
10h
35
Mais on sait où il est apparu : en Chine. Son origine est donc chinoise. Que certains possédés idéologiques croient que ce terme vise autre chose qu’une aire géographique les rend particulièrement stupides ET incultes. Reparle-moi encore de crédibilité…
Le
12/11/2020 à
10h
23
Merci.
Mais du coup, c’est quoi l’intérêt du vaccin à ARN si la finalité est la même (produire des antigènes) ?
Déjà que les vaccins “traditionnels” suscitent la méfiance d’une partie de la population, alors je ne parle pas de ceux à ARN, pouvant potentiellement faire de gros dégâts
Niveau théories du complot, il y a de quoi faire en tout cas…
Cela évite d’introduire tout le virus (inactivé) dans l’organisme et donc de potentiels (mais rares) effets non désirables (chez les personnes immunodéficientes par ex.). Le but est justement de parer à cette méfiance en réduisant les risques au minimum. C’est la théorie en tout cas.
Le
12/11/2020 à
10h
12
Sauf erreur de ma part, le 50% d’efficacité de l’OMS, c’est qu’il doit protéger totalement 50% des gens. Dans les 50% restant, tu as aussi les vaccinés qui vont l’attraper mais faire une forme moins violente. Y a le même principe avec le vaccin de la grippe.
Ps : l’avantage de “virus chinois d’origine”, c’est que ça fait d’entrée descendre la crédibilité du propos, quelque soit la qualité de ce qui suivra.
Ta définition est un taux de 50 % d’efficacité qui est seulement apparent et qui est bien moindre en réalité (la distribution des asymptomatiques et autres non-répondants est aléatoire). Il n’est donc pas très clair si le taux visé par l’OMS est un taux établi sur des populations présélectionnées ou non lors des tests.
PS : le virus n’est pas d’origine chinoise ? On nous aurait menti ? LOL
Le
12/11/2020 à
10h
01
On dit « antigènes » (qui peut être effectivement un récepteur).
Le vaccin à ARN comporte 2 chose : un vecteur (un guide si tu préfères) pour emmener l’ARN à l’intérieur des cellules, et l’ARN lui-même pour faire produire la protéine cible (antigénique) par l’organisme dont le système immunitaire y répondra alors.
Le
12/11/2020 à
09h
48
On développe des vaccins contre le virus chinois d’origine, mais quid des variants apparus depuis sur leur efficacité ? Les quelques études sur le sujet montrent que ces variants sont assez différents pour entraîner des réinfections même chez les sujets immunocompétents.
Ce virus et ses variants semble muter et/ou se recombiner avec eux-mêmes et/ou d’autres virus d’une manière assez rapide qui laisse présager que les vaccins n’auront qu’une efficacité très limitée dans le temps, d’où le faible seuil fixé par l’OMS (50 % d’efficacité).
Pur greenwashing avec zéro impact, à part la gabegie en hausse d’argent public. Par temps couvert, soit plus de 60 % du temps en moyenne, comment sera produit le déficit d’électricité ? On fera comme en métropole où les centrales thermiques ont été rallumées depuis septembre pour compenser la fermeture de Fessenheim…
Dans le même temps les Chinois et Indiens construisent plusieurs centaines de centrales au charbon, de capacité, pilotables, fiables, durables, peu chères, etc.
Autant dire que l’étalage (très à la mode) de sa vertu verte par l’ESA n’est que de la poudre aux yeux, du marketing escrolo risible si cela ne coûtait pas aussi cher.
Complètement absente de l’histoire est le rappel essentiel qu’à cette époque IBM était sous le coup d’une procédure anti-trust depuis 10 ans déjà et faisait profil bas (investigations abandonnées plus tard pour absence de mérites, sans condamnations ni sanctions).
Pour nombre d’historiens ce contexte juridique est responsable de la décision d’IBM de laisser à M$ le soin de créer le futur OS des PC. MS-DOS et les 1ers Windows sont donc des purs produits de la régulation et de l’interventionnisme basés sur 0 justification économique.
L’amère ironie est que M$ fut aussi accusée par la suite de monopole… Et ce non sens recommence une fois de plus avec les GAFA. Comme quoi aucune leçon n’a été tirée des errements répétés du passé : l’idéologie et l’inculture économique prévalent toujours.
A partir du moment où ton seul critère est le prix, tu fais partie de ceux qui favorise le nivellement par le bas.
Seulement quand on raisonne de manière simpliste, oublieux/ignare des principes économiques de base, ou alors dans le cadre d’une économie planifiée.
Dans un marché normal les gains de productivité sont sans cesse recherchés, la concurrence veille au grain, des améliorations techniques/technologiques sont développées, les méthodes de fabrication évoluent, le coût des matières premières baissent etc.
Tous ces facteurs contribuent à faire baisser les prix sans nécessaire répercussion sur la qualité qui est préservée voire améliorée. Il peut certes survenir des exceptions – rien n’est parfait – mais globalement dans un marché libre les choses tendent à s’améliorer et les prix plus bas ne sont qu’un symptôme de cette tendance.
Quels sont les gaz à effet de serre ? La définition d’un gaz à effet de serre est à la fois très simple et très compliquée pour le profane : un « gaz à effet de serre » est tout simplement un gaz présent dans l’atmosphère terrestre et qui intercepte les infrarouges émis par la surface terrestre. Ce sont des gaz dont nous n’avons pas entendu parler depuis « tout petit déjà » parce que ni l’azote ni l’oxygène, les deux gaz les plus abondants dans l’atmosphère (78% et 21% respectivement), que beaucoup d’entre nous connaissent, n’ont cette propriété (pour les amateurs de précisions, un gaz ne peut absorber les infrarouges qu’à partir de 3 atomes par molécule, ou à partir de deux si ce sont deux atomes différents. Du coup ni l’azote – diazote pour être précis – ni l’oxygène – dioxygène pour l’être tout autant – ne sont dans la catégorie des gaz à effet de serre).
Tu vois maintenant la relation avec l’absence de moment dipolaire : H2 n’est donc définitivement pas, n’a jamais été et ne sera jamais un GES. L’article de l’IPGP est gravement erroné tout comme tes connaissances en Physique.
Je ne vois pas l’intérêt de poursuivre tes chimères.
7067 commentaires
Copernicus : l’ESA signe trois contrats pour des « missions environnementales haute priorité »
16/11/2020
Le 18/11/2020 à 18h 42
Tu n’aura pas mis longtemps à abandonner ton principe de « se comporter en adulte »
C’est moins fastidieux que d’argumenter cela dit…
Le 18/11/2020 à 15h 34
Elle est inadaptée.
Tout l’intérêt des TCS/non-labour est justement que la matière organique s’accumule au cours du temps, ce qu’elle fait : c’est donc un stockage positif net. Donc la réalité est que moins la décomposition est rapide, moins il y a réémission de gaz à effet de serre, ce qui équivaut à du stockage.
Ta logique « simple » est donc fatalement erronée, car simpliste puisqu’elle ne permet pas de déterminer les véritables émetteurs de CO2 (les consommateurs) à cause d’une définition déficience et d’une méthodologie défaillante.
On ne devrait pas s’aventurer à commenter dans ses domaines d’incompétence, qui sont nombreux et variés en ce qui te concerne.
Le 18/11/2020 à 08h 45
1/ Malhonnêteté intellectuelle made in carbier typique qui consiste à changer subrepticement de variable (« l’agriculture conventionnelle » -> « agriculteurs traditionnels »). Comme ces derniers exploitent beaucoup moins de surfaces en moyenne, ils sont mathématiquement plus nombreux puisqu’elles sont en gros équiréparties. Cet état de fait ne change absolument rien aux surfaces absolues de l’agriculture en TCS/non-labour/raisonnée/etc. qui progressent toujours d’ailleurs, mais cela permet à carbier d’essayer de tromper. Raté.
2/ En vrac dans ton lien :
a) les émissions sont affichées en % dont la base n’est pas précisée ;
b) le % de CH4 émis par l’élevage est sélectionné hors contexte (non intégré, cf travaux INRA) ;
c) les % sont mis en opposition avec des valeurs absolues (pomme versus lapin) ;
d) l’unité utilisée n’est pas intuitive : l’équivalence est inutile quand on connaît (ou on peut calculer très facilement) la quantité réelle de CO2 ;
e) le chiffre du « bilan du puits carbone » contient la même erreur exposée plus haut et pour la même raison : il comprend les enfouissements et les consommations en fin de chaîne.
L’explication en est que pour les escrolos la définition d’un puits de carbone est celle d’un stockage à long terme : cette définition est bien entendu erronée et trompeuse dans le cadre de la recherche des émissions et donc des émetteurs.
f) les bioénergies sont oubliées (c’est même écrit lol !).
En fait ton graphique récapitule exactement les erreurs exposées plus haut.
Le 17/11/2020 à 16h 12
Soit spécifique, je ne lis pas dans les esprits.
Le 17/11/2020 à 16h 02
Le corollaire de la 1ère.
Le 17/11/2020 à 15h 00
? ?
Le 17/11/2020 à 14h 59
Une subvention de l’UE à une entreprise de l’UE (ici un financement de l’ESA à des entreprises de l’UE) est une forme de protectionnisme : pourquoi n’y a-t-il pas d’appels d’offres internationaux sur ce type de projets aussi coûteux ?
Le refuelling est indirect : le remorqueur reste « au service » du satellite cible (ici l’IS-901) pendant encore 5 ans avant de l’envoyer au cimetière. Tout à fait d’accord avec la prouesse.
Le 17/11/2020 à 13h 09
Je les ai ignorées parce que ma question les visait déjà (mon « hors UE »).
Le but de ces subventions est donc bien du protectionnisme déguisé, soit exactement mon point de départ ! On se fiche totalement de celui qui finance.
Ce n’est pas « exactement » ce que tu as écrit, je te cite « Il y a des projets de missions de refuel pour les satellite GEO » : une telle mission déjà opérée n’est plus un « projet ». Autant être précis, surtout quand on travaille dans le domaine.
Le 17/11/2020 à 12h 56
Certainement, mais mon but était de pointer les erreurs du GIEC et des escrolos qui prétendent que la fixation de C dans les productions agricoles n’est pas un stockage, pas de faire un bilan (auquel on pourrait aussi ajouter la production de bioénergies avec ses répercussions positives en amont et en aval mais non prises en compte, ou le développement de l’éolien, etc.).
Bref ces bilans sont à réaliser, mais ils sont très complexes en pratique parce que les interactions internes et externes des et entre les paramètres d’intérêt sont très variables dans le temps et l’espace. J’ai donné d’autres liens plus haut.
Grossièrement, les émissions de CO2 moyennes agricoles sont d’environ 2 t / ha. De l’autre côté, par ex. 1 ha de maïs non irrigué capte environ 27 t de CO2 (la forêt fois moins). Tu comprends maintenant le but de la manœuvre qui consiste à ne pas tenir compte de la photosynthèse : on devrait en fait nous payer pour le le service rendu (si on est croyant) au lieu de nous accabler de taxes…
Le 17/11/2020 à 12h 12
Épargne-toi l’effort de bomber le torse, aucun bon point n’est attribué pour de supposées qualifications : seule la qualité des arguments est prise en compte.
1/ Tu n’as pas à me remercier : mes intérêts (à courts, moyens, longs et très long termes) ont simplement prévalu. Je répondais à ton « triptyque » dépassé qui oubliait la part non minoritaire (au sens de non marginale) des TCS/non-labour/etc. (voir aussi ce commentaire), ce dont tu conviens. Je me limite parce que a) je répondais à tes affirmations et b) je ne peux pas faire une thèse sur le sujet ici. Ce que j’aime ou pas est sans rapport : seuls les faits/arguments m’intéressent. Note que je ne nie pas que l’Homme a une influence non négligeable (positive et négative) sur l’environnement en général. De là à attribuer une supposée influence (sans parler de la quantifier) sur une seule variable non physique (dont les données ajustées toujours dans le même sens sont suspectes) et probablement non représentative (par rapport à la quantité de chaleur accumulée dans les eaux), évoluant très lentement dans un système chaotique complexe et elle-même dépendante d’un seul facteur (la [CO2]atmos) dont l’effet calculé linéaire est suspicieusement simpliste, le tout baignant dans un océan d’incertitudes et d’inconnues aussi connues qu’inconnues, cela fait beaucoup (trop) pour mon tempérament scientifique. D’autant que la prise en compte correcte (à la ≠ du GIEC) de où va le CO2 capté par la photosynthèse indique que l’agriculture est climatiquement neutre.
2/ Inutile de me convaincre sur l’utilité des données satellite. Je suis persuadée que c’est l’avenir de l’agriculture de précision et de futurs gains de productivité/marge. Simplement, ma critique visait le discours marketing et son positionnement
escrolodisons vert à la mode, ce que tu confirmes en citant des applications potentiellement utiles qui n’ont rien à voir. On attend mieux d’un organisme vivant sur des fonds publics. Sur la redondance des données, les Sentinels les fournissent déjà (plus de 250 index de végétation par ex. qui couvrent l’état et la production des cultures) : parler de « sécurité alimentaire » quand on ne dispose pas de modèle global allant de la culture à la production est une exagération confinant au mensonge.3/ « continue de mettre des guillemets autour de consensus » et « inquiétude du milieu scientifique » sont 2 arguments d’autorité. Ton § de sociologie supputative est sophistique (argumentum ad personam/hominem) et erroné : je ne suis pas sceptique mais hérétique – je questionne les fondamentaux (la théorie, et donc les modèles climatiques (MC)), par conséquent nul besoin de mettre les mains dans le « code » que je laisse aux techniciens. En vrac
a) je n’ai pas parlé d’aucun modèle météo.
b) Traduction : tu confirmes que les nuages, dont l’existence dérivent de la microphysique, ne sont donc pas « simulés » puisque la microphysique ne l’est pas elle-même dans les MC mais bien paramétrés sur tous les MC (cf en part. la fig. 2 page 5) . Le tableau récapitulatif des caractéristiques des MC utilisés par le GIEC montre d’ailleurs que 2⁄3 des modèles n’implémentent même pas de cloud feedback.
c) Le fait qu’il n’existe qu’un seul climat face à autant de modèles devrait faire s’interroger sur l’état de la discipline. Mais non, le GIEC préfère masquer les incertitudes en en faisant des moyennes.
4/ « Et ? » : pas plus que ce que j’ai déjà écrit : pourquoi sélectionne-t-on ces entreprises alors que hors UE bien d’autres existent certainement plus compétitives et tout aussi compétentes ? Je te corrige :
5/ Allons, les USA remplacent leurs satellites comme l’ESA, pourquoi le nier. Et une mission (privée) en GEO de refuelling a déjà eu lieu cette année. Ce qui « me semble pertinent » ou pas est sans rapport. Mais merci pour ces précisions.
Le 17/11/2020 à 10h 02
Toute l’agriculture conventionnelle n’est pas encore raisonnée (au sens où on l’entend dans la profession), c’est exact, mais une grande partie l’est et en particulier les grandes cultures (c’est pour cela qu’elles sont grandes…). Ton affirmation erronée à l’opposé de la réalité traduit ton déficit de connaissances sur le sujet et fait pitié :
1/ les quantités vendues ont baissées de 57 % en 20 ans, et la baisse se poursuit en particulier grâce aux TCS et non-labour. Certains produits retirés sous la pression d’ignares idéologues dans ton genre ont été récemment réautorisés par celle, et à sa courte honte, qui les avaient interdits. On utilise aussi des techniques de réductions de doses, réduction de la dérive, d’incorporation d’adjuvants, d’application selon des cartes de préconisations, etc. pour en mettre le moins possible là où il faut. Seuls des dogmatiques sont assez possédés par leur idéologie débile ou leur inculture pour croire que jeter l’argent par la fenêtre en gaspillant ces produits onéreux est crédible. Enfin tu ne cites aucun ex. de « produits dispensables » (pour qui, pour quoi, tu ne sais pas). On ne va pas te croire sur parole, surtout toi.
2/ les grand céréaliers sont en TCS/non-labour depuis longtemps parce que les bénéfices pour le sol (et le temps de travail et la marge) sont bien connus : augmentation de la biodiversité (verres de terre, faune (les dégâts de gibier localisés chez eux en attestent), etc.) amélioration de la structure/texture (battance, portance), résistance accrue aux évènements météo (mulching dérobées, CIPAN), augmentation du C/N (matière organique), … diminution des passages, de la mécanisation, conduite culturale intégrée, etc.
Bref tu exposes ton ignorance.
.
.
J’ai donné plus haut les arguments et les liens qui démontrent pourquoi elle l’est (base de comparaison trompeuse).
.
.
idem (le CO2 capté par photosynthèse est enfoui ou consommé en fin de chaîne).
Le 16/11/2020 à 19h 55
Avec son « triptyque », l’interlocuteur semble penser que l’agriculture en 2020 est en restée aux techniques de 1970 (~100 % labour). Donc en lui répondant j’entendais « minoritaire » dans le sens de peu représentée plutôt qu’opposé à majoritaire. J’aurais pu écrire plus précisément « marginale » mais le mot me semblait suffisamment clair pris dans le contexte.
Le 16/11/2020 à 17h 55
Mon associé sur ma ferme (oui j’exploite la Nature, pas de bol…) est ingénieur agricole (re pas de bol)…, et j’ai moi-même un doctorat scientifique (re re pas de bol) + un BPREA pour le côté agricole. Voilà pour les présentations.
1/ Le non-labour, les TCS et l’agriculture (conventionnelle) de conservation (que je pratique) ne sont pas minoritaires au contraire. Il faudrait sortir un peu sur le terrain.
Le cycle cultural dépend énormément de facteurs non maîtrisables tels que la géographie (hydrologie), la typologie des sols (adéquation aux espèces/variétés), le climat/microclimat (idem), la situation hémisphérique (ensoleillement, pluie), l’existence de marché, les capacités de transport locales, etc. Du bureau, tout paraît simple…
Les produits phytos sont aux plantes ce que les médicaments sont aux animaux (humains compris). On ne les utilise (tout comme les intrants) qu’avec la plus extrême parcimonie car très chers. Ils ont contribué et contribuent toujours à fournir de la nourriture saine et peu coûteuse. Ils ne dérangent en fait que les idéologues qui surfent sur l’ignorance des foules.
Biodiversité : ta position est exactement équivalente à celui qui célébrerait comme plus écolo le 4x4 qui consomme moins d’essence au km (ie le bio) plutôt que le bus (ie tout le reste)… Ta métrique de comparaison est grossièrement inadéquate et non pertinante.
Carbone : dans ses bilans des émissions de CO2 par secteurs d’activité, le GIEC (rapports 2006 et 2019) ne tient pas compte de la contribution positive de la photosynthèse pour l’agriculture, alors que ce processus naturel qui capte du CO2 en est le fondement. En effet le GIEC suppose que la biomasse produite est totalement et immédiatement perdue par émissions de CO2 dont il rend responsable l’agriculture. Or une partie de cette biomasse (paille, herbe) retourne in fine au sol et représente donc une contribution nette positive au bilan (même pour l’élevage, cf travaux INRA de Clermont Theix). De même l’autre partie (grains) est consommée et donc émise plus tard par les consommateurs finaux étrangers au secteur agricole. En clair et contre toute logique, l’ensemble des émissions de CO2 entre la ferme et la fourchette est attribué à l’agriculture ! Pourquoi dès lors le GIEC prétend-il que l’agriculture est responsable de 23 % des émissions globales de CO2, et de 18 % en France alors que l’agriculture est le premier puits de carbone du pays ? L’agriculture est donc « climatiquement » neutre mais tout le monde l’ignore parce que le GIEC s’est fourvoyé
2/ Tous ces paramètres (déjà mesurés par ailleurs) ont très peu d’importance face à la gestion des stocks mondiaux (céréales/oléoprotéagineux et.), à la météo (ses caprices naturels), aux coûts de transport (taxes carbone…) et par dessus de tout au libre fonctionnement des marchés.
Par ailleurs il n’existe pas de modèle cultural intégré de la parcelle à la récolte qui prenne en compte ces variables pour fournir des prédictions même grossières aux termes qui nous intéresseraient vu le nombre d’incertitudes et d’inconnues présentes dans ledit cycle. Ces indicateurs n’ont donc pas grand intérêt pour le moment, à part faire baisser leurs coûts futurs d’acquisition avec la multiplication de données redondantes.
Un entretien et accord récent avec le CEO de Spacesence pour intégrer nos surfaces à son business me l’a confirmé.
Donc certes l’utilisation des observations satellitaires peut être intéressante pour l’utilisateur final, mais certainement pas pour déterminer une sécurité alimentaire (que le développement forcé de l’agriculture extensive – bio – mettrait en danger, voir là et là).
3/ Tu n’as rien de plus consistent que quelques pauvres arguments d’autorité fallacieux ? Pour info, j’ai un BAC S et j’étudie ce sujet depuis 2006 (Al Gore et sa vérité qui l’arrange). Un modèle ne représente que la formalisations de théorie(s) sous-jacente(s). S’il est vérifié et validé selon les bonnes pratiques, ce peut être un bon outil. Note qu’un modèle ne prouve pas une théorie (ce serait un argument circulaire), il n’en est qu’une expression.
Mais ce n’est pas le cas des modèles climatiques : non validés, superparamétrés, trop chauds, trop sensibles, trop dépendants d’une linéarité de forçage de signe opposé en réalité, manquants de granularité pour la plupart des phénomènes microphysiques de l’atmosphère (nuages par ex.), ils ne parviennent pas à simuler la température moyenne (une métrique non physique mais passons) selon le GIEC lui-même (point #4 pages 7-9), et une de leurs rares prédictions (point chaud) a été réfutée.
Après 100 milliards de \( (selon le GAO US) dépensés dans ces modèles, l'incertitude quant à la sensibilité climatique n'a pas évolué en 40 ans.
Prescrire des solutions pharaoniquement coûteuses -- https://debunkhouse.files.wordpress.com/2018/10/pages-from-sr15_chapter2_page_1.png">122 trilliards de \) selon le GIEC SR15 – pour essentiellement 0 résultat prévisible à cause de modèles aussi peu fiables/incertains/inadaptés – c’est la NASA qui le dit – n’est certainement pas recommandé, même s’il y avait un problème, ce qui est douteux.
Résumé en 1 image.
4/ L’Europe n’est pas le seul marché où des fabricants de satellite existent. Thalès et Airbus sont aussi des entreprises de transport, activité en perte de vitesse actuellement (conjoncturellement et structurellement). Pour le reste OK mais c’est HS.
Les USA remplacent leurs satellites continuellement et ont la technologie pour les réapprovisionner en carburant in situ. Est-ce le cas des satellites de l’ESA ? Si l’objectif est l’observation climatique (d’après la news et la comm. de l’ESA), alors on saura si ces satellites ont eu une réelle utilité que dans seulement plusieurs décennies. Ça fait cher et long le doublonnage de données.
Le 16/11/2020 à 14h 52
Je n’ai rien a priori contre l’observation s’elle est sert un but : ici ce n’est que du doublon avec l’existant.
Comme dit, l’agriculture conventionnelle (c-à-d raisonnée) est déjà durable : elle nourrit sainement au moindre coût en utilisant avec parcimonie les ressources. Rapportée à la métrique correcte, elle est plus respectueuse de la biodiversité que le bio (tout en coûtant moins chère en aide) et elle est déjà neutre en CO2 (ça c’est pour les croyants réchauffistes).
Le 16/11/2020 à 10h 16
Il n’y a rien d’innovant dans ces projets (qui resteront en cet état, on l’espère) : toutes ces variables sont déjà abondamment suivies par ailleurs, et les techniques envisagées existent depuis des décennies. D’autant plus que l’objectif étant climatique, au moins 30 ans de suivi sont requis pour commencer à obtenir un résultat (sans parler de conclusions)
La raison avancée, forcément en rapport avec la mode escro-illogique du moment pour obtenir de l’argent public, est particulièrement croustillante : le (pseudo) « consensus » climastrologique n’est pas encore compris
Sur le terrain, l’agriculture est déjà « durable », sinon elle n’existerait plus. Comment la sécurité alimentaire va être étudiée depuis l’orbite reste un complet mystère.
Comme le montre la dernière phrase, ces contrats ne sont en fait que des subventions publiques à des acteurs privés du transport déguisées en missions « pour sauver la planète ». À part les cochons de contribuables consentants à qui on n’a pas demandé leur avis sur le sujet, toute la clique des habituels profiteurs, des polytocards aux crapitalistes en passant par les bureaucrates et technocrates des Eurosoviets est gagnante.
Le supercalculateur Joliot-Curie aide à comprendre l’Univers, la matière et l’énergie noires
18/11/2020
Le 18/11/2020 à 09h 04
Très très grande emphase pour un ordinateur même pas classé dans le Top10.
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Par définition, une simulation ne permet pas de « mettre en évidence » : elle suggère, au mieux, tant que des observations et/ou un important faisceau d’autres éléments concordants n’ont pas été indépendamment observés et/ou rapportés, respectivement.
Amazon accusée par la Commission européenne d’infractions aux règles concurrentielles
12/11/2020
Le 17/11/2020 à 09h 15
Comme c’est HS je vais faire court : tu devrais lire The Machinery of Freedom (Vers une société sans État, en français) de D. Friedman qui aborde toutes ces problématiques en proposant pour chacune des solutions pertinentes et/ou déjà implémentées.
À titre d’ex. actuel, la justice commerciale, qui est basée sur des règles dérivant de la tradition (c-à-d non législative), est essentiellement rendue par des acteurs privés, et cette justice est utilisée seulement en dernier ressort après arbitrage (privé) et médiation (privée) qui réussit dans 90 % des cas.
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Ça se pratique tous les jours dans le monde réel et techniquement on appelle cela de la concurrence.
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Comme tu dis : « cliché ».
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Peut-être, mais il faudrait le démontrer, ce que tu ne fais pas.
Le 16/11/2020 à 19h 46
Donc tu comprends que ton concept est inapplicable en pratique : les prix ne sont jamais assez bas, la qualité n’est jamais assez élevée, la marge n’est jamais assez élevée, le service rendu jamais assez bon, etc. On vise des optimums qui ne sont jamais atteints : c’est la raison qui fait qu’il existe toujours des opportunités de mieux fabriquer; vendre, etc.
Ton point d’équilibre n’existe dans un 1 cas : quand il y a zéro marché.
Le 16/11/2020 à 19h 36
Parce que l’État a décidé qu’il avait un monopole artificiel sur ces sujets… ce qui ne rend pas moins immoral la spoliation des fruits du travail par sa coercition et sans consentement. Mais c’est HS.
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De la même manière que j’accepte la théorie que ton mari/ta femme est beau/belle et que tes enfants sont intelligents, etc. La question qu’il faut se poser est : est-ce vrai et comparé à quoi ?
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Tu n’as pas été au bout de ton ex. que j’amende :
Ah, tu sais de quoi tu parles
Plus sérieusement, si tu étais de l’autre côté du comptoir, tu saurais qu’on respecte le client (même les plus cons) parce que ce sont eux qui in fine décident de ton sort de vendeur/commerçant.
C’est bien le client qui paie : les déchetteries sont payées par les impôts (quand elles ne sont pas payantes), et tous les appareils électrique supportent une contribution de recyclage (même non recyclés) dite d’éco-participation DEEE.
Le 16/11/2020 à 19h 16
La phrase citée exprime un objectif permanent d’amélioration de ces 3 critères (chez Amazon par ex., leur politique interne vis à vis des vendeurs tiers est très stricte quant à la qualité du service client attendue, moins sur la qualité des produits. Sur les prix il n’y a pas photo – en général.).Je ne vois pas comment on peut définir le « point d’équilibre » d’un tel système dynamique et complexe.
Le 16/11/2020 à 18h 19
Explicite ou définit ton « point d’équilibre ».
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Avec des « si »…
Pas plus immorale qu’un consentement à l’impôt qui n’est jamais demandé aux intéressés.
Note qu’il n’est pas théoriquement exclu qu’Amazon puisse faire ce qu’on lui reproche : simplement dans la pratique, ce n’est pas dans son intérêt de se mettre à dos ses vendeurs et ses clients.
C’est la même problématique qu’avec l’obsolescence programmée : on oublie que c’est le client final qui décide de la vie ou de la mort des entreprises en votant avec son porte-monnaie. Il n’y a pas de meilleurs et plus démocratiques chiens de garde que lui.
Le 16/11/2020 à 14h 42
Carrefour livre dans la journée, voire en moins d’1h en livraison express. Mais c’est HS : le sujet était que ton scénario n’a pas d’existence dans la réalité (sinon il n’y aurait plus de marchés). Il ne suffit pas d’émettre des suppositions avec des conditionnels partout, il faut montrer qu’elles sont réelles.
Le garde-fou ? Le profit bien sûr, parce qu’il est la mesure de la durabilité du modèle économique ! Et il implique d’attirer/conserver le plus de clients satisfaits possibles qui achèterons le plus de produits de qualité au meilleur coût possible vendus par le plus grand nombre de vendeurs possibles tout aussi satisfaits.
Ta position est exactement celle de ceux qui crient à la fraude fiscale (illégale) qu’ils confondent (volontairement) avec de l’optimisation (légale) : cette optimisation permanente est ce qui rend l’économie de marché si performante et imbattable.
Le 16/11/2020 à 09h 39
Ton scénario a plusieurs problèmes. Il n’est pas spécifique au système type Amazon, mais peut aussi s’appliquer à tous les autres canaux traditionnels.
Ensuite, dans les faits, il n’est pas même crédible puisque par définition, le concept de place de marché a justement été développé pour élargir le champ des produits offerts par la plateforme : si ton scénario était généralisé cela équivaudrait pour Amazon à saboter et sa place de marché, et sa plateforme et la confiance des vendeurs et des clients dans sa marque. Qui peut croire cela ?
Pour prendre un ex., que Carrefour achète via sa central d’achat des tonnes de pâtes à l’année n’empêche pas l’épicier du coin d’en vendre seulement une palette. Multiplie cela à tous les produits. Note que je n’affirme pas que ton scénario est impossible, seulement qu’il est improbable parce qu’il n’est pas dans l’intérêt des agents économiques.
Ton scénario relève en fait d’une vision purement mécanistique et figée (c-à-d inhumaine) d’un système (l’économie) complexe, autorégulé, dynamique, changeant, fluide, adaptable, etc. : les marchés, qui sont avant tout des actes d’échange entre humains.
Le 14/11/2020 à 22h 19
Le tribalisme, c’est ce qui reste aux barbares quand ils se sont excisés leur (restant de) cervelle.
Le 14/11/2020 à 22h 14
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Le truc à comprendre est que pour optimiser la recherche, la vente, l’infrastructure et au final l’expérience client, les plateformes fonctionnent avec des fiches produits standardisées : peu importe l’intitulé de la boutique (fabricants ou vendeurs), les mêmes fiches sont utilisées par tous les vendeurs DONT Amazon. Ergo : ils sont sur un pied d’égalité et tous les vendeurs de produits Lego (incluant Amazon) qui utilisent des fiches Lego sont exactement représentés de la même manière sur toutes ces fiches. En quoi cela est supposé supporter les dires du 1er point du 2nd commentaire de mon interlocuteur m’échappe :
1/ leur image n’est en rien « effacée » puisque la plupart des vendeurs n’en ont aucune : au contraire, sur une plateforme ils sont maintenant visibles ;
2/ leur nom est conservé et apparaît sur toutes les fiches produits du vendeur. Les « petits commerçants » n’ont généralement pas de logo (quel intérêt ?), mais si le vendeur est assez important pour en avoir un rien n’interdit de l’afficher sur sa boutique ;
3/ enfin la fidélité des clients dépend de leur satisfaction quant à leur expérience d’achat : il est évident qu’Amazon est la plateforme reine pour la leur fournir vu la progression de son CA et le nombre de vendeurs y opérant.
Le 13/11/2020 à 09h 55
Quelles inepties !
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On pourrait conclure qu’il faut être particulièrement c… pour commenter sur un sujet dont on ignore tout.
Le 13/11/2020 à 09h 31
Supputation. Déjà rien ne prouve qu’Amazon soit leur seul canal de vente ou même leur principal. Ensuite, et selon les Kommissars, la pratique reprochée serait « systématique » : il est difficile de croire qu’absolument aucune victime soit restée sans réagir si c’était le cas.
Bref, cela ressemble aux opcom habituelles des clowns de l’UE.
Le 12/11/2020 à 15h 02
Mutualiser n’a rien de « gauchiasse ». Par contre qualifier « Sarkozy, Hollande et Macron » de libéraux, çà oui, en plus d’être comiquement absurde.
Le 12/11/2020 à 13h 24
Bizarrement (non), aucune procédure en justice n’a été lancée contre Amazon par les supposées victimes… mais on comprend pourquoi Amazon est le 1er recruteur d’avocats.
Cette opération marketing des Kommissars n’est destinée qu’à leur parade et ressemble à s’y méprendre aux cabales précédentes contre les GAFA. Il est vrai qu’en EURSS, ces géants ne peuvent être créés (sans parler de prospérer).
L’Europe face à la consommation croissante des datacenters et l’explosion des services cloud
13/11/2020
Le 14/11/2020 à 21h 43
LOL tu vis sur une autre planète ?
La Chine a si conscience des enjeux climastrologiques qu’elle et l’Inde prévoient d’ouvrir plusieurs centaines de centrales thermiques au charbon et plusieurs dizaines de nouvelles mines par an.
La Chine est en large majorité une économie de marché alors que le régime politique du Parti Communiste Chinois est indubitablement… communiste. Économiquement, l’Europe est bien moins libéral, ce qui explique la grande réussite chinoise (moins de régulations/réglementations, moins de taxation/imposition, plus de liberté d’entreprendre, etc.). Et le supposé réchauffement est clairement un non-problème qui nécessite le courage de ne rien faire.
Le 13/11/2020 à 09h 13
Il est bien certain que ce n’est pas avec les écocrucifix découpeurs d’oiseaux, les miroirs solaires aux alouettes ou autres farces et attrapes escrolos qui ravagent les paysages et détruisent la biodiversité qu’on va produire de l’énergie peu chère et fiable où et quand on en a besoin pour faire tourner une économie (numérique ou autre).
Aussi plutôt que de réfléchir sur les manières intelligentes d’anticiper la consommation et donc la production et de prospérer en // comme le ferait n’importe quel agent économique au fait de la réalité, nos polytocards ineptes et technocrates non élus vivant avec l’argent des autres et/ou les pompes à pognon virtuel de la BCE ont décrété que la voie la plus débile était la meilleure : c-à-d restreindre la production d’énergie dans le temps et dans l’espace, et pondre ensuite des rapports pour constater et imposer (évidemment) la nécessaire adaptation et amélioration de l’efficacité pour y faire face.
Bien sûr sans jamais en chiffrer les coûts exponentiels à mesure que l’on tend vers la limite haute d’efficacité théoriquement possible, qui est déjà proche. Et en oubliant que cette illusion ne comblera jamais le fossé grandissant entre la consommation et la production…
On peut prédire que le suicide des Eurosoviets par effondrement économique malthusien restera dans les anales de l’Histoire comme l’exemple le plus typique et consternant de l’hubris d’idéologues si hors sol que leur éradication n’est maintenant plus une question de si mais de quand.
OnePlus Nord 10 5G et N100 : une seule « mise à jour majeure d’Android »
12/11/2020
Le 14/11/2020 à 21h 23
Là n’est pas le sujet : il n’existe pas une telle législation en Italie où Apple et Samsung ont seulement écopé une amende pour défaut d’information infligée par une administration indépendante (et donc non par la justice). Ma phrase reste donc entièrement correcte.
Le 13/11/2020 à 09h 18
Relis ma phrase.
Le 12/11/2020 à 16h 37
Légalement non, économiquement non, commercialement non, moralement non, etc.
Le concept, fumeux et/ou tautologique comme à peu près tous les concepts escrolos, n’a strictement aucune utilité pratique pour la simple raison que tout ce qui est mis sur le marché est statistiquement fabriqué, de par l’existence même des lois de la Physique sans parler de celles économiques, pour être obsolète à terme. La garantie est ici de 100 %.
Restreint au champ juridique, on attend toujours 5 ans plus tard la 1ère condamnation en France de ce qui devait être un problème si largement répandu que de la législation avait été jugée nécessaire pour l’exposer et le sanctionner. Rétrospectivement, cette absence prouve mon point.
Une Europe « plus verte, plus numérique » : la commission revient sur les 1 800 milliards d’euros accordés
12/11/2020
Le 12/11/2020 à 16h 54
Je dépense (l’argent des autres) donc je suis (médiatiquement et électoralement) : les autres (pauvres) essuieront les plâtres plus tard.
La résilience a été testée en France : depuis septembre l’électricité non produite par Fessenheim, neutre en CO2 pour les croyants réchauffistes, mais fermées pour satisfaire les lubies antinucléaires de ces mêmes escrolos réchauffistes, est maintenant fournie par les anciennes centrales thermiques en France : sacré résultat d’une Europe plus verte…
Parions que comme d’habitude, certains profiteront de cette aubaine pour s’enrichir à bon compte pendant que le nombre de pauvres en Europe continuera de grimper.
La dernière partie de la FAQ est on ne peut plus claire : ce qu’il reste de business en EURSS sera taxé jusqu’à ce que mort s’en suive.
La CGT Police Nationale juge inutile l’obligation de dissimuler les visages des forces de l’ordre
12/11/2020
Le 12/11/2020 à 16h 22
Que ce soient Mélenchon et la CGT qui disent tout haut ce que tout le monde ou presque pensent tout bas (par peur des représailles et/ou des collabos) indique la profondeur de l’ornière autoritaire et liberticide dans laquelle l’occupant intérieur entraîne ce pays.
Avec les millions de pauvres supplémentaires qui sont la conséquence directe de la ruine économique imposée par un gouvernement (volontairement ?) incompétent, je vois bien à terme l’instauration forcée d’un RU large mais sélectif comme solution miracle : pour un politocard, payer une telle base électorale avec l’argent des autres est maintenant un rêve à portée de main.
Covid-19 : 180 candidats-vaccins en développement, dont une quarantaine en phase clinique
12/11/2020
Le 12/11/2020 à 13h 13
Ce qui montre la constance de ma caractérisation géographique précise que personne ne nie, merci.
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De fait, tout à fait inintéressant, mais sur lesquelles tu n’as pas pu résister pour enfiler commentaires après commentaires jusqu’à maintenant… bref pas très cohérent mais passons.
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Ces publications sont indiquées dans la vidéo mise en lien.
Le 12/11/2020 à 13h 00
Ce qui est valable pour la grippe peut ne pas l’être dans le cas présent. Nous verrons bien.
Pour être complet le seuil entre variants et sous-types est couramment (et arbitrairement) défini à 2 % de différence dans les génotypes. Comme ce virus comporte +30000 bases, l’appellation actuelle de variants pour ce virus est conforme à cette définition (moins de 100 différences).
Ce site trace pays par pays les variants (qui sont nommés subtypes…) depuis le début de l’épidémie (basé sur ce papier).
Le 12/11/2020 à 11h 09
Je ne « martèle » pas, je le caractérise précisément pour savoir de quoi on parle. Par ex. les variants ne sont pas d’origine chinoise, mais nord-africaine, de pays nordiques, etc.
Le SIDA a eu son heure de gloire, et la grippe revenant tous les ans la nature humaine s’habitue psychologiquement à son tribu.
Ce qui vaut ce traitement de faveur à ce virus, c’est d’une part son origine incertaine (hors géographie, naturelle ou humaine ?) et d’autre part les inespérées expériences d’ingénierie sociale liberticide qu’il a permis et permet encore, et qui horrifie même un Mélenchon, c’est dire…
Mais effectivement à part cela, c’est juste une grippe (un peu ?) plus grave et contagieuse que d’habitude.
Le 12/11/2020 à 10h 50
Tes 2 citations résument bien la tension entre d’un côté la théorie et les connaissances/pratiques passées qui permettent de prédire (mais pas toujours très justement), et de l’autre côté les nouvelles données qui au jour le jour les confirment, les infirment ou les modifient. D’expérience, cette dualité voire cette opposition est tout ce qui fait le sel de l’activité de recherche (surtout quand tu trouves ;).
Sur le fond, les profils génétiques indiquent que ce virus et ses variants mutent et/ou se recombinent très facilement. Ce que cela implique pour l’avenir est difficile à dire, à part que la stratégie vaccin pourrait faire long feu.
Le 12/11/2020 à 10h 35
Mais on sait où il est apparu : en Chine. Son origine est donc chinoise. Que certains possédés idéologiques croient que ce terme vise autre chose qu’une aire géographique les rend particulièrement stupides ET incultes. Reparle-moi encore de crédibilité…
Le 12/11/2020 à 10h 23
Cela évite d’introduire tout le virus (inactivé) dans l’organisme et donc de potentiels (mais rares) effets non désirables (chez les personnes immunodéficientes par ex.). Le but est justement de parer à cette méfiance en réduisant les risques au minimum. C’est la théorie en tout cas.
Le 12/11/2020 à 10h 12
Ta définition est un taux de 50 % d’efficacité qui est seulement apparent et qui est bien moindre en réalité (la distribution des asymptomatiques et autres non-répondants est aléatoire). Il n’est donc pas très clair si le taux visé par l’OMS est un taux établi sur des populations présélectionnées ou non lors des tests.
PS : le virus n’est pas d’origine chinoise ? On nous aurait menti ? LOL
Le 12/11/2020 à 10h 01
On dit « antigènes » (qui peut être effectivement un récepteur).
Le vaccin à ARN comporte 2 chose : un vecteur (un guide si tu préfères) pour emmener l’ARN à l’intérieur des cellules, et l’ARN lui-même pour faire produire la protéine cible (antigénique) par l’organisme dont le système immunitaire y répondra alors.
Le 12/11/2020 à 09h 48
On développe des vaccins contre le virus chinois d’origine, mais quid des variants apparus depuis sur leur efficacité ? Les quelques études sur le sujet montrent que ces variants sont assez différents pour entraîner des réinfections même chez les sujets immunocompétents.
Ce virus et ses variants semble muter et/ou se recombiner avec eux-mêmes et/ou d’autres virus d’une manière assez rapide qui laisse présager que les vaccins n’auront qu’une efficacité très limitée dans le temps, d’où le faible seuil fixé par l’OMS (50 % d’efficacité).
Le Port spatial de l’Europe à Kourou (Guyane) fait « le choix des énergies renouvelables »
09/11/2020
Le 09/11/2020 à 18h 50
Pur greenwashing avec zéro impact, à part la gabegie en hausse d’argent public. Par temps couvert, soit plus de 60 % du temps en moyenne, comment sera produit le déficit d’électricité ? On fera comme en métropole où les centrales thermiques ont été rallumées depuis septembre pour compenser la fermeture de Fessenheim…
Dans le même temps les Chinois et Indiens construisent plusieurs centaines de centrales au charbon, de capacité, pilotables, fiables, durables, peu chères, etc.
Autant dire que l’étalage (très à la mode) de sa vertu verte par l’ESA n’est que de la poudre aux yeux, du marketing escrolo risible si cela ne coûtait pas aussi cher.
Yves Rougy revient sur l’histoire de Microsoft et IBM autour de MS-DOS
09/11/2020
Le 09/11/2020 à 18h 19
Complètement absente de l’histoire est le rappel essentiel qu’à cette époque IBM était sous le coup d’une procédure anti-trust depuis 10 ans déjà et faisait profil bas (investigations abandonnées plus tard pour absence de mérites, sans condamnations ni sanctions).
Pour nombre d’historiens ce contexte juridique est responsable de la décision d’IBM de laisser à M$ le soin de créer le futur OS des PC. MS-DOS et les 1ers Windows sont donc des purs produits de la régulation et de l’interventionnisme basés sur 0 justification économique.
L’amère ironie est que M$ fut aussi accusée par la suite de monopole… Et ce non sens recommence une fois de plus avec les GAFA. Comme quoi aucune leçon n’a été tirée des errements répétés du passé : l’idéologie et l’inculture économique prévalent toujours.
Vers une interdiction du Black Friday ?
09/11/2020
Le 09/11/2020 à 15h 18
Seulement quand on raisonne de manière simpliste, oublieux/ignare des principes économiques de base, ou alors dans le cadre d’une économie planifiée.
Dans un marché normal les gains de productivité sont sans cesse recherchés, la concurrence veille au grain, des améliorations techniques/technologiques sont développées, les méthodes de fabrication évoluent, le coût des matières premières baissent etc.
Tous ces facteurs contribuent à faire baisser les prix sans nécessaire répercussion sur la qualité qui est préservée voire améliorée. Il peut certes survenir des exceptions – rien n’est parfait – mais globalement dans un marché libre les choses tendent à s’améliorer et les prix plus bas ne sont qu’un symptôme de cette tendance.
Achats en ligne : des sénateurs communistes veulent une taxe sur la livraison, à 0,10 € le kilomètre
09/11/2020
Le 09/11/2020 à 14h 41
Les opérations politiques en 3 phases faciles à comprendre :
1/ créer un problème de toute pièce ;
2/ proposer une
solutiontaxe ;3/ ne pas évaluer les conséquences désastreuses et retourner en 1/.
Quand une météorite au Maroc « dévoile un climat chaud sur Mars il y a 4,4 milliards d’années »
02/11/2020
Le 08/11/2020 à 18h 05
Avec ta définition abracadabrantesque, toutes les molécules sont des GES : juste débile.
Introduction pour les nuls de l’alarmiste Jancovici pour t’aider dans ton handicap :
Tu vois maintenant la relation avec l’absence de moment dipolaire : H2 n’est donc définitivement pas, n’a jamais été et ne sera jamais un GES. L’article de l’IPGP est gravement erroné tout comme tes connaissances en Physique.
Je ne vois pas l’intérêt de poursuivre tes chimères.