Ben ouais, si tu recrutais sur NXi, tu n’aurais que la crème des développeurs, ceux qui ont tout écouté en cours et rien oublié depuis.
Le
07/02/2018 à
17h
34
Ca ne rend pas le float inutilisable pour autant, même en math. Il a l’avantage de la performance et du stockage par rapport au decimal. Si tu dois placer des points dans un repère cartésien dont l’unité est le mètre et la précision le millimètre, la différence entre 5.55e-17 et 0 est négligeable.
Globalement, le decimal est meilleur pour traiter les unités monétaires, car même si tu brasses des trillions, tu ne veux pas perdre le moindre centime lors d’opérations successives. Pour les unités de grandeurs physiques, le float est applicable dans la majorité des cas.
Le
07/02/2018 à
14h
44
Ne pratiquant pas Python, quel est le problème de l’utilisation des floats ? Normalement, le choix Decimal/Float est censé être plus éclairé que “personne ne l’utilise parce que c’est nul”…
Le
07/02/2018 à
09h
00
Non, Excel utilise des flottants double précision et calcule avec les valeurs complètes, pas celles affichées (sauf pour les comparaisons, apparemment).
Le
06/02/2018 à
16h
19
N’exagérons rien : on peut toujours trouver la rédemption en écrivant une fonction de comparaison avec un epsilon.
Oui, comme chantait Sharon Jones : I learned the hard way…
Pour le tiers de confiance, je ne suis pas sûr que tout le monde soit d’accord là dessus. En état ça change et la confiance dans l’état peut diminuer voir disparaître. Ton état civil c’est pour la vie (et la vie ça peut être long), et c’est aussi ce qui garantit ton identité. Si il y a une solution qui permet de ne pas avoir à dépendre d’un tiers unique de confiance, c’est pas forcément un mal.
J’ai tendance à penser que le jour à la confiance en l’Etat est perdue sera le jour où tu auras le moins envie d’avoir ton état civil dans une blockchain.
Le
01/02/2018 à
14h
42
Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut pas empêcher logiciellement un utilisateur légitime (ou un utilisateur illégitime mais ayant obtenu les accès) de créer une entrée fictive ou erronée. Dans une crypto-monnaie, un utilisateur ne peut pas se poser bénéficiaire d’une transaction sans émetteur (il peut toujours frauder un émetteur, cela-dit) ni créer un faux bitcoin.
Pour ce besoin, la blockchain ne peut pas, me semble-t-il, créer plus de confiance qu’un serveur centralisé (contrairement à celui de la crypto-monnaie).
Le
01/02/2018 à
10h
30
En fait, je n’arrive pas à cerner l’intérêt d’un proof of work/stake/whatever complexe pour une blockchain utilisée à cet effet. Il n’y aurait (pifométriquement) que quelques milliers d’entrées quotidiennes et on n’a pas vraiment besoin de contrôle similaire à celui de la double dépense comme dans une crypto-monnaie, ni d’authentifier des transactions. On n’a pas d’algorithme qui peut empêcher un attaquant d’entrée une naissance ou un mariage fictif dans le système, comme on peut empêcher un attaquant de créer un bitcoin ex-nihilo ou une transaction sans l’aval du donneur.
Mais bon, tu l’as dis toi-même, l’intérêt d’une blockchain pour un tiers de confiance dont le rôle est de centraliser est déjà douteux.
Je sais pas, mais si j’inventais la crypto-monnaie, je voudrais au contraire la mettre en prod au plus vite, pas garder ça entre 125 initiés, car ça n’aurait que très peu d’intérêt. D’autant que c’est pas avec aussi peu d’utilisateurs qu’on peut mettre en exergue des problèmes actuels qui émergent d’une échelle à grande utilisation.
A mon avis, leur grosse erreur, pointée par l’article que tu as poster hier, c’est d’avoir penser qu’en inventant la banque centrale distribuée ils remplaceraient aussi la banque de dépôt, la banque d’affaire et la bourse. Or ces besoins ont finit par émergés, des amateurs s’en sont emparés (MtGox et les cas présentés par cet article) et on se rend compte que les grandes méchantes banques et le vieux système ne sont pas si nuls que ça en sécurité informatique.
Bref, d’excellents ingénieurs, mais de mauvais économistes (mais c’est facile à dire après coup).
Tu peux alors dire la même chose pour les testeurs de tout et n’importe quoi. Ils vivent au final du travail des autres. En quoi est-ce différent ? On va prendre un grand site que tout le monde connaît : jeuxvideo.com. Que produisent-ils d’original ? Pourquoi eux auraient le droit d’utiliser des images ou extraits de jeux sous prétexte qu’ils sont “journalistes” et qu’un “artiste”, lui, n’aurait pas le droit ?
Sans justifier la réaction des ayant-droits dans cette histoire, ici, tu mélanges critique et parodie. Quoique tu en penses, le droit n’est pas le même pour ces deux activités.
Le
24/01/2018 à
08h
25
Probablement non, car les services juridiques de Canal+ avaient sans doute pris les devants.
Le
23/01/2018 à
10h
17
Sans intérêt a écrit :
D’ailleurs, puisqu’on parle de reprises d’oeuvres complètes en tant que parodies, je me demande comment a été réglé le droit d’auteur de Ma Caravane, parodie de la Macarena.
Je serais surpris qu’il n’y ait pas de rétribution aux compositeurs.
Je ne vois pas trop quel problème pose la traçabilité sur un registre d’état civil " />
Perso, la question que je me pose est : a-t-on déjà un registre numérique des états civils et marche-t-il bien ? Si oui, le seul avantage de la blockchain serait d’empêcher un administrateur indélicat de faire disparaître ou apparaître des gens dans l’état civil national.
Ouais c’est inadmissible tout ces projets étudiants sur Github qui ne sont pas maintenu une fois leurs études finies ou ces projets personnels réalisés le dimanche. On devrait leur interdire de publier leur code sous licence libre sur des forges publiques.
Tiens, ça me donne une idée de modèle économique de facturer 300€ le git pull
On peut fermer les comms de cette news, le pic de malhonnêteté intellectuelle a été atteint dès le post 33.
J’ai eu un problème de condensateur avec une cafetière Senseo, pareil, cafetière remise à neuf pour quelques euros et quelques minutes. Le problème était connu, apparemment, toute une série avait le problème, ce qui n’est pas grave en soit et est sans doute plus du à pas de chance (mauvaise passe chez un fournisseur de composant), mais rien n’incite à réparer soi-même quand tu peux racheter la même cafetière pour 40€ et que le constructeur s’en lave les mains garantie passée.
Après, honnêtement, je n’ai pas toujours fait ça, par exemple la molette devenue capricieuse de mon micro-onde vieux de 5 ans, je n’ai pas cherché à comprendre.
Et puis sa voiture n’est même pas passé au système métrique ! Y a bien qu’en France où on utilise pas encore le système métrique, pfff, toujours 2 siècles de retard la France.
Il répondait à la remarque inquiète d’un député qui se demandait si les services n’allaient pas saturer sous les appels. Il manque plein de verbes dans sa phrase, c’est donc difficile d’en comprendre le sens, mais je pense qu’il prêtait cette réflexion à son interlocuteur.
Tu peux te détendre (ou pas), ce n’est pas Facebook, c’est Twitter.
Mais t’as raison de pointer ce qu’est Project Veritas. Il y a quelques semaines, dans le cadre de l’élection sénatoriale de l’Alabama, ils ont tenter de piéger le Washington Post en leur livrant un faux témoignage clé en main contre le candidat républicain (l’idée étant de discréditer toutes les affaires de harcèlements et agressions sexuelles qu’il commençait à cumuler), mais ils se sont fait captés.
Euh, si, rien de plus facile : utilisé comme clé de chiffrement un mot de passe demandé à l’utilisateur, à sa charge de le retenir.
Dans le cas de l’iPhone, pour limiter les risques de brute-force du au fait que le mot de passe est un code PIN de 4 à 8 caractères, la clé de chiffrement est composé du code PIN et d’une valeur aléatoire générée à la (ré-)initialisation de l’iPhone, dont l’accès est théoriquement limité au hardware.
L’intérêt de rendre difficile la validation d’un bloc est d’éviter que plusieurs versions d’un bloc ne coexistent : quand les noeuds préparent un bloc, ils peuvent collecter des transactions différentes et si tous les noeuds sont en mesure de soumettre leurs blocs en même temps, ça foutrait un certains bazar.
Les noeuds pourraient évidemment voter pour choisir le bloc à retenir, mais cela impliquerait qu’un attaquant disposant de plus de 50% des connexions pourrait décider tout seul.
En rendant la validation difficile, on diminue grandement le risque que plusieurs blocs différents soient soumis au même moment (je n’entre pas dans les détails, mais le risque demeure, il est cependant géré). Quelqu’un qui voudrait alors forcer sa version du bloc est obligé de le résoudre avant les autres et c’est pour ça que quelqu’un qui veut devenir maître de la blockchain ne peut pas en ayant la majorité des connexions : il lui faut la majorité de la puissance de calcul.
Le
07/12/2017 à
10h
20
Pour compléter khalev, l’intérêt de la blockchain est l’archivage et surtout son infalsifiabilité (si le mot existe). Plus un bloc est ancien, plus il est difficile à modifier, y compris légitimement. Si on découvre une erreur dans un ancien bloc, il faudrait re-prouver ce bloc et tous les suivants.
Mon cas de blockchain pour des actes notariés ou autre est théorique, si un tel système est mis en place, il faudra sans doute prévoir de quoi gérer le scénario que j’avance.
Le
06/12/2017 à
23h
12
J’ajoute que si on veut utiliser une blockchain pour distribuer et valider des archives (par exemples des actes notariés, des dépôts de brevets ou des décisions de justice) on ne pourra pas empêcher des entrées frauduleuses (l’antidatage est rendu quasiment impossible, néanmoins). Mais ça ne rendrait pas la fraude plus discrète, et si la retirer des registres est impossible, on peut toujours la déclarer nulle dans un bloc ultérieur.
Le
06/12/2017 à
22h
40
Ben oui, quelqu’un qui contrôle plus de 50% de la puissance de calcul consacrée au minage peut établir le consensus tout seul (il peut faire valider ses blocs quand il obtient la preuve de travail, même s’ils sont faussé, et faire rejeter les blocs prouver pas d’autres noeuds que les siens.).
Mais comme dit plus haut, le coût pour ça est très élevé. Dans ton scénario particulier, je ne vois pas comment un état pourrait nuire à un autre en passant par une blockchain de cryptomonnaie sans passer par un gros montage financier en amont, mais c’est une autre histoire.
Le
06/12/2017 à
20h
45
On* compte sur le fait que la majorité des acteurs (= CPUs en train de miner) veulent valider des trucs vrais. Pour un nombre important d’acteur, y a pas de raisons de penser qu’au même moment la majorité veuille valider une transaction mal signée ou une double dépense de bitcoin ou un numéro de bitcoin non-référencé.
Pour tenir un livre de compte public, ça semble fiable.
* : pronom impersonnel, je ne mine pas.
Le
06/12/2017 à
10h
52
Si un acteur, vrai ou faux, est n’améliore pas la puissance de calcul du réseau, alors son influence sur la difficulté de minage est nulle. Si un “faux” acteur l’améliore, il a sans doute meilleur compte à être réglo et collecter ses gains.
Sous Mac OS, comme sous Ubuntu me semble-t-il, le compte root est désactivé par défaut. Il n’y a normalement pas de moyen de se loguer en root en dehors de cette faille, donc pas de nécessité de mot de passe. On donne les droits d’administrateur à l’utilisateur par défaut et il faut utiliser la commande sudo pour utiliser les fonctionnalités réservé au root (en dehors de la ligne de commande, si une application a besoin de privilèges plus hauts que celle de l’utilisateur en cours, un prompt de saisie de mot de passe apparaît, comme avec l’UAC de Windows).
Le
29/11/2017 à
11h
19
Au passage, je n’ai pas souvenir que le C++ autorise les blocs sans accolades pour les boucles, mais ça fait un bail que je n’en ai pas fait.
Le
29/11/2017 à
10h
40
Tu fais erreur : en l’état ta fonction sera toujours appelée, puisqu’il n’est soumis à aucune condition à cause du point-virgule.
Ce n’est pas une question de droit suisse ou américain, mais une question de droit d’auteur et de droit des marques. “Mickey Mouse” en tant que tel est une marque et tant que Disney l’utilisera, ce sera leur exclusivité.
En revanche, ce qui peut tomber dans le domaine public (si Disney ne parvient pas à encore une fois allonger les délais), ce sont les premières oeuvres contenant Mickey, comme le dessin animé Steamboat Willie.
Ils doivent se moquer de vérifier si tu ne fournis pas les références et tout mettre dans les irrépartissables.
J’avais aussi lu quelques part que pour les lieux de concert, la redevance est plus élevé si les gens dansent ou pas.
Le
22/11/2017 à
15h
42
J’imagine que pour les artistes du métro, la RATP gère tout ça.
J’imagine aussi que les petits groupes qui jouent dans la rue, ils ne déclarent rien, simplement, au risque de se faire attraper.
Le
22/11/2017 à
15h
19
Dj a écrit :
En plus de la réponse d’hyrakama
Les concerts : l’artiste pourrait demander un cachet un peu plus gros vu qu’il n’y faudrait pas payer la part “SACEM” et autre
L’artiste peut aussi vendre une licence d’utilisation de sa musique, par exemple une musique en CC-BY-SA-ND où il y a un le ND pour “pas de dérivé”, si un compositeur de film veut réutiliser cette musique en changeant quelques parties, il peut négocier avec l’artiste une autorisation modifier le morceaux avec une compensation financière
C’est je crois la clause NC (non commercial) qui permet de faire cela. Oui, c’est un peu tordu à première vue que ce soit la clause non-commercial qui permette d’en faire commerce, mais l’idée est que si quelqu’un veut en faire un usage commercial, il soit obligé de te demander, auquel cas tu peux lui accorder une licence propre pour cet usage.
Le
22/11/2017 à
10h
24
Quiproquo a écrit :
Je n’ai pas dit le contraire, juste que le fait de payer les artistes ne rentre pas dans l’équation. C’est la relation commerciale entre Jamendo et le marchand de tapis qui ouvre droit à la perception.
Pour le coup, je ne porte ni la SACEM ni Jamendo dans mon cœur. Pour moi Jamendo cherche clairement et sciemment à contourner le système (qui est tout sauf équitable, il faut bien le reconnaître).
C’est vite dit, je trouve : il n’y avait rien d’évident sur le fait que le système impose de passer les acteurs traditionnels de la collecte (et ça n’a toujours rien d’évident puisqu’il y a appel).
1776 commentaires
Calculatrice Numworks : nombreuses améliorations avec le firmware 1.3.0, notamment sur Python
06/02/2018
Le 09/02/2018 à 14h 45
Ben ouais, si tu recrutais sur NXi, tu n’aurais que la crème des développeurs, ceux qui ont tout écouté en cours et rien oublié depuis.
Le 07/02/2018 à 17h 34
Ca ne rend pas le float inutilisable pour autant, même en math. Il a l’avantage de la performance et du stockage par rapport au decimal. Si tu dois placer des points dans un repère cartésien dont l’unité est le mètre et la précision le millimètre, la différence entre 5.55e-17 et 0 est négligeable.
Globalement, le decimal est meilleur pour traiter les unités monétaires, car même si tu brasses des trillions, tu ne veux pas perdre le moindre centime lors d’opérations successives. Pour les unités de grandeurs physiques, le float est applicable dans la majorité des cas.
Le 07/02/2018 à 14h 44
Ne pratiquant pas Python, quel est le problème de l’utilisation des floats ? Normalement, le choix Decimal/Float est censé être plus éclairé que “personne ne l’utilise parce que c’est nul”…
Le 07/02/2018 à 09h 00
Non, Excel utilise des flottants double précision et calcule avec les valeurs complètes, pas celles affichées (sauf pour les comparaisons, apparemment).
Le 06/02/2018 à 16h 19
N’exagérons rien : on peut toujours trouver la rédemption en écrivant une fonction de comparaison avec un epsilon.
Oui, comme chantait Sharon Jones : I learned the hard way…
Voitures autonomes : après 800 000 km, les enseignements de l’expérience californienne
06/02/2018
Le 06/02/2018 à 14h 05
Pfff, une Tesla dans une Espace, j’appelle ça un accident de voiture.
Blockchain et état-civil : la députée Laure de La Raudière peine à convaincre
31/01/2018
Le 01/02/2018 à 14h 49
Le 01/02/2018 à 14h 42
Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut pas empêcher logiciellement un utilisateur légitime (ou un utilisateur illégitime mais ayant obtenu les accès) de créer une entrée fictive ou erronée. Dans une crypto-monnaie, un utilisateur ne peut pas se poser bénéficiaire d’une transaction sans émetteur (il peut toujours frauder un émetteur, cela-dit) ni créer un faux bitcoin.
Pour ce besoin, la blockchain ne peut pas, me semble-t-il, créer plus de confiance qu’un serveur centralisé (contrairement à celui de la crypto-monnaie).
Le 01/02/2018 à 10h 30
En fait, je n’arrive pas à cerner l’intérêt d’un proof of work/stake/whatever complexe pour une blockchain utilisée à cet effet. Il n’y aurait (pifométriquement) que quelques milliers d’entrées quotidiennes et on n’a pas vraiment besoin de contrôle similaire à celui de la double dépense comme dans une crypto-monnaie, ni d’authentifier des transactions. On n’a pas d’algorithme qui peut empêcher un attaquant d’entrée une naissance ou un mariage fictif dans le système, comme on peut empêcher un attaquant de créer un bitcoin ex-nihilo ou une transaction sans l’aval du donneur.
Mais bon, tu l’as dis toi-même, l’intérêt d’une blockchain pour un tiers de confiance dont le rôle est de centraliser est déjà douteux.
Crypto-monnaies : deux fonds poursuivis aux États-Unis pour vol des dépôts de leurs clients
29/01/2018
Le 01/02/2018 à 10h 05
Je sais pas, mais si j’inventais la crypto-monnaie, je voudrais au contraire la mettre en prod au plus vite, pas garder ça entre 125 initiés, car ça n’aurait que très peu d’intérêt. D’autant que c’est pas avec aussi peu d’utilisateurs qu’on peut mettre en exergue des problèmes actuels qui émergent d’une échelle à grande utilisation.
A mon avis, leur grosse erreur, pointée par l’article que tu as poster hier, c’est d’avoir penser qu’en inventant la banque centrale distribuée ils remplaceraient aussi la banque de dépôt, la banque d’affaire et la bourse. Or ces besoins ont finit par émergés, des amateurs s’en sont emparés (MtGox et les cas présentés par cet article) et on se rend compte que les grandes méchantes banques et le vieux système ne sont pas si nuls que ça en sécurité informatique.
Bref, d’excellents ingénieurs, mais de mauvais économistes (mais c’est facile à dire après coup).
L’Assemblée repousse la fin des appels surtaxés vers les administrations à 2021 « au plus tard »
25/01/2018
Le 25/01/2018 à 15h 13
Moui, je suppose que ça doit dépendre si le quelque chose de promis te plait ou pas à la base.
C’est comme les groupes de pression, si on est contre, c’est un lobby, si on est pour, c’est une association citoyenne.
Le 25/01/2018 à 13h 42
Suspicions mal-placées.
Sur YouTube, la série parodique CDZAbridged se dit menacée de disparition
22/01/2018
Le 24/01/2018 à 10h 20
Le 24/01/2018 à 08h 25
Probablement non, car les services juridiques de Canal+ avaient sans doute pris les devants.
Le 23/01/2018 à 10h 17
La France va-t-elle entrouvrir les portes de son état civil à la blockchain ?
22/01/2018
Le 22/01/2018 à 15h 09
Je ne vois pas trop quel problème pose la traçabilité sur un registre d’état civil " />
Perso, la question que je me pose est : a-t-on déjà un registre numérique des états civils et marche-t-il bien ? Si oui, le seul avantage de la blockchain serait d’empêcher un administrateur indélicat de faire disparaître ou apparaître des gens dans l’état civil national.
Open Bar Microsoft : quand la Défense jugeait le libre plutôt canon
19/01/2018
Le 19/01/2018 à 10h 43
Obsolescence programmée : le gouvernement présentera une feuille de route d’ici deux mois
18/01/2018
Le 18/01/2018 à 10h 50
J’ai eu un problème de condensateur avec une cafetière Senseo, pareil, cafetière remise à neuf pour quelques euros et quelques minutes. Le problème était connu, apparemment, toute une série avait le problème, ce qui n’est pas grave en soit et est sans doute plus du à pas de chance (mauvaise passe chez un fournisseur de composant), mais rien n’incite à réparer soi-même quand tu peux racheter la même cafetière pour 40€ et que le constructeur s’en lave les mains garantie passée.
Après, honnêtement, je n’ai pas toujours fait ça, par exemple la molette devenue capricieuse de mon micro-onde vieux de 5 ans, je n’ai pas cherché à comprendre.
Véhicules autonomes : « rendre possible ce que la France saura faire de mieux »
17/01/2018
Le 17/01/2018 à 17h 20
Et puis sa voiture n’est même pas passé au système métrique ! Y a bien qu’en France où on utilise pas encore le système métrique, pfff, toujours 2 siècles de retard la France.
L’Assemblée s’apprête à mettre fin aux appels surtaxés vers les services publics
17/01/2018
Le 17/01/2018 à 14h 04
Il répondait à la remarque inquiète d’un député qui se demandait si les services n’allaient pas saturer sous les appels. Il manque plein de verbes dans sa phrase, c’est donc difficile d’en comprendre le sens, mais je pense qu’il prêtait cette réflexion à son interlocuteur.
Twitter nie l’existence d’équipes dédiées à la lecture des DM
16/01/2018
Le 17/01/2018 à 09h 40
Tu peux te détendre (ou pas), ce n’est pas Facebook, c’est Twitter.
Mais t’as raison de pointer ce qu’est Project Veritas. Il y a quelques semaines, dans le cadre de l’élection sénatoriale de l’Alabama, ils ont tenter de piéger le Washington Post en leur livrant un faux témoignage clé en main contre le candidat républicain (l’idée étant de discréditer toutes les affaires de harcèlements et agressions sexuelles qu’il commençait à cumuler), mais ils se sont fait captés.
tl;dr: des ordures, quoi.
Le 16/01/2018 à 10h 59
Ouh, tu vas sentir passer la sword, toi…
Le gouvernement met en garde les maires qui voudraient utiliser des drones contre la fraude fiscale
16/01/2018
Le 16/01/2018 à 11h 32
Dans le futur, on portera tous des sombreros.
La sanction du refus de remettre la convention de déchiffrement soumise au Conseil constitutionnel
15/01/2018
Le 15/01/2018 à 14h 02
Euh, si, rien de plus facile : utilisé comme clé de chiffrement un mot de passe demandé à l’utilisateur, à sa charge de le retenir.
Dans le cas de l’iPhone, pour limiter les risques de brute-force du au fait que le mot de passe est un code PIN de 4 à 8 caractères, la clé de chiffrement est composé du code PIN et d’une valeur aléatoire générée à la (ré-)initialisation de l’iPhone, dont l’accès est théoriquement limité au hardware.
Crypto-monnaies : la Chine sème le trouble autour du minage
10/01/2018
Le 10/01/2018 à 15h 39
J’aurais pu dire poule ou pigeon, mais je suis pas si méchant que ça.
Le 10/01/2018 à 15h 30
Certains signes me laissent à penser que c’est imminent.
Qu’est-ce qu’une blockchain et à quoi ça sert ?
06/12/2017
Le 12/12/2017 à 17h 04
L’intérêt de rendre difficile la validation d’un bloc est d’éviter que plusieurs versions d’un bloc ne coexistent : quand les noeuds préparent un bloc, ils peuvent collecter des transactions différentes et si tous les noeuds sont en mesure de soumettre leurs blocs en même temps, ça foutrait un certains bazar.
Les noeuds pourraient évidemment voter pour choisir le bloc à retenir, mais cela impliquerait qu’un attaquant disposant de plus de 50% des connexions pourrait décider tout seul.
En rendant la validation difficile, on diminue grandement le risque que plusieurs blocs différents soient soumis au même moment (je n’entre pas dans les détails, mais le risque demeure, il est cependant géré). Quelqu’un qui voudrait alors forcer sa version du bloc est obligé de le résoudre avant les autres et c’est pour ça que quelqu’un qui veut devenir maître de la blockchain ne peut pas en ayant la majorité des connexions : il lui faut la majorité de la puissance de calcul.
Le 07/12/2017 à 10h 20
Pour compléter khalev, l’intérêt de la blockchain est l’archivage et surtout son infalsifiabilité (si le mot existe). Plus un bloc est ancien, plus il est difficile à modifier, y compris légitimement. Si on découvre une erreur dans un ancien bloc, il faudrait re-prouver ce bloc et tous les suivants.
Mon cas de blockchain pour des actes notariés ou autre est théorique, si un tel système est mis en place, il faudra sans doute prévoir de quoi gérer le scénario que j’avance.
Le 06/12/2017 à 23h 12
J’ajoute que si on veut utiliser une blockchain pour distribuer et valider des archives (par exemples des actes notariés, des dépôts de brevets ou des décisions de justice) on ne pourra pas empêcher des entrées frauduleuses (l’antidatage est rendu quasiment impossible, néanmoins). Mais ça ne rendrait pas la fraude plus discrète, et si la retirer des registres est impossible, on peut toujours la déclarer nulle dans un bloc ultérieur.
Le 06/12/2017 à 22h 40
Ben oui, quelqu’un qui contrôle plus de 50% de la puissance de calcul consacrée au minage peut établir le consensus tout seul (il peut faire valider ses blocs quand il obtient la preuve de travail, même s’ils sont faussé, et faire rejeter les blocs prouver pas d’autres noeuds que les siens.).
Mais comme dit plus haut, le coût pour ça est très élevé. Dans ton scénario particulier, je ne vois pas comment un état pourrait nuire à un autre en passant par une blockchain de cryptomonnaie sans passer par un gros montage financier en amont, mais c’est une autre histoire.
Le 06/12/2017 à 20h 45
On* compte sur le fait que la majorité des acteurs (= CPUs en train de miner) veulent valider des trucs vrais. Pour un nombre important d’acteur, y a pas de raisons de penser qu’au même moment la majorité veuille valider une transaction mal signée ou une double dépense de bitcoin ou un numéro de bitcoin non-référencé.
Pour tenir un livre de compte public, ça semble fiable.
* : pronom impersonnel, je ne mine pas.
Le 06/12/2017 à 10h 52
Si un acteur, vrai ou faux, est n’améliore pas la puissance de calcul du réseau, alors son influence sur la difficulté de minage est nulle. Si un “faux” acteur l’améliore, il a sans doute meilleur compte à être réglo et collecter ses gains.
Le satellite Microscope confirme l’universalité de la chute libre avec « une précision inégalée »
04/12/2017
Le 04/12/2017 à 22h 47
2 choix seulement :
Le 04/12/2017 à 19h 15
Le 04/12/2017 à 13h 59
Les petites charges, c’est plutôt Vega, Soyouz c’est pour les charges moyennes.
Qualcomm relance deux plaintes contre Apple grâce aux brevets du Palm Pre
04/12/2017
Le 04/12/2017 à 14h 39
Effectivement, 2009 d’après Wiki. Je n’avais même pas souvenir que Palm existait encore à l’époque " />
Le 04/12/2017 à 14h 23
Tain, les brevets du Palm Pre courent encore ? Je dois me penser plus vieux que je ne le suis, alors.
L’ESA envisage d’utiliser des HAPS, un « chaînon manquant entre satellites et drones »
30/11/2017
Le 30/11/2017 à 13h 00
C’est moins badass que d’imaginer des mecs sauter en parachute dessus avec des boîtes à outils.
Le 30/11/2017 à 12h 52
On ne s’est pas arrêté à ces considérations pour faire voler des trucs de 120 t à 11 km.
macOS High Sierra : Apple corrige l’énorme faille du compte root
29/11/2017
Le 29/11/2017 à 18h 59
Mise à jour dispo.
Le 29/11/2017 à 13h 05
Sous Mac OS, comme sous Ubuntu me semble-t-il, le compte root est désactivé par défaut. Il n’y a normalement pas de moyen de se loguer en root en dehors de cette faille, donc pas de nécessité de mot de passe. On donne les droits d’administrateur à l’utilisateur par défaut et il faut utiliser la commande sudo pour utiliser les fonctionnalités réservé au root (en dehors de la ligne de commande, si une application a besoin de privilèges plus hauts que celle de l’utilisateur en cours, un prompt de saisie de mot de passe apparaît, comme avec l’UAC de Windows).
Le 29/11/2017 à 11h 19
Au passage, je n’ai pas souvenir que le C++ autorise les blocs sans accolades pour les boucles, mais ça fait un bail que je n’en ai pas fait.
Le 29/11/2017 à 10h 40
Tu fais erreur : en l’état ta fonction sera toujours appelée, puisqu’il n’est soumis à aucune condition à cause du point-virgule.
La Suisse s’apprête à réformer son droit d’auteur, sans Hadopi
24/11/2017
Le 27/11/2017 à 08h 26
Ce n’est pas une question de droit suisse ou américain, mais une question de droit d’auteur et de droit des marques. “Mickey Mouse” en tant que tel est une marque et tant que Disney l’utilisera, ce sera leur exclusivité.
En revanche, ce qui peut tomber dans le domaine public (si Disney ne parvient pas à encore une fois allonger les délais), ce sont les premières oeuvres contenant Mickey, comme le dessin animé Steamboat Willie.
L’industrie de la musique demande le filtrage du mot « Torrent » sur Google et Bing
23/11/2017
Le 23/11/2017 à 16h 25
Idées de nom pour les prochains sites/réseaux de ce genre :
En appel, Jamendo s’oppose à la redevance sur la musique « libre de droits »
22/11/2017
Le 22/11/2017 à 16h 38
Moitié prix si tu ne dois rien à personne " />
Le 22/11/2017 à 16h 22
Ils doivent se moquer de vérifier si tu ne fournis pas les références et tout mettre dans les irrépartissables.
J’avais aussi lu quelques part que pour les lieux de concert, la redevance est plus élevé si les gens dansent ou pas.
Le 22/11/2017 à 15h 42
J’imagine que pour les artistes du métro, la RATP gère tout ça.
J’imagine aussi que les petits groupes qui jouent dans la rue, ils ne déclarent rien, simplement, au risque de se faire attraper.
Le 22/11/2017 à 15h 19
Le 22/11/2017 à 10h 24