Depuis quelques mois, on parle aussi beaucoup de cyberharcèlement, de revenge porn et de tribunaux du net et de la presse. Moi, si ça continue je vais rapidement supprimer mes participations de micro-tâcheron au web social. Les gens s’énervent vraiment de manière excessive en osant dénoncer n’importe quoi, sans peur du ridicule.
Je ne remettrais pas en cause ton ressenti (moi-même, il y a des inquiétudes qui m’ont traversé à la lecture de ces 4 articles). Il y a seulement une chose qui m’étonne dans ton commentaire : l’auteur de l’article fait une déclaration d’intérêt en fin d’article et au lieu de féliciter cette déontologie, tu trouves le moyen de reprocher le fait que cette déclaration se situe en fin de dossier ? C’est caché selon toi ? #WTF
En même temps, je suis habitué à lire des commentaires qui fustigent le titre des articles sans avoir lu l’article lui-même… Toi, tu as eu au moins l’honnêteté et la décence de lire les articles pour faire cette remarque. C’est déjà ça.
Le
27/02/2020 à
21h
10
C’est balot d’avoir raté une mise à jour d’article… (cherche un peu, ça te fera du bien)
Le
27/02/2020 à
21h
09
carbier a écrit :
[…]
Effectivement ce sont des faits vérifiables (au passage le même procédé utilisé par l’avocate de Weinstein). Par contre des faits ne peuvent pas retranscrire des émotions ou des ressentis.
??? Tu peux toujours évoquer l’affaire Weinstein pour impressionner la galerie… Et ton ironie, tu peux te la garder. Encore une fois, tu essaies de discréditer ton interlocuteur, c’est un comportement pathétique. Mais je vais faire l’effort de te répondre sur le fond pour cette fois.
On ne peut pas retranscrire des émotions ou des ressentis ??
Si tu ne vois pas des émotions ou des impressions ou un malaise dans les témoignages retranscrits, tu me fais peur (en fait, tu feins de les ignorer, je pense que tu as suffisamment scruté l’ensemble des 4 articles). Pour ma part, j’ai mal pour les journalistes des Inrocks.
carbier a écrit :
[…]
Tu dis qu’une stagiaire n’a pas été importunée parcequ’elle a envoyé une fois un smiley ?
[…]
Non.
carbier a écrit :
[…]
Tu dis qu’un canular n’a pas pu faire de mal parcequ’il était publique avec la victime à côté ? (cf mon commentaire plus haut)
[…]
Non.
carbier a écrit :
Et comment dans une affaire de harcèlement moral, tu fais du fact-checking ?
[…]
Les 4 articles concernent une personne (D.Doucet) qui a fait l’objet de 3 enquêtes journalistiques (Mediapart, l’Obs/Rue89, Le Monde) parues aux alentours de février 2019. Les 4 articles reviennent sur les événements qui ont touché cette personne début 2019. La vérification des faits concerne ces 3 enquêtes journalistiques et les licenciements (notamment celui de D.Doucet) dans le contexte des difficultés de l’entreprise de presse Les Inrocks.
Donc l’affaire de harcèlement moral, tu peux la remettre à sa place, c’est-à-dire en arrière-plan du sujet de ces 4 articles : un journaliste licencié suite à 3 enquêtes sur l’affaire de “la ligue du LOL” dans un contexte social dans l’entreprise Les Inrocks ayant même entrainé le “débarquement” de la directrice de publication en juillet 2019.
Si tu as besoin d’une source concordante à mes propos et extérieure à Next inpact, je citeraisMediapart: « Le site NextINpact a publié cette semaine une série d’articles sur le licenciement d’un ex-rédacteur en chef des Inrocks, qui prétend remettre en cause une longue enquête que nous avons publiée il y a un an. »
NB: si besoin est, NON ce dossier de Next inpact en 4 volets ne remet pas en cause des faits de cyberharcèlement ou des témoignages de victimes de cyberharcèlement fin années 2000-début années 2010. Et pour ma part, NON, je ne défends pas le délit de cyberharcèlement ou autre accusation que toi ou quiconque souhaite (ou imagine) voir traité dans ce fil de commentaire et ces 4 articles (c’est hors-sujet ici).
Le
27/02/2020 à
18h
13
…
Le
27/02/2020 à
17h
18
As-tu regardé les références en liens dans les 4 articles ? As-tu bien lu l’ensemble de chaque article ?… J’ai l’impression de lire le commentaire d’un avocat… sauf qu’il n’y a pas de procès en jeu.
C’est un simple article de fact-checking. Moi-même, je n’aime pas ce genre d’exercice journalistique car c’est très limité : le journaliste se limite à répertorier des faits et à démontrer si c’est vrai ou faut.
Et la preuve que le fact-checking est risqué, car quelqu’un (toi en l’occurrence) vient tirer des plans sur la comète comme si on accusait des gens (tu as zappé les passages qui parlent de Florence Porcel ou encore de l’émission Arrêt sur images de février 2019).
C’est pas parce que tu as des doutes que tu as le droit de dire qu’il s’agit d’une tribune. Oui, tu n’as pas compris ce que tu as lu, je te le confirme. Tu es ridicule à comparer ça à une tribune. Tu as le droit de le dire mais dans ce cas, j’ai le droit de te répondre une 2de fois qu’une tribune correspond à autre chose. Ici, c’est une vérification de faits (fact-checking). C’est pas exhaustif, ce sont des faits. Tu peux contester ce fact-checking autant que tu veux mais face à un journaliste comme J-M.Manach, ce ne sont pas des commentaires écrits en 15 minutes maxi qui vont lui donner tort.
Le
27/02/2020 à
11h
25
carbier a écrit :
un commentaire est polémique à partir du moment où il est contraire à l’avis de quelqu’un d’autre.
Non, un commentaire est polémique lorsque le but est de contredire son interlocuteur. Si tu as besoin de répéter tes doutes personnels comme sur le fil de commentaires de ces 4 articles, tu n’exprimes pas seulement un désaccord, tu cherches une réaction agressive de la part de tes interlocuteurs. La vérité est que tu n’aimes pas le débat, tu tentes de discréditer les gens dont l’avis t’énerve.
Un avis contraire est intéressant quand il construit un débat (un débat, c’est quand des interlocuteurs savent écouter et interagir sans dire constamment que l’autre dit des conneries).
carbier a écrit :
Quant à mes positions elles sont simples: on ne vit pas dans une dictature, la liberté d’expression de tout le monde est respectée
La liberté d’expression n’est pas le droit d’être constamment en désaccord avec n’importe qui.
La liberté d’expression, c’est de pouvoir être en désaccord avec l’autorité en place sans aller en prison ou se faire harceler par la police parce qu’on a publié un avis contraire.
Le
27/02/2020 à
10h
10
Vu comme ça, je suis d’accord. Mais, il ne faut pas exagérer… Tu dirais presque que tu lis l’ensemble des commentaires publiés sur Next inpact parce que tu respectes tout le monde et que tu n’as pas peur d’un avis contraire.
Si j’ai besoin d’une information, ce n’est pas le fait de m’abonner ou non au compte Twitter de @Glagla06 qui va changer ma situation (c’est pareil pour le filtrage de Glagla06 dans les commentaires de Next inpact). Chacun s’organise comme il veut. Moi, je ne suis pas là pour “scroller” (faire défiler) les commentaires parce qu’un INpactien a décidé d’imposer son point de vue sur le nucléaire ou sur le glyphosate, donc je le filtre. Je peux enfin lire les 3 ou 4 commentaires de gavroche69 (que je filtre à l’occasion d’ailleurs). Si j’ai besoin de me faire un avis sur le monde, je lis la presse ou j’achète des livres à l’occasion (ou plus souvent, je vais à la médiathèque).
[Spoiler] je lis des articles de Next inpact qui m’agacent comme par exemple le fact-checking de J-M.Manach. Le fact-checking m’agace en général parce que cet exercice journalistique me semble trop limité si on ne va pas plus loin que la vérification de faits déjà énoncés. Mais le fact-checking est très tendance de nos jours.[Spoiler]
Ce n’est pas de l’intolérance que de filtrer ou de bloquer (sur Twitter) les comptes. C’est assainir le fil de commentaire, c’est aller plus rapidement vers les bons interlocuteurs. Cela-dit, je t’avoue que même en filtrant ou en bloquant des comptes, je zappe de plus en plus l’espace commentaire de Next inpact (comme la plupart des INpactiens, et ils ont bien raisons).
Le
26/02/2020 à
23h
11
Quiproquo a écrit :
|…]
Je plaisante bien sûr, moi aussi je filtre mes pénibles, je ne lirai probablement plus les commentaires si la fonction n’existait pas.
Encore heureux que la liberté d’expression n’oblige pas à écouter toutes les brèves de comptoir du Net et toutes celles des politologues de la TNT. Moi aussi, je filtre. D’ailleurs, je mets trop longtemps à filtrer.
Le
26/02/2020 à
20h
37
Ce serait une tribune, qu’est-ce qui te chagrinerait dans ce cas ? Qu’on donne la parole à une personne mise en cause ? Franchement, je vois où tu veux en venir, mais dans ce cas, c’est toi qui prend partie (au moins autant que ce que tu suspectes de la part de Next inpact). C’est ton droit… et justement, ce n’est pas ce désaccord qui justifie que tu assimiles un fact-checking avec une interview ou une tribune. Et surtout il n’y a rien de mal à publier de vraies informations (la vérité est plurielle, elle émerge de la confrontation de points de vues et de recoupement de sources).
Le
26/02/2020 à
20h
22
OK, tu as des doutes. Moi, aussi j’ai des doutes. Prenons l’hypothèse qu’il y a une synchronisation entre D.Doucet, Next inpact, et peut-être d’autres protagonistes. Qu’est-ce que ça change ? Un journal n’aurait-il pas le droit de choisir le moment d’une publication ? Ce serait nouveau. La presse est (encore) plus ou moins libre en France… et qu’est-ce que ça change ?
80% des informations viennent de D.Doucet ? Et alors ?
Ces informations seraient-elles fausses ?
N’aurait-on pas le droit de traiter ces informations ?
Un journaliste se devrait-il d’être exhaustif en toute situation ?
Pour la dernière question, c’est une question spéciale “carbier” (tu l’as nommé dans ton commentaire). Celui-ci reproche régulièrement le manque d’exhaustivité aux articles (comme si c’était un enjeux de probité) alors que lui-même ne critique les articles que sur des points de détail en oubliant la globalité de l’article, l’intention de l’auteur et le contexte du sujet.
Le
26/02/2020 à
19h
52
Franchement, on n’a pas lu la même série d’articles car notamment ce dernière article (4⁄4) tente de démontrer que des employés ont été licenciés injustement sur des rumeurs (d’où le titre « le fusible »).
Ok la série d’article ne reproche pas grand chose à l’ancien rédacteur en chef des Inrocks, mais est-ce le sujet ici ? Non.
faudrait-il systématiquement condamner les choses pour se dédouaner de toute collusion avec les personnes mises en causes pour avoir le droit de s’exprimer ? Non (la parole est libre tant qu’on ne dit pas des choses fausses ou trompeuses)
Est-ce que tu y lis objectivement et expressément une défense malhonnête d’un harceleur ? Non (ou cite-moi les passages que je peux avoir zappé).
Mais, tu as parfaitement le droit de vouloir une condamnation morale plus franche. Si tu veux militer contre l’élite des journalistes ou contre le microcosme “médiatico-politico-culturelle parisien”, c’est OK (l’article 3⁄4 « les ragots » traite déjà de ce qu’a fait la direction des Inrocks pour se refaire une virginité médiatique après sa couverture malencontreuse sur B.Cantat, c’est déjà un début). Personnellement, j’aurais aussi des choses à dire, mais là, en tant que lecteur de ces 4 articles, je ne comprends pas ton commentaire sur cette série d’articles (même si je partage en partie ta perplexité face à ces 4 articles). Surtout j’ai l’impression que tu as zappé tous les passages qui parlent notamment de la direction des Inrocks (2⁄4 et 3⁄4), de Florence Porcel (1⁄4).
Le
25/02/2020 à
22h
45
Je ne crois que les gens aient perdu leur esprit critique. Les gens s’expriment simplement sur l’instant et parlent trop souvent sans conscience de leur ignorance du sujet dont ils parlent. C’est la nature humaine, le seul soucis c’est le marketing qui remplace la qualité éditoriale d’un journal (qu’un journaliste dise que la Terre est plate, on n’est pas obligé de le croire, et on ne le croira pas si on prend le temps de la réflexion). Le problème est bien la piètre qualité des médias mainstream “traditionnels”, pas les informations qui peuvent être jugées comme douteuses de médias plus confidentiels.
NB: quand je dis “les gens”, je parle autant du pilier de bar qui a fini sa journée de travail que du politologue ou du statisticien qui participe à une émission d’infotainment sur le sujet “affaire Griveaux : faut-il réguler l’anonymat sur les réseaux sociaux?”.
Je crois que carbier est parfaitement conscient de tout ce que tu lui racontes dans ton commentaire (à part le fait qu’il se rend légèrement ridicule en faisant semblant de ne pas avoir compris la trame de l’article). Le tout est de savoir pourquoi il fait ça. Or, il n’y a que lui qui pourrait nous le dire…
Il m’est avis qu’il tournera encore longtemps autour du pot, s’il n’est pas passé à une autre actualité entre temps (l’agressivité se choisit les supports les plus accessibles au moment où elle apparaît, c’est un peu comme le courant électrique en physique).
Le
25/02/2020 à
21h
00
carbier a écrit :
[…]
Exemple:
Le photomontage d'« alerte enlèvement » d'une rédactrice en chef ? Une
blague potache qui circulait dans la rédaction et qui brocardait ses
absences répétées, ce que nous avons par ailleurs pu recouper.
Vous avez recoupé quoi ?
Le fait qu'elle soit régulièrement absente ?
Cela donne donc le droit de faire une blague "potache" avec photomontage à partager avec tout le monde ?
Soit c'est très mal écrit, soit c'est très maladroit.
Sauf erreur de ma part, le passage que tu cites énumère des accusations qui ont été produite à l’encontre de la personne de D.Doucet. Or, visiblement, ce n’était pas lui l’instigateur de cette “blague”.
Alors, tu peux te plaindre de l'expression "blague potache", mais ce reproche est surprenant, voire inaudible, venant d'un internaute comme toi qui n'hésite pas à troller et à ironiser et à blaguer à tout bout de champ dès que quelqu'un dit quelque chose qui ne te plait pas dans les commentaires des articles de Next inpact. D'autant que le passage que tu cites est là pour faire la part des choses : tu cherches quoi ? à jeter un peu plus le trouble dans l'histoire ou tu ne comprends vraiment pas ce qui est écrit ?
Parfois je me demande si tu trolles ou si tu as vraiment pris la peine de comprendre avant de commenter…
L’énergie “propre” n’existe pas. Il n’y a pas à tortiller les choses dans tous les sens. Qu’on parle d’air, de sol, ici ou là-bas sur Terre, l’énergie produite par Engie ou Total ou EDF est sale. Pardon pour l’effet de com’ désastreux, mais même sans utiliser le terme “sale”, on n’a pas le droit d’utiliser le terme “propre” en parlant d’énergie (et d’industrie, si on généralise à l’ensemble des activités de production).
Tu te trompes : le problème est global et polymorphe. C’est trop facile d’isoler un problème en particulier pour mieux ignorer les autres impacts.
NB: je n’avais pas dit que j’arrêtais de te répondre ?… En tout cas, si tu as lu l’article ci-dessus, j’espère que tu en as retiré des choses.
Le
24/02/2020 à
21h
33
Le mot propre est prononcé dans la vidéo par M. le président de la région Au-R-A (pour ceux qui chercheraient le mot “propre” dans la description de la vidéo que j’ai retranscrite dans mon commentaire).
NB: projet porté par Engie et Michelin (d’après ce que j’ai compris), pour ceux que ça intéresse.
Le
24/02/2020 à
21h
19
C’est clair. Il est un élément de langage qu’il faudrait changer de toute urgence dans la com’ des conservateurs-conformistes : le qualificatif “propre” en parlant d’énergie.
*Dans les années 2000-début des années 2010, le diesel était "propre".
*Dans la campagne des Municipales 2020, j'entends ici ou là parler de l'énergie "propre" de l'électrique, voire de l'hydrogène. Exemple : « Environnement] Vendredi à Chambéry, [Laurent Wauquiez a lancé une nouvelle station hydrogène Zéro Emission Valley. Un objectif : améliorer la qualité de l'air dans les vallées. Une ambition : devenir le premier territoire à hydrogène en France. »
C’est vrai. J’ai presque l’impression que, depuis l’émergence des blogs et des “réseaux sociaux”, la presse mainstream a souhaité faire l’événement comme n’importe quel twittos en se donnant les mêmes prérogatives qu’un pilier de bar qui fait des brèves de comptoir. D’ailleurs, quand je vois les émissions d’infotainment ou de tables rondes dans lesquelles les invités font des commentaires politiques (des politologues, des éditorialistes, etc qui n’y vont pas avec le dos de la cuillère avec les idées absurdes et les expressions familières) :
j’ai le souvenir récent de Serge July qui utilise le mot “con” dans l’affaire Griveaux,
j’ai le souvenir plus lointain de Luc Ferry qui parle de tirer à balles réelles sur les Gilets jaunes,
dernièrement je suis sur Twitter la politologue Virginie Martin que j’ai aperçue dans une entrevue avec Thinkerview, mais qui fait de la douce polémique sur LCI et m’agace parfois sur Twitter avec des raisonnements qui poussent à la réaction stérile.
Tout ça pour faire la publication Facebook ou le Tweet que le community manager (ou l’algorithme, on ne sait plus exactement) va mettre en ligne pour accroître l’audience (on peut parler des méfaits du clicbait, mais ça va plus loin que ça).
« «Le Temps» face à l’appel du clic - Sur les réseaux sociaux, certains de nos titres sont accusés d’être des pièges à clics. La rédaction teste des formulations plus longues et détaillées en ligne »
Ok, je crois que nous sommes d’accord. Merci pour cette explication, ça aide à comprendre.
Le
25/02/2020 à
14h
32
Pour le coup, moi, je ne comprends pas bien cette expression “tribunaux du net”. Pour moi, l’erreur des médias mainstream, c’est surtout leur utilisation du “digital”, c’est leur course effrénée au buzz qui ferait l’actu, c’est la conception d’un tweet qui correspondrait à une information (alors qu’il ne s’agit que de marketing, ou pire à des brèves de comptoir).
NB: je fais référence notamment à ce passage de l'article ci-dessus : « Interrogée à ce sujet, Élisabeth Laborde expliqua à L'Express avoir préféré « le support digital pour être plus réactifs et mieux relayés. [...] » »
Le
25/02/2020 à
14h
02
Cet article me laisse mal à l’aise. Rien que l’affaire Cantat avec laquelle la presse s’est enfermé dans des polémiques (qui m’ont semblé stériles et violentes), j’en ai presque froid au dos. C’est d’ailleurs pour ça que je boycotte l’audiovisuel français, et surtout les chaînes d’info en continu, y compris FranceTVinfo (+ les chaînes de Radio France, touchées par ce que j’appellerais le syndrome des matinales).
De mon petit point de vue de lecteur, le monde de la presse devrait cesser de toute urgence de tenter de concurrencer les médias sociaux. Le CSA (ARcom) devrait interdire les chaînes d’infos en continu, ou les réguler sévèrement. La presse devrait se focaliser beaucoup plus sur le fond, sur la qualité éditoriale, sur les enquêtes. Les polémiques font vendre, mais ce n’est pas une forme journalistique valable… C’est ce qui fait que dans mon cas personnel (mais je pourrais parler des Gilets Jaunes ou d’autres qui honnissent la presse mainstream d’une façon particulière), je cherche des médias alternatifs (dits “indépendants”) qui sont de fait plus confidentiels, et je fuis littéralement l’actualité chaude qui buzz grâce à des polémiques ou à des clashs.
Quand je dis que “Aujourd’hui, j’ai l’habitude”, je tiens à préciser que j’ai pris l’habitude de bloquer des gens irrespectueux ou intolérant face à l’opinion ou à la situation d’autrui (on ne s’habitue jamais aux attaques répétées, même en tant que spectateur, on peut être victime de sidération).
Je bloque donc des comptes dès le 1er ou le 2d commentaire méprisant ou injurieux, car le problème du harcèlement ou de l’intimidation est que la victime cherche à interagir avec le troll qui se déguise en “M/Mme la Vertu” au départ, on se dit soi-même que son agressivité est seulement dû à un coup de Calgon qui se dissipera si on discute un peu (or, c’est un tort face à des internautes qui sont persuadés d’avoir raison et qui veulent démontrer par l’agressivité leur bon droit et leur croyance à leur vérité qui n’est que personnelle et souvent biaisée par l’ignorance du sujet).
Je n'avais tellement pas compris ce qui se passait que j'avais supprimé mon compte que j'avais ouvert depuis quelques mois (j'en ai ouvert un autre depuis 2016). Aujourd'hui, j'ai l'habitude : Guy Birenbaum en a écrit un livre (cf. un épisode du #14h42 si j'ai bonne mémoire), #metoo est passé par là, et divers clashs.
Vive les meuporg(MMORPG), les mème et à bas les bagarres générales de trolls contre un seul homme !! (où se situe la limite entre tout ça?)
Qu’on ait un pseudonyme public, qu’on communique à l’aide d’un ou plusieurs pseudonymes sur une ou plusieurs plateformes, ce n’est pas la question que je me posais (je parlais d’anonymat/authentification vis-à-vis des plateformes interopérables entre elles). Mais visiblement, je n’ai pas compris l’enjeu du problème soulevé dans l’article, donc je vais devoir me pencher un peu plus sur le sujet pour comprendre.
Le
24/02/2020 à
10h
09
Ce que dit Laurent Chemla me paraît “logique” à propos de l’authentification. J’ai du mal à comprendre la position de ceux qui souhaitent l’anonymat… Pour moi, l’interopérabilité, c’est la capacité d’un “opérateur” d’offrir à ses utilisateurs une communication avec un utilisateur d’une “instance”-tierce (d’un réseau-tiers).
Par hypothèse, si je souhaite discuter sur Whatsapp avec un utilisateur de la messagerie Threema, je me connecte à mon compte utilisateur Whatsapp et j’envoie un message à l’utilistateur du “réseau” (de la plateforme) Threema aussi facilement que s’il s’agissait d’un utilisateur Whatsapp : il faut bien que Threema me reconnaisse pour transmettre le flux issu de Whatsapp, non ? Les instances Mastodon doivent bien utiliser un système embryonnaire de ce genre pour transmettre les Pouets aux utilisateurs entre les instances, non ?
Autre hypothèse, Whatsapp ne me convient plus, je décide de transférer mon compte chez Signal : il faut bien une sorte de “RIO” (comme pour l’abonnement d’accès à internet) pour savoir qu’il s’agit bien de moi, non ?
Finalement, je commence peut-être à comprendre : la Quadrature du Net souhaite peut-être que l’utilisateur final garde la main sur la totalité de son interconnexion au service qu’il choisit. Alors que Laurent Chemla est sur une position plus pragmatique du fonctionnement en réseau en donnant le pouvoir au réseau de reconnaître les utilisateurs pour les aiguiller (ce qu’on appelle l’interopérabilité dans le monde des télécoms - cf. le fonctionnement de la 5G d’ailleurs qui va donner au réseau de distribution la capacité de collecter des données au plus près des antennes-relais pour limiter la latence).
Poursuivre “Les portraits de ceux qui ont fait l’internet en France” (en mettant toujours un peu de femmes dedans autant que possible puisqu’elles se font souvent trop discrètes),
un article à propos d’Exodus Privacy, d’Antonio Casilli, des travailleurs du clic, de l’effacement de la frontière vie privée/vie publique, …
expliquer des définitions comme “revenge porn”, effet Streisand, tracker/pisteur, …
poursuivre le sujet de la 5G… “internet tactile” quésaco ?
À titre personnel, j’ai du mal à comprendre cette vision manichéenne des choses (“gentils” vs “méchants”) de la part de gens se déclarant athées. En revanche, je comprends qu’un chrétien divise le monde en “bien” et en “mal”. Voilà quelque chose qu’il me faudra éclaircir un jour.
Pour ce qui est des entreprises qui seraient amorales et ne correspondraient qu'à des "moyens" ou des "machines" sans âme, je voudrais bien croire à cette loi naturelle toute aussi absolue que le manichéisme décrit au paragraphe précédent, mais malheureusement une entreprise (grosse ou petite) est bien plus qu'une machine : c'est une organisation humaine, dirigée et animée par des êtres humains qui font des choix (avec une inspiration loin d'être purement rationnelle).
C'est comme le caractère supposément neutre et amoral de la monnaie ("l'argent n'a pas d'odeur", la monnaie n'a pas d'effet sur l'économie) : si la monnaie n'avait pas de rôle actif sur les marchés économiques, sur le PIB, les banques centrales actuelles n'auraient pas besoin de livrer des liquidités ou de jouer sur les taux d'intérêts pour pérenniser notre système productif et les situations d'inflation ou de déflation n'existeraient pas.
À titre personnel, je crois plutôt à la moralité des entreprises, à la culture d'entreprise qui crée de la valeur pas uniquement financière, mais aussi de la valeur culturelle, de l'engagement humain (un être humain est un être social ou grégaire, il ne peut pas vivre dans un environnement aseptisé, isolé et quantifié).
Le
23/02/2020 à
13h
09
Visiblement, dans l’imaginaire de carbier, le cac40 fait partie des “gentils”…
parce que quand on aime se croire appartenir à l’élite des plus riche, on se rassure en soutenant les intérêts de la main qui nous nourri. Ignorer XR va cependant devenir de plus en plus difficile (devenir plus agressif le rendra surtout aigri en plus de prétentieux).
Le
22/02/2020 à
15h
29
… Alors que, en plus, chacun sait que XR ne se fait pas assaisonner à coups de baguette magique, mais reçoit de la poussière d’étoile dans les yeux, les narines et la gorge. Laissons le Cnrs en dehors de ces élucubrations climato-policières !
Je ne sais pas si c’est de la diffamation (ça relève peut-être plus de l’injure, puisque les faits décrits dans ton commentaire ne sont pas forcément vérifiables), mais en effet, tu auras pu t’épargner de mélanger ta détestation de Reporterre et ton avis sur les sujets que tu évoques dans ce commentaire. Ce qui peut “sauver” ton commentaire, c’est qu’on a compris que tu n’étais pas dans le même camp que Reporterre : ça peut passer pour du militantisme de ta part (en miroir avec celui du journal Reporterre).
Le “Big Red”, c’est comme le “Big Mac” : une photo à donner envie à un gourmet… et un produit tout mou dans la main, digne d’un plateau repas à l’hôpital (encore qu’à l’hôpital les repas ont passé le nutriscore).
Le
19/02/2020 à
15h
26
C’est la faute aux réseaux sociaux. C’est la faute à la presse qui interprète notre message pur, sans ambiguïté et sans maladresse.
De ce que j’ai compris, PeerTube, Mastodon, Fediverse (je me perds dans les appellations des technologies) n’ont pas vocation à concurrencer les plateformes centralisées.
* Youtube, Twitter sont des "médias sociaux",
* alors que PeerTube est un moyen de publication de contenus dont le réseautage n'est nullement centralisé et instrumentalisé pour faire de l'audience (et donc générer des revenus publicitaires).
PeerTube ressemble plus au système du mail : des serveurs qui savent communiquer ensemble pour apporter un service. Un outil, non un média.
C’est quoi cette question exclusive ? L’une n’empêche pas l’autre. Les mensonges, il n’y a que ça dans une campagne électorale.
Pourquoi attaquer un homme qui est déjà victime ? Voilà la bonne question à se poser à la base. La vie privée
Le
18/02/2020 à
01h
46
Tu veux vraiment que je t’attaque personnellement pour faire la différence avec mes précédents commentaires ?
Tu juges un homme public et moi je n’aurais pas le droit de juger tes commentaires ? Si je te jugeais vraiment avec ma morale personnelle, je dirais que tu es un jeune pubère qui ne connait rien de la vie et qui raconte n’importe quoi. Là je t’attaque personnellement.
Si t’as rien d’autre à foutre que de m’emmerder avec tes préjugés à la con je vais aller me coucher et te laisser discuter avec toi-même. Visiblement tu as un égo de puceau de la vie (encore une attaque personnelle).
Fait l’autruche toi-même ducon (ça te va comme attaque ? ou je t’insulte un peu trop ?)
Le
18/02/2020 à
01h
34
Est-ce l’infotainment qui efface toute capacité d’analyse de la situation ? Est-ce que l’économie de l’attention empêche les gens de prendre le temps de réfléchir avant de porter une réflexion ou une indignation ? J’ai tendance à penser que la vie privée n’a plus aucune importance avec les réseaux sociaux, la vidéosurveillance, etc. Et quand je pense que la France s’apprête à légiférer sur la reconnaissance faciale, j’ai carrément peur.
Je ne comprends pas qu’on en soit arrivé là en France, alors que la vie privée avait l’air d’être sacrée (on nous fait même remplir un formulaire de droit à l’image quand une association ou une école veut publier des photos ou des vidéos d’un événement). C’est l’état de sidération pour ce qui me concerne quand j’y pense. Il a fallu qu’un homme politique soit victime d’un revenge porn pour que je me rende compte que la vie privée ne pèse plus rien par rapport à des enjeux politiques. Ou alors c’est carrément la guerre entre les élites et le peuple, je sais pas…
Le
18/02/2020 à
01h
19
Tout de même, tenter de savoir si le président avait pénétré la stagiaire avec un cigare ou avec autre chose, coimbien de fois, dans quelles pièces de la Maison blanche… Tout ça pour prouver qu’il y avait parjure…
Résultat : la procédure a été abandonnée. C'était bien la peine d'aller dans le détail. Le but ultime était quand même bien de salir la réputation d'un homme (c'est ça, le grotesque de l'histoire). Je ne sais pas si les médias français en ont fait des caisses, en tout cas c'est un moment de l'histoire US dont personne n'est fier là-bas, notamment personne ne peut être fier de l'humiliation de plusieurs personnes pour rien.
NB: Franchement, j'ai du mal à comprendre pourquoi tout le monde préfère s'offusquer des pratiques sexuelles des uns ou du puritanisme des autres, alors que la morale devrait unanimement condamner l'humiliation et le cyberharcèlement. Je ne comprends pas.
Le
18/02/2020 à
01h
09
wannted… ben, t’inquiète pas, même avec un pseudo pareil, je ne vais pas te chercher longtemps.
Le
18/02/2020 à
01h
03
D’accord. Je ne me suis pas trompé. J’avais peur d’avoir mal interprété ton commentaire. Finalement tu confirme ma 1ère impression. T’en a rien à foutre de ce qui s’est passé, tu juges simplement un homme par rapport à ta petite vie.
Tu as le droit d’avoir un avis. Je ne faisais que donner le mien en retour. Mais visiblement discuter n’est pas ce qui t’intéresse ici. Ciao, je te filtre maintenant, j’aurais plus à lire ton avis.
NB: essaie de regarder moins souvent la TV, tu feras sûrement des commentaires plus sympathiques (carbier, si tu lis ce commentaire, ça peut te servir aussi)
Le
17/02/2020 à
22h
32
En tout cas, merci pour le lien youtube. Au moins ça, c’est drôle et rafraichissant en ces temps où l’infotainment salit l’info (la vraie).
Le
17/02/2020 à
22h
26
Justement si, tout le monde ne parle que de ça, et toi tu te fais malheureusement le perroquet de cette vindicte populaire, de cette pseudo immoralité dont tu l’accables.
Le
17/02/2020 à
22h
17
En 1969, Claude Pompidou a été inquiétée par une affaire de libertinage avec la publication de photos-montages. Elle, c’est pire que B.Griveaux, car elle n’avait rien fait. C’était pour nuire à une éventuelle candidature de son mari Georges à la présidentielle. Heureusement pour eux, De Gaulle a démissionné et la presse est passée à autre chose et G.Pompidou a réussi à se faire élire.
G.Pompidou a, par la suite, fait voté une loi de protection de la vie privée, ce qui a fait de la France un pays où la presse ne pouvait plus dire n'importe quoi sur les personnes médiatiques. C'est un peu pour ça que Lady Di passait son temps à Paris dans les années 1990.
J'ai l'impression qu'aujourd'hui, les réseaux sociaux ont totalement débridé la presse française. Seuls les sujets qui "buzz" ont de l'importance à la TV. L'info va de plus en plus vite. Personne ne réfléchit en terme d'info d'intérêt publique mais plutôt en terme d'intérêts personnels tout court. Et c'est pas le CSA (ARcom) ou la récente loi sur les fakenews qui change quelque chose.
La France a mainteant la TV d’infotainment de Berlusconi ou des USA.
Le
17/02/2020 à
21h
53
oui, l’objet de l’empeachment était le mensonge sous serment de Bill Clinton à propos de ses pratiques sexuelles dans le Bureau ovale. Mais ce qui a fait rire en France, c’est la réaction des conservateurs du Sénat qui ont fustigé les moeurs “libérales” (au sens anglo-saxon) du démocrate Clinton. Les Républicains se sont quand même arcboutés sur ce mensonge en obligeant Clinton à avouer en public, dans les moindres détails, ses pratiques sexuelles, ce qui était grotesque vu de France et surtout ce qui est scandaleux : l’humiliation inutile de la famille Clinton et d’une stagiaire.
Personnellement, je rejoins l'impression de deathscythe0666 : B.Griveaux n'a rien fait de mal (à part politiquement si on ne le soutient pas), c'est une victime à qui on fait payer le cyberharcèlement qu'il a subit.
"L'ancienne stagiaire de la Maison Blanche estime avoir été en 1998 «non
seulement la personne la plus humiliée au monde», mais «sans doute la
première personne dont l'humiliation mondiale a été propagée par
internet»."
Le
17/02/2020 à
17h
04
Mais à force de répondre sur Twitter et sur Next inpact à des gens qui placent le débat sur le plan de l’action politique (la campagne des municipales et de la médiatisation d’un candidat), je me dis que finalement, la vie privée n’existe plus (la vidéosurveillance, la loi Renseignement, l’état d’urgence permanent, les pisteurs des applications mobile, la justification du revenge porn sur une personne médiatisée, les incantations des éditorialistes contre “l’anonymat” des réseaux sociaux, etc). Et j’en prends acte bien que ça me rende malheureux.
Le
17/02/2020 à
16h
59
Oui il faut être prudent. Mais le problème, c’est toujours le même discours de prudence qu’on sert aux victimes de cyberharcèlement : si ça t’arrive, c’est que tu l’as bien cherché, c’est que tu n’as pas été assez prudent. Or, ça s’apparente à renverser la charge de la culpabilité. Une victime de revenge porn, n’a pas à être accusée d’imprudence car rien ne justifie l’atteinte à l’intimité. C’est la base.
Après avoir dit cela, oui, une équipe de campagne, un avocat peut suggérer de choisir un candidat qui ressemble à un ascète parce qu’il ne froissera la pudeur de personne, mais en aucun cas cela évitera les attaques et les embûches. C’est de l’utopie de le penser. La peur (la prudence) n’empêche pas le danger.
Le
17/02/2020 à
16h
47
OK, je vais arrêter là, tu prends tout ce que je dis ad hominem. J’insiste quand même une dernière fois (on verra si la discussion t’intéresse un peu ou si tu continues sur la même lancée) :
1- "un jour tu comprendras", ça sert à répondre à ton "Y'a un triptyque qui pose problème dans ton message"
>> donc je ne sais pas où tu vois un sentiment de supériorité de ma part, je m'adapte seulement à ta façon d'exprimer les choses, c'est tout.
2- la "carrière", c'est simplement ta carrière professionnelle mise en rapport avec la carrière professionnelle de B.Griveaux.
>> mais comme déjà dit, tu ne comprends pas le "tryptique" relations sociales, confiance et politique, donc rien d'étonnant à ce que tu ne saisisses pas mon "petit laïus".
3- "J'aimerais pas être dans ton cerveau si tu te méfies de tout le monde à chaque instant." c'est une mise en situation (une hypothèse de départ) car ton commentaire suggère qu'il faut qu'une personne surveille tout de sa vie intime, voire se bride dans ses fantasmes et son imaginaire sexuel parce qu'il faudrait se méfier de ses adversaires politiques.
>> donc, non, je ne te traite pas de "parano".
Si tu veux que je te traite absolument, je te traiterais alors de moraliste. Car on a le droit de faire ce qu'on veut de sa vie intime quand bien même on a des adversaires ou des concurrents dans son milieu professionnel. Si quelqu'un fait du cyberharcèlement ou de l'outing, c'est lui le coupable. Et celui qui envoie du porno à sa copine ou à sa maitresse, c'est une victime parce qu'il n'a pas demandé à ce qu'on publie ses photos intimes (et même si c'est un abruti fini ou un hypocrite, même si c'est un candidat à la mairie de Paris).
1298 commentaires
C’est la journée mondiale sans Facebook
28/02/2020
Le 28/02/2020 à 10h 53
Depuis quelques mois, on parle aussi beaucoup de cyberharcèlement, de revenge porn et de tribunaux du net et de la presse. Moi, si ça continue je vais rapidement supprimer mes participations de micro-tâcheron au web social. Les gens s’énervent vraiment de manière excessive en osant dénoncer n’importe quoi, sans peur du ridicule.
La fabrique d’un « bourreau » idéal 4/4 : « le fusible »
25/02/2020
Le 28/02/2020 à 00h 31
Je ne remettrais pas en cause ton ressenti (moi-même, il y a des inquiétudes qui m’ont traversé à la lecture de ces 4 articles). Il y a seulement une chose qui m’étonne dans ton commentaire : l’auteur de l’article fait une déclaration d’intérêt en fin d’article et au lieu de féliciter cette déontologie, tu trouves le moyen de reprocher le fait que cette déclaration se situe en fin de dossier ? C’est caché selon toi ? #WTF
En même temps, je suis habitué à lire des commentaires qui fustigent le titre des articles sans avoir lu l’article lui-même… Toi, tu as eu au moins l’honnêteté et la décence de lire les articles pour faire cette remarque. C’est déjà ça.
Le 27/02/2020 à 21h 10
C’est balot d’avoir raté une mise à jour d’article… (cherche un peu, ça te fera du bien)
Le 27/02/2020 à 21h 09
Le 27/02/2020 à 18h 13
…
Le 27/02/2020 à 17h 18
As-tu regardé les références en liens dans les 4 articles ? As-tu bien lu l’ensemble de chaque article ?… J’ai l’impression de lire le commentaire d’un avocat… sauf qu’il n’y a pas de procès en jeu.
C’est un simple article de fact-checking. Moi-même, je n’aime pas ce genre d’exercice journalistique car c’est très limité : le journaliste se limite à répertorier des faits et à démontrer si c’est vrai ou faut.
Et la preuve que le fact-checking est risqué, car quelqu’un (toi en l’occurrence) vient tirer des plans sur la comète comme si on accusait des gens (tu as zappé les passages qui parlent de Florence Porcel ou encore de l’émission Arrêt sur images de février 2019).
C’est pas parce que tu as des doutes que tu as le droit de dire qu’il s’agit d’une tribune. Oui, tu n’as pas compris ce que tu as lu, je te le confirme. Tu es ridicule à comparer ça à une tribune. Tu as le droit de le dire mais dans ce cas, j’ai le droit de te répondre une 2de fois qu’une tribune correspond à autre chose. Ici, c’est une vérification de faits (fact-checking). C’est pas exhaustif, ce sont des faits. Tu peux contester ce fact-checking autant que tu veux mais face à un journaliste comme J-M.Manach, ce ne sont pas des commentaires écrits en 15 minutes maxi qui vont lui donner tort.
Le 27/02/2020 à 11h 25
Le 27/02/2020 à 10h 10
Vu comme ça, je suis d’accord. Mais, il ne faut pas exagérer… Tu dirais presque que tu lis l’ensemble des commentaires publiés sur Next inpact parce que tu respectes tout le monde et que tu n’as pas peur d’un avis contraire.
Si j’ai besoin d’une information, ce n’est pas le fait de m’abonner ou non au compte Twitter de @Glagla06 qui va changer ma situation (c’est pareil pour le filtrage de Glagla06 dans les commentaires de Next inpact). Chacun s’organise comme il veut. Moi, je ne suis pas là pour “scroller” (faire défiler) les commentaires parce qu’un INpactien a décidé d’imposer son point de vue sur le nucléaire ou sur le glyphosate, donc je le filtre. Je peux enfin lire les 3 ou 4 commentaires de gavroche69 (que je filtre à l’occasion d’ailleurs). Si j’ai besoin de me faire un avis sur le monde, je lis la presse ou j’achète des livres à l’occasion (ou plus souvent, je vais à la médiathèque).
[Spoiler] je lis des articles de Next inpact qui m’agacent comme par exemple le fact-checking de J-M.Manach. Le fact-checking m’agace en général parce que cet exercice journalistique me semble trop limité si on ne va pas plus loin que la vérification de faits déjà énoncés. Mais le fact-checking est très tendance de nos jours.[Spoiler]
Ce n’est pas de l’intolérance que de filtrer ou de bloquer (sur Twitter) les comptes. C’est assainir le fil de commentaire, c’est aller plus rapidement vers les bons interlocuteurs. Cela-dit, je t’avoue que même en filtrant ou en bloquant des comptes, je zappe de plus en plus l’espace commentaire de Next inpact (comme la plupart des INpactiens, et ils ont bien raisons).
Le 26/02/2020 à 23h 11
Le 26/02/2020 à 20h 37
Ce serait une tribune, qu’est-ce qui te chagrinerait dans ce cas ? Qu’on donne la parole à une personne mise en cause ? Franchement, je vois où tu veux en venir, mais dans ce cas, c’est toi qui prend partie (au moins autant que ce que tu suspectes de la part de Next inpact). C’est ton droit… et justement, ce n’est pas ce désaccord qui justifie que tu assimiles un fact-checking avec une interview ou une tribune. Et surtout il n’y a rien de mal à publier de vraies informations (la vérité est plurielle, elle émerge de la confrontation de points de vues et de recoupement de sources).
Le 26/02/2020 à 20h 22
OK, tu as des doutes. Moi, aussi j’ai des doutes. Prenons l’hypothèse qu’il y a une synchronisation entre D.Doucet, Next inpact, et peut-être d’autres protagonistes. Qu’est-ce que ça change ? Un journal n’aurait-il pas le droit de choisir le moment d’une publication ? Ce serait nouveau. La presse est (encore) plus ou moins libre en France… et qu’est-ce que ça change ?
Pour la dernière question, c’est une question spéciale “carbier” (tu l’as nommé dans ton commentaire). Celui-ci reproche régulièrement le manque d’exhaustivité aux articles (comme si c’était un enjeux de probité) alors que lui-même ne critique les articles que sur des points de détail en oubliant la globalité de l’article, l’intention de l’auteur et le contexte du sujet.
Le 26/02/2020 à 19h 52
Franchement, on n’a pas lu la même série d’articles car notamment ce dernière article (4⁄4) tente de démontrer que des employés ont été licenciés injustement sur des rumeurs (d’où le titre « le fusible »).
Mais, tu as parfaitement le droit de vouloir une condamnation morale plus franche. Si tu veux militer contre l’élite des journalistes ou contre le microcosme “médiatico-politico-culturelle parisien”, c’est OK (l’article 3⁄4 « les ragots » traite déjà de ce qu’a fait la direction des Inrocks pour se refaire une virginité médiatique après sa couverture malencontreuse sur B.Cantat, c’est déjà un début). Personnellement, j’aurais aussi des choses à dire, mais là, en tant que lecteur de ces 4 articles, je ne comprends pas ton commentaire sur cette série d’articles (même si je partage en partie ta perplexité face à ces 4 articles). Surtout j’ai l’impression que tu as zappé tous les passages qui parlent notamment de la direction des Inrocks (2⁄4 et 3⁄4), de Florence Porcel (1⁄4).
Le 25/02/2020 à 22h 45
Je ne crois que les gens aient perdu leur esprit critique. Les gens s’expriment simplement sur l’instant et parlent trop souvent sans conscience de leur ignorance du sujet dont ils parlent. C’est la nature humaine, le seul soucis c’est le marketing qui remplace la qualité éditoriale d’un journal (qu’un journaliste dise que la Terre est plate, on n’est pas obligé de le croire, et on ne le croira pas si on prend le temps de la réflexion). Le problème est bien la piètre qualité des médias mainstream “traditionnels”, pas les informations qui peuvent être jugées comme douteuses de médias plus confidentiels.
NB: quand je dis “les gens”, je parle autant du pilier de bar qui a fini sa journée de travail que du politologue ou du statisticien qui participe à une émission d’infotainment sur le sujet “affaire Griveaux : faut-il réguler l’anonymat sur les réseaux sociaux?”.
Twitter
Le 25/02/2020 à 22h 24
Je crois que carbier est parfaitement conscient de tout ce que tu lui racontes dans ton commentaire (à part le fait qu’il se rend légèrement ridicule en faisant semblant de ne pas avoir compris la trame de l’article). Le tout est de savoir pourquoi il fait ça. Or, il n’y a que lui qui pourrait nous le dire…
Il m’est avis qu’il tournera encore longtemps autour du pot, s’il n’est pas passé à une autre actualité entre temps (l’agressivité se choisit les supports les plus accessibles au moment où elle apparaît, c’est un peu comme le courant électrique en physique).
Le 25/02/2020 à 21h 00
Écologie : pour Gaël Giraud (CNRS), « entre les banques et la planète, il faut choisir »
24/02/2020
Le 25/02/2020 à 15h 38
L’énergie “propre” n’existe pas. Il n’y a pas à tortiller les choses dans tous les sens. Qu’on parle d’air, de sol, ici ou là-bas sur Terre, l’énergie produite par Engie ou Total ou EDF est sale. Pardon pour l’effet de com’ désastreux, mais même sans utiliser le terme “sale”, on n’a pas le droit d’utiliser le terme “propre” en parlant d’énergie (et d’industrie, si on généralise à l’ensemble des activités de production).
Tu te trompes : le problème est global et polymorphe. C’est trop facile d’isoler un problème en particulier pour mieux ignorer les autres impacts.
NB: je n’avais pas dit que j’arrêtais de te répondre ?… En tout cas, si tu as lu l’article ci-dessus, j’espère que tu en as retiré des choses.
Le 24/02/2020 à 21h 33
Le mot propre est prononcé dans la vidéo par M. le président de la région Au-R-A (pour ceux qui chercheraient le mot “propre” dans la description de la vidéo que j’ai retranscrite dans mon commentaire).
NB: projet porté par Engie et Michelin (d’après ce que j’ai compris), pour ceux que ça intéresse.
Le 24/02/2020 à 21h 19
C’est clair. Il est un élément de langage qu’il faudrait changer de toute urgence dans la com’ des conservateurs-conformistes : le qualificatif “propre” en parlant d’énergie.
Cash impact - Diesel : les constructeurs nous enfument-ils ? (Intégrale)
Le 24/02/2020 à 17h 44
Merci Next inpact pour cet article avec Gaël Giraud (banquier en son temps).
« Gaël Giraud. Un expert du sujet qui, en plus de codiriger la chaire «
Énergie et prospérité » soutenue par l’École Normale Supérieure, était
chef économiste de l’Agence française de développement et membre du
comité d’experts sur la transition énergétique auprès du gouvernement. »
La fabrique d’un « bourreau » idéal 2/4 : « la chute »
25/02/2020
Le 25/02/2020 à 15h 16
C’est vrai. J’ai presque l’impression que, depuis l’émergence des blogs et des “réseaux sociaux”, la presse mainstream a souhaité faire l’événement comme n’importe quel twittos en se donnant les mêmes prérogatives qu’un pilier de bar qui fait des brèves de comptoir. D’ailleurs, quand je vois les émissions d’infotainment ou de tables rondes dans lesquelles les invités font des commentaires politiques (des politologues, des éditorialistes, etc qui n’y vont pas avec le dos de la cuillère avec les idées absurdes et les expressions familières) :
Tout ça pour faire la publication Facebook ou le Tweet que le community manager (ou l’algorithme, on ne sait plus exactement) va mettre en ligne pour accroître l’audience (on peut parler des méfaits du clicbait, mais ça va plus loin que ça).
« «Le Temps» face à l’appel du clic - Sur les réseaux sociaux, certains de nos titres sont accusés d’être des pièges à clics. La rédaction teste des formulations plus longues et détaillées en ligne »
https://www.letemps.ch/societe/temps-face-lappel-clic
Le 25/02/2020 à 14h 57
Ok, je crois que nous sommes d’accord. Merci pour cette explication, ça aide à comprendre.
Le 25/02/2020 à 14h 32
Pour le coup, moi, je ne comprends pas bien cette expression “tribunaux du net”. Pour moi, l’erreur des médias mainstream, c’est surtout leur utilisation du “digital”, c’est leur course effrénée au buzz qui ferait l’actu, c’est la conception d’un tweet qui correspondrait à une information (alors qu’il ne s’agit que de marketing, ou pire à des brèves de comptoir).
Le 25/02/2020 à 14h 02
Cet article me laisse mal à l’aise. Rien que l’affaire Cantat avec laquelle la presse s’est enfermé dans des polémiques (qui m’ont semblé stériles et violentes), j’en ai presque froid au dos. C’est d’ailleurs pour ça que je boycotte l’audiovisuel français, et surtout les chaînes d’info en continu, y compris FranceTVinfo (+ les chaînes de Radio France, touchées par ce que j’appellerais le syndrome des matinales).
De mon petit point de vue de lecteur, le monde de la presse devrait cesser de toute urgence de tenter de concurrencer les médias sociaux. Le CSA (ARcom) devrait interdire les chaînes d’infos en continu, ou les réguler sévèrement. La presse devrait se focaliser beaucoup plus sur le fond, sur la qualité éditoriale, sur les enquêtes. Les polémiques font vendre, mais ce n’est pas une forme journalistique valable… C’est ce qui fait que dans mon cas personnel (mais je pourrais parler des Gilets Jaunes ou d’autres qui honnissent la presse mainstream d’une façon particulière), je cherche des médias alternatifs (dits “indépendants”) qui sont de fait plus confidentiels, et je fuis littéralement l’actualité chaude qui buzz grâce à des polémiques ou à des clashs.
La fabrique d’un « bourreau » idéal 1/4 : « à charge »
25/02/2020
Le 25/02/2020 à 12h 47
Quand je dis que “Aujourd’hui, j’ai l’habitude”, je tiens à préciser que j’ai pris l’habitude de bloquer des gens irrespectueux ou intolérant face à l’opinion ou à la situation d’autrui (on ne s’habitue jamais aux attaques répétées, même en tant que spectateur, on peut être victime de sidération).
Je bloque donc des comptes dès le 1er ou le 2d commentaire méprisant ou injurieux, car le problème du harcèlement ou de l’intimidation est que la victime cherche à interagir avec le troll qui se déguise en “M/Mme la Vertu” au départ, on se dit soi-même que son agressivité est seulement dû à un coup de Calgon qui se dissipera si on discute un peu (or, c’est un tort face à des internautes qui sont persuadés d’avoir raison et qui veulent démontrer par l’agressivité leur bon droit et leur croyance à leur vérité qui n’est que personnelle et souvent biaisée par l’ignorance du sujet).
Le 25/02/2020 à 12h 25
Au début des années 2010, j’avais été choqué par le raid contre Laure Manaudou… à cause d’un malheureux tweet. https://www.ozap.com/actu/critiquee-et-insultee-laure-manaudou-quitte-twitter/43…
Bruce Schneier, Laurent Chemla et l’intéropérabilité
24/02/2020
Le 24/02/2020 à 22h 35
Qu’on ait un pseudonyme public, qu’on communique à l’aide d’un ou plusieurs pseudonymes sur une ou plusieurs plateformes, ce n’est pas la question que je me posais (je parlais d’anonymat/authentification vis-à-vis des plateformes interopérables entre elles). Mais visiblement, je n’ai pas compris l’enjeu du problème soulevé dans l’article, donc je vais devoir me pencher un peu plus sur le sujet pour comprendre.
Le 24/02/2020 à 10h 09
Ce que dit Laurent Chemla me paraît “logique” à propos de l’authentification. J’ai du mal à comprendre la position de ceux qui souhaitent l’anonymat… Pour moi, l’interopérabilité, c’est la capacité d’un “opérateur” d’offrir à ses utilisateurs une communication avec un utilisateur d’une “instance”-tierce (d’un réseau-tiers).
Par hypothèse, si je souhaite discuter sur Whatsapp avec un utilisateur de la messagerie Threema, je me connecte à mon compte utilisateur Whatsapp et j’envoie un message à l’utilistateur du “réseau” (de la plateforme) Threema aussi facilement que s’il s’agissait d’un utilisateur Whatsapp : il faut bien que Threema me reconnaisse pour transmettre le flux issu de Whatsapp, non ? Les instances Mastodon doivent bien utiliser un système embryonnaire de ce genre pour transmettre les Pouets aux utilisateurs entre les instances, non ?
Autre hypothèse, Whatsapp ne me convient plus, je décide de transférer mon compte chez Signal : il faut bien une sorte de “RIO” (comme pour l’abonnement d’accès à internet) pour savoir qu’il s’agit bien de moi, non ?
Finalement, je commence peut-être à comprendre : la Quadrature du Net souhaite peut-être que l’utilisateur final garde la main sur la totalité de son interconnexion au service qu’il choisit. Alors que Laurent Chemla est sur une position plus pragmatique du fonctionnement en réseau en donnant le pouvoir au réseau de reconnaître les utilisateurs pour les aiguiller (ce qu’on appelle l’interopérabilité dans le monde des télécoms - cf. le fonctionnement de la 5G d’ailleurs qui va donner au réseau de distribution la capacité de collecter des données au plus près des antennes-relais pour limiter la latence).
Next INpact, le magazine : qu’aimeriez-vous lire dans nos prochains numéros ?
24/02/2020
Le 24/02/2020 à 22h 05
#Flock dit stop au copier-coller
22/02/2020
Le 23/02/2020 à 16h 26
À titre personnel, j’ai du mal à comprendre cette vision manichéenne des choses (“gentils” vs “méchants”) de la part de gens se déclarant athées. En revanche, je comprends qu’un chrétien divise le monde en “bien” et en “mal”. Voilà quelque chose qu’il me faudra éclaircir un jour.
Le 23/02/2020 à 13h 09
Visiblement, dans l’imaginaire de carbier, le cac40 fait partie des “gentils”…
parce que quand on aime se croire appartenir à l’élite des plus riche, on se rassure en soutenant les intérêts de la main qui nous nourri. Ignorer XR va cependant devenir de plus en plus difficile (devenir plus agressif le rendra surtout aigri en plus de prétentieux).
Le 22/02/2020 à 15h 29
… Alors que, en plus, chacun sait que XR ne se fait pas assaisonner à coups de baguette magique, mais reçoit de la poussière d’étoile dans les yeux, les narines et la gorge. Laissons le Cnrs en dehors de ces élucubrations climato-policières !
[ironie]
Attentats : comment l’Allemagne veut aiguiser sa loi contre la haine en ligne
21/02/2020
Le 22/02/2020 à 08h 14
Une longue expérience en import-export pour dire ça, on le sent bien.
Android 11 disponible en « Developer Preview », notre analyse des nombreuses nouveautés
20/02/2020
Le 20/02/2020 à 10h 47
…
Le renseignement au service de la lutte contre l’agribashing
19/02/2020
Le 19/02/2020 à 23h 12
Je ne sais pas si c’est de la diffamation (ça relève peut-être plus de l’injure, puisque les faits décrits dans ton commentaire ne sont pas forcément vérifiables), mais en effet, tu auras pu t’épargner de mélanger ta détestation de Reporterre et ton avis sur les sujets que tu évoques dans ce commentaire. Ce qui peut “sauver” ton commentaire, c’est qu’on a compris que tu n’étais pas dans le même camp que Reporterre : ça peut passer pour du militantisme de ta part (en miroir avec celui du journal Reporterre).
>> Service Public
Téléphonie mobile : que valent les forfaits avec 100 Go de 4G à moins de 15 euros par mois ?
19/02/2020
Le 19/02/2020 à 16h 45
Le “Big Red”, c’est comme le “Big Mac” : une photo à donner envie à un gourmet… et un produit tout mou dans la main, digne d’un plateau repas à l’hôpital (encore qu’à l’hôpital les repas ont passé le nutriscore).
Le 19/02/2020 à 15h 26
C’est la faute aux réseaux sociaux. C’est la faute à la presse qui interprète notre message pur, sans ambiguïté et sans maladresse.
PeerTube 2.1 est disponible, avec vidéos « internes »
18/02/2020
Le 18/02/2020 à 14h 34
De ce que j’ai compris, PeerTube, Mastodon, Fediverse (je me perds dans les appellations des technologies) n’ont pas vocation à concurrencer les plateformes centralisées.
PeerTube ressemble plus au système du mail : des serveurs qui savent communiquer ensemble pour apporter un service. Un outil, non un média.
Affaire Griveaux : le mauvais débat sur l’anonymat
17/02/2020
Le 18/02/2020 à 01h 53
C’est quoi cette question exclusive ? L’une n’empêche pas l’autre. Les mensonges, il n’y a que ça dans une campagne électorale.
Pourquoi attaquer un homme qui est déjà victime ? Voilà la bonne question à se poser à la base. La vie privée
Le 18/02/2020 à 01h 46
Tu veux vraiment que je t’attaque personnellement pour faire la différence avec mes précédents commentaires ?
Tu juges un homme public et moi je n’aurais pas le droit de juger tes commentaires ? Si je te jugeais vraiment avec ma morale personnelle, je dirais que tu es un jeune pubère qui ne connait rien de la vie et qui raconte n’importe quoi. Là je t’attaque personnellement.
Si t’as rien d’autre à foutre que de m’emmerder avec tes préjugés à la con je vais aller me coucher et te laisser discuter avec toi-même. Visiblement tu as un égo de puceau de la vie (encore une attaque personnelle).
Fait l’autruche toi-même ducon (ça te va comme attaque ? ou je t’insulte un peu trop ?)
Le 18/02/2020 à 01h 34
Est-ce l’infotainment qui efface toute capacité d’analyse de la situation ? Est-ce que l’économie de l’attention empêche les gens de prendre le temps de réfléchir avant de porter une réflexion ou une indignation ? J’ai tendance à penser que la vie privée n’a plus aucune importance avec les réseaux sociaux, la vidéosurveillance, etc. Et quand je pense que la France s’apprête à légiférer sur la reconnaissance faciale, j’ai carrément peur.
Je ne comprends pas qu’on en soit arrivé là en France, alors que la vie privée avait l’air d’être sacrée (on nous fait même remplir un formulaire de droit à l’image quand une association ou une école veut publier des photos ou des vidéos d’un événement). C’est l’état de sidération pour ce qui me concerne quand j’y pense. Il a fallu qu’un homme politique soit victime d’un revenge porn pour que je me rende compte que la vie privée ne pèse plus rien par rapport à des enjeux politiques. Ou alors c’est carrément la guerre entre les élites et le peuple, je sais pas…
Le 18/02/2020 à 01h 19
Tout de même, tenter de savoir si le président avait pénétré la stagiaire avec un cigare ou avec autre chose, coimbien de fois, dans quelles pièces de la Maison blanche… Tout ça pour prouver qu’il y avait parjure…
Le 18/02/2020 à 01h 09
wannted… ben, t’inquiète pas, même avec un pseudo pareil, je ne vais pas te chercher longtemps.
Le 18/02/2020 à 01h 03
D’accord. Je ne me suis pas trompé. J’avais peur d’avoir mal interprété ton commentaire. Finalement tu confirme ma 1ère impression. T’en a rien à foutre de ce qui s’est passé, tu juges simplement un homme par rapport à ta petite vie.
Tu as le droit d’avoir un avis. Je ne faisais que donner le mien en retour. Mais visiblement discuter n’est pas ce qui t’intéresse ici. Ciao, je te filtre maintenant, j’aurais plus à lire ton avis.
NB: essaie de regarder moins souvent la TV, tu feras sûrement des commentaires plus sympathiques (carbier, si tu lis ce commentaire, ça peut te servir aussi)
Le 17/02/2020 à 22h 32
En tout cas, merci pour le lien youtube. Au moins ça, c’est drôle et rafraichissant en ces temps où l’infotainment salit l’info (la vraie).
Le 17/02/2020 à 22h 26
Justement si, tout le monde ne parle que de ça, et toi tu te fais malheureusement le perroquet de cette vindicte populaire, de cette pseudo immoralité dont tu l’accables.
Le 17/02/2020 à 22h 17
En 1969, Claude Pompidou a été inquiétée par une affaire de libertinage avec la publication de photos-montages. Elle, c’est pire que B.Griveaux, car elle n’avait rien fait. C’était pour nuire à une éventuelle candidature de son mari Georges à la présidentielle. Heureusement pour eux, De Gaulle a démissionné et la presse est passée à autre chose et G.Pompidou a réussi à se faire élire.
La France a mainteant la TV d’infotainment de Berlusconi ou des USA.
Le 17/02/2020 à 21h 53
oui, l’objet de l’empeachment était le mensonge sous serment de Bill Clinton à propos de ses pratiques sexuelles dans le Bureau ovale. Mais ce qui a fait rire en France, c’est la réaction des conservateurs du Sénat qui ont fustigé les moeurs “libérales” (au sens anglo-saxon) du démocrate Clinton. Les Républicains se sont quand même arcboutés sur ce mensonge en obligeant Clinton à avouer en public, dans les moindres détails, ses pratiques sexuelles, ce qui était grotesque vu de France et surtout ce qui est scandaleux : l’humiliation inutile de la famille Clinton et d’une stagiaire.
http://www.leparisien.fr/laparisienne/people/monica-lewinsky-sort-de-son-silence…
Le 17/02/2020 à 17h 04
Mais à force de répondre sur Twitter et sur Next inpact à des gens qui placent le débat sur le plan de l’action politique (la campagne des municipales et de la médiatisation d’un candidat), je me dis que finalement, la vie privée n’existe plus (la vidéosurveillance, la loi Renseignement, l’état d’urgence permanent, les pisteurs des applications mobile, la justification du revenge porn sur une personne médiatisée, les incantations des éditorialistes contre “l’anonymat” des réseaux sociaux, etc). Et j’en prends acte bien que ça me rende malheureux.
Le 17/02/2020 à 16h 59
Oui il faut être prudent. Mais le problème, c’est toujours le même discours de prudence qu’on sert aux victimes de cyberharcèlement : si ça t’arrive, c’est que tu l’as bien cherché, c’est que tu n’as pas été assez prudent. Or, ça s’apparente à renverser la charge de la culpabilité. Une victime de revenge porn, n’a pas à être accusée d’imprudence car rien ne justifie l’atteinte à l’intimité. C’est la base.
Après avoir dit cela, oui, une équipe de campagne, un avocat peut suggérer de choisir un candidat qui ressemble à un ascète parce qu’il ne froissera la pudeur de personne, mais en aucun cas cela évitera les attaques et les embûches. C’est de l’utopie de le penser. La peur (la prudence) n’empêche pas le danger.
Le 17/02/2020 à 16h 47
OK, je vais arrêter là, tu prends tout ce que je dis ad hominem. J’insiste quand même une dernière fois (on verra si la discussion t’intéresse un peu ou si tu continues sur la même lancée) :