C’est intéressant de voir les réactions à un simple titre (et sous-titre) de presse accusé de faire dans la polémique (ou le clickbait) alors que ce sont ces mêmes réactions qui cherchent de la polémique là où il n’y en a pas.
Si vous n’êtes pas d’accord avec l’article, faites donc valoir vos arguments, ce serait plus constructif.
En l’occurrence, l’intérêt de The Walking Dead (exemple que je connais très bien), c’est de voir des personnages survivre avec des personnages principaux qui peuvent mourir dans n’importe quel épisode.
Donc, savoir qui va mourir dans les prochains épisodes, c’est comme brûler des saucisses au barbecue : on ne mange pas des morceaux de charbon, on mange des saucisses grillées.
Le
27/03/2020 à
21h
27
Si je te racontes la fin d’une blague, tu vas avoir envie d’écouter ma blague pendant 5 minutes ou tu vas t’ennuyer ?
Question délires, tu en connais un rayon. Mais pas sûr que tu sois suffisamment ultra pour en faire un livre. Quoique… on peut dire que tu es ultra-conformiste, ça joue, non ?
Blague à part, tu es aussi militant que lui dans les commentaires de Next inpact, donc entre redresseurs de torts, vous devez bien vous comprendre entre vous.
Le
27/03/2020 à
14h
24
J.Branco ne dit rien de mal… Seulement que X.Niel prend des participations dans différents néo-médias. Il n’y a rien de diffamant, ce sont les lecteurs qui interprètent les choses (comme ça les arrange personnellement).
Cela-dit, si X.Niel n’a jamais mis la main au portefeuille pour Next inpact, c’est une erreur grossière (pour J.Branco, et pour X.Niel).
NB: pour ma part, j’ai participé au crowdfunding du magazine Next inpact #1, ça fait de moi un influenceur. [ironie]
Disclaimer : j’ai travaillé pour un centre d’appel France Telecom entre 1999 et 2002. Je n’ai pas d’action en bourse, je n’ai plus travaillé dans le domaine des télécoms depuis 2003, je n’ai jamais travaillé dans l’industrie du divertissement audiovisuel ni de près ni de loin.
Le
27/03/2020 à
13h
24
Le problème n’est pas l’infrastructure “démesurée” (l’infra. est ce qui fait la valeur de l’opérateur), mais plutôt dimensionner en un temps réduit une infrastructure pour la faire correspondre à une bande passante qui augmente trop vite. Un réseau, ça se dimensionne, ça se régule, c’est le métier d’un opérateur télécom. Si le FAI ne sait pas faire ça aussi bien que Netflix ou Amazon, il faut changer de métier… mais heureusement le problème n’est pas là :
Si vraiment c’était un problème de financement comme tu dis (la bonne blague, désolé j’en rigole depuis le temps que j’entends ça), Free ou Orange n’auraient pas besoin de dimensionner leur infrastructure pour servir Netflix ou Youtube, Free ou Orange inscriraient tout bêtement noir sur blanc sur leurs CGV que le streaming vidéo est indisponible dans leur offre d’accès internet (car c’est de la diffusion et non des communications électroniques). Je ne blâme personne et surtout je ne prends partie pour personne (surtout pas). Je dis seulement que les FAI français se prennent pour des diffuseurs au lieu de faire correctement leur métier.
Le
26/03/2020 à
19h
57
Et en plus de ça, ces 4 gros viennent pleurer régulièrement qu’à 4 sur l’hexagone empêche d’investir pour couvrir le territoire de 3G, 4G et maintenant 5G. Le quart du marché n’est pas suffisant, il faudrait se partager le tiers chacun… et bien sûr c’est pour investir, pas pour augmenter les prix et la marge commerciale.
Quelle bande de blagueurs ces opérateurs télécom français.
Le
26/03/2020 à
19h
45
Toujours la même rengaine : un FAI qui refuse de faire son métier de FAI parce que la plus grosse rentabilité se trouve dans les revenus du diffuseur de contenus. Bref, les gros FAI français veulent distribuer du contenu aux clients finals et jouer les intermédiaires entre les diffuseurs TV/SVOD/VOD et les téléspectateurs.
–> C’est le modèle d’affaire des 4 gros opérateurs français (vendre des forfaits/options payantes de contenus audiovisuels).
Le
26/03/2020 à
19h
33
Comme ça a l’air de travailler beaucoup d’entre nous, j’ai fait une petite recherche de règle grammaticale sur le Web :
« Les adjectifs finissant par -al font leur pluriel en -aux.
Exemple : un appartement royal -> des appartements royaux.
Exceptions : bancal, fatal, final, natal, naval et banal prennent un -s au pluriel (bien que le pluriel banaux soit utilisé quand banal signifie “qui appartient au seigneur”).
Exemple : un tabouret bancal -> des tabourets bancals
Remarque : Les adjectifs austral, boréal, glacial, idéal et pascal peuvent indifféremment faire leur pluriel en -als ou en -aux.
Exemple : un résultat idéal -> des résultats idéals ou des résultats idéaux. »
« Les noms terminés en -al au singulier se terminent en -aux au pluriel.
Exemples: un journal -> des journaux ; un cheval -> des chevaux.
Exceptions les plus fréquentes : Carnaval, caracal, chacal, choral, corral, étal, festival, récital et val prennent un s au pluriel: des carnavals, des caracals, des chacals, des chorals (à ne pas confondre avec des chorales), des corrals (enclos pour bestiaux), des étals, des festivals, des récitals, des vals. »
Concernant les interconnexions directes entre les opérateurs et Netflix, Google, etc… qui viennent mettre leurs serveurs de cache au plus près, on peut l’interpréter comme une discrimination positive parce que leurs services fonctionneront mieux que ceux des autres. …
Je ne comprends pas ce qui te fait penser ça. L’un n’empêche pas l’autre. Que Netflix ait un traitement de faveur pour fonctionner n’empêche pas la petite PME de streaming vidéo de fonctionner également. En priorisant Netflix (pour utiliser le mot “prioriser” comme toi), le FAI n’handicape aucun autre acteur du streaming vidéo (par ex., Filmotv fonctionnera tout aussi bien avec une connexion Free que Netflix… Filmotv utilisera les CDN ou les connexions priorisées de AmazonWebServices ou d’un autre). Il s’agit seulement pour l’opérateur télécom de réduire l’activité d’autres types de données, de protocoles, etc… et de dimensionner son réseau à la hauteur des besoins de ses clients.
Le
25/03/2020 à
17h
59
Inodemus a écrit :
…
Par définition, une priorisation volontaire de Netflix seul serait donc une entorse importante à la neutralité du net (discrimination selon la source), à proscrire absolument.
…
La neutralité est un principe (ça s’entend dans l’absolu, un principe ne s’applique pas concrètement sans règles). Si le streaming vidéo est autorisé sur internet (via l’accès à internet) alors le rôle d’un FAI est de fournir un service de streaming vidéo de qualité de la même manière qu’un FAI fournit de la VOIP en transigeant sur le principe de neutralité du net : les règles limitent le principe pour permettre à ce dernier d’être mis en pratique.
Netflix doit donc être visionnable à partir d’un accès à internet quelconque ou être déclaré comme inutilisable dans les CGV du FAI.
Le
25/03/2020 à
17h
45
Inodemus a écrit :
…
Comme exemple inverse, on pourra citer l’ancien cas de Free et Netflix, conforme à la neutralité du net puisqu’il ne s’agissait pas d’un bridage volontaire (à moins qu’ils n’aient menti) mais d’une mauvaise interconnexion qui nuisait à l’efficacité du réseau et ne faisait pas le bonheur de ses abonnés, dont un certain nombre sont d’ailleurs partis.
…
Façon de voir les choses. Si Free se finançait uniquement avec de la vente de bande passante (de la vente d’accès à internet), je serais d’accord avec cette hypothèse que la neutralité du net est respectée par Free. Or comme l’accès à internet est couplé avec des services forfaitaires multiservices ou des options TV, on ne parle déjà plus d’un FAI, on parle d’un diffuseur TV/VOD/SVOD. Diffuser Netflix dans la Freebox ne donne pas plus le droit à Free de proposer un streaming vidéo Netflix/Youtube de qualité : il y a forcément un moment où Free ne respectait pas la neutralité du net.
Bref, un réseau ne se dimensionne pas tout seul, il faut bien qu’à un moment, l’opérateur télécom tire des câbles et installe des équipements pour délivrer la bande passante suffisante, quand bien même ça lui coûte d’investir (investir, ça veut dire donner de la valeur à son infrastructure). C’est quand même son métier et c’est la base si on veut respecter la neutralité du net.
Le
25/03/2020 à
17h
22
Inodemus a écrit :
…
Par contre, à quel moment dans la définition de la neutralité du net est-il question d’équilibre des paiements entre l’une et l’autre des extrémités ? Je ne vois pas du tout le rapport. L’opérateur à la charge de construire un réseau performant, et pour ça il est libre de se financer de la manière qu’il souhaite. S’il veut faire contribuer Netflix, il le fait (enfin il essaye). S’il ne le veut pas, il ne le fait pas. Mais quel que soit le résultat de sa négociation, il ne doit pas prioriser Netflix sur son réseau au détriment des autres, ou l’inverse.
Je ne comprends ton expression “équilibre des paiements entre l’une et l’autre des extrémités”… je dis seulement qu’un opérateur télécom est un intermédiaire entre 2 points d’entrée, qu’un opérateur télécom est payé par la bande passante qu’il fournit : quand Youtube utilise de la bande passante, Google paie ses prestataires de bande passante. Or le modèle économique des 4 FAI français est financé à partir des contenus vendus par l’intermédiaire de leur box : options, forfaits aux clients finaux - partenariat d’interconnexion avec les services de contenus comme Netflix/Youtube.
Le streaming vidéo, c’est entre autre ce qui fait vendre des abonnements à internet. Si ça coûte vraiment trop cher de s’entendre avec Netflix et Youtube (la bonne blague), le FAI doit alors soit augmenter ses tarifs, soit déclarer noir sur blanc que le streaming vidéo ne fait pas partie de ses prestations du fait de l’impossibilité technique de proposer un service qualitatif. Je veux seulement dire qu’un opérateur telecom qui respecte la neutralité du net (celle que tu as défini me semble correct) n’a pas à se financer avec la vente de contenus audiovisuels (le modèle actuel des 4 opérateurs français qui financent leurs activités avec de la vente de contenus, en jouant les intermédiaires de distribution entre les services de contenus et les téléspectateurs finaux).
Le
25/03/2020 à
16h
56
Façon de voir les choses. Ce que je comprends de ce que tu dis : aujourd’hui, Free priorise les flux de diffusion de Netflix/Youtube/Vimeo/etc en contradiction avec la neutralité du net.
Bref, je te parle du diffuseur TV Freebox (et facturation de contenus par Free), toi tu me réponds priorisation de flux de diffusion comme si ça ne faisait pas partie de la mission d’un opérateur télécom d’offrir le streaming vidéo à ses clients.
Le
23/03/2020 à
11h
54
“C’est un peu court, jeune homme”… Que tu ne sois pas d’accord avec moi, pas de soucis. Mais si tu veux contester ce que j’affirme et conserver une quelconque crédibilité, il va falloir m’expliquer où j’ai si gravement fauté (ce qui est toujours possible, je n’ai aucune prétention à l’exactitude et à l’exhaustivité).
Le
23/03/2020 à
11h
43
Je ne partage pas ton avis. Il y avait bel et bien un enjeux de vente de contenus par l’intermédiaire de la Freebox (le triplay “tout compris” et avec options TV payantes à 30€/mois, c’est notamment la stratégie de Free). Aucune raison pour que le FAI Free dégrade les services des Gafa, Natu vis-à-vis des utilisateurs finaux (hormis son propre intérêt de diffuseur FreeboxTV).
Le
23/03/2020 à
10h
22
En somme, parce que Google et Apple accèdent aux données personnelles des clients d’Orange et d’Altice ou leur font payer leurs terminaux et leurs services très cher, alors il faudrait donner les mêmes droits commerciaux à Orange et à Altice en leur permettant de devenir les intermédiaires entre les utilisateurs de Youtube/iPhone et Google/Apple (les Gafam, les Natu). C’est pas de la gestion du réseau ça (rien à voir avec la neutralité du net), c’est de la distribution de contenus (de la vente d’espace commercial et de la monétisation de clients finaux). Dans ce contexte, il serait préférable de renforcer le RGPD (pour les données personnelles et leur usage commercial) et de réglementer les plateformes numériques et les terminaux (privacy by design, etc).
Déjà, la définition de la neutralité du net n’est pas la bonne. Netflix et Orange peuvent dire ce qu’ils veulent, la neutralité du net n’est pas qu’une simple négociation entre le réseau et les 2 extrémités de ce réseau et la neutralité du net n’interdit nullement Orange à prioriser les services Netflix pour offrir un service de qualité, seulement la neutralité du net oblige Orange à faire son travail d’opérateur et à facturer ses clients aux 2 extrémités de son réseau en fonction du service télécom pour lequel il est payé (pas pour diffuser OCS, et faire payer un supplément si on veut du Netflix de qualité).
« cependant êtes-vous prêt à payer votre abonnement (beaucoup) plus cher pour cela ? »
Pour répondre à cette question, je dirais qu’on paie déjà ce prix cher au travers des services de la box (par ex. : Netflix est diffusé dans les box des 4 opérateurs nationaux français - Google propose AndroidTV dans les terminaux TV de 2 opérateurs français - OCS = Orange - Amazon Prime a également des partenariats avec des FAI - etc ).
On paie déjà sous forme d’options TV/VOD ou de forfaits “tout compris/inclus”. La vérité est que ça arrange autant Orange ou Free de devenir des portails d’accès multimédia au même titre que Google avec ses services pléthoriques. Vous allez me rétorquer que personne ne paierait le prix prohibitif de l’infrastructure de réseau sans ces services, moi je vous répondrais alors qu’un opérateur réseau peut très bien se faire payer par Netflix et par le client final pour les données qui sont transportées et distribuées : Orange n’est en aucun cas obligé de monnayer ses clients finaux à l’opérateur de contenus Netflix, c’est d’ailleurs contraire à la neutralité du net (la vraie, pas celle de Netflix, pas celle de Orange).
Le
23/03/2020 à
09h
26
« Concernant la neutralité du net et notamment l’article de Stéphane Bortzmeyer, j’ai un scoop : la neutralité n’existe plus depuis bien longtemps. Pour parler chiffres, Youtube c’est 25% de notre trafic, Facebook 25%, Netflix 10%, etc. Elle est où la neutralité là-dedans quand on a 4 ou 5 acteurs qui représentent 80% du trafic Internet ? »
La neutralité du net est un principe, pas une règle : la différence c’est qu’un principe s’exprime dans l’absolu alors qu’une règle s’applique dans la réalité d’un contexte en imposant des limites aux principes. Grosso modo, la neutralité du net dit qu’un opérateur de réseau n’a pas le droit de sélectionner, de prioriser les données en fonction de son intérêt (ça n’empêche pas qu’il y a des règles pour permettre à la voix, au streaming, etc, de fonctionner à chaque instant sans interdire d’autres usages).
Pour prendre une autre analogie que l’autoroute : quand LaPoste, Adrexo, UPS, DHL ou autre livre les colis d’Amazon ou les plis électoraux de professions de foi (en France, on reçoit la propagande électorale sous pli adressé dans sa boîte aux lettre à chaque vote) ou les plis non-adressés de publicité commerciale ou autre, Il y a des entrepôts et une logistique spécifique, forcément. Ça ne veut pas dire que Amazon va compromettre le transit des courriers et colisages en J+1 des PME et des cartes postales de vacances, car LaPoste et les autres opérateurs postaux mettront en place une infrastructure logistique plus adaptée et mieux dimensionnée pour assurer sa mission… sans pour autant vendre des services de livraison d’Amazon. Orange, Altice et autres opérateurs télécom sont dans cette situation et doivent naturellement respecter le principe de neutralité du net. C’est un métier, c’est clair.
Cela-dit, si Free, Orange, Altice, Bouygues (je vis en France hexagonale) faisaient preuve de transparence et évitaient de noyer ensemble leurs activités de FAI, diffuseursTV, producteurs cinéma, opérateurs d’infrastructure (… et autres services), les non-initiés pourraient y voir plus clair, mais visiblement les opérateurs télécom ne souhaitent pas défendre la neutralité du net (la vraie, pas celle défendue par Netflix ou celle défendue par Orange).
Je ne pensais pas qu’on vous facturait des frais pour les prélèvements échoués. On en facture au client parce que c’est lui le responsable de l’approvisionnement de son compte, mais vous qui n’y êtes pour rien et ne pouvez pas le prévoir, c’est vraiment rat qu’en plus de vous priver de la recette, on vous prélève des frais.
J’ai toujours eu du mal avec cette notion de tarif punitif. Un tarif rémunère un service, c’est tout. En l’occurrence, le prélèvement permet au commerçant de gérer automatiquement ses paiements. Si quelques-uns de ses clients exigent un traitement particulier, ça signifie donc un tarif particulier.
Cela-dit, les banques facturent tellement de frais de manière hypocrite en jouant sur leur rôle d’intermédiaire de paiement (un peu comme les box des FAI, avec les services de VOD/SVOD, qui facturent en amont et en aval la diffusion de contenus audiovisuels), sans rien vérifier du tout (laissant les algorithmes faire, grossièrement et de manière automatique, le travail de banquier) qu’on est vite pris au piège de leurs éléments de langage punitifs sur leurs factures.
En même temps, la neutralité du net est un principe, pas une règle. Un principe s’entend dans l’absolu. Une règle correspond à ce qui s’applique concrètement dans un contexte particulier et qui pose des limites aux principes (des limites sont nécessaires pour permettre aux principes de fonctionner).
Continue à me dire que je n’ai pas compris et à m’expliquer la vie. Moi, je n’ai rien à ajouter au factchecking que je t’ai proposé.
NB: concernant le “pauvre petit qui se croit accusé”, c’est décevant. Quand tu posais des questions inquisitrices, tu semblais plus incisif. Là, tu sembles seulement chercher à me blesser dans mon égo.
Le
22/03/2020 à
18h
42
Tant de question pour botter en touche et faire semblant de ne pas penser ce que tu as écrit dans ton commentaire #117 : “2 fois 5 ans de prison”. Tu faisais le factchecking d’un autre commentaire qui annonçait 6 mois de prison. Oui, Patrick B. n’a fais que 5 mois de prison et Isabelle n’a pas fait de prison… pour raison de santé, et je n’ai pas de souci avec ça, ça n’empêche qu’il n’y a pas eu d’exécution de la peine. C’est pas moi que ça dérange, c’est peut-être toi qui a un problème avec cette réalité.
Par exemple, là avec ta dernière question tu présupposes que je remets en cause le diagnostic médical. #WTF Prends moi pour un con, c’est pas parce que tu mets un point d’interrogation que tu n’essaies pas d’affirmer quelque chose. Pour ta gouverne, c’est une vulgaire citation, c’est tout. C’est bêtement la formulation utilisée par l’expert judiciaire, qui est également entre guillements dans l’article auquel je me réfère. Tu m’accuses l’air de rien et parce que tu mets un point d’interrogation à la fin de ta phrase, tu te dis que ça passera crème.
Le
22/03/2020 à
18h
19
Le quartier VIP de la prison de la Santé était trop confiné pour lui. 2 rendez-vous par mois avec la gendarmerie, c’est déjà beaucoup quand on fait une dépression sévère.
(j’ironise un peu en relation en rapport avec le confinement sanitaire actuel, mais quand on connaît la maladie de la dépression, on voit ce que je veux dire)
Le
22/03/2020 à
18h
14
oui, 2x5ans (à la louche) = 9ans (d’après les articles proposés en lien dans chaque commentaire)
Soyons précis et délicats quand on parle de prison.
Le
22/03/2020 à
17h
57
Sur la “confusion des peines”, je sais, c’est écrit dans le dernier paragraphe de cet article :
Mais comme tu vois, le “syndrome dépressif marqué” diagnostiqué par l’expert judiciaire a été plus rapide que l’éventuelle demande de confusion des peines. Bref, aucune chance que Patrick B. fasse 9 ans de prison comme tu souhaites le faire admettre. D’ailleurs ta question inquisitrice m’amuse un peu… je me demande ce qui t’a fait présupposer que je suis contre les remises en libertés pour raison médicale ?!? J’ai même parlé du problème de santé actuel dans les prisons à cause du Covid-19… j’aurais presque envie de te retourner la question vue ta réaction.
Le
22/03/2020 à
15h
11
Comparaison n’est pas raison… D’ailleurs, de nos jours, une peine de prison inférieure à 2 ans peut être facilement commuée en aménagement de peine. Et celles inférieures à 1 an de prison ne sont parfois pas exécutées.
J’ajoute qu’en France on ne cumule pas les peines, donc on retient la peine maximale prononcée (là, c’est toi qui exagère dans la dés- ou la sur- information).
Déjà rien qu’interdire les réunions de personnes est le rêve de tout régime totalitaire : aucune opposition politique possible, tout le pays est sous contrôle, consigné à résidence. La liberté de réunion est ce qui permet le lobbying, le syndicalisme, la grève, le multipartisme, etc.
La bonne blague. Ca reviendrait à mettre tout les salariés sous statut fonctionnaire, voire mieux sous statut militaire où tu prends tes permissions quand on te le demande en temps de nécessité (et si on te le demande).
Ou alors c’est comme dire “L’Etat n’a pas envie de financer ton chômage partiel, alors tu vas financer toi-même ton confinement ou ta quarantaine avec tes congés payés, tu coûtes déjà trop cher à la communauté.”
Le
20/03/2020 à
19h
53
Je pense bien qu’il y a des employés réquisitionnés, ils travaillent en fonction des lois et conventions en vigueur.
En l’état du projet de loi Coronavirus, ce sera dorénavant un droit dérogatoire qui s’appliquera… comme si le droit commun était une entrave à la réquisition de la force de travail. Ça ne risque pas de rester dérogatoire trop longtemps (rendez-vous à la prochaine occasion pour décréter le “sauvetage” du monde de l’entreprise ou du monde de la finance dans une loi fourre-tout d’état d’urgence sanitaire ou anti-terroriste ou autre).
Le
20/03/2020 à
18h
35
“tu croyais travailler comme d’habitude ? Nous sommes en guerre, tu vas aller bosser pour la Nation, en avant soldat !”
Le
20/03/2020 à
18h
30
“sécurité de la Nation” is the new name of “startup nation” :
“Permettre aux entreprises des secteurs particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation ou à la continuité de la vie économique et sociale « de déroger aux règles d’ordre public et aux stipulations conventionnelles relatives à la durée du travail, au repos hebdomadaire et au repos dominical »”
le CSA vient de rappeler la “chronologie des médias” à Canal. Mais ce n’est pas pour soutenir les salles de cinéma, non elles sont fermées parce qu’elles sont inutiles (non-essentielles) dans la période de “confinement total”…
… c’est pour soutenir les chaînes TV à publicité qui diffusent en temps normal des téléfilms dans les salles de cinéma.
Pour ceux que ça intéresse, https://www.france.tv diffuse Doctor Who sur internet (l’intégralité de la saison 12 en VOST).
Pour revenir au sujet, du moment que Canal+ est diffusée par abonnement sur la TNT (le canal hertzien), Canal respecte sa licence de diffusion (sauf erreur de ma part).
Entre 100Mb/s et 500Mb/s, il n’y a aucune différence.
Le débit de crête n’est jamais atteint en permanence chez aucun opérateur (il faudrait que tout le monde télécharge un gros fichier en même temps), car si ça arrive soit le réseau est redimensionné à terme (ce qui se passe régulièrement), soit le réseau sature et donc le débit individuel de chaque ligne est automatiquement (techniquement) bridé.
Demande à ton voisin. Au pire, demande à la mairie (ça peut peut-être le faire, ils sont là pour leurs administrés). Moi, dans mon immeuble, j’ai mis à disposition de mes voisins quelques impressions du formulaire dans le hall pour mes voisins qui voudraient sortir en règles.
Et je vais encore faire le lourd comme hier ici, mais ces dispositions ne sont pas faites pour arranger les gens qui veulent sortir. Elles sont faites pour bien réfléchir avant de sortir, et éventuellement remettre à plus tard son déplacement.
Pourquoi prend-on de telles mesures de confinement et cherche-t-on à limiter les contacts ?
Tu fais un raisonnement individuel. Or, le problème d’une épidémie est systémique. La solution est collective avec des consignes sanitaires à respecter (je ne parle pas d’obligation administrative, je parle de consignes sanitaires).
C’est dommage pour tout le monde que tellement de gens ne voient que des restrictions de liberté alors qu’il s’agit de sauver des vies (enfin… c’est ce que je crois avoir compris à mon petit niveau).
Concernant les réseaux sociaux, on parle beaucoup de ce justificatif : Next inpact déjà (Next inpact publie tous ses articles sur les réseaux sociaux), la Gendarmerie nationale, les préfectures, le Gouvernement, etc. Les community manager ne chôment pas en ce moment (les journalistes non plus… sur Twitter bien sûr).
1298 commentaires
Covid-19 : dans le Haut-Rhin, les chiffres officiels à l’épreuve des avis de décès
27/03/2020
Le 28/03/2020 à 08h 58
Que tes arrières grands parents t’entendent !
Le 27/03/2020 à 12h 36
C’est intéressant de voir les réactions à un simple titre (et sous-titre) de presse accusé de faire dans la polémique (ou le clickbait) alors que ce sont ces mêmes réactions qui cherchent de la polémique là où il n’y en a pas.
Si vous n’êtes pas d’accord avec l’article, faites donc valoir vos arguments, ce serait plus constructif.
#StayTheFuckHome : et si Netflix « spoilait » ses séries à ceux qui sortent ?
27/03/2020
Le 27/03/2020 à 21h 37
En l’occurrence, l’intérêt de The Walking Dead (exemple que je connais très bien), c’est de voir des personnages survivre avec des personnages principaux qui peuvent mourir dans n’importe quel épisode.
Donc, savoir qui va mourir dans les prochains épisodes, c’est comme brûler des saucisses au barbecue : on ne mange pas des morceaux de charbon, on mange des saucisses grillées.
Le 27/03/2020 à 21h 27
Si je te racontes la fin d’une blague, tu vas avoir envie d’écouter ma blague pendant 5 minutes ou tu vas t’ennuyer ?
L’intérêt d’écouter une histoire :
YouTube
Le 27/03/2020 à 21h 07
Quel est l’intérêt de regarder Game of Thrones/The Walking Dead ou un film policier ?
Si tu t’en fiche, c’est que la série ou le film (ou le livre) ne t’intéresse pas. Tu vas couper du bois dans ce cas, c’est plus stimulant.
Précommande du Magazine Nº2 de Next INpact : la campagne de financement est terminée
06/05/2020
Le 27/03/2020 à 14h 44
Question délires, tu en connais un rayon. Mais pas sûr que tu sois suffisamment ultra pour en faire un livre. Quoique… on peut dire que tu es ultra-conformiste, ça joue, non ?
Blague à part, tu es aussi militant que lui dans les commentaires de Next inpact, donc entre redresseurs de torts, vous devez bien vous comprendre entre vous.
Le 27/03/2020 à 14h 24
J.Branco ne dit rien de mal… Seulement que X.Niel prend des participations dans différents néo-médias. Il n’y a rien de diffamant, ce sont les lecteurs qui interprètent les choses (comme ça les arrange personnellement).
Cela-dit, si X.Niel n’a jamais mis la main au portefeuille pour Next inpact, c’est une erreur grossière (pour J.Branco, et pour X.Niel).
NB: pour ma part, j’ai participé au crowdfunding du magazine Next inpact #1, ça fait de moi un influenceur. [ironie]
On vous explique (simplement) comment fonctionnent les tuyaux d’Internet
26/03/2020
Le 27/03/2020 à 13h 36
Disclaimer : j’ai travaillé pour un centre d’appel France Telecom entre 1999 et 2002. Je n’ai pas d’action en bourse, je n’ai plus travaillé dans le domaine des télécoms depuis 2003, je n’ai jamais travaillé dans l’industrie du divertissement audiovisuel ni de près ni de loin.
Le 27/03/2020 à 13h 24
Le problème n’est pas l’infrastructure “démesurée” (l’infra. est ce qui fait la valeur de l’opérateur), mais plutôt dimensionner en un temps réduit une infrastructure pour la faire correspondre à une bande passante qui augmente trop vite. Un réseau, ça se dimensionne, ça se régule, c’est le métier d’un opérateur télécom. Si le FAI ne sait pas faire ça aussi bien que Netflix ou Amazon, il faut changer de métier… mais heureusement le problème n’est pas là :
Si vraiment c’était un problème de financement comme tu dis (la bonne blague, désolé j’en rigole depuis le temps que j’entends ça), Free ou Orange n’auraient pas besoin de dimensionner leur infrastructure pour servir Netflix ou Youtube, Free ou Orange inscriraient tout bêtement noir sur blanc sur leurs CGV que le streaming vidéo est indisponible dans leur offre d’accès internet (car c’est de la diffusion et non des communications électroniques). Je ne blâme personne et surtout je ne prends partie pour personne (surtout pas). Je dis seulement que les FAI français se prennent pour des diffuseurs au lieu de faire correctement leur métier.
Le 26/03/2020 à 19h 57
Et en plus de ça, ces 4 gros viennent pleurer régulièrement qu’à 4 sur l’hexagone empêche d’investir pour couvrir le territoire de 3G, 4G et maintenant 5G. Le quart du marché n’est pas suffisant, il faudrait se partager le tiers chacun… et bien sûr c’est pour investir, pas pour augmenter les prix et la marge commerciale.
Quelle bande de blagueurs ces opérateurs télécom français.
Le 26/03/2020 à 19h 45
Toujours la même rengaine : un FAI qui refuse de faire son métier de FAI parce que la plus grosse rentabilité se trouve dans les revenus du diffuseur de contenus. Bref, les gros FAI français veulent distribuer du contenu aux clients finals et jouer les intermédiaires entre les diffuseurs TV/SVOD/VOD et les téléspectateurs.
–> C’est le modèle d’affaire des 4 gros opérateurs français (vendre des forfaits/options payantes de contenus audiovisuels).
Le 26/03/2020 à 19h 33
Comme ça a l’air de travailler beaucoup d’entre nous, j’ai fait une petite recherche de règle grammaticale sur le Web :
« Les adjectifs finissant par -al font leur pluriel en -aux.
Exemple : un appartement royal -> des appartements royaux.
Exceptions : bancal, fatal, final, natal, naval et banal prennent un -s au pluriel (bien que le pluriel banaux soit utilisé quand banal signifie “qui appartient au seigneur”).
Exemple : un tabouret bancal -> des tabourets bancals
Remarque : Les adjectifs austral, boréal, glacial, idéal et pascal peuvent indifféremment faire leur pluriel en -als ou en -aux.
Exemple : un résultat idéal -> des résultats idéals ou des résultats idéaux. »
https://la-conjugaison.nouvelobs.com/regles/grammaire/les-adjectifs-en-al-200.ph…
« Les noms terminés en -al au singulier se terminent en -aux au pluriel.
Exemples: un journal -> des journaux ; un cheval -> des chevaux.
Exceptions les plus fréquentes : Carnaval, caracal, chacal, choral, corral, étal, festival, récital et val prennent un s au pluriel: des carnavals, des caracals, des chacals, des chorals (à ne pas confondre avec des chorales), des corrals (enclos pour bestiaux), des étals, des festivals, des récitals, des vals. »
https://la-conjugaison.nouvelobs.com/regles/grammaire/les-noms-en-al-116.php
« Les mots en -al ont leur pluriel en -aux.
Quelques exceptions dont le pluriel est -als :
aval, bal, carnaval, chacal, corral, final, festival, récital, régal . »
https://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-9…
Le mot “final” figure parmi les exceptions.
Le lancement de Disney+ repoussé au 7 avril à la demande du gouvernement (et d’Orange)
22/03/2020
Le 25/03/2020 à 18h 20
Le 25/03/2020 à 17h 59
Le 25/03/2020 à 17h 45
Le 25/03/2020 à 17h 22
Le 25/03/2020 à 16h 56
Façon de voir les choses. Ce que je comprends de ce que tu dis : aujourd’hui, Free priorise les flux de diffusion de Netflix/Youtube/Vimeo/etc en contradiction avec la neutralité du net.
Bref, je te parle du diffuseur TV Freebox (et facturation de contenus par Free), toi tu me réponds priorisation de flux de diffusion comme si ça ne faisait pas partie de la mission d’un opérateur télécom d’offrir le streaming vidéo à ses clients.
Le 23/03/2020 à 11h 54
“C’est un peu court, jeune homme”… Que tu ne sois pas d’accord avec moi, pas de soucis. Mais si tu veux contester ce que j’affirme et conserver une quelconque crédibilité, il va falloir m’expliquer où j’ai si gravement fauté (ce qui est toujours possible, je n’ai aucune prétention à l’exactitude et à l’exhaustivité).
Le 23/03/2020 à 11h 43
Je ne partage pas ton avis. Il y avait bel et bien un enjeux de vente de contenus par l’intermédiaire de la Freebox (le triplay “tout compris” et avec options TV payantes à 30€/mois, c’est notamment la stratégie de Free). Aucune raison pour que le FAI Free dégrade les services des Gafa, Natu vis-à-vis des utilisateurs finaux (hormis son propre intérêt de diffuseur FreeboxTV).
Le 23/03/2020 à 10h 22
En somme, parce que Google et Apple accèdent aux données personnelles des clients d’Orange et d’Altice ou leur font payer leurs terminaux et leurs services très cher, alors il faudrait donner les mêmes droits commerciaux à Orange et à Altice en leur permettant de devenir les intermédiaires entre les utilisateurs de Youtube/iPhone et Google/Apple (les Gafam, les Natu). C’est pas de la gestion du réseau ça (rien à voir avec la neutralité du net), c’est de la distribution de contenus (de la vente d’espace commercial et de la monétisation de clients finaux). Dans ce contexte, il serait préférable de renforcer le RGPD (pour les données personnelles et leur usage commercial) et de réglementer les plateformes numériques et les terminaux (privacy by design, etc).
Le 23/03/2020 à 10h 07
On dirait les mots de Stéphane Richard (président d’Orange).
Déjà, la définition de la neutralité du net n’est pas la bonne. Netflix et Orange peuvent dire ce qu’ils veulent, la neutralité du net n’est pas qu’une simple négociation entre le réseau et les 2 extrémités de ce réseau et la neutralité du net n’interdit nullement Orange à prioriser les services Netflix pour offrir un service de qualité, seulement la neutralité du net oblige Orange à faire son travail d’opérateur et à facturer ses clients aux 2 extrémités de son réseau en fonction du service télécom pour lequel il est payé (pas pour diffuser OCS, et faire payer un supplément si on veut du Netflix de qualité).
« cependant êtes-vous prêt à payer votre abonnement (beaucoup) plus cher pour cela ? »
Pour répondre à cette question, je dirais qu’on paie déjà ce prix cher au travers des services de la box (par ex. : Netflix est diffusé dans les box des 4 opérateurs nationaux français - Google propose AndroidTV dans les terminaux TV de 2 opérateurs français - OCS = Orange - Amazon Prime a également des partenariats avec des FAI - etc ).
On paie déjà sous forme d’options TV/VOD ou de forfaits “tout compris/inclus”. La vérité est que ça arrange autant Orange ou Free de devenir des portails d’accès multimédia au même titre que Google avec ses services pléthoriques. Vous allez me rétorquer que personne ne paierait le prix prohibitif de l’infrastructure de réseau sans ces services, moi je vous répondrais alors qu’un opérateur réseau peut très bien se faire payer par Netflix et par le client final pour les données qui sont transportées et distribuées : Orange n’est en aucun cas obligé de monnayer ses clients finaux à l’opérateur de contenus Netflix, c’est d’ailleurs contraire à la neutralité du net (la vraie, pas celle de Netflix, pas celle de Orange).
Le 23/03/2020 à 09h 26
« Concernant la neutralité du net et notamment l’article de Stéphane Bortzmeyer, j’ai un scoop : la neutralité n’existe plus depuis bien longtemps. Pour parler chiffres, Youtube c’est 25% de notre trafic, Facebook 25%, Netflix 10%, etc. Elle est où la neutralité là-dedans quand on a 4 ou 5 acteurs qui représentent 80% du trafic Internet ? »
La neutralité du net est un principe, pas une règle : la différence c’est qu’un principe s’exprime dans l’absolu alors qu’une règle s’applique dans la réalité d’un contexte en imposant des limites aux principes. Grosso modo, la neutralité du net dit qu’un opérateur de réseau n’a pas le droit de sélectionner, de prioriser les données en fonction de son intérêt (ça n’empêche pas qu’il y a des règles pour permettre à la voix, au streaming, etc, de fonctionner à chaque instant sans interdire d’autres usages).
Pour prendre une autre analogie que l’autoroute : quand LaPoste, Adrexo, UPS, DHL ou autre livre les colis d’Amazon ou les plis électoraux de professions de foi (en France, on reçoit la propagande électorale sous pli adressé dans sa boîte aux lettre à chaque vote) ou les plis non-adressés de publicité commerciale ou autre, Il y a des entrepôts et une logistique spécifique, forcément. Ça ne veut pas dire que Amazon va compromettre le transit des courriers et colisages en J+1 des PME et des cartes postales de vacances, car LaPoste et les autres opérateurs postaux mettront en place une infrastructure logistique plus adaptée et mieux dimensionnée pour assurer sa mission… sans pour autant vendre des services de livraison d’Amazon. Orange, Altice et autres opérateurs télécom sont dans cette situation et doivent naturellement respecter le principe de neutralité du net. C’est un métier, c’est clair.
Cela-dit, si Free, Orange, Altice, Bouygues (je vis en France hexagonale) faisaient preuve de transparence et évitaient de noyer ensemble leurs activités de FAI, diffuseursTV, producteurs cinéma, opérateurs d’infrastructure (… et autres services), les non-initiés pourraient y voir plus clair, mais visiblement les opérateurs télécom ne souhaitent pas défendre la neutralité du net (la vraie, pas celle défendue par Netflix ou celle défendue par Orange).
Cartes bancaires : pour l’Europe, le contrôle des commissions d’interchange ça marche !
25/03/2020
Le 25/03/2020 à 16h 34
Deux spécialistes du réseau s’attaquent à l’argument d’un Internet bientôt surchargé
23/03/2020
Le 23/03/2020 à 11h 18
En même temps, la neutralité du net est un principe, pas une règle. Un principe s’entend dans l’absolu. Une règle correspond à ce qui s’applique concrètement dans un contexte particulier et qui pose des limites aux principes (des limites sont nécessaires pour permettre aux principes de fonctionner).
Non-respect du confinement : jusqu’à 6 mois de prison pour les multirécidivistes
21/03/2020
Le 22/03/2020 à 20h 24
Continue à me dire que je n’ai pas compris et à m’expliquer la vie. Moi, je n’ai rien à ajouter au factchecking que je t’ai proposé.
NB: concernant le “pauvre petit qui se croit accusé”, c’est décevant. Quand tu posais des questions inquisitrices, tu semblais plus incisif. Là, tu sembles seulement chercher à me blesser dans mon égo.
Le 22/03/2020 à 18h 42
Tant de question pour botter en touche et faire semblant de ne pas penser ce que tu as écrit dans ton commentaire #117 : “2 fois 5 ans de prison”. Tu faisais le factchecking d’un autre commentaire qui annonçait 6 mois de prison. Oui, Patrick B. n’a fais que 5 mois de prison et Isabelle n’a pas fait de prison… pour raison de santé, et je n’ai pas de souci avec ça, ça n’empêche qu’il n’y a pas eu d’exécution de la peine. C’est pas moi que ça dérange, c’est peut-être toi qui a un problème avec cette réalité.
Par exemple, là avec ta dernière question tu présupposes que je remets en cause le diagnostic médical. #WTF Prends moi pour un con, c’est pas parce que tu mets un point d’interrogation que tu n’essaies pas d’affirmer quelque chose. Pour ta gouverne, c’est une vulgaire citation, c’est tout. C’est bêtement la formulation utilisée par l’expert judiciaire, qui est également entre guillements dans l’article auquel je me réfère. Tu m’accuses l’air de rien et parce que tu mets un point d’interrogation à la fin de ta phrase, tu te dis que ça passera crème.
Le 22/03/2020 à 18h 19
Le quartier VIP de la prison de la Santé était trop confiné pour lui. 2 rendez-vous par mois avec la gendarmerie, c’est déjà beaucoup quand on fait une dépression sévère.
(j’ironise un peu en relation en rapport avec le confinement sanitaire actuel, mais quand on connaît la maladie de la dépression, on voit ce que je veux dire)
Le 22/03/2020 à 18h 14
oui, 2x5ans (à la louche) = 9ans (d’après les articles proposés en lien dans chaque commentaire)
Soyons précis et délicats quand on parle de prison.
Le 22/03/2020 à 17h 57
Sur la “confusion des peines”, je sais, c’est écrit dans le dernier paragraphe de cet article :
https://lesjours.fr/obsessions/balkany-proces/ep13-deuxieme-proces/
Mais comme tu vois, le “syndrome dépressif marqué” diagnostiqué par l’expert judiciaire a été plus rapide que l’éventuelle demande de confusion des peines. Bref, aucune chance que Patrick B. fasse 9 ans de prison comme tu souhaites le faire admettre. D’ailleurs ta question inquisitrice m’amuse un peu… je me demande ce qui t’a fait présupposer que je suis contre les remises en libertés pour raison médicale ?!? J’ai même parlé du problème de santé actuel dans les prisons à cause du Covid-19… j’aurais presque envie de te retourner la question vue ta réaction.
Le 22/03/2020 à 15h 11
Comparaison n’est pas raison… D’ailleurs, de nos jours, une peine de prison inférieure à 2 ans peut être facilement commuée en aménagement de peine. Et celles inférieures à 1 an de prison ne sont parfois pas exécutées.
Service Public Le Figaro
Cela-dit, Patrick B. n’a même pas fait six mois de prison à en croire lesjours.fr. Et Isabelle B. n’est pas en mesure du tout d’entrer en prison.
Le 22/03/2020 à 14h 53
Patrick B. a fait cinq mois de prison (même pas six) : « Si Patrick Balkany peut désormais recevoir Bruce Toussaint en son moulin, il n’en oublie pas pour autant ceux qu’il a appris à connaître cinq mois durant […] La santé, justement : en cinq mois, Patrick a fondu, passant de 104 à 75 kilos. »
Motif de la sortie de prison : raison de santé. … Comme Isabelle B. qui, notamment, a fait une tentative de suicide et n’a pas eu à subir d’incarcération : « [Isabelle B.] a été condamnée à trois ans de prison et 10 ans d’inéligibilité, sans mandat de dépôt dû à son état de santé.», ce qui est normal (quoique le Covid-19 commence à créer des problèmes de santé en prison, mais comparaison n’est pas raison).
J’ajoute qu’en France on ne cumule pas les peines, donc on retient la peine maximale prononcée (là, c’est toi qui exagère dans la dés- ou la sur- information).
Donc, « le 12 février 2020 à 18 h 26. Cette fois, c’est la bonne. Patrick Balkany a été libéré mercredi soir, pas parce qu’il est blanchi mais en raison d’un état de santé « difficilement compatible avec la détention », a jugé la cour d’appel de Paris. Une libération qui a donné lieu à un incroyable show d’Isabelle Balkany devant la prison de la Santé, pendue au téléphone avec son mari devant les caméras des journalistes qu’elle appelle ses « petits morpions ». La résidence de Patrick Balkany est fixée au moulin de Cossy, à Giverny, et il doit se présenter deux fois par mois à la gendarmerie. »
État d’urgence : mise en quarantaine et isolement parmi les mesures envisagées
19/03/2020
Le 21/03/2020 à 09h 16
Déjà rien qu’interdire les réunions de personnes est le rêve de tout régime totalitaire : aucune opposition politique possible, tout le pays est sous contrôle, consigné à résidence. La liberté de réunion est ce qui permet le lobbying, le syndicalisme, la grève, le multipartisme, etc.
État d’urgence sanitaire : ce que prévoit le projet de loi adopté par le Sénat
20/03/2020
Le 21/03/2020 à 09h 11
La bonne blague. Ca reviendrait à mettre tout les salariés sous statut fonctionnaire, voire mieux sous statut militaire où tu prends tes permissions quand on te le demande en temps de nécessité (et si on te le demande).
Ou alors c’est comme dire “L’Etat n’a pas envie de financer ton chômage partiel, alors tu vas financer toi-même ton confinement ou ta quarantaine avec tes congés payés, tu coûtes déjà trop cher à la communauté.”
Le 20/03/2020 à 19h 53
Je pense bien qu’il y a des employés réquisitionnés, ils travaillent en fonction des lois et conventions en vigueur.
En l’état du projet de loi Coronavirus, ce sera dorénavant un droit dérogatoire qui s’appliquera… comme si le droit commun était une entrave à la réquisition de la force de travail. Ça ne risque pas de rester dérogatoire trop longtemps (rendez-vous à la prochaine occasion pour décréter le “sauvetage” du monde de l’entreprise ou du monde de la finance dans une loi fourre-tout d’état d’urgence sanitaire ou anti-terroriste ou autre).
Le 20/03/2020 à 18h 35
“tu croyais travailler comme d’habitude ? Nous sommes en guerre, tu vas aller bosser pour la Nation, en avant soldat !”
Le 20/03/2020 à 18h 30
“sécurité de la Nation” is the new name of “startup nation” :
“Permettre aux entreprises des secteurs particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation ou à la continuité de la vie économique et sociale « de déroger aux règles d’ordre public et aux stipulations conventionnelles relatives à la durée du travail, au repos hebdomadaire et au repos dominical »”
Canal+ gratuit : Pascal Rogard, furibard
19/03/2020
Le 20/03/2020 à 10h 49
le CSA vient de rappeler la “chronologie des médias” à Canal. Mais ce n’est pas pour soutenir les salles de cinéma, non elles sont fermées parce qu’elles sont inutiles (non-essentielles) dans la période de “confinement total”…
… c’est pour soutenir les chaînes TV à publicité qui diffusent en temps normal des téléfilms dans les salles de cinéma.
Twitter
Le 19/03/2020 à 20h 25
Pour ceux que ça intéresse, https://www.france.tv diffuse Doctor Who sur internet (l’intégralité de la saison 12 en VOST).
Pour revenir au sujet, du moment que Canal+ est diffusée par abonnement sur la TNT (le canal hertzien), Canal respecte sa licence de diffusion (sauf erreur de ma part).
Réduction de la définition : Google obtempère, Netflix joue le jeu… à sa manière
20/03/2020
Le 20/03/2020 à 10h 08
ça soulage surtout la bande passante pour les FAI. Ce qui leur simplifie (un peu) la tâche en cette période délicate.
Et ça réduit la consommation énergétique (pour ceux que ça intéresse) par la même occasion (le streaming vidéo, diffusion par flux étant énergivore).
Le 20/03/2020 à 10h 06
Si les opérateurs réseau (et le Commissaire européen Thierry Breton) pouvaient se poser les mêmes questions avec la 4G (et la 5G)…
… Non… en fait, cette histoire sert uniquement à montrer les muscles de l’UE face aux Gafam/Natu, rien de plus.
Bouygues Télécom augmente les débits de ses clients fibre et offre l’accès à 34 chaînes sur les Bbox
19/03/2020
Le 19/03/2020 à 13h 51
Entre le VDSL et le FTTH, il y a une différence.
Entre 100Mb/s et 500Mb/s, il n’y a aucune différence.
Le débit de crête n’est jamais atteint en permanence chez aucun opérateur (il faudrait que tout le monde télécharge un gros fichier en même temps), car si ça arrive soit le réseau est redimensionné à terme (ce qui se passe régulièrement), soit le réseau sature et donc le débit individuel de chaque ligne est automatiquement (techniquement) bridé.
Coronavirus : ce que prévoit le projet de loi d’urgence
18/03/2020
Le 18/03/2020 à 20h 26
État d’urgence permanent… et… sanitaire.
cadeau : Sous krach, Macron voit rouge [excellent jeu de mot dans le titre de l’article]
Face au Covid-19, le Président découvre que le capitalisme n’a pas que du bon, comme Nicolas Sarkozy en 2008, lors de la crise des subprimes.
Confinement en France : téléchargez la nouvelle attestation de déplacement
24/03/2020
Le 18/03/2020 à 13h 24
Demande à ton voisin. Au pire, demande à la mairie (ça peut peut-être le faire, ils sont là pour leurs administrés). Moi, dans mon immeuble, j’ai mis à disposition de mes voisins quelques impressions du formulaire dans le hall pour mes voisins qui voudraient sortir en règles.
Et je vais encore faire le lourd comme hier ici, mais ces dispositions ne sont pas faites pour arranger les gens qui veulent sortir. Elles sont faites pour bien réfléchir avant de sortir, et éventuellement remettre à plus tard son déplacement.
Pourquoi prend-on de telles mesures de confinement et cherche-t-on à limiter les contacts ?
Facebook
#ResteChezToi - #RestezChezVousBordel (dans les “tendances” sur Twitter, je l’aime bien celui-là)
Le 18/03/2020 à 13h 10
C’est la gueeeerre !…. dixit Macron-Rambo :o)
#CroisonsLes
(«Nous sommes en guerre», la citation exacte)
Le 17/03/2020 à 15h 45
On se rassure comme on peut. Moi, je bois du thé quand j’angoisse. Des litres de thé.
Le 17/03/2020 à 13h 55
TwitterVous avez compris ?
Le 17/03/2020 à 12h 25
Tu fais un raisonnement individuel. Or, le problème d’une épidémie est systémique. La solution est collective avec des consignes sanitaires à respecter (je ne parle pas d’obligation administrative, je parle de consignes sanitaires).
C’est dommage pour tout le monde que tellement de gens ne voient que des restrictions de liberté alors qu’il s’agit de sauver des vies (enfin… c’est ce que je crois avoir compris à mon petit niveau).
Mise en place du confinement : un SMS du gouvernement envoyé à l’ensemble des Français
17/03/2020
Le 17/03/2020 à 15h 01
Pourquoi prend-on de telles mesures de confinement et cherche-t-on à limiter les contacts ?
Facebook
Le 17/03/2020 à 15h 00
Pourquoi prend-on de telles mesures de confinement et cherche-t-on à limiter les contacts ?
Facebook
Le 17/03/2020 à 14h 54
Concernant les réseaux sociaux, on parle beaucoup de ce justificatif : Next inpact déjà (Next inpact publie tous ses articles sur les réseaux sociaux), la Gendarmerie nationale, les préfectures, le Gouvernement, etc. Les community manager ne chôment pas en ce moment (les journalistes non plus… sur Twitter bien sûr).