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1298 commentaires

Le 10/04/2020 à 17h 19

Heureusement que tu es là (avec d’autres redresseurs de torts) sinon Next inpact ressemblerait à Médiapart, ce serait dommage.

Le 10/04/2020 à 16h 02







OlivierJ a écrit :



<img data-src=" />




Il y a déjà 2 ans, une nana pas scientifique me dit, en mode interrogatif, "j'ai entendu que la 5G allait poser des problèmes de santé" ; je lui ai répondu que d'un point de vue scientifique il n'y avait pas de raison, pas plus que les autres "G". Dans son cas elle était pas complotiste, juste hésitante.








C'est ce que tu penses. C'est sûr, pour toi, il n'y a jamais de problème (je me réfère à tes commentaires ici, je ne te connais pas pour te juger). Parfois, je me demande même si, lorsque tu vois le mur, tu ne te mets pas à dire qu'il y a plus grave encore que de se prendre ce mur en pleine face (c'est ma réaction à ta réaction exprimée ci-dessus).     





&nbsp;



OlivierJ a écrit :



Chez certains oui (dans ma famille et autour de moi on n’est pas défiant, tout au plus prudent mais pas sur des trucs comme la téléphonie mobile), moi je vois la faute à plusieurs acteurs, dont les médias au sens large, les journalistes ayant trop rarement un niveau correct en science et donnant la parole à des charlatans (y compris des politiques marchands de peur), et puis bien sûr les réseaux sociaux ou ça va de la simple défiance de principe au complotisme le plus débile et débridé.






Attention, j'ai un scoop pour toi : Tout le monde est différent, chacun réagit différemment selon son éducation, selon sa formation professionnelle, selon son expérience de vie, selon sa situation actuelle. Toi même tu cherches des boucs-émissaires (en quoi, est-on obligé de croire les journalistes, d'ailleurs lesquels?, ou des charlatans? Et franchement, les réseaux sociaux, ils sont commodes à stigmatiser).      





C’est même le contraire qu’il faut faire : laisser les gens parler, et cesser de chercher à convaincre. Mais tu vas me dire que je raconte des conneries.

&nbsp;

&nbsp;



OlivierJ a écrit :



Le Linky n’est pas censé bénéficier au final à tous le monde ? Clients pour le relèvement, EDF idem (+ économie à long terme), et surtout le réseau électrique dans son ensemble pour gérer l’intermittence si on continue à faire les cons à arrêter des centrales nucléaires, et j’en oublie.




Et je ne vois pas ce que les grand fabricants viennent faire ici concernant le Linky.







&nbsp;Merci pour ton avis personnel, mais comme S.Soriano, tu n’as pas compris que le problème n’est pas là. C’est un problème de confiance à rétablir (et visiblement, c’est pas gagné).


Le 10/04/2020 à 15h 45

Justement, la question n’est pas de chercher à convaincre les gens, la question est de rétablir la confiance entre les gens. Ça ne sert strictement à rien de dire aux gens ce qu’ils doivent penser. Chacun pense ce qu’il veut.



C’est comme le film “Le Dîner de Cons”, et comme ce que dit Harry Callahan dans le film “La dernière Cible” : « Les avis c’est comme les trous du cul, tout le monde en a un. »

Le 10/04/2020 à 14h 39

Ça m’a fait tiquer aussi. AMHA ironiser sur la corrélation entre 5G et Coronavirus, c’est bien beau mais c’est pas ça qui va calmer les infox et les rumeurs.



Ce que n’a pas l’air de comprendre S.Soriano, c’est que la 5G est perçue comme néfaste et inutile pour les gens qui l’incriminent. Les corrélations invoquées avec le Coronavirus ou avec le cancer ou n’importe quel fléau naturel ou sanitaire n’ont aucune importance.



Ces corrélations douteuses ne sont que le symptôme d’une défiance qui, comme toute réaction émotionnelle, ne se combat certainement pas avec des faits, mais résulte d’une relation industriels/consommateurs abîmée. La confiance ne se gagne pas avec du réalisme, elle se gagne avec le coeur (au sens qu’on employait au Moyen-Âge), avec les tripes (comme on dirait aujourd’hui).

Le 10/04/2020 à 14h 25

Comme en ce qui concerne Linky, la 5G fait la même erreur de communication. Il faudrait arrêter de nous survendre les bienfaits d’un truc qui ne servira au final qu’aux grands opérateurs et aux grands fabricants d’équipements et de terminaux en tout genre.



&nbsp;      

Faites vos collectes de données et vos big data en silence et respectez vos clients, ça calmera tout le monde (ça me paraît paradoxal mais "bonne chance" quand même pour réussir ce coup de force).

Le 10/04/2020 à 13h 57

Personnellement, je me fiche que Google ou l’État français ou les industriels propriétaires de presse ou le FMI ou Mary Poppins écrase l’autre ou qu’ils s’arrangent mutuellement à l’amiable. Je regarde la réalité, comme pendant les négociations entre TF1 ou BFM avec les box-opérateurs : le public de Next inpact vomit sur les ayants-droits, ça n’empêche pas que même FreeboxTV a payé pour garder le replay de TF1, TMC, BFM, RMC découvertes, etc.



AMHA l’agonie va durer longtemps, et peut-être même que Google sera démantelé façon puzzle ou façon AT&T bien avant que les médias mainstream français meurent.

Le 10/04/2020 à 13h 21

D’abord, ils&nbsp; ne pleurent pas, ils négocient.




Ensuite, l'Espagne a encadré la rémunération et la répartition entre l'éditeur (la presse) et le distributeur (Google News), on a vu le résultat ...     





&nbsp;…&nbsp; un peu le même que la loi encadrant les livraisons Amazonen France.

Le 10/04/2020 à 10h 57

D’abord, rien n’a été décidé (il s’agit d’une mesure conservatoire en attendant une décision sur le fond… à moins que Google et la presse mainstream française se mettent enfin d’accord tous seuls comme des grands, à l’amiable).




Ensuite, ici, on parle du marché de la publication de presse, Google étant le plus gros agrégateur de presse en Europe (et en France). On parle d'audience, de rémunération publicitaire (la presse gratuite, ça n'existe pas - même les services Google ont un coût... financés par l'audience publicitaire).      






J'entends déjà les protestations sur le fait que Google News ne comporte pas de publicité. Je répondrais que Google News n'est pas le seul service Google à publier la presse mainstream française (Google Search, des applications Android, etc, sont des médias à forte audience diffusés par Google). C'est pas pour rien que cette décision de l'Autorité de la Concurrence comporte 72 pages.      






Bref, en attendant une décision définitive (d'où quelle vienne, des autorités de la concurrence ou des parties en présence) Google est obligée de poursuivre ses négociations avec la presse mainstream (et Google peut toujours faire appel, si ces mesures conservatoires lui semblent disproportionnées).

Le 10/04/2020 à 10h 15

L’Autorité de la Concurrence est plus préoccupée par un éventuel abus de position dominante que par une loi au sujet des droits voisins. Ici, la décision énonce clairement la possibilité que Google enfreigne la législation relative à la concurrence (en vigueur en Europe).




 AMHA, si la position dominante de Google vis-à-vis de la presse était confirmée par une décision sur le fond, alors Google n'y échappera pas : Google sera contraint de rémunérer la presse (ou de permettre à la presse d'avoir son propre agrégateur de référencement en équité avec les services proposés par Google... ce qui me semble peu probable). Cela-dit, les négociations sont encore et toujours en cours. À suivre...

Le 10/04/2020 à 06h 07







tazvld a écrit :



Ca s’appelle la position dominante, c’est un peu comme la levrette, ça autorise les Etat à t’enculer “pour le bien de la concurrence et du marché sain”.

Apple l’a bien compris, il n’est pas en position dominante, il a le droit de baiser ses usager.





Disons que les usagés d’ Apple peuvent changer de crémerie au besoin. En revanche, difficile pour tout usagé de la presse de ne pas rencontrer Google sur son passage (même sur Nextinpact, on retrouve Google avec les vidéos YouTube dans les articles par exemple).


Le 10/04/2020 à 06h 02







Inodemus a écrit :



Même si je vois bien la problématique, je ne comprends pas bien les conséquences, si la décision au fond va dans le même sens, Google serait obligé ad-vitam aeternam de fournir le service Google News ? Comment ça peut être possible une telle obligation, ça relève pas presque de la réquisition ?





Google News n’est pas le seul service Google concerné, d’après la décision de l’Autorité de la Concurrence. Google Search est aussi concerné par la décision, d’où (entre autres raisons) la qualification de la “position dominante”.



Cette mesure conservatoire n’est que provisoire en attendant la décision sur le fond. Mais si la dépendance de la presse vis-à-vis de Google venait à se confirmer, alors Google aura des obligations vis-à-vis de ses partenaires commerciaux (comme toute société en situation de position dominante en Europe).


Le 10/04/2020 à 13h 38

Un jour l’Europe saura réagir aux épidémies. Visiblement pas encore maintenant, vu ce que je lis ici et sur Twitter.




  Franchement, nous ne sommes que des gros prétentieux arrogants si nous continuons à polémiquer tantôt sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine, tantôt sur l'attente... l'at-ten-te... d'un vaccin qui nous sauveraient d'une épidémie.         






  AMHA, beaucoup de gens de chez nous devraient se réveiller (une épidémie n'attend pas le médicament ou le vaccin ou le prophète ou la personnalité providentielle), car ce n'est pas seulement le progrès technologique et la finance qui sauveront la petite personne de chacun d'entre nous en Europe : ce sont des médecins, des professions paramédicales, des équipements et des réflexes sanitaires qu'il faudrait adopter.

Le 10/04/2020 à 09h 10

Pourtant, ça paraît logique :





  • gris = bas débit &lt;512Kb/s

  • nuances bleues = haut débit &gt;512Kb/s et &lt;20Mb/s

  • nuances vertes = câble = très haut débit &gt;20Mb et &lt;1Gb/s

  • jaune = fibre = très haut débit &lt;1Gb/s



    débit maximum théorique (comme indiqué dans la légende).

Le 10/04/2020 à 07h 47

« Ainsi, l’internaute a désormais toutes les cartes en mains pour … »



Joli jeu de mot perdu au milieu de l’article, un peu à la manière d’un easter egg. :-)

Le 09/04/2020 à 23h 59

Olbatar, j’ai bien reçu ta notification, mais je n’ai pas envie de lire tes commentaires. Je les lirais peut-être à l’occasion si je m’ennuie pendant mon confinement. Pour le moment, je viens de terminer de regarder Blade Runner 2049 (plus de 2 heures, j’ai dû faire plusieurs séances) et je suis en train de lire un article sur les “couacs” de Zoom.

Le 09/04/2020 à 16h 43

“Si les chiffres ne mentent pas, il arrive que les menteurs chiffrent.”

&nbsp;(Jacques Duhamel, homme politique français)





  • Orange a commencé à déployer massivement son réseau de distribution en fibre FTTH, en remplacement de son réseau cuivre mal entretenu depuis des années, à partir du moment où SFR a fusionné avec Numericable en 2014.

  • Les réseaux 3G et 4G ont été massivement déployés grâce à la rivalité des 4e licences 3G et 4G accordées à Free mobile (pour rappel, la 4e licence a été créée pour forcer la main aux 3 larrons qui jouaient la montre comme le fait à sa manière Free actuellement).

  • Free mobile densifiera et déploiera massivement son réseau 3G lorsque son itinérance sur le réseau 3G de son rival et partenaire Orange se terminera entièrement et définitivement.



    Tous les opérateurs réagissent pareils : quand ils sont acculés, ils se mettent à renforcer leur infrastructure.

Le 09/04/2020 à 11h 56







Inodemus a écrit :



Il me semble que c’est ce que j’ai dit. Quant au respect des engagements, l’ARCEP y veille régulièrement, et va forcément le faire pendant l’examen de cette demande, c’est même l’objet de cette demande que de respecter ces engagements. Je ne vois pas l’intérêt par exemple de la phrase “Le 4ème opérateur n’investit pas suffisamment…”, c’est juste cracher gratuitement sans argumentation ni apport à la discussion. Si l’ARCEP veut juger du rythme des investissements de Free, il regardera l’évolution de sa couverture, selon tous les chiffres qu’il possède déjà.




      Je trouve juste leurs avis inutiles. Ils n'ont même pas l'air de se plaindre que ce soit Orange qui fournisse  l'itinérance et pas eux, visiblement ils n'ont pas envie d'assurer le   rôle d'Orange. Ils donnent l'impression de simplement venir casser les pieds à Free par principe et parce qu'on leur en donne l'occasion, sans pour autant que ça puisse leur rapporter quelque avantage si l'accord n'était pas signé.








   C'est pourtant vrai que "le 4ème opérateur n'investit pas suffisamment..." ou plus exactement qu'il joue la montre pour étaler ses investissements : l'intérêt de conserver l'itinérance Orange est de combler les petits trous de couverture et ainsi de ne pas avoir à se préoccuper de densifier son propre réseau. Pareil pour les zones blanches (non-couvertes).       






Faut-il rappeler que cette itinérance 3G a été accepté dans le seul but de mettre le pied à l'étrier à la 4e licence 3G ? Cette itinérance devait se terminer en 2016 (5 ans après la commercialisation de l'offre Free mobile). À titre de comparaison, un opérateur mobile déploie un réseau mobile sur plus de 90% du territoire hexagonal en 10 ans environ.      






  Cela-dit, tu es en droit de considérer qu'une itinérance sur un réseau tiers est normal et que l'avis de Bouygues et de Sfr n'a aucun sens. Moi, je ne suis pas là pour défendre des opérateurs mobile, je vois juste la situation de Free qui est très opportuniste. Iliad veut exploiter une licence mobile ? Alors que cette société l'exploite, ou alors qu'elle fasse comme EI Telecom ou comme Lycamobile, on ne peut pas jouer sur les 2 tableaux en même temps éternellement.        






  &nbsp;





Inodemus a écrit :



C’est normal de la part de l’ARCEP, mais ça n’oblige pas les autres acteurs à donner un avis négatif, pour quelque chose qui, me semble-t-il, n’a pas grande influence sur leurs affaires. Free est déjà installé et ne va pas disparaître si on lui refuse son contrat. L’itinérance concerne maintenant assez peu de personnes (c’est même eux qui le disent en parlant des zones denses), et si je ne me trompe pas, elle va être très limitée en débit et donc surtout là pour assurer le service téléphonique. Ce n’est pas comparable avec le service fourni sur un réseau propre et ne me semble donc pas constituer un danger de concurrence.





Je ne partage pas ton avis. Un réseau, ça se construit, ça se densifie, ça se déploie. Si une itinérance vient ralentir ce processus, c’est mauvais pour tout le monde (l’Etat, les consommateurs, etc).




  Bien sûr, Bouygues et Sfr ne vont pas couvrir Free de lauriers (la guerre des télécoms... personnellement, c'est pas mon problème). En revanche, moi je vois très bien comment Free s'endort sur ses lauriers au mépris de sa licence (ce qui n'exonère nullement les 3 autres de mépriser leurs obligations quand ils en ont l'occasion).

Le 08/04/2020 à 12h 10

Et pour ma part, je pense que le fait que 2 rivaux s’entendent entre eux (pour bénéficier, l’un d’une sécurité aux imperfections de son réseau, alors que l’objectif est le déploiement et la fiabilisation de 4 réseaux mobile en France, l’autre d’un contrat de prestation de plusieurs millions de lignes qui complète son chiffre d’affaire) était peut-être utile au départ, pour mettre le pied à l’étrier à Free mobile et lui permettre de prendre rapidement des parts de marché.



&nbsp;Mais aujourd’hui, même s’il y a prolongement du contrat, il serait bon d’y mettre quelques limites supplémentaires : faire un prolongement d’un an seulement, limiter l’itinérance 3G aux zones de populations les moins denses, etc.

Le 08/04/2020 à 11h 59

“Mais c’est quoi leur problème en fait, à part râler sur quelqu’un qui, d’après eux, fait moins bien qu’eux ? C’est un accord entre Free et Orange, ça ne les concerne pas.”



Il s’agit d’une consultation publique de la part de l’Arcep avant prise de décision. C’est plutôt sain d’entendre publiquement les avis des acteurs du marché.





“Free ne profite d’aucun avantage particulier de la part de l’Etat. Par le biais de cet accord, ils respectent les mêmes conditions que les autres.”



Je dirais plutôt que Free a des engagements envers l’Etat, notamment celui de construire un 4e réseau mobile 3G. Veiller au respect de ces engagements quand 2 acteurs du marché signent un contrat entre eux est plutôt dans l’ordre des choses.

&nbsp;



“Et si SFR et Bouygues considèrent qu’être autorisé à passer cet accord est un privilège, je serais excessivement étonné de penser qu’eux-mêmes auraient envie de passer un tel accord avec un de leurs concurrents. Râler parce que quelqu’un fait ce qu’on ne voudrait soi-même jamais faire, voilà qui est quand même bien étrange.”



Sfr et Bouygues ne considèrent pas l’itinérance de Free comme un “privilège”, ils commentent le contrat commercial que l’Arcep va étudier. Ce n’est pas étrange, c’est plutôt transparent comme démarche.

Le 08/04/2020 à 11h 13

“Orange qui, de son côté, utilisé cet apport d’argent pour améliorer son infrastructure”




 Orange se serait-elle engagée aux réinvestissement de son chiffre d'affaire avec son client Free ? Tu me l'apprends. ironie]       








 "Free paye pour profiter des antennes d’Orange qui, de son côté"       






 Free a une licence 3G et a donc une obligation de déploiement de son réseau. Il y a une incohérence dans les objectifs théoriques de Free et l'itinérance demandée. Ça lui sera reproché tôt ou tard par l'Arcep/Etat.       








 "Donc d’un côté on a Free qui finance l’infrastructure d’Orange, de l’autre Bouygues et SFR qui partage les couts. Ce qui revient au même au final."       






 Je reformule : donc d'un côté on a Free qui ne s'embarrasse pas à fiabiliser, densifier et déployer son réseau dans l'urgence, de l'autre Bouygues et SFR qui partagent des investissements (les coûts, c'est autre chose: c'est quand on achète une prestation ou un consommable).        








 "On pourrait même dire qu’il y a actuellement deux infrastructures: Orange/Free et Bouygues/SFR"       






 C'est étrange, moi, je vois toujours 4 infrastructures. Mais tu m'apprendra peut-être que Free a vendu son réseau 3G à Orange et que l'Arcep a autorisé le réseau Crozon à s'étendre à l'ensemble de l'Hexagone ?       








 Non, non, ça ne revient absolument pas au même, ou alors je raisonnerais comme toi dans l'autre sens en prétextant que [EI Telecom (Nrj mobile, etc) finance en tant que full-MVNO les réseaux de Orange, Bouygues et Sfr. Ce qui n'a aucun sens.

Le 08/04/2020 à 10h 33

Contrat d’itinérance = MVNO

Réseau mutualisé = déploiement d’infrastructure



Dansle cas de Free, l’opérateur bouche ses trous de couverture et ses zones blanches grâce à un réseau tiers (réseau Orange), alors que Bouygues et Sfr co-investissent ensemble.



Le 1er est un Mvno qui achète une prestation et de la bande passante, les 2ds sont des opérateurs de réseaux qui fiabilisent le réseau.

Le 09/04/2020 à 15h 51

J’apprends à l’instant, grâce au nouveau Tous les forfaits, que Orange propose une offre promotionnelle 2H 100 Mo… moins chère que Sosh ?… #WTF Maintenant Orange challenge Sosh ?



Et encore une autre remarque : offres les plus populaires sur le nouveau Tous les forfaits :

&nbsp;1- Free mobile “Free Série Spéciale”

&nbsp;2- Auchan Telecom “Série limitée”

“Série” is the new name of “offre spéciale”, dépêchez-vous d’en acheter ? <img data-src=" />

&nbsp;

Enfin, Ei Telecom, Afone et Prixtel sont dans le top 5, et sauvent l’honneur des MVNO.



Voilà, c’était mon commentaire pour la journée.

Le 09/04/2020 à 10h 57

Rassurez-moi, c’est une discussion entre Franciliens, n’est-ce pas ?



Je ne peux pas imaginer autant de rancœur dans nos régions de France et de Navarre.



(notez la référence à Henri IV… le huguenot… l’Édit de Nantes… #toussa)

Le 09/04/2020 à 08h 39

C’est là qu’on voit les départements de migration (tourisme d’affaire, tourisme de loisirs, métiers saisonniers) et les départements de résidence (agriculture, industrie).



Notamment, on voit la différence entre Paris et le reste de l’île-de-France, ou encore l’Ain coincé entre Lyon et les 2 Savoie.

Le 09/04/2020 à 08h 55

Pour se connecter à WhatsApp web, il faut connecter l’application mobile en même temps. Certes, ça s’affiche sur l’écran d’ordinateur.

Le 08/04/2020 à 13h 06

Si tu voulais lire un dossier de presse ou une encyclopédie, c’est clair que tu peux être déçu. Maintenant, si l’article ne te plait pas, tu peux en écrire un et le proposer au magazine Next inpact #2, je serais INtéressé de le lire.

Le 07/04/2020 à 15h 52

Toi, tu n’as pas connu le début des années 1990, les pagers, les cabines téléphones (avec Télécarte, le sommet de la technologie de l’époque), je me trompe ?



Ou alors, relis la 1ère partie intitulée « Le bon vieux temps des pagers et du Bi-Bop à 1 890 francs ».

Le 07/04/2020 à 15h 43

J’ai bien compris que tu te plaçais d’un point de vue technique, moi je parlais des usages. Et j’ai même utilisé les mots “prémisses” et “précurseur”, en sachant pertinemment que quelqu’un ici allait tiquer. C’est comme lorsque je parle du Minitel, ou lorsque je viens parler réseau : il y a comme une frontière idéologique à ne pas dépasser ou une incompréhension de points de vue.




Et quand je pense aujourd'hui qu'on attend la 5G, et que je vois peu de gens lever son bouclier (en l'occurrence ici même dans les commentaires de Next inpact)... je me dis : soit j'ai mal compris comment fonctionne techniquement la 5G, soit nous allons tous nous retrouver avec une sorte de Minitel mobile qui pilotera tous les objets (smartcities, safecities, IoT, etc). Ce que Google et Apple ont rêvé, Orange et T-mobile vont le faire en Europe pour leur plus grand profit. Mais je me trompe sûrement partiellement car je me place clairement sur une analyse sociologique et d'usages plutôt qu'une analyse technologique : la rivalité Bi-Bop/GSM passe clairement au dessus de ma réflexion... Bi-Bop, i-mode, WAP, etc, toutes ces tentatives technologiques qui ont échoué ont quand même marqué l'histoire. Et que la 5G soit un succès ou un échec, il s'agit d'une nouvelle tentative du même ordre (comme la Livebox virtuelle, les assistants vocaux, etc).

Le 07/04/2020 à 10h 56

ça n’empêche que par rapport à Radiocom 2000, le Bi-Bop se rapproche plus du GSM et du Wifi public dans ses usages.



La comparaison avec le téléphone DECT est intéressante (même si à part le Bi-Bop, je ne vois pas d’autres usages publics qui s’en rapprochent).

Le 07/04/2020 à 09h 54

En même temps, je ne sais pas si tu as déjà utilisé le Radiocom 2000, mais l’expérience sonore ressemblait plus à une CB qu’à la téléphonie mobile. En plus du son pourri, Radiocom 2000 était plus un téléphone de voiture qu’un téléphone portatif (j’imagine, du fait de son poids et de son encombrement).




Au contraire, le Bi-Bop avait le son numérisé, les piétons étaient capables de s'en servir sur le trottoir, sur une terrasse de café, etc. C'était les prémisses, le précurseur du mobile GSM (le téléphone sans fil qu'on utilise sur l'espace publique), et je dirais même le précurseur du Wifi public.

Le 08/04/2020 à 12h 25

Pour info, la France est au Stade 3 de l’épidémie (circulation du virus sur l’ensemble du territoire hexagonal) depuis le samedi 14 mars 2020.

https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-la-france-est-desormais-au-stade…

Le 08/04/2020 à 00h 41

C’est beau tous ces commentaires qui se cherchent des boucs-émissaires pour justifier leur propre comportement. Une crise de moralité, en plus de la crise sanitaire, pour les néo-conservateurs VS les ultra-conservateurs de tout poil ?

Le 08/04/2020 à 00h 29

Dans l’expérience de Milgram, il y a la notion de porter préjudice à une tierce personne.



Dans le cas présent, à la limite, on peut craindre que la police recense à terme les sorties des individus utilisant cette attestation de déplacement dérogatoire numérisée.

Le 07/04/2020 à 19h 49

Dire que, perso, je garde mes téléphones mobiles au moins 7 ans, sauf 2 téléphones: 1 que j’ai perdu ou qu’on m’a volé dans ma poche, et 1 autre qui a pris la pluie.




 C'est très personnel, mais je me passe très bien de la 4G LTE advanced (j'y gagne quoi? youtube en HD, télécharger des pdf en quelques secondes...). La 5G ne me sera pas plus utile que le "sans contact" de ma carte bancaire, c'est-à-dire quelques services du genre assistant vocal à fonctionnalités ajoutées ou commande express chez Deliveroo ou signature à distance d'une lettre recommandée à La Poste (ou que sais-je les services qui seront encore inventés par le marketing des marques et des opérateurs mobile...).       






 Donc, mon prochain mobile, si je renouvelle l'expérience (il n'est pas dit que cet usage finisse comme mon usage de la TV, surtout si le pistage de l'Etat vient renforcer le pistage commercial avec la crise sanitaire et économique actuelle), sera basiquement basique : voix, Sms, mail, web, progressive web app (Pwa) si ça se démocratise #épicétou (ce sera un appareil acheté sur Backmarket, AfBshop ou Leboncoin, donc grande chance que ce soit un vieux modèle d'iPhone ou de Samsung).

Le 07/04/2020 à 10h 44

D’après mon expérience personnelle de la marque Alcatel, la stratégie commerciale de TCL n’est pas de présenter un modèle par gamme d’appareil, mais plutôt de présenter différents types d’appareils et de voir ceux qui se vendent et ceux qui ne se vendent pas (idem pour ce qui est des coloris de coque).



En gros, tous les modèles d’appareils présentés à la presse seront en vente au départ et quelques semaines ou mois plus tard ne seront en vente que les modèles qui valent la peine d’être produits à grande échelle (sous marque blanche d’opérateurs comme Orange ou Bouygues et comme marque TCL).

Le 07/04/2020 à 15h 18

Que ce soit possible, je veux bien le croire (merci pour l’ordre de grandeur). Ca ne dit pas que ce soit constant, partout disponible… et prévu aux CGV. Et surtout que ce soit pertinent d’utiliser un smartphone pour ce genre d’usage (je ne vois que le streaming vidéo et le téléchargement de gros fichiers).



En plus de ça, à moins de changer de smartphone tous les 2 ans, je ne pense pas que ce soit des usages conseillés (mais, chacun son point de vue sur ce dernier point).

Le 06/04/2020 à 13h 05

OK pour ceux qui consomment de la vidéo quotidiennement (il faut être un acharné de la SVOD quand même, sans jugement de valeur de ma part).



  &nbsp;        



En revanche, pour ceux qui se déplacent beaucoup ou qui travaillent en télétravail, je n’ai aucune idée de grandeur de la consommation en données de ces usages (j’imagine mal qu’on fasse 2 ou 3 heures de visio par jour quand même ou des transferts énormes en téléchargement ou en téléversement chaque jour). Et ce n’est pas un bureau à distance ou une consultation de sites web effrénée qui consommera des dizaines de Go par mois (en tout cas, ça m’en boucherait un coin).




  Et pour la 4G qui remplace un ADSL pourri, il y a la 4G fixe. La 4G mobile n'est pas prévue pour un usage fixe (ça risque grandement de saturer au bout d'un moment : c'est pas du fair use officiel, on va dire que c'est un ménagement de la bande passante partagée entre clients d'une même zone).        






  Cela-dit, je veux bien que des témoignages concrets m'expliquent si des gens arrivent à consommer plus de 60 Go par mois avec un forfait mobile et comment ils en sont arrivés à ce résultat (franchement étonnant pour moi s'il s'avèrerait effectif).

Le 06/04/2020 à 12h 54

En même temps, la 4G fixe n’est pas un usage mobile.

Le 06/04/2020 à 16h 17

Si j’en crois le billet de blog de Mozilla, c’est Twitter qui n’a pas pris en compte un standard du web. Je cite : « la gestion de cache est complexe et chaque navigateur se comporte un peu différement. De la façon particulière dont Twitter a configuré son site, Chrome, Safari et Edge ne mettent pas ces données en cache, mais Firefox si. La différence de comportement des navigateurs est tout simplement normale. Une méthode standard permet de s’assurer que les données ne sont pas mises en cache, mais jusqu’à récemment Twitter ne l’utilisait pas. »



Tu me répondras peut-être que Mozilla et Twitter se renvoient la balle et que c’est un peu facile d’accuser l’autre de faire une erreur. Tu me diras peut-être aussi que ce n’est pas un hasard si Chrome, Safari et Edge fonctionnent de la même manière puisque ces navigateurs utilisent le même moteur de rendu (ou quasiment le même). Mais même en partant de l’hypothèse que Firefox est isolé dans son fonctionnement si singulier, peux-tu m’expliquer pour quelle raison Google, Apple et Microsoft s’échineraient à participer au W3C si c’est pour obéir à un fonctionnement différent d’un standard édicté (où est l’intérêt? ça me semble être un comportement paradoxal, une “dissonance cognitive” comme diraient d’autres).

Le 06/04/2020 à 15h 56

Tu as l’air de considérer que Google, malgré le fait de participer activement au W3C, serait capable de refuser occasionnellement un standards qu’elle a participé à établir, en vertu du privilège de la force de



 frappe de son navigateur :       






 1- Explique-moi donc la logique dans ce cas à  participer à quelque chose et d'en ignorer les principes (en sachant que Microsoft ou Apple seraient enclins dans ce même opportunisme à faire de même) ?        

2- Dans cette hypothèse (qui me semble étrange, mais admettons), dit-moi où tu as lu que Google avait délibérément refusé un standard édicté au sein de la W3C du fait que ça l'arrangeait ?






 En fait, je n'ai pas lu la même chose que toi, je pense que tu te trompes. Ce que dit l'article de blog de Mozilla (dernière phrase notamment), c'est justement que déterminer un standard est important pour permettre aux développeurs d'éviter les erreurs du genre qu'a commis Twitter. Je cite : « En tant que développeur de logiciels, je sais que ce genre de choses est facile à faire&nbsp;: le Web est compliqué et il est difficile de tout savoir à son sujet. Mais c’est aussi un bon rappel de l’importance de disposer de standards pour le Web plutôt que de compter uniquement sur ce qu’un navigateur particulier fait par hasard. »

Le 06/04/2020 à 10h 45

Si j’ai bien compris la conclusion du billet de blog de Mozilla, c’est bien parce que, dans le cas présent, il ne s’agit pas d’un standard que Twitter s’est trompé.



En fait, si j’en crois Wikipedia, Microsoft, Google, Apple, Opera font partie, comme Mozilla, du consortium W3C, donc ces éditeurs édictent et obéissent aux standards de la W3C qui a donc valeur d’autorité normative de ce fait (en tout cas pour ce qui les concerne).

Le 05/04/2020 à 09h 00

Effectivement, ça me fait penser à Lycamobile (fullMVNO) que j’utilisais il y a quelques années et qui affichait le symbole d’une itinérance sur l’écran du téléphone.



(car si j’ai bien compris, un fullMVNO détient son propre coeur de réseau et utilise le réseau d’antennes-relais de l’opérateur-tiers… ce qui explique, sauf erreur de ma part, l’interprétation du téléphone comme étant de l’itinérance)

Le 04/04/2020 à 16h 53

Ca s’appelle comparer l’incomparable : les situations que tu compares sont différentes (et je ne dis pas ça pour dévaloriser les performances de Free, j’en ai strictement rien à faire, j’ai fait le tour des réseaux dans ma vie, c’est seulement la même chanson à chaque fois).



Et, pour le dire franchement, tu m’amuses avec ton “Y’a qu’à, faut qu’on ?” : si on écoute les opérateurs (Free ou les 3 autres), il faudrait leur faciliter la tâche parce que, hou la la, malgré l’expertise et la performance dont ils font preuve chaque jour, mon dieu qu’on leur leur met des bâtons dans les roues… moi je répondrais : putain, mais faites votre métier et arrêtez de réclamer des avantages pour bonne conduite ! Arrêtez de négocier comme des marchands de tapis.



J’ai jamais vu un boulanger réclamer des avantages parce qu’il est “meilleur ouvrier de France”, il affiche sa distinction à la vitrine et il continue de satisfaire ses pairs et sa clientèle en étant fier de rester exemplaire. Faites pareil : élisez chaque année le meilleur réseau de France, respectez votre licence d’exploitation et lâchez la grappe à l’Etat !

Le 04/04/2020 à 10h 48

Si je comprends bien, entre la 2G et la 3G, il y en a 1 de trop, mais on ne sait pas encore lequel… Parce que je me pose maintenant la question : l’itinérance 2G de Free (incluse dans sa licence 3G), elle est bien prévu de s’éteindre un jour ? ou c’est sujet à prolongation ad vitam æternam selon le choix du détenteur de cette licence ?

Le 04/04/2020 à 10h 42

OK, merci pour cette précision. :-)

Le 04/04/2020 à 10h 40

OK, merci de la rectification.

Le 04/04/2020 à 08h 36







Soriatane a écrit :



… Pour la 2G, je trouve que si Free s’en passait cela servirait d’expérimentation. Mais comme Free Mobile le fait remarquer, il risque d’avoir des difficultés pour joindre les urgences dans certaines zones.





Les appels vers les numéros d’urgence accrochent n’importe quel réseau disponible. Donc ce n’est le soucis.



Pour ce qui est de l’expérimentation de la fin de la 2G, Iliad n’en a rien à faire, la société n’est pas concernée (ce serait même une raison de plus de prolonger l’itinérance pour ne pas donner des éléments de réflexion aux 3 autres à ce sujet).


Le 04/04/2020 à 08h 19

Sans itinérance 3G, il y a beaucoup d’usages qui disparaissent : Mms, appli Gps, mail, etc. Le but de Free est de permettre les usages sans avoir à être dans l’urgence de combler les trous de couverture et sans avoir à négocier une mutualisation d’une partie de son réseau dans des conditions qui pourraient être défavorables.

Le 04/04/2020 à 08h 10

Tout ça pour combler les trous de couverture et les zones blanches en voix+Sms…



Et le prétexte du réseau Crozon qui revient… Crozon est un réseau mutualisé qui a une vocation perenne (infrastructure co-investie), rien à voir avec l’itinérance sur un réseau tiers (Mvno).



Personnellement, j’espère qu’au moins la prolongation sera réduite à un an. Mais ces opérateurs savent tres bien s’entendre pour négocier un petit bonus, malheureusement.

Le 03/04/2020 à 19h 20

Le métier d’un opérateur télécom est d’interconnecter ses clients. Si le peering est trop cher alors l’opérateur dimensionne son réseau autrement. Si c’est pas possible, alors l’opérateur change de métier.



Si le boulanger fait du mauvais pain et qu’il dit que c’est la faute au meunier qui livre de la mauvaise farine, alors c’est un mauvais boulanger et il doit changer de métier.



Le seul risque d’un opérateur réseau face au streaming vidéo est de dimensionner son réseau et ses interconnexions aussi vite que le développement du streaming vidéo s’accroît. Si ce n’est pas possible, il interdit le streaming vidéo (streaming=diffusion, ce n’est pas de l’internet, la preuve: Netflix se connecte localement dans les régions de France au même titre que le broadcasting des box opérateurs français).