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1298 commentaires

Le 18/04/2020 à 10h 57

Mais Turon35 est abonné actuellement, contrairement à toi. Je ne sais pas si c’est savoureux… en fait, c’est très français de comparer les étiquettes ou d’en mettre là où il n’y a pas lieu d’en avoir.

Le 18/04/2020 à 10h 41

« - soit tu considères que le statut d’association reconnue d’utilité publique doit être réformé Complètement ! beaucoup (mais alors beaucoup) d’asso loi 1901 profitent du systeme pour de l’argent facile.   

Et je rejoins neointhematrix

Lecteur assidu de INpact Hardare, puis de PCInpact ou j’ai décidé de m’inscrire, je ne me retrouve plus du tout non plus dans votre ligne éditoriale depuis NXI ou dans votre Fonctionnement monétisé. Je vous laisse me cracher dessus à défaut de me faire Sworder =) »



Ça, ça s’appelle donner son avis. Et je ne vois pas pourquoi tu te ferais “Sworder” ou cracher dessus pour ça.





« Si je me sentais d’humeur capilotractée je dirai que le financement de C par A en passant par B, et que l’opération fait gagner  de l’argent à A,B et C ressemble à s’y méprendre à du blanchiment d’argent sur d’autres secteur d’activité ^^ »

 

 Je te laisse l’expression “blanchiment d’argent”. Moi, j’appelle ça au pire une “niche fiscale”ou au mieux un “avantage fiscal”. L’argent est un flux financier, on le prend quelque part et on le donne ailleurs (ou on le thésaurise… mais là, on ne fait plus tourner l’économie).



Pour ce qui est de mon propos, ce n’est pas ça que je reproche à fred42. Je lui reproche de comparer 2 dispositifs fiscaux en occultant le fait que l’un est dédié à un secteur d’activité, alors que l’autre est une disposition fiscale plus globale prévue pour financer des organisations à but non-lucratif (dont ne fait pas partie Next inpact). Autrement-dit, qu’un organisme non-lucratif serve à financer un organisme commercial, c’est plutôt fréquent, voire banal. Le reprocher vertement à Next inpact, c’est débile puisque Next inpact ne perçoit pas de don (défiscalisés ou non). Et l’assimiler à une subvention directe ou à un crédit d’impôt, c’est occulter l’avantage spécifique donné à un secteur d’activité.



Donc, si toi ou fred42 avez un problème avec ce dispositif fiscal, c’est votre avis fort respectable (d’ailleurs, je serais également favorable à une réforme des dons défiscalisés mais c’est un autre débat). En revanche, c’est jouer au crétin de jeter le bébé avec l’eau du bain, en racontant qu’il y a une similitude entre recevoir un avantage fiscal direct, et recevoir une aide d’une association reconnue d’utilité publique (quand bien même celle-ci soit partiellement ou totalement aidée par un financement par dons défiscalisés).



J’ai seulement connu fred42 plus pointilleux en matière juridique. Mais visiblement, le droit fiscal doit lui poser soucis… son raisonnement devient passablement plus léger quand Next inpact lance des appels aux dons ou quand Next inpact fustige une recommandation fiscale favorisant un mode de financement particulier dans un secteur d’activité qui concerne Next inpact directement. Je demande juste à fred42 de faire preuve de la même précision dans son raisonnement qu’il l’exige de ma part.

Le 17/04/2020 à 21h 00

“moi je compare des choses similaires : des rentrées d’argent pour la presse qui sont subventionnées fortement par l’impôt que ce soit des dons ou de la publicité. Donc, je ne fais pas d’amalgame. J’espère que tu comprends mieux maintenant que j’ai détaillé.”



Oui, j’avais bien compris. Pour toi, les dons défiscalisés et les crédits d’impôt, c’est la même chose. Moi, je dis juste qu’il y a une légère nuance qui fait toute la différence (don défiscalisé = association d’utilité publique)



Quand l’AFM verse les sommes du Téléthon à un centre de recherche, ce n’est pas un avantage fiscal spécifique ni aux centres de recherche, ni à la recherche médical. C’est un avantage fiscal accordé au donateur pour lui permettre de faire vivre ses centres d’intérêts (que ce soit la recherche contre les myopathies, une radio associative locale, un médias en ligne, un parti politique, un culte religieux, …).



Si tu ne peux pas comprendre ça, je ne peux rien pour toi (et je n’ai plus rien à ajouter).

Le 17/04/2020 à 20h 46

Désolé, Next inpact ne perçoit pas de dons défiscalisables, ce n’est pas possible.




 C'est l'association J'aime l'info association loi 1901 reconnue d'utilité publique qui, de ce fait, a droit aux dons défiscalisables.        

 https://www.jaimelinfo.fr (je ne vais rien mettre en gras,  tu suis le lien et vérifies si besoin).






 Alors je dis simplement que :     




  • soit tu considères que le statut d’association reconnue d’utilité publique doit être réformé,

  • soit tu fais un grand écart, que je ne suis pas prêt à faire avec toi, entre un crédit d’impôt réservé à un secteur d’activité et un don qui permet à des contribuables d’aider financièrement des associations qui défendent leurs valeurs (que ce soit Reporterre, J’aime l’info, Civitas, LREM, l’ARC, le Téléthon, les Restos du Coeur,…)

Le 17/04/2020 à 13h 24

Aucun soucis, je ne te reproche pas d’avoir un avis. Je t’ai seulement indiqué où se situent les articles qui semblaient t’intéresser. Tu as écris : “des articles qui ne touchent plus du tout au numérique”, désolé c’est complètement faux.



Et désolé à nouveau, moi, quand un article ne me plait pas, je ne le lis pas. C’est plus simple que de me plaindre… ou alors j’exprime des points de désaccord sans dire que c’est de la merde. Mais chacun est différent.  Désolé encore une fois si j’ai semblé agressif.

Le 17/04/2020 à 13h 15

Les dons défiscalisables concernent les associations d’utilité publiques. Ce que tu expliques là, je l’ai bien compris, mais une association qui défend la pluralité de la presse est d’utilité publique…




    Next inpact n'est pas une association (donc ne perçoit pas directement de dons défiscalisables), et Reporterre est une association loi 1901 reconnue d'utilité publique (donc pas un organisme à but lucratif). Si le statut d'utilité publique de cet organe de presse te gène, c'est ton avis (il existe pléthore d'associations reconnues d'utilité publique en France avec lesquelles je ne partage pas les mêmes valeurs, ça n'empêche que l'Etat leur reconnait une utilité publique pour leurs actions dans la société).           






    Donc, désolé, je ne comprends toujours pas cet amalgame entre un crédit d'impôt dans un secteur d'activité en particulier, et la défiscalisation des dons  aux associations d'utilité publique.

Le 17/04/2020 à 13h 01

1- à titre personnel, je suis d’accord avec ça.

 

2- une information peut (et doit) se traiter d’une manière différente. Or, en l’occurrence, ce n’est pas le cas. Que la même information passe sur BFM et sur TF1 en même temps, avec le même traitement de l’information, c’est comme un paquet de lessive : seul change l’emballage. A un moment, il faudrait peut-être mettre un peu plus d’assouplissant ou un peu moins d’agent blanchissant (voire inventer une lessive spécifique pour un textile en particulier) de temps en temps pour être bien informé ou simplement pour varier la façon de regarder cette même information.

 

3- c’est toi qui l’entend comme ça. Un journaliste a sa propre opinion, qui n’est pas forcément celle de sa rédaction, qui n’est pas forcément celle de son directeur de publication, qui n’est pas forcément celle de son actionnaire principal. L’information traitée, l’est grâce à l’alchimie de l’ensemble de ces paramètres qui permettent de fournir un produit fini qui ressemble plus ou moins à une information compréhensible, à jour et évitant les écueils de conflits d’intérêts, de biais de raisonnements, et de (auto)censure (le “gros mot” à la mode qui renferme tellement de nuances et de complexités).

Le 17/04/2020 à 12h 40

Alors, désolé mais Next inpact parle de numérique quand bien même le site se diversifie vers le droit du numérique et l’économie du numérique. Je ne vais pas te faire l’injure de citer les rubriques afférentes, si ?

&nbspnextinpact.com Next INpact&nbspnextinpact.com Next INpact … Je continue ?

Le 17/04/2020 à 12h 34

Personnellement, je ne comprends pas ton argument sur la défiscalisation des dons. Sauf erreur de ma part, la tribune ne parle pas des dons aux associations d’utilité publique (quand bien même tu y es opposé par ailleurs).

Le 17/04/2020 à 12h 29

 https://www.inpact-hardware.com

Le 17/04/2020 à 10h 36

Je suis d’accord, il y a divertissement et réflexion. Cela-dit, je ne suis pas d’accord sur le fait qu’on puisse réfléchir avec un média qui diffuse plus d’un tiers de publicité parmi les contenus publiés (en plus du subventionnement d’actionnaires dont les intérêts sont déjà trop impliqués avec les intérêts de l’Etat). Autrement-dit, avec Netflix, on peut ressortir plus instruit qu’avec France 5 sur les horaires à forte audience (à fort taux de diffusion de publicité).




Bref, il s'agit ici surtout de pluralité de la presse et de ne surtout pas consommer ni la "culture" (comme on désigne le divertissement en France), ni l'information (je ne vais pas ressortir la phrase de Patrick Le Lay, ça ferait trop    cliché, et pas parler non plus du surendettement d'une grande partie de    la filière de distribution de la presse écrite, ce serait enfoncer le couteau encore plus profond dans le désastre que connait la presse actuellement).

Le 17/04/2020 à 10h 08

Netflix est consultable par abonnement, et il y a des fictions et des documentaires intéressants (par ex. en ce moment, La plateforme, un film espagnol qui montre des aspects de notre société).




 Pour ce qui est de la presse mainstream, c'est cocasse de se faire financer par l'Etat, par des industriels souvent en contrat avec l'Etat... et par la publicité (les annonceurs qui parlent aux consommateurs).      





En plus, il faudrait encore donner des crédits d’impôt pour qu’il y est encore plus de publicité dans les médias et des taxes sur les Gafam pour encore plus de revenus contributifs basés sur la publicité ? Désolé du “spoiler” : le contribuable et le consommateur que nous sommes tous, paie déjà horriblement cher cette presse mainstream qui se ressemble beaucoup trop dans ses contenus et ses façons de faire du journalisme (oui, oui, il y a encore quelques articles de vrai journalisme dans le lot d’articles publiés par la presse mainstream).

Le 17/04/2020 à 20h 16

Je retiens ce commentaire que je trouve très optimiste (j’ai touché du bois). Franchement, je suis capable de te le ressortir dans quelques mois (si j’ai toujours gardé le réflexe de lire Next inpact jusque là).

Le 17/04/2020 à 20h 06

Je suis désolé, mais cette annonce d’application #StopCovid a surtout une utilité politique actuellement (ça changera peut-être quand elle sera disponible, et je l’espère vivement, pourvu que ça sauve des vies et simplifie la vie de tout le monde).



Bref, il s’agit pour le moment d’un projet qui sert à communiquer sur une action positive du Gouverment après le fiasco (oui, le fiasco) de la pénurie de masques et l’injonction de sa soit-disant inutilité.

Le 17/04/2020 à 19h 58

Je serais d’accord avec toi si, d’une part la contagion se produisait en quelques dizaines de secondes, et d’autre part, si la future application est capable de mesurer avec précision la distance véritablement capable de générer une contamination.




  Dans la réalité, pour que la contamination se produise, il faut plusieurs minutes de présence à moins d'1 mètre (on parle fréquemment de 15 minutes d'exposition, c'est peut-être moins ou plus, peu importe), ou alors il faut parler avec la personne, ou encore toucher un objet (une poignée de porte par ex.) préalablement touchée par une personne infectée et porter ensuite sa main sur sa muqueuse (bouche, yeux, etc).        






  Voilà la situation. Je ne voulais pas laisser entendre que collecter de la "data" sur les contacts du quotidien serait inutile (ça peut servir de bloc-note ou post-it numérique, et peut-être que collecter ces données peut éventuellement enrichir une base de données qui permettrait d'identifier plus facilement les personnes infectées plus rapidement).         






  Je veux seulement dire qu'il y a des alternatives plus simples pour se prémunir qu'une application mobile qui reste encore à développer : masque pour tout le monde, distance sanitaire de plus d'un mètre et ne pas parler aux gens en proximité. C'est tout de même plus simple et tout aussi efficace qu'une application qui m'apprendra après coup que je suis contaminé (enfin... peut-être contaminé).

Le 17/04/2020 à 16h 01

Les individus ont plus sûrement un médecin traitant et une mémoire naturelle, qu’un smartphone capable de retrouver des contacts sans capacité à les géolocaliser et les identifier.




 M'est avis qu'on va réinventer le fil à couper le beurre, mais ce sera numérique et sans contact, donc ce sera plus moderne.       

 

 https://www.youtube.com/watch?v=G3L-hqyd-eQ (j'ai pensé à ça - film de 1994)



 



Mais bravo aux équipes qui découvriront une telle application mobile,  en espérant qu'elle arrive avant le vaccin... un peu de challenge pour  motiver les troupes. ;-)

Le 17/04/2020 à 17h 36

Si je me fais voler mes billets, je pleurerais sur moi-même. Si je me fais voler ma CB, je me ferais mettre en attente par ma banque (d’autant que pour 50€, la banque espère bien que je l’oublie). Des 2 hypothèses, je préfère largement la 1ère.



As-tu déjà demandé un remboursement ou une indemnisation à une banque ou à une assurance ? Si oui, combien de temps t’a-t-il fallu pour obtenir le moindre versement ?



Bref, encore une fois, le risque zéro n’existe nulle part, peu importe la probabilité de me faire rembourser ou indemnisé par la banque.

Le 17/04/2020 à 17h 25

La vente en ligne est un usage consenti et utile (qu’on peut d’ailleurs se refuser d’utiliser), alors que la CB sans contact est un usage quasi-obligé et simplifié (dans la pratique de l’acte d’achat, parce que dans le fonctionnement technique d’une CB, c’est une complexification).




À titre personnel, j'ai une Visa electron justement pour éviter le "sans contact",  et j'ai une CB de néobanque pour payer en ligne (car c'est vraiment sécurisé d'utiliser une CB avec 3DSecure ou toute autre solution d'authentification à plusieurs facteurs).   Plutôt que faire la promotion forcenée d'un usage "sans contact" soit-disant sécurisé, les banques devraient AMHA faire la promotion d'un paiement en ligne vraiment sécurisé (ou avec remboursement automatique en cas de fraude).      






La CB sans contact sert surtout à augmenter le nombre de transactions, et donc le chiffre d'affaire des intermédiaires bancaires. C'est l'avantage prioritaire du "sans contact". Alors quand ma banque ou le commerçant me parle du "sans contact" parce que soit-disant plus rapide, pratique ou encore sécurisé, c'est comme sa carte de fidélité, je dis "non" à chaque fois comme un perroquet.      






Bref, c'est gavant (au sens quasi littéral du terme) d'entendre dire que c'est sans risque, sans problème, sans attente, ... .... de payer par sans contact. Et c'est surtout du prosélytisme sans effet positif sur ma personne (je parle pour moi).

Le 17/04/2020 à 14h 39

Autant je veux bien croire ce que tu dis, autant :



  1- je ne crois absolument pas au risque zéro,        

 2- on n'aurait, du fait de cette sécurité et cette praticité accrues, plus le choix que d'opter pour ce mode de paiement (le nombre de commerçants qui me demandent "sans contact?" au moment du paiement, ça me fait l'effet désagréable du fameux "vous avez la carte de fidélité?" au supermarché).

 

Et tout le problème est dans le point #2. Personnellement, je préfère payer en espèces. C'est symbolique de l'échange et c'est universel (quand j'aide un SDF, je ne lui demande pas son TPE).






     Alors, le "sans contact", 1- il me prive de donner un objet contre un autre, 2- je n'ai même plus de signature (code secret) à faire pour acter mon accord à la transaction (ça se passe entre la banque du commerçant et ma banque).           





Last but not least, l’argument de la rapidité du paiement me fait grassement rigoler : à chaque fois que j’ai eu à payer en CB sans contact, il a fallu attendre aussi longtemps sinon plus qu’un paiement CB ordinaire. Il faut dire, à la décharge de ce mode de paiement, que j’utilise une CB de néobanque mobile, peut-être que les CB sans contact des Banques populaires ou du Crédit mutuel sont plus véloces qu’avec l’entrée du code secret du porteur de la carte.

Le 17/04/2020 à 07h 04

Pour le coup, j’en vois qu’un seul râler, c’est toi. Il suffit de critiquer quelque chose et ça te fait râler. Fais quelque chose d’utile, donnes-nous ton avis au lieu de venir râler à chaque fois sur l’avis des autres (dire que les pharmaciens ne vendent pas de “masque lavable” parce que c’est comme ça, ce n’est pas un avis, c’est une contradiction stupide, oui stupide, surtout pour un type qui est allé à l’école après le bac). Va de l’avant.

Le 16/04/2020 à 17h 49

Moi non plus, je ne peux rien pour toi si tu es aussi rigide dans tes raisonnements et ta sociabilité, pourtant je vis dans la même société que toi. La preuve, je lis tes réactions et je fais même l’effort de te répondre. Le fait que tu installes une application ou que tu utilises un iPhone impacte forcément la société dans laquelle je vis, a forciori si l’Etat a besoin du Parlement pour permettre la mise en place de ce comportement social.



Mais tu as raison, intrinsèquement, ca ne va pas bousculer ma vie si tu fais des sextape ou si tu donnes ton consentement à l’utilisation des données de ton smartphone par le ministère de la santé (tu fais bien ce que tu veux de ton cul, ça ne me regarde pas).

Le 16/04/2020 à 08h 54

 nextinpact.com Next INpact



Si la référence ne te plaît pas parce que tu veux bouder et faire ton caca nerveux avec des détails à la con, tu peux te débrouiller tout seul à chercher tes sources (le scepticisme, c’est bien quand c’est utilisé à bon escient).

Le 16/04/2020 à 08h 50

Je suis rassuré si c’est volontaire, c’est pas comme si nous étions tous en interdépendance dans la même société.

Le 16/04/2020 à 15h 19

Tu sais, c’est Olbatar… Il a ses marques fétiches. Il s’achète sûrement ses téléphones dans la boutique Free où les iPhone ne sont vendus qu’à crédit ou en location (j’imagine que ça lui fait bizarre de voir un prix d’entrée de gamme à 500€).

Le 16/04/2020 à 15h 13

Alors je serais d’accord toi, si un appareil proposait un “double eSIM”.



 Pour le moment, c’est juste du bricolage… c’est comme si tu me vantais un appareil “batterie amovible” alors qu’il y a des attaches par visses et 2 mois d’attente en SAV pour changer la batterie.

Le 16/04/2020 à 15h 05







Olbatar a écrit :



Disons plutôt que sans 5G ça ne sera clairement pas un smartphone qui tiendra 6 sans problème puisqu’il va rapidement devenir obsolète.





A moins de jouer à WOW avec une connexion mobile, personne n’a besoin de la 5G sur un ordiphone, ni aujourd’hui, ni dans 10 ans (date à laquelle la vraie 5G se democratisera d’ailleurs).



Olbatar ne s’achetera pas un iPhoneSE avec son forfait 5G Free mobile, à l’automne prochain. ;-)


Le 16/04/2020 à 08h 42

iPhone SE également doubleSIM (même si je trouve que Apple triche un peu avec l’eSIM, mais bon… techniquement, c’est doubleSIM).

Le 16/04/2020 à 11h 12

« Cette décision, qui pourrait passer pour anecdotique, puisque portant sur une expérimentation très localisée, démontre qu’en la matière il n’est pas possible de faire tout et n’importe quoi, que le terme d’ « expérimentation » n’autorise pas à se lancer sans filet de protection juridique.»



 En parlant d’expérimentation en matière de sécurité, je pense subitement à la tragique scène du film Robocop de Paul Verhoeven (en 1987) 

&nbspyoutube.com YouTubeJe suis d’accord sur un point : en matière de #SafeCities notre Société marche sur des œufs.

Le 16/04/2020 à 06h 43

Je ne veux pas te faire peur mais tu peux toujours élire des personnes, ce n’est pas l’électeur qui contrôle ce que font les personnes élues. Par exemple, en RDA, il y avait des élections et il y avait la Stasi. Une élection sans contre-pouvoirs, c’est comme Google ou Black Rock qui contrôle les données personnelles et les algorithmes d’apprentissages (IA).

Le 15/04/2020 à 12h 33

Merci pour cet avis concis. C’était fort intéressant.

Le 15/04/2020 à 12h 30

Les libertés fondamentales ne peuvent être restreintes que par le Parlement, donc ça n’a rien de singulièrement rassurant. Et surtout le président n’a rien à juger utile, il veut seulement que le Parlement se prononce pour permettre ce traitement de données dans la société (et avancer un peu plus sur ce genre de domaine).



Et moi, j’appelle ça des big data, et tant mieux que ça ne te plaise pas parce que ça confirme que tu préfères faire confiance à cette application. C’est ton avis, je le respecte tant que tu respectes le mien.

Le 14/04/2020 à 16h 18

L’enjeu n’est pas de trouver un outil de santé publique. L’enjeu est de savoir comment faire un peu plus accepter à l’opinion publique l’utilisation des big data dans notre société (5G, Linky, objets communicants, surveillance électronique, etc).



Je pense que vous avez, tous les 2, compris mais que vous prenez chacun le problème par un bout différent de la la lorgnette.

Le 15/04/2020 à 12h 14

C’est clair qu’il vaut mieux ne pas porter de masque, c’est plus safe. C’est pour cela que le 13 avril dernier, M. E.Macron a déclaré que les maires allaient distribuer des “masques grand public” à tout le monde, Môssieur le Rigolo.

Le 15/04/2020 à 12h 12

Tu ne prends absolument aucune position morale, jamais, c’est bien connu, Môssieur le factuel.

Le 13/04/2020 à 13h 14

Finalement, l’article de J-M. Manach équilibre plutôt bien les choses avec un point de vue sceptique, que je n’apprécie pas particulièrement à titre personnel, mais qui évite en tout cas les positions morales.

Le 13/04/2020 à 13h 05

Pour le coup je serais presque d’accord avec toi (je suis d’ailleurs à 2 doigts de me débarrasser de mon mobile à l’instar de Alain Damasio ou Jérémie Zimmermann).



Mais quand je vois les propos à décharge comme ci-dessous (excuse-moi, je vais peut-être donner le pire exemple de propos à décharge mais comme tu n’en donnes pas, libre à toi d’en donner d’autres qui te correspondraient mieux) :



Christophe Barbier : “Pour faire monter le taux d’adhésion [au “tracking”], il faut une carotte. Il faut dire : tous ceux qui téléchargeront l’application seront prioritaires le jour où on aura des tests de sérologie qui permettront de déconfiner ceux qui sont immunisés.”

youtube.com YouTube

Le 11/04/2020 à 23h 52

C’est dommage pour carbier, mais ses rares interventions constructives me sont devenues inaudibles. Et tant que je le lis reprocher à n’importe qui de dire des conneries, je lui signifierais quand je le juge utile qu’il dit autant de conneries que les autres. Et tant pis pour ce qui pourrait être intéressant à lire au milieu du fatras de ses injonctions débiles.

Le 11/04/2020 à 09h 11

« contrairement à l’auteur de cet article, les scientifiques voient le problème dans sa globalité et pas via le prisme déformant de principes idéologiques. »



 

Et c’est toi qui dit ça !… Parce que toi, tu n’éructes jamais tes principes idéologiques à longueur de commentaires. :o)



D’ailleurs “les scientifiques” est une entité qui n’existe pas, c’est comme “les journalistes”, “les Français”, “les responsables politiques” … Et le conseil scientifique auprès de l’Elysée, le CARE(sic), ne représente pas “les scientifiques” dans leur ensemble. Laisse donc les scientifiques tranquilles.

Le 15/04/2020 à 06h 24

«Je rappelle donc que les politiques ne font qu’appliquer ce que leurs électeurs demandent.»



Du niveau de politique de Ponce Pilate : “Je m’en lave les mains”. Tu me diras, c’est de circonstance ces temps-ci. Désolé, ton commentaire a fini de me faire désespérer dans la politique, la vraie (pas celle que tu décris ici: “je vote, donc je subis”).

Le 14/04/2020 à 17h 29

En France, on ne supporte surtout pas la dénonciation. Que les lois ne soient pas respectées, tout le monde s’en fout (pour prendre le contre-pied caricatural à ce commentaire).



En Suisse (qui n’a pas connu l’occupation ou le Gouvernement de Vichy), la dénonciation est institutionnalisée.

https://blog.travailler-en-suisse.ch/04/2008/la-denonciation-en-suisse.html



Bref, il y a une différence entre dénoncer une infraction et dénoncer un acte innocent, mais en France on oublie trop souvent de faire la différence. D’ailleurs, la fin de l’article de FranceTV est ridicule dans “Les exceptions” relatées puisqu’il s’agit des régions administratives les plus rurales de France.





NB: je dis “régions administratives” car si la France commençait déjà par décentraliser ses centres de décisions en ôtant le pouvoir exorbitant des Préfets, représentants de l’État, la France serait déjà largement moins un État policier (là est la délation).

Le 14/04/2020 à 11h 38

Dans ma commune nouvelle, les noms de rue semblables ont été changés avec comme règle de garder le nom de celle qui comporte le plus de numéros de rue, la rue la moins numérotée changeant de nom.



L’exemple le plus cosmétique a été les doublons de “place de l’Hôtel de ville” de chaque commune déléguée qui s’est en l’occurrence changé en “esplanade de l’Hôtel de ville” pour l’une d’elles.

Le 14/04/2020 à 05h 24

Invisibles S1 E3 : Traumas sans modération - « Déchaînement de haine et de violence, actes terroristes, décapitations, harcèlements et agressions sexuelles en tout genre…Une infime partie des contenus chargés par les réseaux sociaux nous font voir le pire.Heureusement, des filtres automatiques et autres systèmes de modération ont été mis en place pour préserver nos yeux de ces quelques esprits malades. Automatiques, vrai-ment ? »

https://www.france.tv/slash/invisibles/saison-11274811-traumas-sans-moderation….

Le 12/04/2020 à 13h 19

« Par contre, je te confirme, les parisiens ont bien un accent. Il s’entend surtout quand ils sont agglutinés à 40 sur les 10m² de terrasse d’un café à 30 cm des embouteillages d’un boulevard.



En gros, c’est une sorte d’accent haut perché qui met des -ch ou des -tsse à chaque fin de  mot : horrible. »



En général, au Nord de la France (Normandie, Paris, Champagne), les gens parlent vite, sans prononcer les sons “e” à l’intérieur des mots. Les Parisiens rajoutent des “e” à  la fin des phrases en  ralentissant le phrasé comme si ce n’était plus la peine d’accélérer le rythme car ils n’ont plus peur d’être interrompu.





« En même temps, personne n’aime les parisiens. Les parisiens eux-même ne s’aiment pas entre eux et préfèrent se casser en province où on ne les aime pas plutôt qu’à devoir supporter leurs voisins parisiens… Comme dit le proverbe, il n’y a pas de fumée sans feu. »



C’est l’héritage des attaques Vikings au Moyen-Âge, de la Révolution Française et de la Commune/Monarchie de Juillet/2d Empire  au XIXe Siècle : le centre politique et culturel de l’Empire et des Lumières qui décrète ce qui doit être. D’ailleurs, Paris est la seule commune de France dont le maire n’a pas de pouvoirs de police, c’est dire comme l’État français se méfie de cette population à proximité des lieux du pouvoir centralisé et comme il centralise plus généralement le contrôle de toutes les régions de France et de Navarre.

Le 12/04/2020 à 12h 46

C’est marrant cette façon de voir les choses. Pour ma part, je vis à 40 Km de Genève, à 150 Km de Lyon. Je me sens plus Genevois que Lyonnais… beaucoup de gens ici travaillent à Genève, beaucoup de Genevois font leurs emplettes ici, et culturellement je suis aussi proche du Piémont et du Valais que du Lyonnais. Et depuis la création de la nouvelle région Auverge-Rhône-Alpes, je me sens plus Franc-Comtois (région Bourgogne-Franche-Comté) qu’Auvergnat. Ça ne fait pas un plis.




   En fait, ce que tu dis là me fait penser à ces personnes qui font la différence entre Hauts-savoyards et Savoyards parce que la Savoie est découpée en 2 départements... alors que le Bas Bugey (01 Ain) est la banlieue rurale de Chambéry (73 Savoie) et que le Nord de la Tarentaise (73) est plus proche d'Annecy (74 Hte-Savoie) que de Chambéry. Et comme la Flandres au Nord de la France actuelle, je vis dans une région qui n'est française que depuis 2 siècles, donc Lyon ou Paris, c'est un peu encore l'étranger (j'exagère à peine) pour quelqu'un qui connaît un peu l'histoire de France et de Navarre... et de la Flandre, et de la Savoie, et de...

Le 11/04/2020 à 23h 58

Exact. C’est comme la VR, la 3D, la ultra haute définition, la réalité augmentée, etc, qui sont présentées périodiquement comme bénéfiques pour le quidam, alors que le succès de leur commercialisation reste encore à prouver (en imaginant dans le même temps que ce soit réellement un bienfait social).

Le 11/04/2020 à 17h 59

AMHA la 5G correspond à une réelle évolution technologique et sociale, alors que la 4G (LTE advanced) n’est que l’aboutissement de ce que promettait déjà la 3G (des débits pour les données en mobilité renforcés, du THD). Donc, à part l’agrégation de fréquences et la voix sur réseau LTE (VoLTE, qui n’existe pas encore pour la plupart des utilisateurs…), la 4G n’apportent qu’un peu plus de confort dans les usages du quotidien du quidam.




  La 5G, c'est comme le Linky (désolé d'y revenir, mais la comparaison est flagrante vis-à-vis des objets communicants). Petite énumération à la Prévert :        







  • Collecte de données au plus proche des antennes-relais (pour améliorer la latence entre autre),

  • Collecte de données de l’internet des objets,

  • Micro-cellules à multiplier pour les très hautes fréquences (ça me rappelle les cellules du Bi-Bop),

  • Latence amélioré,

  • Nouveaux usages (grâce à la latence faible),

  • Des objets communicants partout (SafeCities, SmartCities, SmartBuilding… jusque dans les objets dans le salon, dans la cuisine, les assistants vocaux, les voitures, etc).



    J’en ai sûrement oublié, en tout cas, ça illustre un peu combien la 5G est une révolution technologique qui va immanquablement marquer le quotidien de chacun et dont la surenchère marketing (et pas seulement de la part des opérateurs, la 5G provoque des tensions un peu  partout entre les États, provoque l’intérêt d’autres entreprises) ne cesse pas de vanter les soit-disant bénéfices. Alors même que :



  • Il n’y a pas si longtemps, la 4G était sensée (d’après les opérateurs) être le Saint-Graal de la connexion THD mobile à côté de l’ADSL fixe et finalement presque vétuste en comparaison. La fiiibre n’était encore qu’à ses balbutiements et n’était pas encore un enjeu valable pour nos 4 opérateurs.

  • Personne n’est en mesure de prédire du succès commercial de la 5G.



    Et pour me montrer encore plus dubitatif, je dirais que la 5G, c’est comme l’eau en bouteille, ça ne sert qu’à stocker encore plus de données et vendre plus de services. Alors qu’un réseau devrait se contenter d’acheminer des flux de données, comme l’eau du robinet. Sobre et efficace (et on supprimerait la surenchère de qualité 4K 8K etc du streaming vidéo, personne ne s’en plaindrait).

Le 10/04/2020 à 19h 57

En relations publiques, on utilise souvent le mot “communication” (voir le titre de l’article). Parfois, on parle aussi de “pédagogie” quand une décision est mal acceptée par le public.



On peut souvent vendre un mauvais produit grâce à une bonne “communication”, mais on peut aussi parfois mal vendre un produit qui pourrait être bon. Tout le problème est là, pour Linky, pour la 5G, pour les 11 vaccins obligatoires (en 2017 pour les bébés de moins de 2 ans), pour la chloroquine, les masques en 2020, etc.



Le problème n’est pas que les gens ne comprennent pas ou que des charlatans manipulent les foules ou que des journalistes racontent des conneries qui font peur (ça existe et ça existera toujours). L’enjeu, c’est l’autoritarisme et la défiance du public. Une autorité publique ne peut pas à la fois imposer des choix (même par la force de la loi) et à la fois s’attendre à ce que les personnes qui ne sont pas d’accord changent d’avis (on n’obtient jamais l’adhésion des gens comme ça) : si une autorité rend obligatoire quelque chose, il faut d’abord qu’elle s’assure d’avoir les moyens de rétorsion adéquats (et actuellement, l’État semble chercher sa voie).



Bref, c’est pas d’expliquer en quoi la 5G est utile (voire géniale) qui va arrondir les angles, ça sert seulement à gagner du temps et faire admettre des choix technologiques à une population dubitative et méfiante qui est prête à faire de la “pédagogie” et de la “communication” dans l’autre sens.

Le 10/04/2020 à 19h 32

Tu n’aimes pas le titre d’un article et tu le dis. Moi, je n’aime pas ton commentaire et je le dis. Et je me calme si je veux.

Le 10/04/2020 à 19h 20

Merci de cet avis concis, ça évite le débat. Comme ça, je perdrais moins de temps avec un dialogue de sourd de plus ce soir.

Le 10/04/2020 à 19h 17

Désolé, j’ai du mal avec les lecteurs qui se plaignent des titres de presse. Un titre de presse, c’est la carte de visite de l’article. Un titre de presse c’est comme la croute d’un fromage : on la regarde mais on ne la mange pas (c’est pas le titre qui fait l’article, il dit seulement de quoi va causer l’article).



Donc, encore une fois, si l’article ne te plait pas (après avoir lu le titre)… ou si le titre te dérange, ce qui ne fait aucune différence pour moi, alors propose seulement un titre de presse (puisque pour toi, le titre exprime plus de chose que l’article lui-même, ce qui est un comble).