votre avatar

Dr.Wily

est avec nous depuis le 31 octobre 2007 ❤️

1810 commentaires

Le 06/11/2014 à 12h 53







Edtech a écrit :



J’attends Twilight Princess sur Wii U, perso <img data-src=" />







Il est bien, certes, mais très loin d’égaler l’ambiance unique que dégage majora’s… mais bon c’est mon avis, ce jeu m’a vraiment marqué à l’époque. Il a été assez boudé et ce n’est que depuis peu qu’il est enfin reconnu.


Le 06/11/2014 à 10h 32

Majora’s quel chef d’œuvre ! Sur Wii U ça aurait été beaucoup mieux !

Le 05/11/2014 à 15h 23

Ça ne m’étonne pas que les français stressent au travail s’il pensent que leur vie ne tient que par le fil de leur job… vivement que cette mentalité évolue, le monde du travail en sortira grandi.

Le 05/11/2014 à 14h 56







wanou2 a écrit :



Je ne comprend pas c’est d’une part du bon sens : facebook n’est pas privé maintenant quelqu’un de normalement constitué devrait le savoir et d’autre part il y a un problème d’éducation… même si son patron est un guignol on peut s’affranchir de ce genre de commentaire sur la place numérique publique dans la mesure ou c’est lui qui vous nourris (surtout en ce moment avec le monde qui attend au portillon…)







Oui avec la 1ere partie de ton commentaire mais absolument pas d’accord avec la parti surlignée. C’est pas le patron qui te nourris. Il ne fait que te versé un salaire en fonction d’une prestation que tu lui offre et qu’il n’est pas capable (pour diverse raison) d’effectuer lui même.



Fraudait surtout pas inverser les rôles, surtout que l’on atteins l’apothéose quand tu dis : “surtout en ce moment avec le monde qui attend au portillon…



Ça a un coté abatage très nauséabond. Les gens qui travail ne sont pas du bétail ils offrent leur services et non une forme d’asservissement dont la principale menace serait le chômage. Les media matraquent déjà assez comme ça avec e spectre du chômage.


Le 05/11/2014 à 15h 03







eliumnick a écrit :



Vu la réponse ça donne vachement envie d’utiliser leur serveur…..







La conversation recommence a la page 12 ou ça devient carrément ridicule. A la fin j’avais des message privés d’insulte qui m’ordonnaient de me taire. Belle mentalité !


Le 05/11/2014 à 13h 24







StPierre2 a écrit :



Et on connait leurs arguments ?







Je te laisse découvrir leur réponse toi même <img data-src=" />



c’est folklo…







philanthropos a écrit :



C’est leur création, ils en font bien ce qu’ils veulent (je ne prend pas compte du côté “illégal” de la chose bien sûr).



Si tu créer un serveur “pirate” comme eux, libre à toi (et uniquement à toi, point barre) de fournir, ou pas, le code-source (ou l’appli’, ou ce que tu veux) aux gens.



Il n’y a même pas à débattre, c’est leur création et ils en sont maitres, point.







Oui sauf qu’il se font de la thune dessus et que la raison invoquée n’est pas valable au vu des valeurs que j’ai du partage.


Le 05/11/2014 à 10h 55

Oui, c’est bien de militer contre l’obsolescence forcée des jeux. Mais quand les dev de crack ou de solutions alternatives fonctionnent de la même façon que l’éditeur du jeu c’est pas super non plus.



Exemple récent de Mario Kart Wii dont les serveurs ont fermés alors qu’il y avait encore beaucoup de joueurs à utiliser le service. Un groupe allemand a décider d’ouvrir des serveurs alternatifs mais refuse catégoriquement de laisser l’appli serveur en téléchargement libre.



Ils se la gardent pour eux au lieu de la publiée je trouve ça tout aussi discutable.

Le 04/11/2014 à 08h 47

« Je crois qu’il est plus sain de donner plusieurs impulsions tout au long de l’année »,



Microsoft où le roi du bullshit en barre ! Ca c’était déja le discours de Nintendo il y a des années lorsqu’on les critiquait (c’est encore le cas aujourd’hui) pour le manque de jeux sur leur console.

Le 03/11/2014 à 15h 39







Lyzz a écrit :



Tibia, actif depuis janvier 1997

Furcadia, actif depuis le 16 décembre 1996

Terra: Battle For The Outlands, actif depuis 1996

Meridian 59, actif depuis le 15 décembre 1995







1 seule plateforme je suppose ?


Le 03/11/2014 à 15h 25







Kazer2.0 a écrit :



Petit joueur :



Ultima Online, actif depuis 1997, soit 17 ans. (Et FFXIV se porte très bien aussi, avec un pic à 2.5 millions de joueurs y’a un moment)







Éh éh je me doutait bien que quelqu’un allait me sortir cet exemple.



En fait je cite FFXI et pas Ultima parce que c’est, à ma connaissance, le seul MMO datant de 2001 qui soit multiplateforme et dont les extensions sont toutes rétro compatible avec la plateforme d’origine la PS2.


Le 03/11/2014 à 14h 57

FFXI est encore actif et a été lancé en 2001. En plus on peu encore joué sur PS2. Blizzard peu allé se rhabiller !

Le 03/11/2014 à 15h 01







Ellierys a écrit :



Parallèlement, la NES, la SNES, la N64 et le GameCube sont region-lock <img data-src=" />



Le Gameboy et la DS sont les seules exceptions. J’ai ajouté “de salon” après consoles pour lever l’ambiguïté.







Et encore la DS c’est l’exception de l’exception. Certains jeux (très minoritaires) sont région lock sur la console. Par contre je ne sais pas sur quel critère se base ces soft pour déterminer la zone de la console (pas sur la langue j’ai testé).


Le 31/10/2014 à 11h 20







HarmattanBlow a écrit :



D’ailleurs l’histoire est riche de faillites bancaires amorties sans sourciller par les états.







L’Argentine… <img data-src=" />


Le 31/10/2014 à 09h 08

Mouai… l’anarchie ce n’est pas le chaos, c’est même totalement le contraire. Je trouve le concept bon mais l’idée véhiculée complètement a coté de la plaque à la limite du changement de sens d’un terme pourtant vieux comme le monde. Malsain tous ça…

Le 30/10/2014 à 16h 40

Même eux pensent que parfois il faut éviter d’abuser des suites à rallonge !



Et un nouveau Megaman c’est pour quand sinon ?

Le 30/10/2014 à 16h 37

Oh le sous titre quoi ! Bravo !

Le 30/10/2014 à 12h 51







Alucard63 a écrit :



+1



Nintendo a toujours été une boite très bien gérée: ça ne date pas d’hier.<img data-src=" />







D’ailleurs leur spécialité c’est pas vraiment le jeu vidéo finalement <img data-src=" />


Le 29/10/2014 à 14h 17







Ellierys a écrit :



Je n’ignore pas la Wii U, elle est simplement rangée dans les comptes d’EA dans la catégorie “Autres consoles” une catégorie qui a accumulé exactement 6 millions de dollars au dernier trimestre.



Soit 0,6 % du chiffre d’affaires partagé entre la Wii, la Wii U, la PS Vita, la DS, la 3DS et la PlayStation 2 (FIFA 14 et FIFA 15 sont sortis sur PS2), du coup aucun intérêt pour que je m’attarde dessus, d’autant que cette situation est la même à chaque trimestre depuis 1 an chez EA. (Q2 FY14 c’était 11 millions, et Q1 FY 15 c’était 5 millions).



Et au vu du nombre de machines concernées, et des faibles montants, comment veux tu que je détermine la part de la Wii U dedans ?



La Wii U ne représente rien dans les résultats financiers d’EA, elle ne représente donc également rien dans l’actu qui parle des résultats financiers de la Wii U, j’en suis désolé.





  • Un propriétaire de Wii U.







    Inutile de te justifier. Je sais sais bien que ce n’est pas de ton fait. Mais celui du classement d’EA. Ma remarque concernait EA et comme tu le précises ils marginalisent la Wii U en la classant dans une autre catégorie que les vrais-faux-PC que sont la PS4 et la One.



    C’est l’attitude d’EA que je dénonce pas celle du journaliste <img data-src=" />


Le 29/10/2014 à 13h 12

C’est marrant comme on fait semblant d’ignorer qu’il y a aussi la Wii U qui existe…

Le 29/10/2014 à 09h 11







psn00ps a écrit :



Si, dixit la news <img data-src=" />







Ca m’apprendra à lire en diagonale…<img data-src=" />


Le 29/10/2014 à 08h 57

Tardy c’était pas l’un de ceux qui était opposé à cette loi ?

Le 29/10/2014 à 09h 01

C’est n’importe quoi ! Pourquoi taxer leboncoin et ne pas taxer le canard local qui passe aussi des annonces immobilières particulier à particulier ?

Le 28/10/2014 à 14h 17







nlougne a écrit :



Heu non plus maintenant depuis la monture  3.2 OpenGL est taillé pour les jeux. Et la PS n’utilisait pas du OpenGL, c’était une version modifié d’OpenGL ES incompatible souvent avec la version officiel dû à l’ajout de librairies propriétaires, le PSGL nom final de la plateforme







Ah oui, je n’était pas a jour pour le support plus large d’Open GL. Concernant la PS oui je sais, ça reste toutefois basé sur Open GL qui était quasiment, à l’époque (1995), la seule lib 3D exploitable en matière de jeux.


Le 24/10/2014 à 09h 53







gokudomatic a écrit :



Tout à fait. OpenGL est suffisamment mûr pour faire des jeux AAA+++ avec un budget similaire que pour DX. Mais les entreprises qui font les jeux ne veulent pas changer. Déjà qu’ils rechignent à sortir leurs jeux sur pc. Parce que sur xbox et autre, c’est pas opengl, que je sache. Et je pense que c’est le coupable n°1, la console.







Si la PS depuis le début utilise OpenGL, idem pour Nintendo depuis la N64. C’est plutôt que DirectX, c’est taillé pour le jeu alors qu’Open GL c’est plus généraliste… et plus complexe aussi.


Le 24/10/2014 à 09h 51

Parfait alors ! Merci.

Le 24/10/2014 à 08h 55







Off a écrit :



J’ai l’impression que le gaming sur Linux devient de plus en plus une réalité, j’adore :)







Oui ça ne peu être que bénéfique.



Sinon ça fonctionne avec les pad USB 360 ?


Le 28/10/2014 à 14h 11







sr17 a écrit :



Le problème de l’obsolescence programmée, c’est que c’est un phénomène en pleine expansion, mais qu’on ne pourra jamais accuser le moindre fabricant de ça.



Car la réponse sera toujours la même : si la pièce tombe en panne, c’est à cause d’un défaut involontaire. Si on a mis un fusible thermique, c’est pour la sécurité de l’utilisateur. S’il n’y a pas de pièces, c’est parce que ça coûterait trop cher. Si on a mis des vis anti démontages, c’est pour la sécurité de l’utilisateur. Si l’objet est indémontable, c’est pour optimiser la production…. <img data-src=" />



Quand bien même nous savons tous que ces prétextes sont objectivement faux, les avocats trouveront toujours le moyen de semer le doute : Il sera toujours difficile de transformer un faisceau d’indices en preuves.



Donc la solution, c’est effectivement de prendre des mesures qui concernent des points concrets et démontrables et des créer des obligations concrètes.



-Interdire tout appareil indémontable ou trop difficile à démonter.

-Obligation de fourniture de pièces détachées pendant 10 ans, voir 30 concernant les automobiles.

-Obligation de fourniture gratuite et publique de manuels de réparation.

-Obligation de publication des taux de pannes.

-Création d’un indice de durabilité et de “réparabilité” sur des critères tels que ceux utilisés par le site internet ifixit et qui serait affiché à l’achat comme l’indice énergétique.

-Communication auprès du grand public pour sensibiliser à l’importance économique des biens durables.



N’oublions pas que de nos jours, une bonne partie des biens manufacturés sont importés et tout cela a des répercussions sur notre balance commerciale.



Ces mesures auraient également comme avantage d’avantager des fabricants français qui auront plus de facilité à s’adapter.







Attention tu vas te faire agonir ! On va t’accuser d’écolo décroissant (chaud… <img data-src=" />) communiste qui croit au grand complot des vilaines entreprises contre le peuple opprimé par cette technologie a laquelle il ne comprend rien. ET si les produits tombent en panne c’est parce que c’est bon pour l’emploi et les brouzoufs ! Vécu sur une autre new du genre ici même !


Le 28/10/2014 à 13h 55

Allé ! Un peu de courage on lâche Hearthstone et on vient se prendre sa raclée sur Duel Of Champion !

Le 28/10/2014 à 13h 52

Décidément, jamais ils n’arrêterons de vouloir réduire au maximum la copie. Même à la “belle époque” des VHS la copie était bien plus libre !



Avec cette histoire + celle de l’interdiction de recopie des émissions enregistrées sur le HDD d’une box on atteint là le grand n’importe quoi.

Le 22/10/2014 à 09h 42

Mouai, les cabines ont leur utilitée dans les petrit patelins, et même dans les grandes villes finallement. Aux US ils sont encore très utlisateur de ces “cabines” public. Pourquoi vouloir les supprimer ? Économie de bouts de ficelles tout ça.

Le 21/10/2014 à 10h 07







David_L a écrit :



Ce sera dans la roue crantée en tête des commentaires. Ce ne sera par contre pas activable / désactivable à la volée pour des raisons pratiques. 



Comme dit au-dessus, c’est impossible à faire de notre côté pour le moment. Pour la prévisu j’ai du mal à comprendre. Tu veux du code, mais voir la prévisu alors que c’est justement le rôle de la version simplifiée ?







Pour quelle raison ? Sur pas mal de sites (je pense à Gamekult là, mais il y en a d’autres) on peu switché a la volée entre wyswyg et texte brut.



Je pense aussi qu’il faudrait revoir la politique d’édition des commentaire. Parfois c’est un peu pénible pour corriger l’orthographe ou les fautes de frappes.


Le 21/10/2014 à 08h 58







jb18v a écrit :



Options d’affichage&gt; Editeur BB Code ?







C’était planqué, mais c’est ça. Merci !



Peut être un petit bouton directement dans la box de commentaires ? <img data-src=" />


Le 21/10/2014 à 08h 38

J’ai une petite demande. Sera-il possible d’avoir une option pour switcher sur une interface en tete brut pour les commentaire. J’ai souvent des bug de mise en forme ou de placement du curseur, de citation. Bref c’est le bazar ! Pour les vieux comme moi, ce serait bien de proposer l’ancienne interface et de permettre a l’utilisateur de switché entre le wyswyg et le texte brut. Qu’en pensez-vous ?

Le 17/10/2014 à 13h 23







Goulu a écrit :



(…)



J’apprécie la démarche scientifique, elle permet de rester rigoureux dans le développement d’une idée sans se disperser. En revanche, je ne pense pas que la méthode utilisée dans l’article soit la bonne. Loin de moi l’idée de discréditer ce billet que j’ai lu 3 fois pour être sur de ne rien rater. Mais il utilise finalement les mêmes procédés que les défenseurs de l’obsolescence programmée. A savoir un retour d’expérience par rapport au passé mais campé du coté de l’ingénieur si je puis dire.



Je dois l’avouer, la première foi j’ai lu en diagonale. A chaque nouveau paragraphe je pouvais déjà en déduire sa conclusion, pour moi c’est mauvais signe. Lors de ce genre de lecture je procède toujours de cette façon pour 2 raisons :





  • le temps

  • et également pour vérifier si la démarche sort des sentiers battus. En utilisant une rigueur scientifique (mais pas trop nos ne somme pas des machines) mais en faisant abstraction de son métier et du contexte plus ou moins polémique.



    Je sais d’avance que j’aurais à faire à un billet rédiger par quelqu’un qui a de l’expérience en la matière. En aucun cas je ne la remets en cause. Par contre, à l’image du “mythe du survivant” ce qui survit ici c’est l’expérience et la vision du coté : “25 ans de carrière d’ingénieur R&D” et qui est le résultat de mon expression&nbsp; “trop honnête”, c’est a dire qu’a partir du moment où je lis ça, je ne peux pas m’empêcher de penser que vos conclusions sont basées sur votre expérience passée d’honnête ingénieur dans son métier. Comme celle des utilisateurs qui adulent les vieux produits… parce qu’ils sont encore là. Eux aussi sont honnêtes quand ils constatent malgré eux que certains produits lâchent trop rapidement. A cela vous y avez appliqué des critères de comparaison avec les mêmes produits récents. Ils sont tous implacables, notamment l’exemple de la 2CV et de la Bolex. Dans ce cas, je sais déjà quel sera la conclusion de l’article à savoir :



    “L’obsolescence au sens large existe manifestement, mais je ne suis toujours pas convaincu qu’elle soit « programmée », au sens strict.”



    &nbsp;Sauf que, tout comme les fanatiques de l’obsolescence programmée vous ne comparez que par rapport à de l’ancien. Ce qui me semble logique au vu de la définition concrète (par les faits) de ce qu’est l’obsolescence programmé. Je ne vais pas vous mentir, je suis beaucoup plus du coté de la définition du wiki français. C’est à dire au sens strict. Au contraire, je ne suis ni pour la décroissance (ce qui serait un comble dans mon métier) ni un fanatique écolo. Les clichés des uns sont parfois les vérités des autres. Si les utilisateurs pensent tous que les industriels sont des vendus, alors que de l’autre coté on trouve des ingénieurs persuadés que l’obsolescence programmée est forcement soutenu par des écolo-décroissant… Heureusement il existe un juste milieu.



    Mais l’obsolescence programmée, contrairement à votre postulat de départ basé sur la doxa de ce concept (comparaison ancien / nouveau produit) est faut. L’obsolescence programmée ne concerne pas la comparaison de l’ancien et du nouveau. Mais un état de fait sur certains produits spécifiques, plus précisément dans le domaine de l’électronique et de l’informatique grand public et uniquement dans ces domaines. Puisque ces produits n’existaient pas ou peu il y a 15 ans, donc pas de comparaison possible.&nbsp;

    &nbsp;

    En tant qu’ingénieur R&D vous savez quelles sont les contraintes qui aboutissent à de la camelote. Mais est-ce cela réfute pour autant l’existence d’une volonté, sur certains produits, de limiter leur durée de fonctionnement ? Votre expérience et votre expertise apporte des éléments en termes de conception selon certaines contraintes (le prix). Votre article dresse de manière claire et précise cette corrélation entre l’utilisation, la durée de vie et les conditions de fabrication de l’appareil. Mais encore une fois cette démonstration est faite depuis le piédestal de l’ingénieur honnête avec son métier et surtout totalement agnostique par rapport aux composants à utiliser. Ainsi, si tel composant est neutre avant son intégration dans un appareil, il peu très bien servir à fin de limitation de durée de vie. L’exemple des efuse, fusible software est flagrant par exemple.



    Toutefois, le problème avec l’obsolescence programmée c’est qu’elle ne concerne pas les produits du passé. Mais les produits modernes d’aujourd’hui. Le problème du documentaire d’Arte est qu’il a vulgarisé l’obsolescence programmée en faisant une comparaison foireuse avec d’anciens produits censé être plus robuste (le coup de l’ampoule est débile au possible). Votre article reprend ce canevas mais du coté de la réalité industrielle. Ce que je reproche a votre article, et quasiment à tout ceux qui doutent (ce n’est pas péjoratif au contraire même) de l’obsolescence programmée c’est qu’ils sont tous basés sur la comparaison ancien/nouveau. Ils sont le reflet opposé (avec plus de rigueur certes) du docu “Prêt à Jeter” et de ce que les utilisateurs ressentent selon leur vécu. Tout ces articles fustigent le vécu de l’utilisateur (quand il ne l’insulte pas carrément de débile) et sa façon de voir les choses au lieu de se pencher sur une véritable étude technique des produits suspectés d’être limités dans leur cycle de fonctionnement. Commençons par décompiler et étudier le fonctionnement des imprimantes suspectées d’être vérolée par exemple…



    On recherche dans, l’obsolescence programmée la preuve flagrante d’une limitation de durée de vie. Or, elle n’est pas une limitation de la durée de vie, mais une panne bloquante. L’appareil n’est pas arrivé en fin de vie (usure générale). Il est fonctionnel, sauf qu’un de ses éléments l’empêche de fonctionner. Le système de production / réparation est ainsi fait que l’achat d’un appareil neuf est plus valable en terme de prix que la réparation. La cause de la panne étant plus difficile à trouver. On remarque dans ce cas que les pannes sont toujours les mêmes et sont rarement matérielles. Certaines imprimantes font un bon exemple pour cela puisque la plupart des pannes sont logicielles.



    La où je vous rejoins c’est sur les exemples tel que celui du fusible qui est simplement un défaut de conception. Mais comment, dans ce cas différencier le défaut de conception d’une limitation volontaire de durée de vie ? A ce jour, je n’ai trouvé aucun article concernant une étude du fonctionnement software des produit connu qui tombent en panne systématiquement après un certain nombre de cycles (notez que je n’emplois pas le mot “temps”) ou qui sont conçus pour une forme d’autodestruction (pas au sens explosion mais au sens désactivation).



    Je prends l’exemple d’une imprimante laser. Le tambour de cette imprimante est équipé d’une eeprom qui enregistre le nombre de cycle qu’à effectué ce tambour. Dans le firmware de l’imprimante un algo vérifie ce nombre de cycles. Arrivé à un certain stade il préviendra qu’il faut changer le tambour. Puis, à un stade plus avancé il bloquera le fonctionnement de l’imprimante. Ce procédé est naturellement fait pour protéger l’imprimante d’un dysfonctionnement du à l’usure du tambour, c’est une sécurité. Il n’est pas là pour limiter le fonctionnement de l’imprimante dans le temps. Ca c’est l’usage normal. Et généralement, un effacement des données de l’eeprom du tambour permet de le réutiliser.



    &nbsp;Mais alors toute les imprimantes seraient devenues ultra sécuritaires ? Se bloquant à la moindre poussière ? Les fabriquants reprochent aux utilisateurs d’utiliser leur matériel de façon alternative ou carrément de les maltraiter, pour je ne sais pas… payer moins cher leur cartouche d’encre. Changer la batterie d’un téléphone portable lorsqu’elle est usée. Faire réparer sa TV sans en changé toute la carte mère, fournir les documents nécessaires à une réparation précise. L’exemple de Sony et de sa Playstation 2 qui avaient de réels défauts de calibration de la lentille optique qui ne lisait plus CD et/ou DVD). Sony a eu le culot de dire que c’était du a une mauvaise utilisation de la console par les utilisateurs ! L’obsolescence programmée c’est tout ça. Le prix bas d’un produit ne justifie pas le fait qu’ils doivent tomber en panne, et je ne parle pas de petits constructeurs chinois éphémères mais bien de grandes marques qui ont les moyens de fournir la documentation nécessaire au maintient en vie des produits qu’ils vendent.



    L’obsolescence programmée au sens strict, n’est pas que la volonté de limiter intentionnellement la vie d’un produit, c’est aussi et surtout le fait d’entraver sa réparation, et de freiner le phénomène DIY apporté par internet. L’obsolescence programmée au sens strict est une attitude des industriels pour maitriser la vie de leur produit une fois lâché dans la nature. Cette attitude est comparable à celle des maisons de disques qui râlent parce qu’elles n’ont plus la maitrise des œuvres qu’elles distribuent. L’obsolescence programmée n’est pas née d’une intention, mais du système économique dans lequel nous sommes. Les industriels qui la dénient sont les mêmes qui en profite mais qui trouvent comme alibis le contexte économique. Distribuer la documentation nécessaire à la réparation de leur produit ne les ruinera pas.



    Les fait sont là, les appareils grand public électroniques ou contenant du soft lâchent plus que de raison. Ce fil de commentaire regorge de témoignages, mais on en trouve aussi sur le web et non pas parce que l’on trouve tout et son contraire sur le Web. Alors, c’est un fait que des appareils de grandes marques tombent en panne systématiquement d’une certaine manière. On appel ca comme on veut, obsolescence programmée ou camelote, mais c’est là. Et même si la cause n’est pas directement humaine (systémique dans ce cas, mais j’en doute) elle est tout de même gênante matériellement, écologiquement et surtout déontologiquement. Alors, l’obsolescence programmée, appelons ça comme on veut, n’est qu’un moyen de défense contre des procédés de fabrication douteux et qui se moquent totalement de l’utilisateur final. En tant que tel, la méthode est sans doute discutable et à ras les pâquerettes, mais ce n’est pas plus sale que de produire des biens périssables en connaissance de cause en prétextant la crise et le cahier des charges.


Le 16/10/2014 à 14h 34







Herbefol a écrit :





  1. J’ai beau avoir la vue qui baisse, il n’y a pas photo (aha) en terme de qualité d’image entre un écran cathodique et un écran numérique. Et faudrait pas non plus faire abstraction des autres critères sur lesquels les deux types d’écrans se différencient, notamment l’encombrement et le poids (perso, je ne regrette pas les machins qui pesaient 40 ou 50 kilos, voire plus pour les plus grands).





    C’est pas comparable. La qualité d’un écran CRT est bien plus naturelle que le rendu froid et plat d’un écran, matriciel, qui en plus a une résolution fixe ce qui n’est pas le cas des CRT (sans parler du contraste, de la rémanence, et du lag…). Après, comme je l’ai dis, le CRT pouvait encore largement évoluer avec le SED mais ça ne s’est pas fait. L’encombrement et le poid oui c’est pénible (et je sais de quoi je parle en tant que collectionneur rétro) mais ce n’était pas non plus des objets destinés à être bougé. On n se plaint pas de l’encombrement d’une armoire ou d’une baignoire.



    &nbsp;





    Herbefol a écrit :



  2. Si on veut des trucs faciles (et donc pas cher) à réparer, il faut rester sur des systèmes simples. Plus un système est complexe et plus il est compliqué (cher) à réparer, et aussi plus il est fragile. Par contre, le système simple n’est pas forcément le plus performant. J’en ai vu un ou deux vanter les mérites de voitures produites il y a trente ou quarante ans, mais je ne les ai pas vu évoquer la consommation des véhicules en question. &nbsp;Même question avec les frigo antédiluviens. De manière générale, les appareils électroménagers consomment moins d’énergie qu’il y a vingt ans et plus. Ces gains ne se sont pas fait par l’opération du Saint-Esprit. :-)





    Bah pas forcément. Avec la bonne documentation de qui fait quoi c’est assez facile. Or, les constructeurs ne fournissent que des “service manual” plutôt restreints qui ne donnent pas, par exemple, les fonctions ou le pinout des puces principales de l’appareil, les diagrammes des circuits. On ne leur demande pas de fournir le code source ou le wafer d’une puce, juste la map des éléments principaux qui composes l’appareil.



    Le fait que ce soit complexe est faut puisqu’il s’agit de produit grand public largement diffuser et réparable. Tout les outil sont là pour ça. Du pistolet a soudure en passant par les station de reballing, les probe analyser et puis farnell pur les composant les plus courants. C’est pas comme si aucun outil n’était à porté. C’est juste la doc qui est restreinte à des procédures de test. C’est un peu comme l’aide Microsoft qui ne résout jamais rien vois-tu.


Le 16/10/2014 à 10h 46







tmtisfree a écrit :



1/ Tu as une vision biaisée de la réalité (biais du survivant) : les tubes cathodiques étaient peut-être plus robustes quand la technique a été finalement au point, mais la qualité de l’image ne serait plus acceptable actuellement. De plus la TV coûtait excessivement chère, alors que de nos jours tu peux acheter un poste d’une qualité de&nbsp; fabrication et d’image incomparable pour 3 fois rien (sans compter la taille).





La clairement tu ne sais pas de quoi tu parles. La techno CRT est de loin celle qui propose l’image la plus naturelle et adaptée (avec le ciné à péloche) à l’œil humain. Il y a eu des tentatives de faire évoluer les CRT (le SED) mais ca a été étouffé par des intérêts économique vénaux. Le seul avantage des TV matricielles est qu’elles sont moins cher à produire et, nous en revenons à notre problème, les CRT étaient surtout réparables et conçu pour l’être. Ce qui n’est pas le cas des téléviseurs actuels où tu dois te contenter de faire un échange de pièces que n’importe qui pourrait faire. Mais seul un nombre d’acteurs, triés sur le volet, à le droit d’obtenir ces pièces.&nbsp; C’est la réalité je n’invente rien, je le vis chaque jour et les témoignages ici même vont dans ce sens.

&nbsp;





tmtisfree a écrit :



2/ La “multitude de façon de concevoir” est un avantage stratégique : cela permet le choix et donc la sélection des meilleurs. Ton raisonnement ne tient pas non plus à l’échelle du composant : quel fabricant d’écran ou de puces quelconques reprend tout à zéro à chaque nouvelle génération ? Aucun.

&nbsp;





Tu déplaces le problème, c’est un peu pénible et là encore tu ne sembles pas savoir de quoi tu parles. Le but n’est pas la sélection, mais l’acquis d’une forme de connaissance. En l’occurrence ici celle de la réparation d’appareils électroniques rendu impossible volontairement par les constructeur. Cette sommes de connaissances hier acquise grâce à un standard, une techno (le CRT sur cette conversation) dont certains points étaient connus puisque standardisés. Pour les TV numériques le design et l’électronique changent d’un appareil à l’autre. Il n’y a pas de points communs d’une marque à une autre, ni d’un modèle d’une même marque à un autre. La base reste la même, mais les procédures de tests sont totalement différentes et il y en a une multitude. Là où sur les CRT tu pouvais deviner l’origine de la panne en t’appuyant sur une base de connaissances commune à cette techno, ce n’est plus possible sur les TV matricielles. La encore c’est concret et réel. Avec un peu de bon sens on ne peut pas privilégier l’enfermement de l’utilisateur et la rétention d’info techniques juste pour des raisons financières.







tmtisfree a écrit :



3/ On t’a expliqué que ce n’est pas économiquement rentable (ie cela serait du gaspillage). Et ce n’est pas cette loi absurde qui y changera quelque chose.

&nbsp;





Alors c’est une dictature économique qui enferme les utilisateurs. Elle est nuisible humainement parlant et ne sert que son propre but celui de faire de l’argent. Je déteste toute forme de dictature y compris celle-ci.



&nbsp;





tmtisfree a écrit :



4/ L’obsolescence programmée est intéressante à un seul niveau : elle fait partie de ces buzzwords, concepts illogiques, inventions factices et idées fumeuses qui n’ont pas de sens mais qui perdurent avec la masse d’inculture produite par des illettrés pathologiques et/ou mathématiquement ignares. Il y a même une science qui étudie ce phénomène post-moderne (l’agnotologie).

&nbsp;





Réellement, sais tu de quoi tu parles ? On dirait un lobbyiste qui change la définition d’un terme pour la discréditer. Comme le téléchargement illégale a été transformé en vilain “piratage”. Si le terme obsolescence programmée ne te plait pas alors OK. Dans ce cas appelons ça des pratiques menant volontairement au dysfonctionnent d’un appareil électronique. Comme il faut mettre un nom sur chaque chose appelons cette pratique obsolescence programmé. Et le reportage d’Arte avec tout les défauts qu’il traine reste quand même la concrétisation d’une impression latente des utilisateurs d’avoir de la camelote entre les mains.



Malheureusement cette impression est partagée et vécue. Donc, soit je prends trop de drogue soit je suis&nbsp; un illettré pathologique et/ou mathématiquement ignare.



&nbsp;



OlivierJ a écrit :



Que tu aies des exemples de produits mal conçus ou de piètre qualité, c’est une chose (on en a tous). L’obsolescence programmée, c’est une autre question, et j’espère que tu liras les articles que j’ai indiqués, qui donnent une vision très large de la question de la production de bien, de durée de vie, etc…





J’ai bien lu tes article, et ils sont le cliché typique des “opposants” à l’obsolescence programmé. Sans doute rédiger par des gens top honnêtes pour avoir même l’once d’une idée de saboter un produit afin d’en vendre plus… Quoi qu’il arrive des personnes y ont déjà pensé, faire germé cette idée revient a la mettre en application. Consciemment ou pas. De plus, il suffit de lire les commentaire de ces articles pour voir qu’il y a un doute de la part des lecteurs. Les articles en question ne corresponde pas avec le vécu de certains lecteurs.


Le 15/10/2014 à 15h 37







OlivierJ a écrit :



C’est fou quand même ce mythe qui a la vie dure.




Alors voici de quoi vous informer :      

"Le mythe de l'obsolescence programmée" :http://econoclaste.org.free.fr/econoclaste/?p=7583"L'obsolescence est-elle programmée ?" (fourmille d'informations) :http://www.drgoulu.com/2013/05/01/lobsolescence-est-elle-programmee-2/"L'obsolescence programmée" (article technique côté production industrielle) :http://eric.cabrol.free.fr/dotclear/index.php/2013/05/02/1296-obsolescence-progr...





Oui et ? tu parts du principe que je fais partit de ces personnes qui idéalises le passé ? Mon discours est basé sur des faits, du vécu puisque cela fait partit de mon métier. Notamment en électronique et informatique où depuis des années il est très courant de rencontrer des produits vérolés intentionnellement. J’entends par intentionnellement implémenté un programme ou un procédé électronique qui va permettre de rendre un appareil inutile au bout d’un certain temps. (et non pas le MTBF qui n’a rien a voir avec l’obsolescence programmée)



Le cas des imprimantes est réel (conteurs), celui de certaines console de jeu également (les efuse de la 360), certaine cartes mère de PC mais dans ce cas précis il y a deux catégorie :





  • une conception assez cheap à la base (c’est volontaire)

  • de faux composant pour booster les capacités sur le papier : dans les année 90, certains constructeurs de cartes mère plaçaient de faux composants de mémoire cache et bidouillaient le BIOS pour afficher une valeur élevée de cache pour vendre leur carte mère. Les composant de cache étaient en réalité en plastique… donc l’obsolescence programmée c’est de la gnognote à coté.



    Après, je donne des exemples concrets, si vous ne voulez pas les entendre tant pis. Mais les arnaques en électronique /&nbsp; informatique ça fait des lustres que ca existe. Justement parce que l’utilisateur ne sais pas ce qu’il y a derrière. Il est donc totalement incompétent pour jugé la qualité du produit final.









    tmtisfree a écrit :



    1/ Tu te trompes, il n’y a in fine qu’une seule raison (bien plus qu’une théorie) morale : celle qui différencie le bien et le mal.





    Pas vraiment, au moyen age les jugement rendus l’étaient selon les origines de la personne jugée. Un acte mal dans un endroit pouvait ne pas l’être dans un autre. Tout dépendait d’où tu venais.


Le 15/10/2014 à 15h 20







tmtisfree a écrit :



1/ Les TV numériques étaient aussi opérationnelles dès que mises sur le marché.

2/ Techniquement, on appelle cela le progrès.

3/ Si ce n’est pas relié à ce non problème, alors pourquoi en parler ? Ce “manque de savoir” est une nécessité sociétal : il permet à des individus n’ayant rien en commun de partager leur compétence pour créer des produits qui sans cela n’existerait pas (cf I, Pencil).

&nbsp;







  1. Absolument pas. Soucis de décodage des flux vidéo numériques (début de la TNT), problème de colorimétrie, bloc alimentation défectueux (condo), transfo HT courte durée de vie (pour les plasma), soucis compatibilité signaux analogiques (lag, image dégradée).



  2. drôle de définition du progrès ! Le progrès c’est une somme d’expériences qui s’accumulent et grâce auxquels on peu avancer vers autre chose. Or ici, la somme d’expériences est diluée dans la multitude de façon de concevoir (pour le domaine des TV toujours). Il est donc impossible de d’appuyer sur une expérience passée puisqu’elle sera obsolète au prochain modèle ou par rapport a une autre marque.



  3. c’est relié indirectement. Puisque les fabricants ne fournissent pas (volontairement) la documentation necessaire a une bonne réparation. De cela, découle le changement grossier de pièces qui pouraient être réparée en détail au lieu de patir au rebut. Ça couterait moins cher à tout le monde et fournirait un savoir, une expérience pour réparer plus facilement.



    Après, je préfère privilégier l’apprentissage et la connaissance. Le manque de savoir n’est pas, pour moi, une nécessitée. Ça rend les gens vulnérables et incompétents face a certaines situations. Ils ne peuvent pas ou ne savent pas se défendre. L’obsolescence programmé est aussi basée sur cet état de fait.



    Quoi qu’il arrive on ne peut pas tout savoir. Ni toi, ni moi ni personne. Mais en aucun cas tu ne peux dire que l’ignorance, le manque de savoir est une nécessité. Pour moi, en tout cas, je croirais lire le discours d’un catholique, “les ignorants sont bénis”.



    Rien n’empèche le partage du savoir, et ce n’est certainement pas l’ignorance qui va privilégier la conception d’un produit. C’est plutôt l’esprit d’équipe, peu importe le niveau des membres de cette équipe. Mais j’ai peu être mal compris ton propos.



    Quoi qu’il en soit, je trouve absurde de limiter la durée de vie de certains objets par de tel procédés mais les faits sont là. Ça existe, c’est réel.


Le 15/10/2014 à 13h 06







tmtisfree a écrit :



1/ Ta comparaison est boiteuse : de combien de temps ont disposé les TV analogiques pour se perfectionner par rapport aux TV numériques ?

2/ C’est la vertu de la discrétisation, de la complexification qui en découle et de la spécialisation économique qui la soutient :

a) tu ne possèdes plus les compétences pour réparer (“indiscernable de la magie”),b) il est économiquement plus rentable de (càd qu’on n’utilise moins de ressource pour) remplacer.L’autosuffisance est l’économie de la disette.







  1. Les TV analogiques étaient opérationnelles dès les premières productions de masse. La techno utilisée étaient bien moins complexe qu’aujourd’hui et surtout standardisée. Ce qui permettait à chacun de se faire une expérience qui n’allait pas devenir obsolète au modèle suivant. On trouve d’ailleur de nombreuses TV encore bien vivaces datant des années 50 (aux US surtout) et pour pas cher.



  2. là où les TV CRT se basaient toutes sur la même techno (principe du CRT, balayage de l’image identique sur toutes les marques), les TV numériques ne se posent pas sur un standrad précis et mis a part le support du décodage, le traitement et l’affichage se font de manière spécifique, déterminée par le constructeur. A chaque nouveau modèle –&gt; une nouvelle facon de faire.



    Certe ce n’est pas de l’obsolescence programmé (au sens volontaire), mais ca participe malheuresement au manque de savoir duquel découle det énorme gâchis lorsqu’il s’agit de réparer un objet électronique.









    tmtisfree a écrit :



    a) tu ne possèdes plus les compétences pour réparer (“indiscernable de la magie”),b) il est économiquement plus rentable de (càd qu’on n’utilise moins de ressource pour) remplacer.L’autosuffisance est l’économie de la disette.





    Tout a fait ! Mais comme je le disait dans un précédent commentaire, le type qui a les compétences pour, fera bien autre chose que de réparer des TV. Oui il est plus rentable économiquement de remplacer (exemple des têtes d’impression aussi chers que l’imprimante), mais ce n’est pas pour cela qu’il faut suivre le troupeau. Sauf que les gens ont sans doute autre chose à penser que de combatre les petites magouilles des constructeurs d’électronique grand public.


Le 15/10/2014 à 12h 24







tmtisfree a écrit :



Aucune personne n’a pu trouver un expert du fer à souder pour rechercher ces preuves empiriques ? La justice est tellement pauvre de nos jours qu’elle n’a pas les moyens d’en mandater un si on lui soumettait le problème ? Tu vas me faire pleurer. De rire.





Il y sans doute d’autres priorités. Mais Canon a subit pas mal de class action face à ses imprimantes blindé de cripleware. Ca été prouvé et avéré, sauf qu’il a falut que de nombreuses personnes se plaignent. Autre exemple, En agriculture, les semis rendu stériles pour éviter le replantage… Il faut aussi pouvoir organiser ces plaintes. Tu dois savoir aussi bien que moi que, le plus souvent, les gens ont autres choses a faire.&nbsp; En France c’est plus compliqué il n’y a pas d’action de groupe donc comment veux-tu trouver un précédent ? Une personne toute seule dans son coin, non impossible… Sans les actions de groupe cette loi est quasi inefficace.


Le 15/10/2014 à 12h 13







anagrys a écrit :



Pour tous ceux qui rabachent le cas du “frigo des années 70 qui marche comme neuf alors qu’il y en a plein de plus récents qui ont flanché”, on appelle ça le biais du survivant. Vous en connaissez un qui marche encore, mais ces vieux frigos qui marchent représentent quelle proportion de tous les frigos qui ont été vendus à l’époque ?&nbsp;






 C'est également vrai. Alors prenons l'exemple inverse. Qui a gardé sa TV numérique aussi longtemps que les CRT ? Tu n'en trouveras pas beaucoup.&nbsp; Outre la complexité, c'est aussi par oublis volontaire que certains appareils ne fonctionnent plus.      






Les TV CRT par exemple étaient toutes basées sur le même principe de fonctionnment. Seul le design et les fonctionnalités changeaient. Mais la réparation était possible une fois les principes fondamentaux acquis. Par contre, réparer une TV numérique aujourd'hui, c’est a dire sans changer la totalité de la carte mère ou de l’alimentation tient du miracle.  N'importe quel "génie" capable de faire cela fera autre chose que de réparer des TV...    






L'obsolécense programmé ce n'est pas qu'un problème de durée de vie, c'est aussi un soucis d'information, de non documentation. Si l'on ne peut pas réparer qu'est-ce qu'il se passe ? On jette et on rachète. C'est idiot et mécanique puisque la réparation n'est pas valable au regard de son cout. Comment crois-tu que cet état de fait est arrivé ? Ce comportement de la part des constructeurs d'électronique est clairement volontaire et cette loi viendra peu être cadrer ces comportements absurdes.

Le 15/10/2014 à 12h 00







tmtisfree a écrit :



Puisque ce non problème semble si courant, où sont les preuves reconnues par la justice ?





Pour ça il faudrait déjà embaucher des personnes capables de décompiler un firmware spécifique à des processeurs qui le sont également. Les utilisateurs n’ont même pas conscience de ça. Après il faut trouver quelqu’un avec assez de courage pour :





  • savoir qu’il y a anguille sous rouche

  • faire une class action.



    Sans cela la plupart se contente de racheter le matos et basta.



    Pour que la justice puisse faire son taf il faut déja lui fournir ces preuves. En matière d’electronique et d’informatique c’est pas toujours facile. Ca demande du temps de faire de ingénierie inverse pour voir comment à été conçu le produit. les constructeurs le savent bien et sont pour l’instant protégés.


Le 15/10/2014 à 09h 53







Alucard63 a écrit :



Le souci c’est l’arnaque pas la durée de vie effective d’un engin donné.



C’est justement ce que je m’évertuie a dire depusi la 1ere page. l’arnaque est réel. Elle repose sur le fait que





  1. les utilisateur ne savent pas comment ca fonctionne

  2. le prix de la réparation sera plus élevé que l’achat d’un nouvel appareil.



    J’ai cité les imprimantes à plusieurs reprises… (mais on lit ce que l’on veut bien lire sur les commentaire parfois… <img data-src=" /> )

    &nbsp;

    Autre exemple la différence durée de vie entre une TV a tube et une TV numérique. Les réparateur son incapable de réaliser des diagnostiques car le constructeur ne fournis pas assez de donnés technique. Donc la plupart du temps c’est un échange standard de tout une partie comprenant 99% de composant fonctionnels et 1 composant fautif.



    Les voitures moderne, sur une voiture d’il a 10 ans ou plus changer les optiques c’est simple. Aujourd’hui on est quasiment obligé de passer par un garage agréé… et il existe plein d’autre exemples….



    Il y a clairement arnaque. C’est a dire une volonté de forcer à l’achat.









    tmtisfree a écrit :



    En pratique, c’est impossible à déterminer parce qu’on ne peut pas

    désintriquer la volonté de réduire un temps de fonctionnement de celle

    de réduire le prix (sans même compter l’incertitude de la mesure sur une

    machine complexe).



    &nbsp;Donc le concept est fumeux. Il n’y a rien d’autre à ajouter une fois la démonstration faire.





    Heu… On ne reduit pas le prix en ajoutant des algo de bloquage dans un firmware… <img data-src=" />


Le 15/10/2014 à 09h 32







Alyptica a écrit :



L’exemple des imprimantes est toujours cité lorsque l’on parle “d’obsolescence programmée” mais je ne comprends pas trop d’où ça vient. C’est illogique d’un point de vue technique et commercial.

&nbsp;

Le modèle économique des fabricants d’imprimantes est de se faire de la marge sur l’encre, quitte à vendre l’imprimante quasi à perte. Du coup faire lâcher l’imprimante avant, c’est augmenter le risque que le client achète un modèle de remplacement chez un concurrent, et perdre le gain sur les cartouches !

&nbsp;

Si les imprimantes lâchent, c’est surtout parce qu’on achète un produit relativement technique à très bas prix. Pas trop étonnant que la qualité soit foireuse.







Malheureusement les imprimantes sont connu pour embarquer de procédés obsolescence programmée. C’est l’un des rare cas réellement flagrant et prouvé. Toutes ont un compteur interne qui bloque l’imprimante au bout de certains nombres de cycles d’utilisation. Certaines vont même jusqu’à indiqué des erreurs qui n’existes pas.



Exemple simple, la tête d’impression HS. C’est rarement le cas, sauf que l’imprimante refuse tout fonctionnement si celle-ci n’est pas changée (une tête d’impression est souvent plus cher qu’une imprimante). Quand tu la changes, l’id présent dans l’eprom de la tête d’impression n’a plus la même signature. L’imprimante réinitialise donc son compteur de durée de vie concernant la tête d’impression. Si tu remet ensuite l’ancienne, comme par magie elle refonctionne.



La plupart des gens, ne va pas se poser la question en voyant le prix d’une tête d’impression (+/- 100€). Ils changeront simplement d’imprimante… jusqu’à la prochaine panne.


Le 15/10/2014 à 09h 18







Charly32 a écrit :



Je pense aux cartouches d’imprimantes

limitées en cycle d’impression sans que ça se justifie techniquement

(encore que, s’ils y sont contrains, les constructeurs sortiront une

explication fumeuse du chapeau c’est pas un pb).





Rien n’est éternel, mais effectivement, si un produit dure trop longtemps les ventes finissent par s’écrouler une fois que tout le monde est équipé.

Les bas en fibres synthétiques de Dupont qui ne filochaient pas sont un bon exemple : les ventes ont fini par chuter, entrainant l’arrêt de la production qui n’était plus rentable.

Le produit était durable, mais incommercialisable.





C’est même pas les cartouches, c’est le firmware de l’imprimante qui, selon certains critères (nombre de pages imprimées, temps de fonctionnment, cycles d’impression, vitesse du vent, humeur de la crémière…) bloque l’utilisation de celle-ci. Dans mon commentaire en page 1 je donne plusieurs exemples de cas avérés d’obsolescence programmée..


Le 15/10/2014 à 08h 57

C’est fou quand même qu’ils soient encore septiques vis à vis de l’obsolescence programmée Dans la la vraie vie, il suffit de voir comment certains appareils claquent du jour au lendemain.




 La récemment, j'ai rencontré le cas sur une gamme d'imprimante Canon (gamme MG) avec l'erreur U052 qui intervient pile 2 ans après l'achat de 'l’imprimante et qui bloque totalement sont fonctionnement. Ca a même un nom puisque ça se nomme cripleware.&nbsp; (canon+u052 donne de bon résultat sur un moteur de recherche :roll: )      






 Autre exemple les efuse, un composant qui sert de protection normalement mais qui peut être activé ou désactivé en soft et bloqué totalement le fonctionnement d'un appareil équipé de ce genre de techno (les platines BD, les consoles depuis la PS360, les microcontrôleurs...).&nbsp;  Exemple flagrant avec l'histoire des 360 brickés à distance par MS.     






 Faut pas confondre avec un appareil trop vieux pour faire tourné un soft, mais bel et bien des procédés qui "brick" l'appareil le rendant inutile artificiellement. Ca, c'est réel et loin d'être "pas prouvé".

Le 16/10/2014 à 12h 51







freechelmi a écrit :



MKV ! Incroyable ! on est en 2004 Marty ?





<img data-src=" />

Tellement vrai !


Le 16/10/2014 à 12h 24

Et du coté de PCi ça se passe comment pour TOR ? parce que ‘en ce moment le site est tout simplement impraticable, à chaque nouvelle page on a le droit à un captcha Cloudflare.

Le 15/10/2014 à 12h 01







Miles Prower a écrit :



Han. En effet. Aucun jeu n’en tire profit sur Saturn ceci dit, non ?





A ma connaissance aucun jeu, même pas Night.


Le 15/10/2014 à 07h 54







Miles Prower a écrit :



Non. Les gâchettes du pad 3D Saturn ne sont pas analogiques.





Sisi les boutons L&R du pad 3D sont bien “analogiques”. Ils fonctionnent sur le même principe que le stick, c’est a dire une résistance magnétique dont la valeur varie selon la proximité d’un aimant. Une sorte de potentiommetre magnétique si tu veux.

&nbsp;



John Shaft a écrit :



Y a pas Space Wars avant qui a eut un contrôleur fabriqué pour lui à base de potard ?





Oui, mais a cette époque la quasi totalité des concept de jeu vidéo utilisaient des controle analogique. y compris Tennis For Two. Le numérique est arrivé bien plus tard dans les années 80.







SebGF a écrit :



De ce que j’avais vu, le stick de la N64 était aussi numérique. Il fonctionnait sur le même principe qu’une souris d’ordinateur.&nbsp;





&nbsp;Tout a fait, le stick fonctionne avec des roue codeuses. Mais si on compare la techno d’une souris à boule, elle est similaire à celle de l’analogique. C’est toujours du numérique à la base, mais ce renvois plus de valeurs qu’un simple 1 ou 0. Si par exemple on prend une Wiimote, les puces qui composent les capteurs de mouvement n’ont en fait que très peut de valeur différente (+255/-255) par rapport a de l’analogique qui lui en a une infinité.