Oui, et c’est justement parce que c’est compliqué que l’on a tendance à aller dans la faciliter en responsabilisant le propriétaire de bar.
Il y avait un bon exemple à La Rochelle avec la Casamance et le WBC, qui ont fermé successivement à cause de plaintes de riverains, essentiellement pour les nuisances à l’extérieur. Et à part coller un vigile à l’entrée qui n’a aucun moyen d’interventions une fois que les gens ne sont pas dans l’entrée, il n’y a rien de plus de possible…
Faut bien qu’il le soit aussi, le proprio. Les “c’est en dehors de mon lieu, ce n’est pas mon problème” ne me semblent pas être les bienvenus non plus…
Responsable/conscient ce n’est pas arrêter l’orga de concert, ce n’est pas prendre tout la responsabilité des nuisances… c’est peut être par exemple connaître la structure de médiation de sa ville…
Reste que oui, rien n’est vraiment possible… Une prise de responsabilité du public ? C’est tout autant important.
Le
03/03/2016 à
12h
35
ActionFighter a écrit :
(…)
Faut-il pour autant sanctionner les propriétaires des endroits, qui n’y sont pour rien et font tout pour réduire les nuisances ?
Tout de suite, la sanction… Non, bien sûr que non. Ou alors peut être pour celui qui meugle comme un bourrin, à la limite, c’est bien lui la nuisance. Après, paye l’ambiance…
Pour autant, je ne crois pas qu’il faille désengager la responsabilité/conscience des propriétaires de ces lieux : c’est bien l’existence du concert qui, in fine, provoque le bruit.
Sujet ouvert à bien des débats. Je n’ai pas particulièrement de solution.
Difficile, encore une fois.
Le
03/03/2016 à
12h
26
Peut-être qu’ iYo1312 te renseignera mieux que moi…
Perso , j’ai pris ceux à -17 dB (ACS-pro 17). Je me souviens qu’ils m’ont été conseillés pour une utilisation “concerts/festivals” (côté public). Mais le filtre peut être changé.
C’est un investissement, c’est sûr (les tarifs à 89€ via Agi-son sont soumis à condition). Reste que c’est génial.
Le service est bon : si les filtres ne conviennent pas, on dispose d’un moins pour les changer gratos.
Le
03/03/2016 à
12h
13
iYo1312 a écrit :
(…)
les fabricants d’embout recommandent de les remplacer tout les deux ans, la plupart de mes patients ne les remplacent que tout les 4 ans sans problème. Mais la bonne nouvelle c’est que la partie embout n’est pas très onéreuse. 75% du coût vient du filtre (pastille blanche) inclus dans l’embout qui lui se réutilise après un bon nettoyage.
Ok. Merci pour ces précisions " />
Il ne faut pas que je perde mes moulages alors !
ActionFighter a écrit :
Seulement, il y a des riverains qui ne supportent rien, et il y en a aussi qui utilisent le bar pour se venger de nuisances non pas provoquées par les concerts, mais par le public à l’extérieur. Et ce sont la majorité des cas.
(…)
Yep, ce sont la majorité des cas, je le crois bien.
Après “nuisances non provoquées par les concerts mais le public à l’extérieur”, moui, c’est bien le concert qui ameute le public. Il doit bien y avoir une sorte de responsabilité de la part des organisateurs de l’événement.
Sujet compliqué.
Le
03/03/2016 à
11h
08
Ah bon ? J’espère qu’ils vont me faire quelques années tout de même, c’est ne pas non plus donné…
Le
03/03/2016 à
10h
13
Perso, j’ai investi dans des bouchons moulés. 89€ en passant par une assoc’ (Agi-son bouchons moulés).
C’est bien l’œuvre de Bertrand Russell, Éloge de l’oisiveté donc, mise en scène. Il aborde la question du dogme du travail, ça vaut son pesant de cacahuètes (même si le son est un peu pourri, c’est vrai…).
Ou bien lisez carrément l’ouvrage.
Le
09/02/2016 à
13h
49
Oui, ce n’est pas la peine de tenter quoique ce soit avec Neokoplex qui est bien trop obtus sur ce sujet pour qu’il puisse voir plus loin que le bout de son nez.
‘comprendrai jamais ça moi… C’est pourtant une chance de rayonnement incroyable pour son pays qu’il aime tant.
Le
09/02/2016 à
08h
28
C’est fou ça tous ces semblables devenus experts du parc immobilier français n’est ce pas ?
Là où j’habite, une ville le long de la côte atlantique, les T1 à + ou - 500€, c’est presque la norme…
Le
08/02/2016 à
10h
11
J’aime cette idée.
Au passage, il y a un thread sur le forum de NXI qui aborde le sujet : ici.
Celle-ci ? : “Attendu qu’il en résulte que c’est ainsi en connaissance du caractère illicite des logiciels que la revue Téléchargement conseille et préconise à ses lecteurs l’emploi des logiciels et la consultation des sites litigieux, à seule fin de leur permettre de télécharger, de manière illicite, des œuvres et des objets protégés ; […]” (page 4, début du quatrième paragraphe)
Mouais, je ne sais pas trop. J’entends bien ce que nous dit Blackdream. Je reste prudent.
Déjà avec le vocabulaire… “caractère illicite des logiciels” (un aspect, un trait, un cas particulier). A mon sens, rien qui ne vient qualifier ces logiciels de totalement illicites - seulement ici dans ce contexte avec justement, cette utilisation.
On retrouve la même nuance avec “sites litigieux” : qui donnent lieu à un arbitrage. Je n’y vois pas ici une preuve formelle d’illégalité.
Pour moi ça parle bien d’utilisation : à seule fin de leur permettre de télécharger, de manière illicite. Dans ce contexte alors, les logiciels exploités revêtent certainement un caractère illicite
Reste que je ne suis pas du tout calé en droit - leur prose est tellement compliquée, formée de tellement de nuance. Difficile.
Le système de la Vème république n’est pas responsable de tout, mais la façon dont sont désignés ses représentants influe grandement sur la vie politique française.
Oui, ce n’est pas mon propos. Je me suis peut être mal exprimé…
Je rebondie sur le “les profs s’en fichent de ce qui se fait en entreprise”… Je ne pense pas que ce soit si stricte.
Rien à voir avec la qualité des formations dispensées en Univ
Le
02/02/2016 à
12h
33
Konrad a écrit :
(…)
Ils enseignent des choses qui sont utilisées dans la recherche, en se foutant royalement de ce qui se fait dans les entreprises.
(…)
C’est quand même à nuancer - le royalement est sans doute de trop.
On le voit ici : il y a un nombre conséquent de contemporains qui nous expliquent que école/collège/lycée/univ’, c’est avant tout pour trouver du boulot. Ceux-là, on les retrouve aussi dans les formations… Du coup, les maîtres de conf’ sont bien obligés de s’adapter. C’est assez dingue la somme des “ça me servira à rien en entreprise ce qu’on m’apprend” que l’on peut obtenir dans les évaluations des Unités d’Enseignement.
Puis on peut aborder l’aspect financement des universités… A l’univ’ La Rochelle, le dernier master “Tiers de confiance” est intégralement financé par un regroupement d’entreprise : c’est surtout des commerciaux qui interviennent en cours.
Mon master a été financé par l’APROGED… ça vous parle ? Ceux qui ont claqué la porte de la commission copie privée.
Le
01/02/2016 à
11h
59
wpayen a écrit :
(…)
Que l’on soit pour ou contre idéologiquement les produits Microsoft (…), il faut reconnaître que l’inertie due à leur position dominante légitiment acquise (parce que peu de concurrence) est très forte.
(…)
Légitiment acquise ? Tu peux le redire sans trembler des genoux ?
C’est quand même faire fi d’une grosse partie de l’histoire de l’informatique grand public…
Oui bien sûr la pub… qui génère tant de fric grâce aux données perso : “On rappellera en effet que plus de 95 % des revenus de Facebook sont tirés de la publicité, la firme de Mark Zuckerberg proposant aux marques de cibler très précisément les utilisateurs de son service, moyennant parfois de fortes sommes d’argent.”
Ce que j’ai souligné, ce sont les données perso : sans elles, j’imagine que la publicité générerait (beaucoup) moins d’argent.
FB ne vend pas de pub mais bien de la données - FB propose néanmoins de l’espace annonceurs.
Le
28/01/2016 à
10h
25
Bof. Grâce à quoi d’autre que nos données Facebook peut-il annoncer un bénéfice record de toute façon ?
Ah mais si tu as une combine, fais tourner en MP " />
Plus sérieusement, je ne dis pas que c’est impossible, mais ce sera à mon avis, plus limité. Corrompre un vote électronique ne peut nécessiter que quelques personnes. Une fraude sur les urnes en nécessite beaucoup plus, et plus le nombre de personnes au courant est gros, plus ça fuite et ça se remarque facilement.
Après, peut-être que des techniques ont été trouvées, mais dans l’état de l’art actuel, je doute que la fraude papier puisse être massive si les règles de scrutin sont respectées.
Ah oui non mais c’est moi. Tu es resté dans le contexte du vote et moi, je suis parti dans un contexte général.
J’imagine oui que pour réaliser de la fraude sur du vote papier, les moyens doivent être assez conséquents. C’est sans doute “plus simple” à réaliser dans un contexte numérique (en tout cas, moins de personnes engagées).
Ceci dit, il y a un telle confiance attribuée au support papier, aux processus physiques, qu’on en perd notre méfiance.
Le
25/01/2016 à
14h
33
ActionFighter a écrit :
Oui, mais elle est bien plus facile à détecter avec le papier qu’avec un système informatisé.
(…)
Ouuh, ça, AF, je n’y mettrai pas ma main à couper. Tu es peut être dans le juste mais je reste dubitatif.
Tu te souviens ? C’est mon taff la détection de la fraude (dans un contexte particulier certes) " />
Le
25/01/2016 à
14h
17
Ta spéculation s’est : “on file ça a une entreprise”, “elle vend les votes”, “le contribuable paie cher une régression totale”…
La fraude, il y en a partout, tout le temps. Système papier ou numérique.
Le
25/01/2016 à
14h
02
Oui, “on estime”. C’est une nuance importante non ?
Pour qu’il n’y ai pas de fraude ? Cela n’engage que moi mais je pense qu’il y en a des fraudes. J’imagine que c’est plus ou moins mesuré - confrontation moyens et risques.
Dans le cas du vote électronique, tu ne fais ici que de la spéculation - qui s’avérera peut être vraie, je ne dis pas. Moi j’annonce que les clefs du vote resteront dans les mains de l’état. Et pourquoi pas ?
Le
25/01/2016 à
13h
40
marba a écrit :
(….)
Tu es quand même un peu péteux… pas la peine d’être aussi désagréable caché derrière ton pseudonymat - je fais bien référence à la dernière phrase de ton post #81.
Ce n’est encore qu’une idée qui à mon sens mérite d’être étudiée. Difficile d’anticiper les moyens informatiques qui seront mis en œuvre dans 10 ou 15 ans (je pense par exemple à une carte d’identité numérique….). Ce genre de solutions peut sans doute ouvrir de nouvelles pistes dans l’utilisation du vote électronique.
Je rejoins ActionFigther. On idéalise beaucoup trop la démocratie participative.
Tu annonces sans aucune nuance “Chaque votant DOIT POUVOIR VÉRIFIER LUI MÊME la méthode”. Dans le principe oui. Dans ma petite ville ce n’est pas possible - physiquement : on ne loge pas tous dans le bâtiment où les votes sont dépouillés.
Cette règle du “chacun peut voir” est seulement envisageable car on sait que la majorité ne va pas aller voir.
Du coup, si vote dématérialisé il y a, ça sera bien pareil.
Je ne dis pas que c’est particulièrement bien dans la globalité. Je pense que c’est très contextuel.
Le
25/01/2016 à
11h
00
Plouk a écrit :
(…)
Le vote électronique, c’est donner le pouvoir à quelqu’un d’autre.
Ok, le député s’y prend certainement mal, ce n’est peut être pas le bon lieu.
Mais quand ici certains parlent d’insignifiance, je suis un peu surpris, sachant : « dans l’ensemble des textes officiels de la République française, les mots : “Internet”, “l’Internet” et “internet” sont remplacés par les mots : “l’internet” ».
ça laisse entendre que ce n’est pas le cas alors ? Il n’y a pas d’harmonie sur la terminologie ? Bin, ça doit être un sacré bordel…
On est d’accord, je m’en fiche un peu du calcul de ces allocations demandeur d’emploi.
C’est pas tant le résultat qui peut être INtéressant mais le bazar mis en œuvre pour l’atteindre (données perso, etc…).
Puis bon, c’est chouette, on est presque à avoir la possibilité d’obtenir du code source des logiciels métiers de l’administration. Reste à faire fonctionner “l’expertise citoyenne”…
Ou alors, on en fait rien.
Le
13/01/2016 à
12h
00
M’en vais faire une demande CADA pour obtenir le code qui permettra de calculer mes futures allocations chômage. On ne sait jamais.
Houla. Je n’ai pas voulu laisser penser que je savais exactement de quoi je parle " />
Et c’est intrinsèque au sujet : la fraude, c’est un monde de silence. Difficile alors de se qualifier de connaisseur.
Mais bon, j’ai bouffé de l’état de l’art sur le sujet et pas mal d’études, francophones ou anglo-saxonnes.
Je travaille sur l’image de document (contexte de dématérialisation). Je développe des méthodes graphiques de détection de manipulation. On s’est concentré sur des documents type fiches de paie, contrats.
Dans l’absolu, c’est applicable un peu à tout : un devis, une facture, un article scientifique, une brochure pub, un CV…
Si je me concentre sur les primitives graphiques d’une image, d’autres se focalisent dans l’équipe sur le contenu en lui même, la sémantique de celui-ci.
Si certains résultats sont encourageant, c’est souvent dans un contexte bien précis, limité. Prendre le tout-venant de la fraude, on en est encore loin.
Tout ça pour simplement nuancer tes propos précédents : je pense qu’il y a beaucoup de choses faites sur la détection de la fraude “secrètement” - le fisc me paraît un point d’entrée inévitable - et ce n’est pas si trivial (c’est certainement une accumulation de systèmes, de solutions techniques, qui donnera les meilleurs résultats).
Le
12/01/2016 à
12h
50
OlivierJ a écrit :
Dans la mesure où la question de la fraude c’est la dissimulation de revenu, ou bien l’invention de fausses dépenses/charges, je ne vois pas bien comment on peut automatiser cela. Pour les revenus salariaux, l’administration a déjà les chiffres des sociétés via leurs déclarations, donc le test de fraude est facile à faire, il doit être assez automatisé. C’est plus pour les commerçants et professions libérales que c’est plus compliqué, avec l’argent liquide. Et les agents vérificateurs doivent se plonger dans des masses de paperasses pour voir si tout est régulier, si les justificatifs sont là, etc.
Si je travaille également sur les déclarations de revenus, ce n’est pas mon document de prédilection.
Mais dans tous les cas, quand ça parle de fraude, il n’y a rien de vraiment facile à faire…
Le
12/01/2016 à
10h
57
Yep. Drepa n’est peut-être pas dans le faux, seulement, on en sait rien. Reste que ça m’étonnerai.
Par contre au sujet de ton commentaire #45, perso, je pense qu’un système automatisé de découverte de la fraude existe côté Bercy/impôt. Comment est-il mis en œuvre, ça, je n’en sais rien…
Je n’en sais rien tout court en fait, c’est simplement une intuition/déduction. Pour travailler dans le domaine, j’imagine que Bercy a déjà les mains bien dans le cambouis sur ce genre de sujet.
Le
12/01/2016 à
09h
23
Drepanocytose a écrit :
(…)
effectivement ca va aussi donner en clair le système de contrôle automatisé des fraudes, et j’imagine que personne ne veut ca.
(…)
ça reste une supposition ça. Je serais étonné que le logiciel OpenFisca, “à partir duquel il est possible de faire des calculs relatifs aux prestations sociales et aux impôts”, embarque les solutions de détection de fraude…
As-tu vu le spectacle d’Alexandre Astier l’exo-conférence avec Bruce Benraman en première partie ? Car l’explication inversée sur la dimension des propulseurs de fusée liée à l’arrière-train de deux chevaux peut se rapprocher de la reflexion que l’on peut se faire sur ce sujet.
De quoi as-t-on besoin pour étudier la mécanique des fluides en études supérieur, de math essentiellement et de fonctions complexes dérivés des fonctions que tu apprends au lycée, pour pouvoir utiliser ce genre de fonction tu as dût apprendre les maths, au collège et pour apprendre les maths tu as du commencer par apprendre à compter et à reconnaître les chiffres en les lisant. Et on est déjà remonté en maternelle ;)
Ce fait de l’EN est une formation professionnelle, peut être vrai ou fausse selon le point de vue de la personne. C’est également la même chose qu’un verre remplie à moitié, il sera à moitié plein ou a moitié vide selon les personnes et pourtant c’est le même verre ;)
J’ai vu l’exo conférence sans la première partie d’e-penser. J’ai bien aimé.
Tu es en train de me dire que le professeur des écoles enseigne les nombres, le calcul simple, en gardant à l’esprit que la petite tête blonde devant lui en aura besoin lorsqu’il entamera la mécanique des fluides ? Tu es sûr ?
Savoir dénombrer, c’est d’abord des applications de la vie de tous les jours, en dehors des futurs considérations professionnelles. D’où ce que je maintiens : l’école ce n’est pas de la formation professionnelle.
Le
04/12/2015 à
12h
59
MadLluks a écrit :
(…)
Plus que la culture générale, l’EN est là pour te fournir les bases de ta “formation professionnel”. On est pas sur du “non, non et non” mais plus sur dût “pas totalement”. ;)
Ou plutôt sur du “très peu”…
Le
04/12/2015 à
12h
28
Yep, je n’ai vu votre dernier échange avec AF qu’une fois mon commentaire posté…
Le
04/12/2015 à
12h
08
MadLluks a écrit :
(…)
Parce que oui l’université ou les écoles d’ingénieurs de te forme également pour un métier.
(…)
A mon sens, cette affirmation doit être nuancée ou précisée.
L’université forme à un métier ? Nope, bien trop “réducteur”. A la limite, tu aurais noté qu’elle forme à des métiers, pourquoi pas.
Je pense plutôt qu’elle forme à un domaine dans lequel une multitude de métiers peut exister. A ma connaissance, il n’y a que très peu de parcours d’étude qui ont pour objectif ultime l’accès à un métier particulier. D’ailleurs, ces filières sont dénommées “professionnalisantes” : c’est ici un moyen d’indiquer que ce n’est pas comme le reste.
Du côté de l’univ La Rochelle que je connais bien, je crois qu’il y en a qu’une : opérateur de brasserie au département bio-tech ( vive la Science Infuse). On remarquera d’ailleurs que c’est bien différent du reste : 4 semaines de formations “intensives”, 20 candidats max et surtout un coût de 3190€ (voir ici). Là, ça forme a un métier. C’est très clair.
Un étudiant qui choisi bio-tech comme parcours d’étude, il va bouffer de la biochimie, de l’enzymologie, de la microbiologie, de la biologie moléculaire, de la chimie… Il sera alors plus ou moins armer pour un lot de métiers (Chercheur, ingénieur R&D, Responsable de production, Assureur qualité, certification, audit, commercial, Responsable achats…) dans un bon nombre de secteurs d’activités ( Santé, paramédical, Biologie, biotechnologies, Agro-alimentaire, agriculture…).
Alors une filière universitaire qui forme à un métier particulier sans pour autant s’intégrer totalement dans un secteur d’activité, ça me paraît louche.
[quote::LaNews]…lorsqu’on place un lien sur internet vers un contenu, il n’est pas nécessaire de recueillir une nouvelle autorisation des ayants droit si le public concerné par ce lien est « nouveau »[/quote]
[quote::LaNews]La CJUE a considéré en effet que l’intégration de cette vidéo sur un site tiers avait certes augmenté l’audience, mais n’avait pas visé un public nouveau puisque la vidéo était disponible ailleurs.[/quote]
Il y a quelque chose qui m’échappe ici, j’y vois une incohérence. Ne devrait-il pas y avoir une négation devant “nouveau” à la fin de la première citation ci-dessus ?
A ce compte là, “dispositif” faisait tout autant le café.
Le
26/10/2015 à
15h
20
geekounet85 a écrit :
le site internet ce sont des données interprétées, donc des données. ce n’est pas autonome, ce n’est pas un exécutable que tu lance pour avoir accès au site. ça c’est le rôle du navigateur qui est un logiciel pour interpréter les données du site et les afficher.
Dans le monde de l’informatique, tu vois autres choses que des données interprétées ?
S’il n’y a pas de données, pas d’information donc, il n’y a pas d’informatique.
Le
26/10/2015 à
15h
13
Peut-être… je reste peu convaincu.
Libre office n’est pas autonome. Il a bien besoin d’une autre solution logicielle pour fonctionné, si ce n’est rien que le système d’exploitation comme tu l’évoques (sur wiki pour système d’exploitation : ensemble de programmes qui dirigent l’utilisation des capacités d’un ordinateur par des logiciels applicatifs).
Si on se laisse porter toujours sur wiki, un programme est un ensemble d’opérations destinées à être exécutées par un ordinateur. On y lit qu’un programme “fait généralement parti d’un logiciel” : un logiciel peut être composé de plusieurs programmes (j’ajouterai qu’un programme peut composé plusieurs logiciels).
Je ne comprends pas trop pourquoi on cherche une distinction fonction de l’accès à un système de traitement de données (le logiciel donc) : réseau local ou internet (distant donc), local (la machine)… peu importe.
D’après vous, quels logiciels sont purement autonomes ? Un système d’exploitation ? Je ne pense pas, il s’appuie bien sur les firmwares des composants électroniques.
Après, je vois certainement ce questionnement (site internet != logiciel ?) par le prisme de l’informatique.
Qu’en droit, la notion soit différente se justifie certainement.
Voir la réponse de tazvld : pkoi distinguer un CPU reprogrammable d’un logiciel ?
Pour moi c’est surtout l’audience : un site à pour vocation à être vu/consulté par un grande nombre de personne. Et inversement une application n’est utilisée que par très peu de monde. (je parle en terme d’instance hein).
Je crois que c’est le point qu’à voulu souligner l’article, et j’ajouterais même le législateur à délibérément choisi un terme flou.
Parce que l’un est physique, palpable et pas l’autre ? Tu ne viens pas transformer la structure physique de ton CPU reprogrammable mais bien le logiciel qu’il embarque.
Bizarre cette distinction fonction de l’audience. Puis tu ne parles plus de logiciel mais d’application. S’il n’y avait donc qu’un nombre très restreint d’utilisateur sur GKS, la dénomination “logiciel” ne te choquerai alors pas ?
On est bien d’accord. C’est sans doute trop flou pour y justifier une telle décision judiciaire.
1451 commentaires
Des députés veulent contraindre les cinémas, discothèques et salles de concert à baisser le son
03/03/2016
Le 03/03/2016 à 12h 56
Le 03/03/2016 à 12h 35
Le 03/03/2016 à 12h 26
Peut-être qu’ iYo1312 te renseignera mieux que moi…
Perso , j’ai pris ceux à -17 dB (ACS-pro 17). Je me souviens qu’ils m’ont été conseillés pour une utilisation “concerts/festivals” (côté public). Mais le filtre peut être changé.
J’ai trouvé cette documentation.
C’est un investissement, c’est sûr (les tarifs à 89€ via Agi-son sont soumis à condition). Reste que c’est génial.
Le service est bon : si les filtres ne conviennent pas, on dispose d’un moins pour les changer gratos.
Le 03/03/2016 à 12h 13
Le 03/03/2016 à 11h 08
Ah bon ? J’espère qu’ils vont me faire quelques années tout de même, c’est ne pas non plus donné…
Le 03/03/2016 à 10h 13
Perso, j’ai investi dans des bouchons moulés. 89€ en passant par une assoc’ (Agi-son bouchons moulés).
Vraiment agréable dans les concerts.
L’instauration d’un revenu de base à l’heure du numérique s’invite au Sénat
08/02/2016
Le 09/02/2016 à 15h 29
Pour compléter les discussions, je ne peux résister à l’envie de (re)partager cette vidéo : Entre Vues 2011 - Éloge de l’oisiveté - Dominique Rongvaux.
C’est bien l’œuvre de Bertrand Russell, Éloge de l’oisiveté donc, mise en scène. Il aborde la question du dogme du travail, ça vaut son pesant de cacahuètes (même si le son est un peu pourri, c’est vrai…).
Ou bien lisez carrément l’ouvrage.
Le 09/02/2016 à 13h 49
Oui, ce n’est pas la peine de tenter quoique ce soit avec Neokoplex qui est bien trop obtus sur ce sujet pour qu’il puisse voir plus loin que le bout de son nez.
‘comprendrai jamais ça moi… C’est pourtant une chance de rayonnement incroyable pour son pays qu’il aime tant.
Le 09/02/2016 à 08h 28
C’est fou ça tous ces semblables devenus experts du parc immobilier français n’est ce pas ?
Là où j’habite, une ville le long de la côte atlantique, les T1 à + ou - 500€, c’est presque la norme…
Le 08/02/2016 à 10h 11
J’aime cette idée.
Au passage, il y a un thread sur le forum de NXI qui aborde le sujet : ici.
Il y a des choses INtéressantes à lire.
Retour sur la condamnation du magazine Téléchargement pour « incitation au piratage »
04/02/2016
Le 04/02/2016 à 13h 09
Ok ok. Bah peut être bien.
Le 04/02/2016 à 12h 28
Celle-ci ? : “Attendu qu’il en résulte que c’est ainsi en connaissance du caractère illicite des logiciels que la revue Téléchargement conseille et préconise à ses lecteurs l’emploi des logiciels et la consultation des sites litigieux, à seule fin de leur permettre de télécharger, de manière illicite, des œuvres et des objets protégés ; […]” (page 4, début du quatrième paragraphe)
Mouais, je ne sais pas trop. J’entends bien ce que nous dit Blackdream. Je reste prudent.
Déjà avec le vocabulaire… “caractère illicite des logiciels” (un aspect, un trait, un cas particulier). A mon sens, rien qui ne vient qualifier ces logiciels de totalement illicites - seulement ici dans ce contexte avec justement, cette utilisation.
On retrouve la même nuance avec “sites litigieux” : qui donnent lieu à un arbitrage. Je n’y vois pas ici une preuve formelle d’illégalité.
Pour moi ça parle bien d’utilisation : à seule fin de leur permettre de télécharger, de manière illicite. Dans ce contexte alors, les logiciels exploités revêtent certainement un caractère illicite
Reste que je ne suis pas du tout calé en droit - leur prose est tellement compliquée, formée de tellement de nuance. Difficile.
Bientôt des procurations de vote 100 % en ligne ?
03/02/2016
Le 03/02/2016 à 14h 08
Partenariat Microsoft – Éducation nationale : premier recours avant les tribunaux
01/02/2016
Le 02/02/2016 à 14h 03
Oui, ce n’est pas mon propos. Je me suis peut être mal exprimé…
Je rebondie sur le “les profs s’en fichent de ce qui se fait en entreprise”… Je ne pense pas que ce soit si stricte.
Rien à voir avec la qualité des formations dispensées en Univ
Le 02/02/2016 à 12h 33
Le 01/02/2016 à 11h 59
Data Privacy Day : Facebook annonce un bénéfice record, grâce à vos données
28/01/2016
Le 28/01/2016 à 11h 53
Oui bien sûr la pub… qui génère tant de fric grâce aux données perso : “On rappellera en effet que plus de 95 % des revenus de Facebook sont tirés de la publicité, la firme de Mark Zuckerberg proposant aux marques de cibler très précisément les utilisateurs de son service, moyennant parfois de fortes sommes d’argent.”
Ce que j’ai souligné, ce sont les données perso : sans elles, j’imagine que la publicité générerait (beaucoup) moins d’argent.
FB ne vend pas de pub mais bien de la données - FB propose néanmoins de l’espace annonceurs.
Le 28/01/2016 à 10h 25
Bof. Grâce à quoi d’autre que nos données Facebook peut-il annoncer un bénéfice record de toute façon ?
Attaque DDoS sur le site de l’Assemblée nationale, Senat.fr ne répond plus
27/01/2016
Le 27/01/2016 à 10h 50
Un député veut généraliser le vote par Internet pour 2017
25/01/2016
Le 25/01/2016 à 14h 54
Le 25/01/2016 à 14h 33
Le 25/01/2016 à 14h 17
Ta spéculation s’est : “on file ça a une entreprise”, “elle vend les votes”, “le contribuable paie cher une régression totale”…
La fraude, il y en a partout, tout le temps. Système papier ou numérique.
Le 25/01/2016 à 14h 02
Oui, “on estime”. C’est une nuance importante non ?
Pour qu’il n’y ai pas de fraude ? Cela n’engage que moi mais je pense qu’il y en a des fraudes. J’imagine que c’est plus ou moins mesuré - confrontation moyens et risques.
Dans le cas du vote électronique, tu ne fais ici que de la spéculation - qui s’avérera peut être vraie, je ne dis pas. Moi j’annonce que les clefs du vote resteront dans les mains de l’état. Et pourquoi pas ?
Le 25/01/2016 à 13h 40
Le 25/01/2016 à 11h 00
Les sanctions contre le « revenge porn » portées à deux ans de prison et 60 000 euros d’amende
23/01/2016
Le 25/01/2016 à 12h 19
Le 24/01/2016 à 13h 38
J’imagine qu’il fait référence à l’avortement
Le 23/01/2016 à 14h 14
Après l’échec de son introduction en bourse, Deezer lève 100 millions d’euros
20/01/2016
Le 20/01/2016 à 14h 42
Le député Martin-Lalande insiste pour renommer « Internet » en « l’internet »
18/01/2016
Le 19/01/2016 à 13h 01
Hé beh, tant de rage…
Ok, le député s’y prend certainement mal, ce n’est peut être pas le bon lieu.
Mais quand ici certains parlent d’insignifiance, je suis un peu surpris, sachant : « dans l’ensemble des textes officiels de la République française, les mots : “Internet”, “l’Internet” et “internet” sont remplacés par les mots : “l’internet” ».
ça laisse entendre que ce n’est pas le cas alors ? Il n’y a pas d’harmonie sur la terminologie ? Bin, ça doit être un sacré bordel…
Le code source d’un logiciel de l’administration, un document communicable
13/01/2016
Le 13/01/2016 à 13h 40
On est d’accord, je m’en fiche un peu du calcul de ces allocations demandeur d’emploi.
C’est pas tant le résultat qui peut être INtéressant mais le bazar mis en œuvre pour l’atteindre (données perso, etc…).
Puis bon, c’est chouette, on est presque à avoir la possibilité d’obtenir du code source des logiciels métiers de l’administration. Reste à faire fonctionner “l’expertise citoyenne”…
Ou alors, on en fait rien.
Le 13/01/2016 à 12h 00
M’en vais faire une demande CADA pour obtenir le code qui permettra de calculer mes futures allocations chômage. On ne sait jamais.
Le fisc refuse toujours de communiquer le code source de ses logiciels
11/01/2016
Le 12/01/2016 à 14h 08
Houla. Je n’ai pas voulu laisser penser que je savais exactement de quoi je parle " />
Et c’est intrinsèque au sujet : la fraude, c’est un monde de silence. Difficile alors de se qualifier de connaisseur.
Mais bon, j’ai bouffé de l’état de l’art sur le sujet et pas mal d’études, francophones ou anglo-saxonnes.
Je travaille sur l’image de document (contexte de dématérialisation). Je développe des méthodes graphiques de détection de manipulation. On s’est concentré sur des documents type fiches de paie, contrats.
Dans l’absolu, c’est applicable un peu à tout : un devis, une facture, un article scientifique, une brochure pub, un CV…
Si je me concentre sur les primitives graphiques d’une image, d’autres se focalisent dans l’équipe sur le contenu en lui même, la sémantique de celui-ci.
Si certains résultats sont encourageant, c’est souvent dans un contexte bien précis, limité. Prendre le tout-venant de la fraude, on en est encore loin.
Tout ça pour simplement nuancer tes propos précédents : je pense qu’il y a beaucoup de choses faites sur la détection de la fraude “secrètement” - le fisc me paraît un point d’entrée inévitable - et ce n’est pas si trivial (c’est certainement une accumulation de systèmes, de solutions techniques, qui donnera les meilleurs résultats).
Le 12/01/2016 à 12h 50
Le 12/01/2016 à 10h 57
Yep. Drepa n’est peut-être pas dans le faux, seulement, on en sait rien. Reste que ça m’étonnerai.
Par contre au sujet de ton commentaire #45, perso, je pense qu’un système automatisé de découverte de la fraude existe côté Bercy/impôt. Comment est-il mis en œuvre, ça, je n’en sais rien…
Je n’en sais rien tout court en fait, c’est simplement une intuition/déduction. Pour travailler dans le domaine, j’imagine que Bercy a déjà les mains bien dans le cambouis sur ce genre de sujet.
Le 12/01/2016 à 09h 23
Des associations dénoncent le « partenariat indigne » entre Microsoft et l’Éducation nationale
03/12/2015
Le 04/12/2015 à 13h 22
Le 04/12/2015 à 12h 59
Le 04/12/2015 à 12h 28
Yep, je n’ai vu votre dernier échange avec AF qu’une fois mon commentaire posté…
Le 04/12/2015 à 12h 08
Le 03/12/2015 à 20h 23
un gros +1
La France prépare un nouveau tour de vis sécuritaire
03/12/2015
Le 03/12/2015 à 11h 39
Plan numérique : l’Éducation nationale s’associe à Microsoft
01/12/2015
Le 01/12/2015 à 16h 47
Je partage assez largement l’avis de Darth21, même si comme tu le dis, certains sont débrouillards.
Je continue de croire que la majorité n’est pas tout à l’aise avec le bazar…
Menaces en Europe sur le statut juridique du lien
17/11/2015
Le 18/11/2015 à 13h 28
[quote::LaNews]…lorsqu’on place un lien sur internet vers un contenu, il n’est pas nécessaire de recueillir une nouvelle autorisation des ayants droit si le public concerné par ce lien est « nouveau »[/quote]
[quote::LaNews]La CJUE a considéré en effet que l’intégration de cette vidéo sur un site tiers avait certes augmenté l’audience, mais n’avait pas visé un public nouveau puisque la vidéo était disponible ailleurs.[/quote]
Il y a quelque chose qui m’échappe ici, j’y vois une incohérence. Ne devrait-il pas y avoir une négation devant “nouveau” à la fin de la première citation ci-dessus ?
Attentats à Paris : vers l’extension de l’état d’urgence
16/11/2015
Le 17/11/2015 à 10h 48
P2P : pourquoi l’administrateur de GKS.gs est condamné à payer 3 millions d’euros
26/10/2015
Le 26/10/2015 à 15h 35
Nous sommes bien d’accord.
A ce compte là, “dispositif” faisait tout autant le café.
Le 26/10/2015 à 15h 20
Le 26/10/2015 à 15h 13
Peut-être… je reste peu convaincu.
Libre office n’est pas autonome. Il a bien besoin d’une autre solution logicielle pour fonctionné, si ce n’est rien que le système d’exploitation comme tu l’évoques (sur wiki pour système d’exploitation : ensemble de programmes qui dirigent l’utilisation des capacités d’un ordinateur par des logiciels applicatifs).
Si on se laisse porter toujours sur wiki, un programme est un ensemble d’opérations destinées à être exécutées par un ordinateur. On y lit qu’un programme “fait généralement parti d’un logiciel” : un logiciel peut être composé de plusieurs programmes (j’ajouterai qu’un programme peut composé plusieurs logiciels).
Je ne comprends pas trop pourquoi on cherche une distinction fonction de l’accès à un système de traitement de données (le logiciel donc) : réseau local ou internet (distant donc), local (la machine)… peu importe.
D’après vous, quels logiciels sont purement autonomes ? Un système d’exploitation ? Je ne pense pas, il s’appuie bien sur les firmwares des composants électroniques.
Après, je vois certainement ce questionnement (site internet != logiciel ?) par le prisme de l’informatique.
Qu’en droit, la notion soit différente se justifie certainement.
Le 26/10/2015 à 12h 07
J’imagine que l’on parle de FPGA
Le 26/10/2015 à 11h 57