#Le brief du 12 février 2020

Un plongeon dans des applications emails « gratuites » et la revente des données

Un plongeon dans des applications emails « gratuites » et la revente des données

Le 12 février 2020 à 09h38

Motherboard a publié une longue enquête sur le sujet, s’attardant sur des applications comme Edison, Cleanfox et Slice.

Par exemple, « le contenu des boîtes de réception des utilisateurs d'Edison présente un intérêt particulier pour les entreprises pouvant acheter les données pour prendre de meilleures décisions d'investissement », expliquent nos confrères en se basant sur un document de chez J.P. Morgan qu’ils ont pu consulter.

Edison ne se cache pas de « traiter » vos emails et collecter des données, mais des utilisateurs interrogés par Motherboard aimeraient plus de transparence. Suite à la publication de cet article, la société a répondu dans un billet Medium.

Elle confirme que son modèle économique consiste à analyser « les e-mails commerciaux et en extraire des informations d'achat anonymes ». « Notre technologie est conçue pour ignorer les e-mails personnels et professionnels, ce qui ne nous aide pas à mesurer les tendances du marché », ajoute-t-elle. 

Il y a deux semaines environ, Rakuten a ajouté une option pour « désactiver la vente de vos données » de l’application Slice, qui n’est plus disponible en Europe depuis la mise en place du RGPD.


Foxintelligence nous a indiqué vouloir apporter les précisions suivantes :

Depuis plusieurs jours, notre application Cleanfox a fait l’objet dans la presse d’accusations infondées qui ont porté atteinte à la réputation de notre société. Non seulement ces accusations sont mensongères et s’apparentent à de la diffamation, mais aussi ces-dernières sont aux antipodes de nos convictions et nos engagements pour la protection des données personnelles. Dès la création de Foxintelligence, nous avons pris le parti d’être encore plus exigeants que ce que réclame le Règlement Général sur la Protection des Données Personnelles (RGPD):

  • Nous avons toujours été d’une transparence totale sur le modèle d’affaire de Cleanfox et de Foxintelligence. Rien n’est caché dans des pages illisibles de Conditions d’utilisation. Au contraire, le fonctionnement de notre entreprise est clairement et simplement indiqué au moment où l’utilisateur nous confie son consentement.
  • Nous nous sommes également engagés à ne jamais revendre les données personnelles de nos utilisateurs, de ne participer à aucun dispositif de ciblage publicitaire et de ne générer aucun préjudice pour nos utilisateurs. Foxintelligence créé et revend des statistiques anonymisées et agrégées, comme le fait n’importe quel institut de sondage.
  • Nous croyons en un modèle dans lequel le service est gratuit et l’utilisateur n’en est pas pour autant le produit.

C’est pour ces raisons que nous réfutons avec la plus grande fermeté les accusations récentes selon lesquelles Cleanfox vendrait les données de ses utilisateurs à des entreprises tierces. Ceci est faux et diffamatoire.

Nous rejetons également les accusations selon lesquelles nous ne serions pas transparents avec nos utilisateurs. Une simple visite sur notre site permet de s’en rendre compte. Avant que l’utilisateur se connecte sur Cleanfox, nous détaillons noir sur blanc notre engagement à ne jamais vendre aucune donnée personnelle à des tiers et à uniquement commercialiser des statistiques sur la base de données anonymisées et agrégées.

Tout cela est ensuite détaillé de manière intelligible et simple dans notre politique de confidentialité, dans notre FAQ et sur les pages du Play Store et de l’Apple Store.

Cleanfox est un service gratuit. Foxintelligence se rémunère en produisant des statistiques telles que l’estimation du chiffre d’affaires ou du rythme de croissance du e-commerce.

Pour réaliser ces statistiques, nous anonymisons et agrégeons des confirmations de transactions électroniques (ticket de caisse électroniques). Ces statistiques ne s’apparentent en aucun cas à du profiling d’utilisateur, elles ne permettent pas de faire un rapprochement quelconque avec un utilisateur de nos services en particulier.

Les cas de données qui seraient “désanonymisées” que mentionnent certains articles de presse américains, concernent une pratique à laquelle nous nous refusons : la pseudonymisation des données, c’est à dire, affecter un identifiant unique à chaque utilisateur. Il est donc impossible de relier les statistiques de Foxintelligence à un quelconque utilisateur.

Contrairement à une grande partie des acteurs du web, Foxintelligence ne revend pas les données personnelles de ses utilisateurs. L’activité de Foxintelligence n’a aucun caractère publicitaire. Ainsi, si vous utilisez Cleanfox, vous ne serez jamais par la suite l’objet de publicités ciblées ou non ciblées de la part d’entreprises tierces du fait de votre inscription chez Cleanfox. 

 

Le 12 février 2020 à 09h38

Un plongeon dans des applications emails « gratuites » et la revente des données

Patch Tuesday : c’est la tournée de Microsoft sur les mises à jour

Patch Tuesday : c’est la tournée de Microsoft sur les mises à jour

Le 12 février 2020 à 09h38

Comme chaque deuxième mardi du mois, le géant de Redmond propose des correctifs pour l’ensemble des systèmes d’exploitation encore supportés : Windows 8.x et 10.

Ce mois-ci, une centaine de failles sont bouchées, aussi bien sur Windows, que Edge (version Chromium ou non), Exchange Server, SQL Server, Office, etc. Tous les détails se trouvent par ici.

Comme toujours, rendez-vous dans Windows Update pour installer les mises à jour proposées. Pour rappel, le support gratuit de Windows 7 a pris fin le 14 janvier.

Des mises à jour sont toujours proposées par Microsoft, mais uniquement pour les membres du programme payant Extended Security Updates.

Le 12 février 2020 à 09h38

Patch Tuesday : c’est la tournée de Microsoft sur les mises à jour

Accessibilité numérique : le gouvernement promet des efforts

Accessibilité numérique : le gouvernement promet des efforts

Le 12 février 2020 à 09h38

Les chiffres de l’exécutif sont assez édifiants : « Seules 13% des démarches en ligne de l’Observatoire [de la qualité des démarches en ligne, ndlr] sont conformes aux normes d’accessibilité numérique. » Hier, lors de la conférence nationale du handicap, le gouvernement s’est ainsi donné pour objectif d’atteindre 80 % en 2022.

Une « task force » dédiée à l’accessibilité numérique sera pour cela mise en place au sein de la Direction interministérielle du numérique (DINUM), un peu comme l’avait récemment préconisé le Conseil national du numérique.

L’exécutif promet également qu’une circulaire sera « diffusée à l’ensemble des administrations » pour leur rappeler leurs obligations : « Elle veillera notamment à la mise en accessibilité des démarches administratives et des 10 sites Internet publics de l’État les plus utilisés. Elle prévoira également la nécessité d’inscrire les compétences d’accessibilité numérique sur toutes les fiches de poste des métiers du numérique et de la communication, ainsi que la nécessité de recruter des personnes formées et sensibilisées à cette problématique. »

Les retours des usagers devraient également être mieux pris en compte, puisque « dès le printemps 2020 », ils seront « invités à signaler les problèmes sur les services publics en ligne grâce à la plateforme VoxUsagers ».

Le 12 février 2020 à 09h38

Accessibilité numérique : le gouvernement promet des efforts

À l’Assemblée, une (nouvelle) proposition de loi contre les panneaux publicitaires numériques

À l’Assemblée, une (nouvelle) proposition de loi contre les panneaux publicitaires numériques

Le 12 février 2020 à 09h38

La députée Delphine Batho a déposé hier une proposition de loi visant à interdire « toute forme de publicité numérique et lumineuse dans l’espace public ». Alors que les écrans en tout genre pullulent, notamment à Paris, jusque dans les transports en commun, l’éphémère ministre de l’Écologie de François Hollande dénonce un mouvement incompatible « avec les impératifs liés à l’urgence écologique, à la protection de la santé publique et à la qualité des paysages urbains ».

« À l’origine d’une importante consommation d’énergie, les écrans publicitaires numériques sont la source d’un gaspillage énergétique évitable. Un panneau numérique de deux mètres carrés consomme 7 000 kilowattheures (kWh) par an, ce qui équivaut à la consommation annuelle d’un foyer avec un enfant », avance notamment Delphine Batho.

L’élue plaide ainsi pour une interdiction de toute publicité « lumineuse », « numérique » ou « supportant des affiches éclairées par projection ou transparence », en agglomération comme hors agglomération, « sur les voies ouvertes à la circulation publique, ainsi que dans les aéroports, gares ferroviaires et routières, stations et arrêts de transports en commun de personnes ». Cette mesure s’appliquerait également « aux publicités situées à l’intérieur d’un local lorsque leur emplacement les rend visibles depuis la voie publique ».

Ce texte n’a cependant guère de chances d’aboutir, la majorité s’étant déjà opposée à de multiples reprises à des amendements allant dans le sens de la proposition de loi de Delphine Batho. Lors de l’examen du projet de loi « anti-gaspillage », le gouvernement a notamment estimé qu’une telle interdiction générale irait « à l’encontre des principes de la liberté d’expression, de la liberté du commerce et de l’industrie et du bon exercice de l’activité des opérateurs économiques du secteur de la publicité extérieure » (voir notre article).

Le 12 février 2020 à 09h38

À l’Assemblée, une (nouvelle) proposition de loi contre les panneaux publicitaires numériques

FAI, opérateurs : un député veut améliorer la « mobilité numérique » des consommateurs

FAI, opérateurs : un député veut améliorer la « mobilité numérique » des consommateurs

Le 12 février 2020 à 09h38

Malgré les différentes réformes législatives de ces dernières années, le député LR Jean-Charles Taugourdeau regrette que « les mécanismes de résiliation demeurent méconnus, voire très complexes » pour les consommateurs.  

Et celui-ci de prendre pour exemple, « les processus de résiliation des contrats auprès des fournisseurs d’accès Internet ». Phase jugée trop lourde et différente selon les opérateurs et les conditions générales. 

Son idée ? Imposer par la loi l’obligation pour le nouvel opérateur de s’occuper « de l’ensemble des démarches auprès de l’ancien opérateur et ce en s’assurant aussi bien de la permanence de couverture de l’abonné, de la sauvegarde des données que de la portabilité du numéro de téléphonie fixe ». 

C’est le cœur de sa proposition de loi.  

Le 12 février 2020 à 09h38

FAI, opérateurs : un député veut améliorer la « mobilité numérique » des consommateurs

Covid-19 : reprise en douceur d’usines (Foxconn, Tesla) en Chine, Apple changerait de crémerie

Covid-19 : reprise en douceur d’usines (Foxconn, Tesla) en Chine, Apple changerait de crémerie

Le 12 février 2020 à 09h38

Suite à l'épidémie de coronavirus 2019-nCoV (Covid-19) qui a débuté dans la région de Wuhan en Chine, plusieurs usines ont été mises à l’arrêt. Les conséquences peuvent être importantes pour l’économie locale et pour le secteur des composants informatiques qui sont majoritairement produits dans la région.

Depuis le début de la semaine, plusieurs fabricants de voitures ont relancé la production, notamment Tesla, tandis que d’autres se préparent à faire de même. Selon une source de Reuters, le géant Foxconn espérerait reprendre la moitié de sa production d’ici la fin du mois, puis monter à 80 % en mars.

De son côté, Apple chercherait à transférer une partie de ses commandes à d’autres usines à Taiwan, c’est du moins ce qu’indiquent des sources de DigTimes. Dans tous les cas, ces réouvertures ne font pas l’unanimité. CNN par exemple tire à boulets rouges sur Elon Musk jugeant sa « stratégie aussi imprudente et immorale » et l’accusant de « mettre des vies en danger » en rouvrant l’usine de Shanghaï. 

Le 12 février 2020 à 09h38

Covid-19 : reprise en douceur d’usines (Foxconn, Tesla) en Chine, Apple changerait de crémerie

Une députée veut des messages d’avertissement sur les risques de consommation excessive de porno

Une députée veut des messages d’avertissement sur les risques de consommation excessive de porno

Le 12 février 2020 à 09h38

« Fumer tue », « L'abus d'alcool est dangereux pour la santé », « Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »… Et bientôt « le porno est une drogue, consommez-le avec modération » ? 

La députée Agnès Thill aimerait que soit imposé un message d’information « sur les risques d'une consommation excessive pour les adultes ». Ce message serait affiché « avant la consommation de produits pornographiques », et donc pourquoi pas à l’entrée des sites.

« Il n'y a pas la moindre information des risques de dépendance alors que les travaux sur le sujet ne sont plus à démontrer » affirme l’élue dans sa question parlementaire adressée au ministère des Solidarités et de la Santé. « Même si l'addiction à la pornographie ne fait pas encore partie des classifications internationales des maladies mentales, il n'existe guère d'études qui ne sont pas en faveur d'une telle conceptualisation » soutient-elle. 

« Aussi bien les études basées sur les électroencéphalographies ou sur l'IRM que les études neuropsychologiques ou comportementales, ou encore les études génétiques soutiennent pour une très grande majorité d'entre elles que la pornographie peut être une drogue ». 

Dans la proposition de loi contre les violences conjugales, les députés ont déjà rendu inefficaces les systèmes de déclaration d’âge à l’entrée des sites X. Cette désactivation pénale permettra la sanction des éditeurs de ces sites voire d’initier une procédure de blocage en raison de leur simple accessibilité aux mineurs. 

Dans la proposition de loi contre la haine en ligne, les mêmes veulent que les plateformes suppriment images, vidéos, textes, photo porno en moins de 24 heures si ces contenus sont là encore « susceptibles » d’être perçus par des mineurs (notre actualité).

Ces deux textes sont désormais entre les mains des sénateurs.

Le 12 février 2020 à 09h38

Une députée veut des messages d’avertissement sur les risques de consommation excessive de porno

L’ESJ Lille lance une chaire d’éducation aux médias en partenariat avec Facebook

L'ESJ Lille lance une chaire d’éducation aux médias en partenariat avec Facebook

Le 12 février 2020 à 09h38

L'annonce a été faite à l'occasion de la 2ème édition des Rencontres de l’Éducation aux médias qui s'est tenue il y a quelques jours. L’École Supérieure de Journalisme de Lille a décidé de créer une première Chaire de recherche en Éducation aux médias et à l’information en France.

Elle s'appuie sur des partenaires institutionnels comme l’Union Européenne, le ministère de la Culture, le ministère de l’Education nationale, le Commissariat général à l’égalité des territoires et la Région Hauts de France, mais surtout sur un partenariat avec le géant américain.

« Cette chaire va précisément permettre d’identifier les méthodes de sensibilisation les plus efficaces et d’en faire bénéficier l’ensemble des acteurs engagés dans la lutte contre les fausses informations » précise Anton’Maria Battesti, responsable des affaires publiques de Facebook France.

Dans la pratique, « il s’agit d’identifier et de mesurer l’impact des actions de sensibilisation et d’appropriation en éducation aux médias sur les connaissances, les usages et les compétences des jeunes [...] à travers le suivi des cohortes de milliers de jeunes sensibilisés par l’ESJ Lille ».

Autre aspect mis en avant : « ces travaux de recherche tenteront de déceler les tendances d’usage et les besoins en termes d’information des moins de 25 ans et de proposer des pistes de développement innovantes ».

Le 12 février 2020 à 09h38

L’ESJ Lille lance une chaire d’éducation aux médias en partenariat avec Facebook

Google va rendre obligatoire la double authentification pour tous les comptes Nest

Google va rendre obligatoire la double authentification pour tous les comptes Nest

Le 12 février 2020 à 09h38

Cette fonctionnalité est disponible depuis longtemps chez Google, mais vous n’aurez plus le choix à partir de cet été. Le géant américain a officialisé cette annonce à l’occasion de la journée mondiale Safer Internet Day.

« Lorsqu'une nouvelle connexion à votre compte est initiée, vous recevrez un e-mail de "[email protected]" avec un code de vérification à six chiffres. Ce code sera utilisé pour nous assurer que c’est bien vous qui essayez de vous connecter ».

Dans tous les cas, pensez à activer la double authentification sur tous les services où cette fonctionnalité est proposée : renforcer la sécurité de son compte est toujours une bonne idée.

Le 12 février 2020 à 09h38

Google va rendre obligatoire la double authentification pour tous les comptes Nest

Révolut déploie son offre d’Open Banking au Royaume-Uni

Révolut déploie son offre d'Open Banking au Royaume-Uni

Le 12 février 2020 à 09h38

Alors que N26 se retire de ce marché, la néobanque s'y renforce, annonçant de nouveaux services comme l'intégration des informations de vos comptes détenus dans d'autres établissement.

C'est la suite logique pour cette solution qui était en test jusqu'à maintenant. Elle est désormais accessible à tous, sur les comptes classiques ou business. 

Pour le moment, l'ajout de comptes ne fonctionne que via la version web de l'application, mais sera rapidement étendue à d'autres plateformes. Revolut dit également préparer ce service, opéré avec TrueLayer, pour d'autres pays. 

Le 12 février 2020 à 09h38

Révolut déploie son offre d’Open Banking au Royaume-Uni

Windows 10X et appareils à deux écrans : Microsoft met en ligne son émulateur

Windows 10X et appareils à deux écrans : Microsoft met en ligne son émulateur

Le 12 février 2020 à 09h38

Depuis l'annonce de cette nouvelle déclinaison du système d'exploitation, les développeurs suivent l'évolution de l'éditeur et de ses outils. 

A l'occasion de son évènement virtuel Dual Screen Experiences, Microsoft a évoqué les différents cas d'usage visés, mais aussi mis à jour le SDK de la Surface Duo. 

L'émulateur pour Windows 10X et des outils spécifiques ont également été mis en ligne. La société précise travailler avec le W3C sur la gestion des appareils à deux écrans par les navigateurs, ses propositions étant détaillées sur GitHub.

Le nouvel Edge permet d'ailleurs déjà de simuler des appareils à deux écrans via ses DevTools. Le travail sur WinUI 3 se poursuit pour sa part, une version alpha exploitant WebView2 étant d'ores et déjà disponible.

Le 12 février 2020 à 09h38

Windows 10X et appareils à deux écrans : Microsoft met en ligne son émulateur

MWC : les défections continuent avec AT&T, Cisco et Facebook, la GSMA pourrait annuler le salon

MWC : les défections continuent avec AT&T, Cisco et Facebook, la GSMA pourrait annuler le salon

Le 12 février 2020 à 09h38

Depuis la fin de la semaine dernière, il ne se passe pas un jour ou presque sans que des sociétés annoncent qu’elles ne viendront pas à Barcelone, ou avec des effectifs réduits, en raison de l’épidémie de coronavirus 2019-nCoV (Covid-19).  

Dans le lot, on retrouve : Amazon, Ericsson, Intel, LG, NTT Docomo, NVIDIA, Samsung, Sony, TCL et ZTE. On peut désormais ajouter AT&T, Cisco, Facebook et Vivo. L’OMS a récemment rappelé que Covid-19 représentait une « très grave menace » pour le monde, expliquant les désertions en série à Barcelone.

Mais on constate un effet boule de neige : une fois les premiers partis, d’autres ont rapidement suivis. Pendant ce temps, la position officielle de la GSMA reste la même : le salon est maintenu avec quelques mesures de sécurité supplémentaire. Mais les choses pourraient bouger : selon une source de Reuters, les représentants de la GSMA (dont Stéphane Richard est l’actuel président du Conseil d’administration) devraient se réunir vendredi pour discuter d’une éventuelle annulation.

La question pour la GSMA est maintenant de savoir si elle doit maintenir un salon qui pourrait n'être que l’ombre de lui-même, devant éviter tout problème sanitaire, ou s'il faut désormais arrêter les frais. Un choix qui aurait évidemment de très importantes répercussions financières pour les organisateurs et la région catalane. 

De son côté, le ministre de la Santé espagnol (Salvador Illa) a indiqué hier à des journalistes qu’il n’y avait, selon lui, pas de raison d’annuler cette manifestation. Il a ajouté que la GSMA pourrait annoncer de nouvelles mesures dès aujourd’hui, sans préciser lesquelles... en espérant qu'aucun autre gros équipementier n'annonce son retrait complet.

Le 12 février 2020 à 09h38

MWC : les défections continuent avec AT&T, Cisco et Facebook, la GSMA pourrait annuler le salon

Apple permet de désactiver les notifications pour les paiements récurrents

Apple permet de désactiver les notifications pour les paiements récurrents

Le 12 février 2020 à 09h38

Un utilisateur d’iPhone explique sur Twitter, comme repéré par 9To5Mac, avoir trouvé une nouvelle fonctionnalité dans les paramètres des abonnements récurrents (Apple Arcade, tv+, Music, etc.).

Par défaut, Apple envoie un email à chaque renouvellement, permettant ainsi de suivre les services pour lesquels vous payez et éventuellement penser à résilier si vous n’en avez plus l’utilité. 

Vous pouvez désormais choisir de ne plus recevoir des emails à chaque fois. Cela concerne à la fois les services payants Apple et ceux des développeurs tiers. 

Le 12 février 2020 à 09h38

Apple permet de désactiver les notifications pour les paiements récurrents

Apple rejoint la FIDO Alliance

Apple rejoint la FIDO Alliance

Le 12 février 2020 à 09h38

La société s'est récemment engagée dans le support de FIDO2 et WebAuthn au sein de ses produits, notamment via son navigateurs Safari. Sa participation officielle au consortium n'était plus qu'une question de temps.

C'est désormais le cas, à en croire le site de la FIDO Alliance qui liste désormais Apple comme membre du board, comme repéré par MacGeneration. 

Le 12 février 2020 à 09h38

Apple rejoint la FIDO Alliance

Révolution (ou pas) : la fourchette devient… TheFork

Révolution (ou pas) : la fourchette devient… TheFork

Le 12 février 2020 à 09h38

Non, il ne s’agit pas d’un hommage déguisé à Toy Story 4, mais d’une volonté d’uniformiser son nom dans tous les pays.

« Le leader mondial de la réservation de restaurants en ligne en Europe, en Amérique Latine et en Australie poursuit sa stratégie de développement international et étend sa marque globale TheFork aux marchés français et suisse ».

Comme diraient les Guignols, « vous pouvez reprendre une activité normale ».

Le 12 février 2020 à 09h38

Révolution (ou pas) : la fourchette devient… TheFork

Firefox 73 améliore son accessibilité

Firefox 73 améliore son accessibilité

Le 12 février 2020 à 09h38

Le navigateur de Mozilla propose désormais un réglage global pour le niveau de zoom sur les sites, pour ceux ne voulant pas modifier ce paramètre à leurs habitudes à chaque nouveau domaine qu'ils visitent. Dans le mode de contraste élevé, le fond de page sera désormais désactivé afin d'améliorer la lisibilité. 

On apprend également que WebRender sera actif sur les PC portables avec un GPU NVIDIA disposant d'un pilote de la branche 432 au minimum et une définition d'au moins 1920 x 1200 pixels. NextDNS est désormais proposé dans les fournisseurs de service DNS over HTTPS. Quelques bugs et correctifs de sécurité sont bien entendu de la partie. 

Les nouveautés concernant les développeurs sont pour leur part détaillées par ici.

Le 12 février 2020 à 09h38

Firefox 73 améliore son accessibilité

Linky et conservation des données : EDF et ENGIE promettent de faire mieux

Linky et conservation des données : EDF et ENGIE promettent de faire mieux

Le 12 février 2020 à 09h38

Ce ne sera pas difficile, à en croire la CNIL qui a mis en demeure ces deux entreprises comme nous l'évoquions hier. Pour EDF, c'est service minimum, la société s'étant contenté de répondre à la CNIL et à quelques médias sur Twitter qu'elle s'engageait à « apporter les corrections demandées ».  

Elle a également tenu à préciser que « la protection des données personnelles de nos clients est une priorité », ce qui n'était pas l'enjeu ici puisque c'était plutôt la gestion des finalités et une trop longue durée de conservation de données précises qui lui était reprochée.

« Nous les utilisons exclusivement pour leur délivrer les services auxquels ils ont souscrit. En aucun cas nous ne [les] transmettons » promet enfin EDF. Encore heureux !

Chez ENGIE, un communiqué complet a été diffusé dans l'espace presse de la société, évoquant la mise en demeure et répondant sur les différents points qui lui ont été reprochés par la CNIL et comment elle s'est déjà adaptée ou compte y répondre à l'avenir.

Là aussi, la société dit « mettre au cœur de ses préoccupations la protection des données personnelles, la transparence de ses services et le respect de la vie privée de ses clients ».

Le 12 février 2020 à 09h38

Linky et conservation des données : EDF et ENGIE promettent de faire mieux

Brexit : N26 quitte le Royaume-Uni et les comptes fermeront le 15 avril, Bunq « est là pour rester »

Brexit : N26 quitte le Royaume-Uni et les comptes fermeront le 15 avril, Bunq « est là pour rester »

Le 12 février 2020 à 09h38

« Le Royaume-Uni ayant quitté l’Union européenne, nous ne serons prochainement plus en mesure d’y opérer avec notre licence bancaire européenne », explique la néobanque.

Tous les services associés aux cartes bancaires seront également supprimés à partir de cette date. N26 facturera ses clients Metal et You du Royaume-Uni jusqu’au 14 mars, le dernier mois sera offert.

Une foire aux questions a été mise en ligne par ici. La banque en profite pour réaffirmer ses ambitions dans les autres pays : « Nous allons poursuivre notre développement au sein de l'Union européenne, renforcer notre présence aux États-Unis et développer davantage nos produits et fonctionnalités pour nos clients du monde entier ».

Cette annonce a fait réagir son concurrent Bunq, qui affirme « être là pour rester ». « Sur la base des règles et réglementations actuelles, nous ne voyons aucune raison (réglementaire) de quitter le Royaume-Uni. En fait, nous vous aimons ! », ajoute le fondateur et directeur général de la société. 

Le 12 février 2020 à 09h38

Brexit : N26 quitte le Royaume-Uni et les comptes fermeront le 15 avril, Bunq « est là pour rester »

FTTH : SFR aussi propose 2 Gb/s partagés avec sa Box 8, qui passe à … 7 euros par mois

FTTH : SFR aussi propose 2 Gb/s partagés avec sa Box 8, qui passe à … 7 euros par mois

Le 12 février 2020 à 09h38

Lors du lancement de sa Box 8, la marque au carré rouge mettait en avant le Wi-Fi 6 intégré à son modem. Le boîtier TV avait pour sa part droit à des enceintes/micro, l’assistant « OK SFR » et de fonctionnalités comme Dolby Vision et Atmos en passthrough (via un produit tiers). L’ensemble était alors proposé en option, pour 5 euros par mois.

Sur son site, le FAI indique un changement de taille : « Avec SFR Box 8, vous atteindrez une vitesse de téléchargement jusqu'à 2 Gb/s partagés (soit 1 Gb/s par équipement) et 500 Mb/s d’envoi », contre respectivement 1 Gb/s et 400 Mb/s auparavant. Le fournisseur d’accès rejoint ainsi Orange, qui propose un tel débit sur Livebox Up en fibre, mais 600 Mb/s en upload.

En contrepartie, le tarif grimpe. Si tous les clients éligibles à la fibre SFR peuvent demander la Box 8 elle est désormais facturée 7 euros par mois. Le FAI ne précise pas si les 2 Gb/s sont accessibles à ceux disposant déjà du boîtier ou non et si cela ne concerne que les abonnés Power et/ou Premium qui étaient les seuls à bénéficier d'un débit de 1 Gb/s jusque-là.

Point étrange, Red by SFR indique lui aussi qu’il est possible de grimper jusqu’à 2 Gb/s avec l’option débit Plus – sur certaines pages, mais pas toutes. Pourtant, la Box 8 n’est pas proposé durant la commande. Elle n’est pas non plus accessible aux anciens clients. Nous tâcherons d’en savoir plus dans les jours à venir.

Le 12 février 2020 à 09h38

FTTH : SFR aussi propose 2 Gb/s partagés avec sa Box 8, qui passe à … 7 euros par mois

Smartphone en charge dans la salle de bain : suite à des décès, la DGCCRF alerte sur les dangers

Smartphone en charge dans la salle de bain : suite à des décès, la DGCCRF alerte sur les dangers

Le 12 février 2020 à 09h38

« À la suite de plusieurs décès survenus depuis 2017, la DGCCRF alerte les consommateurs sur les risques liés à l’utilisation des téléphones portables en cours de chargement, et plus largement de tout appareil électrique branché sur le secteur, dans les salles de bains », explique la répression des fraudes.

Elle donne trois exemples de victimes mortes des suites d’un choc électrique : « Dans un cas, la victime utilisait son téléphone, branché sur le secteur, alors qu’elle était dans sa baignoire. Dans deux autres cas, les victimes étaient en train de brancher le chargeur de leur téléphone, en ayant les mains mouillées et/ou les pieds dans l’eau ».

L’agence rappelle trois règles fondamentales, valables d’ailleurs bien au-delà des seuls smartphones et tablettes : 

  • charger ses appareils électriques ou électroniques en dehors des pièces humides ;
  • ne pas utiliser dans la baignoire ou sous la douche un appareil électrique branché sur le secteur, y compris  un téléphone étanche et résistant à l’eau ;
  • ne pas manipuler d’appareil électrique branché avec les mains ou les pieds mouillés, ou avec les pieds dans l’eau.

Pensez également à jeter un œil à votre installation électrique dans la salle de bain. Comme le rappelle Legrand, la norme NF C 15 - 100 distingue trois volumes 0, 1 et 2. Une prise électrique 220 V avec mise à la terre doit par exemple être installée en dehors de ces trois volumes, donc à au moins 60 cm de la douche/baignoire.

Le 12 février 2020 à 09h38

Smartphone en charge dans la salle de bain : suite à des décès, la DGCCRF alerte sur les dangers

La FTC se penche sur les « petites » acquisitions des GAFAM des 10 dernières années

La FTC se penche sur les « petites » acquisitions des GAFAM des 10 dernières années

Le 12 février 2020 à 09h38

La Federal Trade Commission explique avoir envoyé des demandes à Alphabet (Google), Amazon, Apple, Facebook et Microsoft afin d’obtenir la liste de leurs acquisitions réalisées entre le 1er janvier 2010 et le 31 décembre 2019.

La décision a été votée à l’unanimité (5 - 0). L’agence américaine explique sa démarche : 

« Les ordonnances aideront la FTC à approfondir sa compréhension des activités d'acquisition des grandes entreprises technologiques, y compris la façon dont elles déclarent leurs transactions aux agences fédérales antitrust, et si elles effectuent des acquisitions possiblement anticoncurrentielles de potentiels concurrents naissants qui ne tombent pas sous la loi Hart-Scott-Rodino et n'ont donc pas besoin d'être déclarés aux agences antitrust ».

La FTC ne s’arrête pas en si bon chemin et demande « des informations sur le développement et la tarification des produits post-acquisition, y compris comment les actifs acquis ont été intégrés et les données traitées ». 

Les demandes sont réalisées dans le but de voir comment se comporte le marché, mais « si, au cours de l’étude, nous constatons qu’il y a des transactions qui posent problème […] nous pourrions revenir en arrière et prendre des mesures pour traiter ces transactions », affirme Joe Simons, président de la Commission. 

Le 12 février 2020 à 09h38

La FTC se penche sur les « petites » acquisitions des GAFAM des 10 dernières années

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