Volte-face d’Uber au Québec
Le 16 octobre 2017 à 09h42
1 min
Droit
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Du fait des nouvelles règles imposées à ses chauffeurs, Uber avait menacé de quitter le Québec à compter du 14 octobre. Finalement, la société n’en fera rien pour le moment.
Jean-Nicolas Guillemette, responsable Uber au Canada, explique avoir eu « la confirmation que les nouvelles exigences de formation qui nous empêcheraient d’opérer n’auront pas à être initiées avant quelques mois ». Il compte bien profiter de ce sursis pour continuer le dialogue avec le gouvernement.
Il y a quelques jours, un nouveau ministre provincial des transports a été nommé : André Fortin. S’il a confirmé la durée de la formation des chauffeurs (35 heures), il a lâché un peu de leste sur la vérification des antécédents judiciaires : les nouveaux chauffeurs ont huit semaines pour effectuer leur contrôle, tandis que les anciens doivent renouveler l’opération tous les deux ans.
Sur Twitter, André Fortin explique qu’« Uber connaît nos exigences et ses obligations, maintenant la balle est dans leur camp ».
Le 16 octobre 2017 à 09h42
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