Au journal Tagesspiegel, son président Andreas Mundt a déclaré que l'office enquête sur les éventuels abus liés au traitement de données tierces, dont les sites où le bouton « J'aime » est intégré.
La ministre allemande de la Justice, Katarina Barley, a prévenu que la mauvaise utilisation de données des internautes par Facebook implique une régulation plus stricte de son activité.
Le réseau social a promis que la collecte massive de données menée par la société de ciblage politique Cambridge Analytica n'est plus possible. « Mais les promesses ne suffisent pas. Dans le futur, nous devrons réguler les entreprises comme Facebook beaucoup plus strictement » pointe la ministre.
Au cours d'une réunion, l'entreprise lui aurait déclaré que 1 % des 270 000 personnes ayant répondu au quizz voleur de données en 2014 étaient européennes. Aucune statistique n'aurait été donnée sur les 50 millions d'internautes finalement concernés.
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