32 responsables de Samsung Electronics accusés de sabotage des syndicats

Le 28 septembre 2018 à 09h46
1 min
Droit
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Hier, des procureurs sud-coréens ont accusé Samsung Electronics d'avoir violé la législation sur le syndicalisme entre 2012 et 2017, rapporte le Wall Street Journal.
Lee Sang-hoon, directeur exécutif de la filiale depuis mars, est accusé, ainsi que 31 responsables actuels et passés de la société.
Elle est soupçonnée d'avoir usé de « presque toutes les tactiques possibles » pour empêcher la formation de syndicats, sur la base de documents internes découverts il y a cinq mois, dans le cadre d'une autre enquête pour corruption.
Elle aurait menacé de réduire les salaires d'employés liés à des syndicats et de retirer des contrats à des sous-traitants favorables au syndicalisme, selon le Financial Times.
Samsung Electronics a déjà été sous le coup d'une enquête en 2013, avec la révélation d'un premier document interne expliquant comment démanteler un syndicat. Elle a été close en 2015 sans charges.
Le 28 septembre 2018 à 09h46
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Abonnez-vousLe 28/09/2018 à 11h31
Diviser pour mieux régner = isoler les travailleurs pour mieux les soumettre, c’est combien le taux de suicide en Corée du sud déjà?
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