Au Financial Times, le géant du monde bancaire déclare qu'il serait « très heureux » de faciliter l'arrivée de telles devises. Comme le rapporte le FT, des banques centrales explorent cette possibilité, notamment celle de Suisse.
« Tant que c'est soutenu par un régulateur et que [...] ce n'est pas anonyme et remplit toutes les obligations légales, je pense que c'est un grand intérêt à explorer pour nous », déclare Ari Sarker, le coprésident de la branche Asie Pacifique de MasterCard.
La méfiance reste la position par défaut face aux crypto-monnaies. Leurs échanges ont récemment été reclassifiés, menant à quelques soucis pour la plateforme Coinbase suite à l'action de Visa.
Commentaires (5)
L’anonymat devra donc rester le privilège des sociétés.
Ah on me dit que je confonds anonymat et secret des affaires ainsi qu’optimisation fiscale et évasion.
Au temps pour moi.
Donc pas de blockchain pour suivre les échanges intersociétés. Dont acte.
J’imagine qu’une cryptomonnaie d’état aurait l’avantage d’être assurée par ledit état. En cas de problème (vol, etc), il devrait prendre ses responsabilités et payer. Tout le contraire d’une cryptomonnaie commerciale où vol/crash = ruine des utilisateurs.
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Pas con MasterCard
payer, oui, mais… avec quoi…?
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Avec de vrais euros, pardi ! ;)