Les six premiers satellites de OneWeb sont en orbite
Le 28 février 2019 à 09h19
1 min
Sciences et espace
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Cette nuit, une fusée Soyouz décollait de Kourou en Guyane, direction l'espace. C'est le second lancement de l'année pour Arianespace, avec un sans faute jusqu'à présent.
Les six premiers satellites pèsent près de 150 kg chacun et sont désormais à 1 000 km d'altitude. Ils ont été construits par OneWeb Satellites, une coentreprise fondée par OneWeb et Airbus Defence and Space.
Il ne s'agit que de la première étape puisque 20 autres lancements sont prévus d'ici fin 2020 pour arriver à une constellation de 650 satellites (jusqu'à 900 en fonction de la demande).
Le but est pour rappel de proposer une connexion Internet globale sur la Terre. OneWeb n'est pas la seule société à tenter l'aventure, SpaceX est aussi de la partie avec Starlink.
Le 28 février 2019 à 09h19
Commentaires (3)
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Abonnez-vousLe 28/02/2019 à 12h00
OneWeb, Starlink… Des noms qui sonnent comme Skynet vous ne trouvez pas ?
Après c’est peut-être la bonne solution…
Le 28/02/2019 à 17h57
Ce qui est fou c’est de prévoir une constellation de 650 satellites alors que c’est déjà le bordel sur toutes les strates possibles de 300 à 36 000 km de nous. Faudra balayer un jour, ça fait tache.
Le 28/02/2019 à 19h11
« Les régions dans lesquelles évoluent les satellites sont aujourd’hui relativement encombrées par l’accumulation de satellites hors d’usage et de débris spatiaux. Le problème est devenu suffisamment préoccupant pour que des règles de bonne conduite émergent progressivement en ce qui concerne les satellites en fin de vie. L’IADC (Comité inter agences de coordination des débris spatiaux en anglais Inter-Agency Space Debris Coordination Committee), qui réunit les principales agences spatiales, a ainsi proposé en 2002 des règles concernant les deux zones les plus encombrées de l’espace :
Ces mesures ont, si elles sont appliquées, une incidence non négligeable sur le coût des satellites puisque le carburant consacré au changement d’orbite en fin de vie peut représenter plus de 10 % de la masse du satellite dans le cas le plus défavorable. » (Wikipedia)