#Le brief du 27 octobre 2020

Protection des consommateurs, sécurité des produits : deux résolutions adoptées en commission au Parlement européen

Protection des consommateurs, sécurité des produits : deux résolutions adoptées en commission au Parlement européen

Le 27 octobre 2020 à 08h10

La commission du marché intérieur a adopté deux résolutions, l’une sur la protection des consommateurs, l’autre destinée à améliorer la sécurité et la durabilité des produits.

La première, intitulée « Vers un marché unique plus durable pour les entreprises et les consommateurs », et signée du rapporteur David Cormand (EELV), demande à la Commission européenne une série de réformes. Par exemple, elle demande que les biens numériques fassent « l’objet d’une vigilance particulière », à charge pour les fabricants d’assurer « la continuité des mises à jour de sécurité pour le temps de vie estimé du bien, ce au minimum pendant cinq ans ». 

Parmi les nombreuses autres mesures, elle réclame aussi « un affichage obligatoire, basé sur des critères normalisés et transparents, qui fournisse au consommateur informations et comparabilité quant à la durée de vie estimée d’un produit et en présente les options de réparation lors de l’achat ».

L’autre rapport, signé Marion Walsmann (PPE) souhaite que « les plateformes et les marchés en ligne prennent des mesures proactives pour lutter contre les pratiques trompeuses ». Il considère que « le respect des règles sur la sécurité des produits doit être garanti pour les produits qui circulent dans l'UE, qu'ils soient fabriqués dans l'Union ou non, afin de garantir une concurrence loyale entre les entreprises et de veiller à ce que les consommateurs reçoivent des informations fiables sur les produits ».

Le vote en plénière sur les deux rapports, qui n’ont pas de portée juridique, est programmé pour la session de novembre.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Protection des consommateurs, sécurité des produits : deux résolutions adoptées en commission au Parlement européen

Zoom : le chiffrement de bout en bout disponible en préversion

Zoom : le chiffrement de bout en bout disponible en préversion

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Comme promis, Zoom propose depuis hier soir sa fonction de chiffrement E2E. il s’agit d’abord d’une phase de préversion d’un mois, qui débouchera sur une version finale disponible pour l’ensemble des comptes, gratuits et payants.

L’option se trouve dans les paramètres du service, sur sa version web (elle n’est pas présente dans le client installé). Vous la trouverez dans Paramètres > Réunion > Sécurité, en dernier position : « Réunions cryptées de bout en bout (E2E) ».

« Le cryptage de bout en bout offre une sécurité supplémentaire car seuls vous et vos participants pouvez décrypter la réunion, contrairement à Zoom et aux autres tierces parties. Les réunions cryptées de bout en bout (E2E) ne prennent actuellement pas en charge les fonctionnalités basées sur le cloud telles que l’enregistrement dans le cloud, l’appel de numéro de téléphone, etc. »

On aurait aimé que Zoom utilise les bons mots (chiffrement, chiffrées, déchiffrer…), mais au moins la promesse est tenue. 

Comme annoncé, l’activation du chiffrement E2E coupe toutes les fonctions supplémentaires de type sous-titres automatiques, puisqu’elles se basent sur une analyse du flux. Avec cette option, une vidéoconférence se résumera à l’essentiel : l’image, le son et la discussion commune.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Zoom : le chiffrement de bout en bout disponible en préversion

Office pour iPad supporte les souris et le trackpad du Magic Keyboard

Office pour iPad supporte les souris et le trackpad du Magic Keyboard

Le 27 octobre 2020 à 08h10

La mise à jour était attendue. Depuis hier, Word, Excel et PowerPoint sont officiellement compatibles avec les souris sous iPadOS.

Cette prise en charge est en fait celle du système, largement améliorée dans iPadOS 14. On peut connecter une souris Bluetooth et s’en servir pour la plupart des opérations de base. Microsoft y ajoute le support du trackpad du Magic Keyboard d’Apple.

Les nouvelles versions des trois applications les rapprochent de leurs grandes sœurs sur Mac et PC. Elles participent dans le même temps à la transformation de l’iPad en éventuel remplaçant d’un ordinateur.

Elles se dotent également d’un nouvel écran d’accueil. Il a pour mission de présenter plus clairement les informations, notamment en entreprise où un ruban de contenus recommandés peut apparaitre.

Les applications se récupèrent comme d’habitude depuis l’App Store. Pour rappel, elles autorisent quelques modifications basiques, mais réclament un abonnement Microsoft 365 pour débloquer l’ensemble.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Office pour iPad supporte les souris et le trackpad du Magic Keyboard

Sony : l’Autorité de la concurrence renvoie à l’instruction le dossier des manettes PlayStation 4

Sony : l’Autorité de la concurrence renvoie à l’instruction le dossier des manettes PlayStation 4

Le 27 octobre 2020 à 08h10

À partir de novembre 2015, le fabricant avait « déployé un dispositif visant à lutter contre les manettes contrefaites », expliquait à l’époque l’institution. 

« Ce dispositif fonctionne en deux temps. Dans un premier temps, Sony identifie des manettes qui, de par leurs caractéristiques techniques et les circonstances de leur utilisation, sont présumées contrefaites ». Puis, « Sony met en oeuvre une contre-mesure qui altère le fonctionnement des manettes, identifiées comme contrefaisantes, lors d'une mise à jour du système d'exploitation de la Playstation 4 ».

Des concurrents peuvent certes proposer leurs manettes compatibles avec la PS4 mais seulement « s’ils disposent d’éléments techniques, propriété de Sony », acquis via une licence. Les services de l’Autorité avaient alors jugé la politique d’octroi de licences de Sony pour le moins floue : « Sony n’informe pas systématiquement les tiers intéressés ni des suites données à leurs demandes ni, le cas échéant, des raisons pour lesquelles la licence leur est refusée ».

Et ceux-ci de craindre que Sony n’en profite pour exploiter sa position dominante afin de « freiner ou empêcher, voire dissuader, l'entrée et le développement de tiers sur le marché des manettes de jeux compatibles avec la console Playstation 4 ».

En 2019, Sony avait mis sur la table une série d’engagements, reposant sur des critères présentés comme objectifs, avec promesse de fournir des justifications en cas de refus d’un demandeur ou encore désignation d’un tiers de confiance. Mais ceux-ci n’ont toutefois pas été jugés suffisamment épais.

« Ils ne permettaient pas de répondre de façon pertinente aux préoccupations de concurrence identifiées par les services d'instruction », écrit l’Autorité sans plus de précision, avant de poursuivre donc son instruction. 

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Sony : l’Autorité de la concurrence renvoie à l’instruction le dossier des manettes PlayStation 4

Samsung et l’université de Stanford ont développé une dalle OLED de 10 000 ppp

Samsung et l’université de Stanford ont développé une dalle OLED de 10 000 ppp

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Les chercheurs expliquent que cette avancée pourrait à terme concerner les téléviseurs, les smartphones et bien évidemment la réalité virtuelle. Pour situer les 10 000 pixels par pouce, l’université rappelle que les smartphones actuels sont aux alentours de 400 à 500 ppp.

Ce n’est pas tout : « en plus d’avoir une densité de pixels record, les nouveaux écrans OLED « métaphotoniques » seraient aussi plus lumineux, auraient un meilleur rendu de couleur que les versions existantes et seraient beaucoup plus faciles et rentables à produire ».

Samsung travaille désormais pour intégrer cette technologie dans un écran… ce qui n’est jamais simple. Il faudra voir si toutes les promesses passent l'étape de l’industrialisation.

Cette avancée a fait l’objet d’une publication dans le magazine Science. Le principal usage mis en avant pour l’instant est le développement d'écrans pour les casques de VR, dont les dalles sont à quelques centimètres des yeux. Une telle densité pourrait faire la différence.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Samsung et l’université de Stanford ont développé une dalle OLED de 10 000 ppp

Osiris-Rex : la NASA débute dès maintenant les opérations de sécurisation des échantillons

Osiris-Rex : la NASA débute dès maintenant les opérations de sécurisation des échantillons

Le 27 octobre 2020 à 08h10

La sonde ne devait débuter cette délicate manœuvre que le 2 novembre, mais le calendrier est fortement réduit. En cause, la moisson très (trop ?) importante de matériaux à la surface de l’astéroïde Bennu qui empêche une trappe de se fermer correctement.

Bilan des courses : une petite fuite des précieux échantillons. Afin de « minimiser les pertes supplémentaires », la NASA a donné son feu vert pour placer les échantillons dans le Sample Return Capsule (SRC) au plus vite.

Cette procédure se réalise par étape, avec une supervision depuis la Terre. Les équipes doivent donc faire avec la limite que représente la vitesse de la lumière. Un signal met un peu plus de 18 minutes à faire le voyage, soit 37 minutes pour un aller-retour.

« Les équipes prévoient que l’ensemble du processus d’arrimage prendra plusieurs jours, à la fin desquels l’échantillon sera scellé en toute sécurité dans le SRC pour le voyage de retour de l’engin vers la Terre ».

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Osiris-Rex : la NASA débute dès maintenant les opérations de sécurisation des échantillons

Seagate : revenus en baisse, hausse du bénéfice net, des disques durs HAMR en décembre ?

Seagate : revenus en baisse, hausse du bénéfice net, des disques durs HAMR en décembre ?

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Le fabricant vient de publier ses résultats pour le premier trimestre de son année fiscale 2021. Le chiffre d’affaires est de 2,314 milliards de dollars, contre 2,578 milliards un an auparavant. 

La marge est de 25,8 %, en très légère baisse de 0,2 point sur un an. Le bénéfice net grimpe par contre à 223 millions de dollars, soit 23 millions de plus en douze mois. Ce bilan est aussi l’occasion pour Seagate de revenir sur sa prochaine « révolution » dans les disques durs :

« Nous sommes sur la bonne voie pour expédier, en décembre, nos premiers disques HAMR qui génèreront des revenus. C’est une étape importante dans l'industrie afin de répondre au besoin croissant de stockage de grande capacité ».

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Seagate : revenus en baisse, hausse du bénéfice net, des disques durs HAMR en décembre ?

Un contrat « d’objectifs et de performances » entre l’État et l’ADEME pour 2020 à 2023

Un contrat « d’objectifs et de performances » entre l’État et l’ADEME pour 2020 à 2023

Le 27 octobre 2020 à 08h10

L’Agence de la transition écologique explique que, pour les trois prochaines années, qu'il permettra « d’affirmer le rôle de l’ADEME […] en fixant le cadre de ses actions et en donnant ses grandes orientations stratégiques ».

Trois grandes priorités sont annoncées : « amplifier le déploiement de la transition écologique, contribuer à l’expertise collective pour la transition écologique et enfin, innover et préparer l’avenir de la transition écologique ».

« Face à l’urgence, l’ADEME se fixe des objectifs ambitieux et appelle à une mobilisation générale : il faut faire plus, plus vite, consommer moins et mieux. L’atteinte d’une société sobre et neutre en carbone en 2050 impose que la société ait mené des transformations profondes avant 2030 », affirme Arnaud Leroy, PDG de l’ADEME. 

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Un contrat « d’objectifs et de performances » entre l’État et l’ADEME pour 2020 à 2023

Hydrogène décarboné : le gouvernement annonce l’ouverture de deux appels à projets

Hydrogène décarboné : le gouvernement annonce l’ouverture de deux appels à projets

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Dans leur communiqué commun, plusieurs ministères et l’ADEME (Agence de la transition écologique) expliquent que « l’hydrogène constitue une opportunité stratégique pour la transition vers une économie "zéro carbone" et la création d’une filière industrielle ».

Ce sujet intéresse également l’Europe, qui a lancé une alliance il y a quelques semaines, rappelant au passage les enjeux : « l’hydrogène peut servir de matière première, de carburant ou de vecteur d’énergie et de solution de stockage et trouve de nombreuses applications possibles qui réduiraient les émissions de gaz à effet de serre ».

Dans le cas de la France, deux appels à projets sont ainsi lancés : 

  • Briques technologiques et démonstrateurs : « s’adresse principalement aux entreprises. Il vise à développer ou améliorer les composants et systèmes liés à la production et au transport d’hydrogène et à ses usages tels que les applications de transport ou de fourniture d’énergie, ou encore à concevoir et développer de nouveaux véhicules notamment pour le transport routier de marchandises et le ferroviaire. Il pourra également soutenir des pilotes et démonstrateurs d’envergure (supérieur à 20MW) sur le territoire national, permettant à la filière industrielle de l’hydrogène de développer de nouvelles solutions et de se structurer ».
  • Ecosystèmes territoriaux hydrogène : « soutient des investissements de production et de distribution d’hydrogène renouvelable ou décarboné, pour des usages industriels et en mobilité, en particulier dans le domaine des utilitaires et des transports lourds (collectifs ou de marchandise). Il vise à faire émerger des  consortiums réunissant sur un même territoire collectivités et industriels porter des écosystèmes de grande envergure favorisant des économies d’échelle ».

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Hydrogène décarboné : le gouvernement annonce l’ouverture de deux appels à projets

OnePlus Nord N10 5G et N100 : deux nouveaux smartphones à partir de 199 euros

OnePlus Nord N10 5G et N100 : deux nouveaux smartphones à partir de 199 euros

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Après s'être intéressé au milieu de gamme avec son Nord dès 399 euros, le fabricant descend encore de quelques crans avec une « nouvelle ligne de smartphones : OnePlus Nord N Series ».

Il est ainsi question du N10 5G avec un Snapdragon 690 5G, 6 Go de mémoire, 128 Go de stockage (extensibles jusqu’à 512 Go), un écran de 6,49" Full HD+ à 90 Hz et « un ensemble quad-caméras de haute qualité ».

Dans le détail, on retrouve un objectif principal de 64 Mpx, un ultra-large de 119 degrés, un macro et un monochrome. À l’avant, une caméra de 16 Mpixels. Le tout est animé par une batterie de 4 300 mAh avec charge rapide Warp Charge 30T.

De son côté, le N100 propose un écran de 6,52", un Snapdragon 460, 4 Go de mémoire, 64 Go de stockage et un emplacement micro-SD. Il dispose aussi d’un « capteur photo principal de 13 MPixels, d’un objectif bokeh qui aide à générer des portraits et d’un objectif macro pour une expérience de prise de vue dynamique ».

Les deux smartphones sont livrés avec Oxygen OS 10.5 basé sur Android 10. Contrairement aux autres smartphones, le fabricant ne semble pas s’engager sur une durée de déploiement des mises à jour.

Le OnePlus N10 5G est vendu à partir de 349 euros, contre 199 euros pour le OnePlus N100. Ils seront tous les deux disponibles à partir de mi-novembre en France.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

OnePlus Nord N10 5G et N100 : deux nouveaux smartphones à partir de 199 euros

ISS : la mission habitée Crew-1 est programmée pour le 14 novembre

ISS : la mission habitée Crew-1 est programmée pour le 14 novembre

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Prévue pour fin octobre, cette première mission opérationnelle avait été repoussée à novembre par la NASA afin de « donner plus de temps à SpaceX pour terminer les tests matériels et les examens des données ». C’était la suite d’un « comportement non nominal du premier étage Falcon 9 lors d'une précédente tentative de lancement d’une mission ».

La nouvelle date est désormais connue : dans la nuit du 14 au 15 novembre, à 00h49 heure française. Quatre membres d’équipages sont prévus : Michael Hopkins, Victor Glover et Shannon Walker (tous les trois Américains) et Soichi Noguchi de la Japan Aerospace Exploration Agency (JAXA).

Les membres d’équipage à bord de la Station spatiale internationale passeront ainsi de six à sept personnes, «  ce qui augmentera le temps disponible pour la recherche », précise la NASA. Pour rappel, le français Thomas Pesquet doit voler sur la mission Crew-2, prévue pour  début 2021.

Le 27 octobre 2020 à 08h10

ISS : la mission habitée Crew-1 est programmée pour le 14 novembre

Haine en ligne : une députée LREM plaide pour un allongement des délais de prescription

Haine en ligne : une députée LREM plaide pour un allongement des délais de prescription

Le 27 octobre 2020 à 08h10

La députée LREM Marie Tamarelle-Verhaeghe estime que le délai de prescription d'un an attaché aux délits de propos racistes, négationnistes, diffamatoires ou d'incitation à la haine sur internet, est trop court. 

« Il apparaît aujourd'hui que ce délai de prescription d'un an ne permet pas aux parquets de se saisir et aux associations de se porter partie civile » remarque-t-elle dans une question adressée au ministère de la Justice.

« Pour permettre à la justice de lutter plus efficacement contre la parole raciste et l'incitation à la haine sur internet et les réseaux sociaux », elle suggère en conséquence un allongement de cette prescription.  

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Haine en ligne : une députée LREM plaide pour un allongement des délais de prescription

Une sénatrice veut imposer la localisation en Europe des données personnelles

Une sénatrice veut imposer la localisation en Europe des données personnelles

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Le texte sans portée juridique, « invite l’Union à imposer le traitement des données personnelles et des données industrielles par des entreprises européennes et à imposer la localisation européenne de ces données ».

Son auteure, la sénatrice Catherine Morin-Desailly, entend faire « prohiber le recours à des responsables de traitement et/ou sous-traitants soumis à une législation extraeuropéenne » ou disposant d’un siège social en dehors de l’espace économique européen.

Dans son exposé des motifs, l’élue rappelle les affaires Cambridge Analytica et Snowden, outre l’invalidation du Privacy Shield par la Cour de justice de l’UE. Elle analyse les contrats passés entre la DGSI et Palantir, ou encore le ministère de l'Éducation nationale et celui de la Santé avec Microsoft.

Selon elle, voilà autant de « renoncements à la préservation de nos intérêts vitaux », des choix qui « confirment que nos gouvernements, chantres de l'autorégulation des plateformes, cultivent une forme de complaisance vis-à-vis des géants du numérique extraeuropéens ».

Elle implore du coup la localisation et le traitement des données issues des citoyens et des entreprises européennes par des entités installées en UE. 

« les règles européennes en matière de marchés publics, de concurrence, ou encore d'aides d'État n'ont pas permis d'aider à développer des champions européens », d'où « l'impérieuse nécessité » de passer des vœux à la règle imposée par le haut. 

Le 27 octobre 2020 à 08h10

Une sénatrice veut imposer la localisation en Europe des données personnelles

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