#Le brief du 09 juin 2021

Patch Tuesday : les correctifs de juin sont disponibles

Patch Tuesday : les correctifs de juin sont disponibles

Le 09 juin 2021 à 08h28

Deuxième mardi du mois oblige, les derniers correctifs de sécurité ont été mis à disposition dans Windows Update hier soir.

Ce sont pas moins de 50 failles qui sont ainsi colmatées, 5 étant classées critiques et les 45 autres importantes. En outre, 6 des failles sont déjà exploitées activement par des pirates. Il est chaudement recommandé de mettre le système à jour dès que possible.

Les failles en question sont les suivantes : 

  • CVE-2021-33742 : Windows MSHTML Platform, exécution de code à distance (CVSS 7.5)
  • CVE-2021-33739 : Microsoft DWM Core Library, élévation de privilèges (CVSS 8.4)
  • CVE-2021-31199 : Microsoft Enhanced Cryptographic, élévation de privilèges (CVSS 5.2)
  • CVE-2021-31201 : Microsoft Enhanced Cryptographic Provider, élévation de privilèges (CVSS 5.2)
  • CVE-2021-31955 : Windows Kernel Information, détails publics (CVSS 5.5)
  • CVE-2021-31956 : Windows NTFS, élévation de privilèges (CVSS 7.8)

Toutes les éditions de Windows encore supportées sont concernées. Comme toujours, l’installation des mises à jour réclamera un redémarrage du système.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Patch Tuesday : les correctifs de juin sont disponibles

Illustrator, InDesign et Lightroom Classic sont maintenant optimisés Apple Silicon

Illustrator, InDesign et Lightroom Classic sont maintenant optimisés Apple Silicon

Le 09 juin 2021 à 08h28

Les mises à jour avaient été promises et étaient donc très attendues par les possesseurs de Mac M1. Elles sont disponibles depuis hier soir.

Elles rejoignent ainsi Photoshop, Lightroom, Premiere Rush et Audition dans la liste des applications optimisées, avec à la clé des gains substantiels de performances. Adobe a d’ailleurs dégainé des benchmarks montrant que ces moutures étaient 77 % plus rapides en moyenne que sur une configuration équivalente Intel, dont on sait juste qu’il s’agit d’un MacBook Pro i5.

Des évolutions fonctionnelles sont également diffusées. Par exemple, l’édition collaborative et l’arrivée de Super Resolution dans Lightroom et Lightroom Classic, de nouveaux outils de retouche dans Photoshop Express (dont adoucissement de la peau), des brosses personnalisées dans Photoshop pour iPad, la vue rotation pour Illustrator, etc.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Illustrator, InDesign et Lightroom Classic sont maintenant optimisés Apple Silicon

Vivaldi 4.0 prend le large : traduction intégrée, Mail, Feed Reader et Calendar

Vivaldi 4.0 prend le large : traduction intégrée, Mail, Feed Reader et Calendar

Le 09 juin 2021 à 08h28

Nouvelle version majeure pour le navigateur, qui débarque avec d’importantes nouveautés, même si plusieurs ne sont pas finalisées.

Vivaldi 4.0 introduit ainsi Vivaldi Mail, et avec lui Feed Reader et Calendar. Trois fonctions en bêta, mais pleinement fonctionnelles. Mail est en théorie compatible avec tous les types de comptes IMAP et POP3, et met en avant un tri automatique des courriers, avec reconnaissance des longs échanges à plusieurs, newsletters, emails professionnels, etc. Objetif, les catégoriser et les présenter comme tel, le traitement se faisant en local.

Il faut activer Mail depuis les paramètres généraux de Vivaldi pour qu’il soit ensuite disponible depuis la barre latérale. Le panneau s’ouvre alors pour montrer les comptes et dossiers à gauche, la liste des emails au centre et la zone de lecture à droite. Une disposition classique, qui peut être changée. Appuyer sur N ouvrira un onglet pour rédiger un nouveau courrier.

Vivaldi vante les qualités de son service, qui se veut universel, local et rapide. Les emails peuvent ainsi être marqués et apparaître dans plusieurs dossiers, on peut leur assigner des couleurs, les drapeaux et étiquettes sont synchronisés, les recherches peuvent être enregistrées, les emails peuvent être préparés à l’avance et envoyés plus tard (file d’attente), etc. Vivaldi fait également la différence entre emails non lus et non vus.

La base de Mail sert à afficher les éléments dans Feed Reader, le lecteur RSS maison. Il ne se contente d’ailleurs pas du RSS puisque l’on peut s’abonner à des chaînes YouTube (Vivaldi extrait la vidéo via une URL sans cookie) et des podcasts. Les flux sont reçus en ordre chronologique, Feed Reader ne faisant pas de tri et ne surveillant pas les habitudes.

Calendar suit les mêmes objectifs : compatibilité avec à peu près tous les comptes (dont CalDAV, Fastmail, Zimbra, iCloud…), visibilité des données dans toutes les vues, nombre de détails dépendant de la vue (minimale, complète, compacte), niveau de zoom, création d’évènements par simple clic, modification « inline », recherche et filtrage d’évènements, commande rapide de création d’évènements, etc.

Outre ces nouveautés en bêta, Vivaldi 4.0 en propose d’autres finalisées, notamment un service de traduction basé sur Lingvanex et hébergé sur les serveurs de Vivaldi, que l’éditeur promet donc sans la moindre surveillance (un cheval de bataille devenant aussi marqué que chez Apple). La fonction est aussi disponible sur Android.

Vivaldi devenant un vaste concentré de fonctions, un assistant simple de configuration fait son apparition. Avant les habituels importation des données, choix du thème et autres, l’utilisateur devra choisir le niveau de fonctionnalités : Essentielle, Classique ou Complète.

Essentielle ne comprend par exemple que la navigation, le blocage des publicités et traqueurs et le service de traduction. Classique ajoute les panneaux, la barre d’état et Avance/Retour rapide. La Complète ajoute tout le reste, dont Mail.

Les utilisateurs de la version actuelle peuvent vérifier dès à présent la disponibilité de la nouvelle version. Les personnes préférant récupérer l’installeur pourront le faire depuis le site officiel.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Vivaldi 4.0 prend le large : traduction intégrée, Mail, Feed Reader et Calendar

Android : Google détaille aux moteurs concurrents les conditions pour apparaître sur l’écran de choix

Android : Google détaille aux moteurs concurrents les conditions pour apparaître sur l’écran de choix

Le 09 juin 2021 à 08h28

Dès septembre, Google annonce qu'un plus grand nombre de moteurs de recherche par défaut seront proposés sur Android.

Une mesure non instinctive, mais poussée par des discussions avec la Commission européenne, elles-mêmes engagées dans le sillage d’une décision rendue en 2018 par l’instance bruxelloise.

Le 18 juillet 2018, la Commission infligeait en effet à Google une amende de 4,34 milliards d'euros pour « pratiques illégales concernant les appareils mobiles Android en vue de renforcer la position dominante de son moteur de recherche ».

Sur cette page, Google précise les conditions d’éligibilité des moteurs concurrents désireux être affichés sur l’écran de choix : il devra être généraliste ou encore être proposé dans la langue des pays concernés et disponible sur Google Play.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Android : Google détaille aux moteurs concurrents les conditions pour apparaître sur l’écran de choix

Les sénateurs veulent un tarif minimum pour chaque livraison de livre

Les sénateurs veulent un tarif minimum pour chaque livraison de livre

Le 09 juin 2021 à 08h28

Le Sénat a adopté la proposition de loi « visant à conforter l’économie du livre et à renforcer l’équité et la confiance entre ses acteurs ».

L’une des mesures clefs concerne notamment l’écosystème Amazon, puisqu’elle précise que la livraison du livre ne peut « en aucun cas, que ce soit directement ou indirectement » être offerte par le détaillant. 

La livraison se doit donc d’être « facturée » et le texte réclame qu’un arrêté pris par la Culture et Bercy fixe un montant minimum de tarification sur proposition de l’Arcep.

« Cet arrêté tient compte des tarifs proposés par les prestataires de services postaux sur le marché de la vente au détail de livres et de l’impératif de maintien sur le territoire d’un réseau dense de détaillants. » 

« En établissant une tarification minimale, l'auteure de la proposition de loi estime que les plateformes perdront leur principal avantage concurrentiel, qui est la gratuité ou quasi-gratuité, soit un avantage que les libraires ne peuvent en aucun cas assumer économiquement » explique ce rapport au Sénat

De même, le texte entend imposer une clarification entre les ventes de livres neufs et ceux d’occasion. « En effet, certains sites internet bénéficient de la confusion entretenue par le mode de présentation pour brouiller la perception de l'internaute, en ne faisant état que de manière très discrète, voire pas du tout, de la nature exacte de l'ouvrage vendu » embraye le même document. 

« De la sorte, un acheteur peut avoir l'impression de réaliser une « bonne affaire » sur un site en acquérant un livre à prix réduit, sans avoir conscience qu'il s'agit d'un produit de seconde main. »

Le texte adopté indique que l’affichage du prix des livres ne doit jamais laisser penser au public « qu’un livre neuf [puisse] être vendu à un prix différent de celui qui a été fixé par l’éditeur ou l’importateur ». Un décret viendrait préciser ces modalités. 

Une autre disposition drainée dans cette proposition de loi ouvre la possibilité pour les collectivités d'attribuer des subventions aux petites librairies indépendantes.

Pour la sénatrice Laure Darcos, auteure de la « PPL », « le livre est un bien précieux, les librairies sont une ouverture sur la connaissance et la culture. Il nous faut les préserver coûte que coûte car c’est bien la diversité des modes d’expression culturelle, l’accès à la culture pour tous et la vitalité de nos territoires qui sont en jeu. Ma proposition de loi répond à ces enjeux ».

La balle se dirige maintenant dans le camp des députés. « Il reste maintenant au Gouvernement à confirmer son soutien à cette ambitieuse réforme, en inscrivant rapidement le texte à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale » commente la commission de la Culture.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Les sénateurs veulent un tarif minimum pour chaque livraison de livre

ProtonMail lance enfin sa nouvelle version avec interface modernisée

ProtonMail lance enfin sa nouvelle version avec interface modernisée

Le 09 juin 2021 à 08h28

Les équipes de Proton auront pris leur temps, mais la nouvelle interface est disponible, et avec elle plusieurs autres améliorations.

Dans les grandes lignes, l’interface est celle que nous avions décrite dans notre prise en main. Nettement plus agréable que l’ancienne (âgée de 7 ans tout de même), elle propose plusieurs thèmes jouant bien plus avec les contrastes et les tons sombres que le gris clair et neutre que l’on avait jusqu’ici. L’ancien reste disponible.

Plusieurs fonctions apparaissent également, comme les filtres rapides pour trier les emails, de nouveaux raccourcis clavier ou encore un sélecteur d’applications, présent sous forme d’une petite grille de neuf points. Il permet l’accès rapide aux autres services de Proton : Calendar, VPN et Drive (bêta), ce dernier étant réservé aux abonnés payants.

Le reste ne change pas. L’objectif du service est toujours l’échange d’emails chiffrés de bout en bout, l’équipe insistant sur la confidentialité des données, qu’elle-même ne peut pas lire.

Les utilisateurs de ProtonMail n’auront rien à faire pour obtenir la nouvelle version. Il suffit de se connecter comme d’habitude au webmail pour qu’un court assistant avertisse des changements et propose une sélection de thèmes, que l’on pourra dans tous les cas changer plus tard dans les options.

Le 09 juin 2021 à 08h28

ProtonMail lance enfin sa nouvelle version avec interface modernisée

Nutanix lance son Service Provider Program, OVHcloud partenaire en France

Nutanix lance son Service Provider Program, OVHcloud partenaire en France

Le 09 juin 2021 à 08h28

Il s'agit d'une extension du programme Elevate de l'éditeur de solutions multi-clouds et hybrides, qui s'ouvre désormais aux fournisseurs de services avec deux labels : « Authorized » et « Professional » offrant différents avantages.

OVHcloud accompagne l'initiative en France et se félicite bien entendu de celle-ci. L'occasion pour Octave Klaba d'évoquer la stratégie de souveraineté de son entreprise, alors que l'état vante son « cloud de confiance ». Selon l'entrepreneur, elle s'opère à deux niveaux.

Le premier est la souveraineté des données, présentée comme « rapide » et « opportuniste », permettant aux entreprises d'utiliser de grands services (principalement américains) dans une infrastructure française. Elle a aussi l'avantage de multiplier les annonces de nouvelles opportunités commerciales, ce qui n'est pas anodin à l'approche d'une entrée en bourse.

Pour cela, OVHcloud s'associe à de nombreux acteurs, de Google (Anthos) à VMware (vSphere) en passant par SAP (Hana), NetApp (OnTap), Microsoft (Exchange), etc.

Vient ensuite la souveraineté technologique qui ne s'obtient qu'à long terme « car elle nécessite de créer un écosystème. C'est aussi la première qui finance la deuxième ». Klaba évoque OpenStack qu'OVHcloud utilise depuis des années, OpenIO qui sera à la base de ses nouvelles offres de stockage objet mais aussi du nouvel HubiC, Exten, etc. 

Reste une question en suspens : si la première stratégie fonctionne à plein régime mais que la seconde se grippe, pourra-t-on toujours parler de souveraineté alors que la dépendance aux acteurs étrangers sera importante ? 

C'est toute la problématique posée par la position de la France autour de son Cloud de confiance. L'avenir nous dira si cette solution était la bonne. 

Le 09 juin 2021 à 08h28

Nutanix lance son Service Provider Program, OVHcloud partenaire en France

INPI : palmarès des principaux déposants de brevets en 2020

INPI : palmarès des principaux déposants de brevets en 2020

Le 09 juin 2021 à 08h28

L’Institut national de la propriété industrielle vient de mettre en ligne son baromètre pour l’année écoulée. Le trio de tête reste le même depuis 2016, mais dans des ordres différents. En 2020, PSA est en tête avec 1 239 demandes, Safran deuxième avec 1 103 et Valeo troisième avec 819. 

Le CEA se maintient en quatrième position avec 646 demandes, et se félicite d’être le « numéro 1 des déposants dans la catégorie "Établissements de recherche, d’enseignement supérieur et établissements de l’État" (RESE) », une place qu’il occupe depuis plus de dix ans maintenant. Le CNRS est deuxième de cette catégorie avec 384 demandes.

Du côté des petites et moyennes entreprises (PME), le podium est composé d’Aledia, Devialet et Isorg. Sur les entreprises de taille intermédiaire (ETI), GTT, Soitec et Exel Industries occupent les trois premières places. Là encore, le CEA se réjouit car Aledia et Isorg sont « deux start-up issues des technologies du CEA », tandis que Soitec a été « fondée par deux chercheurs du CEA-Leti ».

Le 09 juin 2021 à 08h28

INPI : palmarès des principaux déposants de brevets en 2020

Intelligence artificielle : une définition « évolue en permanence » pour le CEA

Intelligence artificielle : une définition « évolue en permanence » pour le CEA

Le 09 juin 2021 à 08h28

Par l’intermédiaire de Alexei Grinbaum, physicien et philosophe, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives revient sur l’intelligence artificielle, à commencer par sa définition.

Le terme IA « désigne un comportement produit par une machine dont on peut raisonnablement estimer que, s’il avait été le fruit d’une action humaine, il aurait exigé de l’intelligence de la part de l’agent concerné ».

Le CEA rappelle que, « du point de vue de l’histoire de l’informatique, l’apprentissage machine n’est qu’un outil d’IA parmi d’autres mais, en pratique, ces deux termes sont de plus en plus fréquemment synonymes ».

Le Commissariat revient ensuite sur les trois types d’algorithmes au fondement des systèmes d’IA : apprentissage supervisé, non supervisé et par renforcement. « Chacune de ces méthodes peut être réalisée seule, mais des algorithmes dits d’apprentissage profond (deep learning) les emploient à des niveaux différents au sein d’un seul système ».

Ce qui n’est pas sans conséquence : « Cette imbrication contribue davantage à rendre inconcevable, au moins à ce jour, toute description mathématique rigoureuse de ce qui se passe pendant l’apprentissage profond ».

D’un autre côté, « cinq facteurs contribuent à l’émergence, pendant leur utilisation, des tensions, ou même des conflits, de nature éthique et/ou juridique » : présence de biais dans les données d’apprentissage, apprentissage sans compréhension, instabilité de l’apprentissage, problème de spécification et systèmes d'apprentissage profond encore peu compris.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Intelligence artificielle : une définition « évolue en permanence » pour le CEA

Quantique : la start-up française Pasqal lève 25 millions d’euros

Quantique : la start-up française Pasqal lève 25 millions d’euros

Le 09 juin 2021 à 08h28

Ce tour de table a été mené par Quantonation et le Fonds Innovation Défense (du ministère des Armées), géré par Bpifrance pour le compte de l'Agence pour l'innovation de défense.

Cette manne financière servira à développer « des processeurs quantiques analogiques et numériques de Pasqal », renforcer la « co-conception d'applications », construire son offre de cloud hybride « Quantum Computing as a Service » et initier une expansion internationale.

Florence Parly, ministre des Armées, explique qu’il s’agit du « premier investissement du nouveau Fonds d'Innovation de Défense », dont le but est d‘accompagner « la croissance de champions technologiques français à double application (civile et militaire) ».

Dans le cas de Pasqal, « les applications de leur technologie dans le domaine de la défense sont multiples et certaines hautement stratégiques », ajoute-t-elle.

Le 09 juin 2021 à 08h28

Quantique : la start-up française Pasqal lève 25 millions d’euros

Objets connectés : Samsung annonce une « nouvelle expérience SmartThings »

Objets connectés : Samsung annonce une « nouvelle expérience SmartThings »

Le 09 juin 2021 à 08h28

Il s’agit en fait d’une nouvelle interface pour l’application mobile maison permettant de contrôler ses objets connectés. Elle est dès à présent disponible sur Android et arrivera prochainement sur iOS.

Elle s’articule autour de cinq pôles : Favorites, Devices, Life, Automations et Menu. Si pour la plupart le nom parle de lui-même, notez simplement que Life « est un endroit pour explorer un monde connecté en pleine croissance où les utilisateurs peuvent découvrir de nouveaux services SmartThings ».

Le 09 juin 2021 à 08h28

Objets connectés : Samsung annonce une « nouvelle expérience SmartThings »

Cdiscount : augmentation de capital de 300 millions d’euros pour développer sa marketplace

Cdiscount : augmentation de capital de 300 millions d’euros pour développer sa marketplace

Le 09 juin 2021 à 08h28

Emmanuel Grenier, PDG du revendeur, explique à BFM Business qu'il s'agit d' « accélérer le développement ». Deux axes sont mis en avant : la place de marché en France (qui représente « quasiment 50 % » des ventes) et soutenir le développement de l’offre B2B de marketplace. 

« Dans le marché, ce sont les marketplaces qui croissent dans l’ecommerce », explique le patron de Cdiscount ». D’ici à 2025, le groupe espère augmenter la place de sa marketplace pour qu’elle atteigne 60 % de ses ventes. « On ne sera jamais complètement une marketplace », ajoute Emmanuel Grenier

Le 09 juin 2021 à 08h28

Cdiscount : augmentation de capital de 300 millions d’euros pour développer sa marketplace

Fermer