Avec ses 22 ans d’existence, Next INpact est sûrement le plus ancien, mais aussi un des derniers journaux en ligne indépendants dans le domaine des nouvelles technologies. Au fil des années, nous avons misé sur une information de qualité, tout en respectant nos lecteurs et nos valeurs.

Pour continuer à aller de l’avant et parvenir à un équilibre financier, il est nécessaire d’augmenter nos tarifs, comme vous avez été nombreux à nous le proposer suite à notre appel de juillet. Nous avons préféré attendre que le rythme d'actualités augmente, à la suite de notre nouvelle réorganisation, avant d'appliquer les nouveaux tarifs. 

Je tiens à remercier toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur soutien depuis de nombreuses années. Vous nous avez permis de faire de la qualité avant tout, et cela ne changera pas !

Une augmentation INdispensable

L’abonnement mensuel passe à 8 euros, ceux qui étaient à 5 euros par mois le resteront. L'abonnement annuel est à 80 euros, soit deux mois offerts. Le tarif pour deux ans est de 144 euros, soit six mois offerts. Les changements sont effectifs dès à présent. Le tarif étudiant et faible revenu reste quant à lui inchangé à 25 euros par an, afin de permettre au plus grand nombre d’accéder à nos contenus et enquêtes. Les plus fidèles d'entre vous bénéficient d’une réduction d’ancienneté jusqu’à 20 %, soit l’abonnement d’un an à 64 euros.

Un magazine – numéro 1, 2 ou 3 – est offert pour tout abonnement souscrit jusqu’à épuisement des stocks. Un lien sera présent dans le mail de confirmation d’abonnement qui permettra d’inscrire vos coordonnées et sélectionner le magazine souhaité.

Enfin, à la demande de certains lecteurs, il est désormais possible de s’abonner jusqu'à quatre ans, contre trois ans maximum jusqu’à présent. 

Les sociétés qui souhaitent disposer de plusieurs comptes premium en une facture peuvent se rendre sur cette page. 

Chaque mois, nos journalistes et pigistes produisent entre 400 000 et 600 000 signes de contenus premiums exclusifs. Soit l’équivalent de deux à quatre magazines en kiosque vendus 8 euros l’unité.

Pour les briefs, l’équipe diffuse chaque mois en moyenne 220 000 signes. Et c'est sans compter les articles gratuits diffusés dans le flux principal.

Suite au départ de Marc, Martin nous a rejoint en octobre, et Mathilde prendra son poste le 3 janvier, après nous avoir convaincus avec ses articles (ici et là). Nous avons également recruté de nouveaux pigistes. Nous aurons ainsi un rédacteur en chef (Sébastien), quatre journalistes (Vincent, Jean-Marc, Martin et Mathilde), plus d'une dizaine de pigistes, un artiste (Flock), un développeur (Benjamin) et une secrétaire de direction (Titia). Notre volonté est de vous apporter plus de contenus chaque jour et d’y consacrer une plus grande partie de notre chiffre d’affaires.

Sans tracking, Next INpact dispose de revenus annexes, provenant de la publicité contextuelle et des donations, qui sont mineures.

Aucun dividende n’a jamais été ou ne sera versé. L’actionnaire majoritaire que je suis, qui dispose de 76 % des parts, est à peine « milliénaire ». Une grande majorité des revenus revient aux journalistes et pigistes.

Nos financiers sont bien nos lecteurs.

Une information de qualité coûte (très) cher

Dans le monde des informations sur les nouvelles technologies, nous sommes certainement le plus vieux journal en ligne, resté indépendant depuis plus de 22 ans. Au fil des années, nous avons misé sur un financement par nos lecteurs, pour arriver aujourd’hui à en être totalement dépendants. INdispensable pour continuer à mener à bien notre mission : vous informer chaque jour, sans aucune contrainte éditoriale liée au référencement ou à la publicité.

Alors que de plus en plus d’éditeurs sur les nouvelles technologies font appel à des sociétés qui vendent des articles à bas coût, sur Next INpact, nous avons toujours salarié nos journalistes et nos pigistes depuis la création de la SARL en 2003. Ce qui explique la qualité rédactionnelle de nos actualités et la motivation générale de nos journalistes.

Chaque information premium fait l'objet de recherches et d’enquêtes, ce qui prend souvent beaucoup de temps. Effectivement, nous ne sommes pas dans la course à la publication ; la qualité prime clairement sur la quantité.

Nos journalistes prennent le temps de décortiquer certains rapports de plusieurs centaines de pages, de contacter les chercheurs et personnes au cœur des projets ou encore à se déplacer à des conférences et des événements.

C’est pour cette raison que beaucoup d’informations ne se trouvent que sur Next INpact, grâce notamment au travail fouillé au quotidien et à la mise en perspective des sujets.

L’équipe prend également le temps de répondre aux sollicitations de confrères ou de commissions pour les éclairer sur des sujets qu’elle maitrise. Si tu sais, partage. Si tu ne sais pas, demande.

Pourquoi nous ne devons pas disparaître

Nous sommes conscients des responsabilités qui nous incombent chaque jour à informer nos lecteurs et les professionnels, et nous les assumons. Nous sommes aussi conscients que nous sommes rares dans le paysage médiatique en ligne des nouvelles technologies. Nous avons acquis une solide expérience au fil des années qui nous permet aujourd’hui de préserver notre ADN, tout en conservant notre indépendance financière et donc éditoriale. Le journalisme est un métier passionnant qui se veut respectueux et respectable. Nos journalistes n’écrivent pas pour eux, mais pour informer une communauté avertie et les autres internautes.

Nous devons nos métiers et notre passion à nos lecteurs, c’est inestimable. Être encore là au bout de 22 ans n’est pas un hasard. Next INpact a toujours défendu sa liberté éditoriale, et défendra toujours la liberté de la presse, dans l’intérêt des internautes. L’équipe et moi en sommes les garants depuis le début. Et nous comptons mener à bien cette mission durant encore de nombreuses années.

Chères lectrices, chers lecteurs, nous n’avons jamais eu autant besoin de vous qu'aujourd’hui, pour ce nouveau chapitre que nous avons ouvert depuis juillet.

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